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Chapitre 3 (30) : When the worst happens

Une chaîne de meurtre.

Ester tue Houshang, quelqu'un tue Ester.

Cela expliquerait aussi, n'est-ce pas, pourquoi Monokuma voulait un nom en particulier.

Pour éviter qu'on ne lui donne celui d'une morte.

Et maintenant... Maintenant quoi, bordel ? On s'en est arrêtés à Ester qui tue Houshang, mais qui a bien pu tuer Ester, et comment ?

« C'est bien beau tout ça, je grommelle, mais se concentrer sur le meurtre d'Ester ne va pas servir à grand-chose. C'est le plus flou ! On sait même pas quel genre de substances pourrait l'empoisonner ! »

Emerens hausse les épaules. C'est ça, fais genre t'as apporté ta contribution. On est de retour au point de départ, bordel, et on est encore plus paumés qu'avant !!!

« Puisqu'on en parle, intervient Ibrahim, visage fermé, j'aimerais y ajouter ma contribution. J'ai fouillé le bâtiment principal pendant notre séjour ici, et pas seulement lui. Toutes les installations du cercle 4, sans exception ou presque. Je n'ai vu aucun endroit servant à stocker ce genre de drogues bien particulières. Pourtant, les effets sont violents, non ? Je veux dire, vu l'état d'Ester... »

Tout le monde s'entre-regarde de nouveau, hésitants. Je vois le visage d'Ade se fermer devant sa tribune, et Alannah grimace, se rappelant sans doute ce que l'on a trouvé dans ce foutu laboratoire. Nako, de son côté, est en larmes. Je la vois sangloter silencieusement, appuyée sur sa tribune, alors que Moanaura lui masse maladroitement le dos. Elle semble complètement détachée du procès.

Je crois que se rendre compte qu'Ester s'était rendue coupable de meurtre dans la douleur de ses derniers instants l'a achevée pour de bon.

À mon tour, je branche mon Monodossier. Avant d'afficher sur l'écran une succession de feuilles, que j'ai pris soin de prendre en photo.

Les drogues du laboratoire.

Le dernier indice.

« Regardez un peu ça, je lance avant que le procès ne déraille trop. C'est un truc qu'on a trouvé dans... un laboratoire clandestin, en fait. Cinq recettes de drogues particulières, à bases de plantes, sans doute rituelles. À la base, c'est des drogues, je grimace, mais leurs effets d'overdose sont décrits et certains sont vraiment dégueulasses. »

Et parmi ces effets, il y en a un qui m'a fait tiquer, sur une des fiches de préparation. C'est celle qui se prépare le plus facilement, avec le plus de plantes, mais des quantités variables. Sans doute la plus facile à concevoir.

Surtout dans un laboratoire clandestin alors qu'on ne doit surtout pas se faire prendre, de quelque manière que ce soit.

En plus, c'est la drogue idéale pour pousser son consommateur... À tuer quelqu'un.

« Regardez celle là de plus près. Ses symptômes d'overdose, c'est le sang noirci, la crispation générale des muscles jusque dans la mort, et un affaiblissement général des organes vitaux qui pourrait expliquer une désinhibition des contrôles du cerveau. Mais le symptôme le plus important, selon moi, c'est celui-ci. »

Je pointe ledit symptôme sur mon écran. Dieu merci, j'ai pas l'air trop stupide, puisque ça a un effet pointeur laser, désignant la ligne que j'indique.

« Panique enragée, lit Emerens avec un petit sourire. Très certainement une jolie manière de dire que l'overdose fait perdre la raison au consommateur. C'est un symptôme listé. Donc Ester pourrait très bien avoir été affectée par ça...

— De manière préméditée. Exactement. Ce qui serait terriblement cruel mais correspond bien au schéma que Monokuma cherche à nous faire trouver. »

J'entends un bruit derrière moi. C'est le Fan, un large sourire aux lèvres, en train d'applaudir. Je déteste l'expression de son visage. Elle me fait horreur. Son air enjoué me donne envie de vomir.

Mais heureusement, son intervention ne dure pas très longtemps. Un regard mauvais de l'Artiste, et voilà le Fan réduit au silence. Il se contente de sourire, avant de continuer à faire le tour de la salle avec son air de pédobear mal embouché.

Paye ta distraction, putain.

Ansgar jette un regard mauvais à Ade. Je vois dans son visage toute la suspicion du monde.

« C'est ta drogue, ça, si je ne m'abuse. Je reconnais sa description. Je l'ai vue étudiée dans tes papiers d'archéologie. »

Ade pousse un profond soupir, avant de hocher la tête.

« Exact, Ansgar, c'est ma drogue. Bravo, belle déduction. Tu auras donc remarqué sur la fiche que montre Thibault qu'il y a écrit dessus un protocole expérimental, et que ledit protocole expérimental est écrit en français. Donc, accessible à plus de personnes que simplement moi, celle qui l'a découverte. »

Ansgar semble toujours dubitative, mais je confirme d'un hochement de tête.

« Ouais, Ade a raison. Pour ceux d'entre vous qui savent pas lire le français, je lance à la cantonade, sur ces fiches, y'a écrit le protocole expérimental, les effets de la drogue à dose normale, et ceux en overdose. Comment l'administrer, aussi.

— C'est là que ça devient intéressant, me coupe Ade. L'administration. Peut-on récapituler du début les possibilités ? »

Je hoche la tête de nouveau. Décidément, je fais que ça dans ce procès, je vais finir par me briser le cou avec ces conneries. Comme ce pauvre Houshang.

... On va se calmer tout de suite sur les pensées glauques.

« Alors du coup. En partant de la drogue, y'a cinq personnes qui auraient pu la concevoir. C'est-à-dire, Ade, évidemment, puisque c'est celle qu'elle a étudiée, mais aussi moi, Nako, Moanaura, et Emerens. Les seuls à parler français.

— C'est pour ça que tu nous as posé la question de nos langues parlées, sourit Emerens toujours aussi calme. À cause de cette recette.

— Exact. Et je suis allé poser la question à Ansgar, juste au cas où quelqu'un aurait décidé de me troller, n'est-ce pas, Emerens, je grimace en jetant un coup d'œil peu amène à ce dernier. Mais tout correspondait. D'ailleurs, Ansgar, vous auriez pu me dire plus tôt, je grommelle, que l'animal là parlait français. »

Oui parce que je l'ai toujours en travers de la gorge de m'être fait troller à ce point. Même si ça a plus grande importance, quand même, vu où ça nous a mené ; mais quand même, deux putains de mois sans savoir ? Paye ta stupidité, mon vieux Thibault.

Heureusement que là, personne ne semble m'avoir fait le coup. Et pour le coup, difficile de dissimuler à l'Ultime Dictateurice luel-même un langage que tu parles, vu le nombre de vérifications qu'iel a fait sur nous.

Ansgar hausse les épaules.

« Tu ne me l'as jamais demandé avant aujourd'hui. Mais cela n'a pas grande importance. Continue, Thibault.

— Du coup, ouais. Ça veut dire que nous cinq aurions très bien pu nous en servir. Jusque là pas moyen de beaucoup démêler le truc.

— Hm, peut-être que si, intervient Emerens. Il y a le temps d'action de la drogue, sur ces fiches ?

— Que dalle, je grommelle. Juste les effets. »

Emerens a un petit sourire, avant de se reconcentrer sur les fiches. De son côté, Moanaura, qui visiblement a été arrachée à son devoir extrêmement important de consolation de crush, a une grimace incrédule.

« Wowowow, une minute ! C'est bien beau, tout ça, mais il a bien fallu que quelqu'un la lui donne, la drogue, à Ester ! Et la miss, elle était un peu parano, hein, on va pas se mentir ! Elle aurait jamais bu un truc empoisonné sans avoir une sacrée confiance en l'empoisonneur ! Ou même une bonne raison de le faire... »

C'est vrai, et c'est tout le problème. L'étau se resserre au fur et à mesure, même si je ne sais pas ce que je vais trouver dans le piège. Si ça se trouve, je vais simplement enfermer un des maillons de la chaîne. Mais si jamais j'en attrape un des maillons, je pourrais remonter au crochet.

Et si je continue dans cette direction...

« Plusieurs possibilités, je grimace. La drogue peut pas être glissée dans de la bouffe discrétos, d'après ce qui est dit sur la fiche, elle a un goût très fort. Après, c'est peut-être un truc comme les space cakes, enfin bref. Mais Ester aurait jamais pu l'avaler sans se douter qu'il y avait un truc qui clochait, quel que soit le médium. Donc soit on l'a dupée en faisant comme si tout allait bien, genre en mangeant des cookies pas piégés alors qu'elle bouffait les piégés et prétextant le goût sur un ingrédient chelou... »

Je jette un œil à Nako, toujours en larmes. C'est elle qui a apporté des cookies à Ester hier, elle me l'a dit elle-même. Est-ce qu'elle aurait pu faire passer une dose suffisamment importante de drogue dans la nourriture en la faisant passer pour une épice expérimentale ?

Ou alors...

« Ou alors quelqu'un a joué sur son héroïnomanie. Ce qui impliquait de connaître ou de se rendre compte de son addiction d'une manière ou d'une autre. »

Moanaura écarquille les yeux. Et je vois le choc même sur le visage d'Ibrahim et de Sachiko, l'un pourtant calme et l'autre toujours souriante.

La Capitaine relâche même Nako pour s'exclamer, incrédule :

« Ester était héroïnomane ?

— C'était sur un papier de secrets, explique Emerens. Un truc en allemand que Thibs m'a fait lire.

— Je dois confirmer, soupire Ansgar. Ester Koppel était, bel et bien, héroïnomane. Et son état en constante dégradation venait très probablement d'un sevrage. Mais ça ne règle pas la question de l'administration de la drogue.

— J'sais pas, marmonne Alannah, quelqu'un qui s'y connaît un peu aurait pu voir qu'elle était addict à un truc. Je veux dire, elle buvait tout le temps en soirée, mais genre vraiment tout le temps. Si tu t'y connais, ou si tu la connais, tu peux sûrement voir qu'elle cherchait à compenser. Et après, go prétendre avoir trouvé un truc calmant au même level que l'héro... »

Toutes les options sont possibles, je me dis. À partir d'un certain point, il suffisait peut-être même de voir qu'Ester était alcoolique pour jouer sur ses addictions. Et même sans ça, il y a un nombre inouï de possibilités pour un manipulateur entraîné pour réussir à faire avaler un poison à une Ester faiblissante. Si son sevrage était si violent que ça, il y a même des chances qu'elle ne soit plus tout à fait en possession de ses esprits...

... Oh putain ça me fait penser.

Quatre mois de sevrage, c'est énorme. Surtout en période de stress avec presque rien pour compenser, juste de l'alcool. On voyait Ester s'affaiblir de jour en jour, même alors qu'elle souriait.

... Son sourire aurait très bien pu être faux.

Putain ça me dégoûte. Si ça se trouve, elle était en état maniaque tout ce temps, depuis qu'elle a manifesté son approbation devant ma relation, et ça n'a fait que s'empirer avec sa foutue comptine.

Peut-être que l'amélioration de son état mental et de sa sociabilité n'étaient dues qu'à la perte d'esprit provoquée par son corps pour contrer le sevrage à l'héroïne.

... Et nous, on a rien vu.

On a salué son retour parmi nous, sa bonne humeur, on pensait que ça allait améliorer son état, mais au lieu de ça, quelqu'un en a profité et elle est morte.

... C'est dégoûtant.

Tellement dégoûtant que je peux même pas l'exprimer à Nako qui sèche à peine ses larmes, toujours détachée du procès. Tellement dégoûtant que j'ai même peur de le sortir parce que ce n'est qu'une putain d'hypothèse, une hypothèse qui explique un éventuel abus de confiance mais putain, qu'est-ce qu'elle fait mal, l'hypothèse.

Juste une possibilité parmi tant d'autres qui nous détruirait.

Ade a raison. On s'est tous endormis sur nos lauriers sans voir le véritable danger et maintenant, quelqu'un en a profité pour tuer non pas une, mais deux foutues personnes.

Je baisse les yeux sur ma tribune, et Emerens qui a remarqué que je pâlissais me caresse doucement le dos. Et putain, ça fait un bien fou.

En face, Ibrahim prend une profonde inspiration.

« Donc le meurtrier qu'on cherche est quelqu'un a donné la drogue à Ester, vraisemblablement quelqu'un qui parle français et qui a su se rapprocher d'elle. Ou alors, est passé par quelqu'un d'autre pour donner la drogue à Ester. À ce stade, les deux options pourraient rentrer dans la consigne de Monokuma. Il voulait peut-être, simplement, qu'on en profite pas pour donner le nom d'une morte et sauver la vie du meurtrier. »

Ansgar se penche en avant.

« Où veux-tu en venir, avec tes deux raisonnements ? »

Ibrahim me jette un œil, sans doute attendant que j'enchaîne vu sa tête. Mais je suis silencieux. Je n'arrive même plus à parler, alors à réfléchir...

« En fait, tout se résume à un point. Trouver qui a donné la drogue, et à partir de là, remonter. Du coup, on peut remettre sur la table les alibis de ce matin, même si c'est plus tôt, non ? ça devrait éclaircir les pistes...

— Ansgar et moi étions ensemble une bonne partie de la matinée, annonce Ade. Et l'autre alibi... »

Emerens lui tire la langue.

« Je ne donnerai pas de détails pour le bien de vos innocences.

— Ouais mec, ça serait bien, merci, je grommelle. Y'a des détails ils restent entre nous. »

Emerens rigole. Je sens la blague salace venir, mais à dix kilomètres, putain. Du coup je fais le truc à faire pour lui faire fermer sa gueule. Je tends ma main, chope le premier truc à ma portée, et tire, espérant au moins lui arracher un cri de surprise.

Pas de chance, c'est ses cheveux. Et encore moins de chance, ça ne fait que le faire sourire, et pitié dites moi que personne a entendu le son qu'il vient d'émettre, de manière à tout les coups extrêmement intentionnelle, entre ses dents parce que sinon on sait qui va être la foutue prochaine victime !

Bordel de merde, Emerens !!!

Je le lâche immédiatement avec l'envie pas croyable de le baffer et il rigole encore, alors qu'en face de moi Ansgar me regarde avec un tel air blasé que je sens que je vais me consumer sur place. Eh, c'est sa faute, pas la mienne, putain de bordel de merde.

« Bref, je marmonne. Du coup, ça fait déjà trois personnes qui parlent français avec des alibis qui se tiennent. Plus Ansgar qui à ce stade a très peu de chance d'être lae coupable. Après, il reste encore six personnes, techniquement, même si les plus probables, bah, ça reste ceux qui parlent français... Et je pense qu'on peut aussi en enlever Sachiko, mais avec des réserves. Non seulement elle ne parle pas français, mais en plus Ester est terrifiée par elle et ne lui ferait jamais confiance, et ça se combine avec le fait qu'elle a un alibi pour la matinée vu qu'elle a vu Houshang.

— Et y'a rien dans les interrogatoires qui pourrait nous aider ? Lance Moanaura. Une contradiction, dans les alibis du matin ?

— Pas vraiment, je grommelle. Vous dites tous vous être baladés ou avoir fait de la merde. Ça aide pas.

— Et puis je veux pas dire, intervient Alannah, mais ça sert à rien. On connait pas le temps d'action de la drogue pour overdoser. Donc le coupable pourrait tout à fait bien avoir filé son truc hier.

— Et qu'est-ce que vous avez fait, hier ? Soupire Seo-jun. Qu'on démêle un peu le tout, bordel. »

... Une minute.

Hier...

Hier, il y a deux personnes qui ont donné quelque chose à Ester. Quelque chose d'ingérable. De leur propre aveu.

Et il y a quelque chose qui accuse une des deux personnes plus que l'autre.

Le fait que se soit une drogue rituelle, apparemment utilisée couramment, et qui n'est pas censé provoquer une overdose à moins que ce soit à très forte dose.

Pour être sûr, absolument sûr, je regarde la feuille. Et au bas de la page, une note attire mon attention.

« Ne peut pas être cuite au risque de perdre toutes ses propriétés. Mieux utilisée dans un liquide. »

...

Putain.

Putain de bordel de merde c'est pire que ce que je pensais.

« Dites les gens... Je crois que je tiens un truc. »

Ade se tourne aussitôt vers moi. Suivie par Ansgar. Qui me regarde avec circonspection.

« Tu as trouvé le coupable ?

— ... J'ai un nom. Après, reste à savoir où il mène. »

Ade pousse un profond soupir. Je la vois croiser les bras devant elle, avant de me fixer avec un air presque intéressé.

« C'est pas trop tôt, on arrive enfin à quelque chose. Explique donc ton raisonnement. »

Je déglutis.

C'est la pire situation possible et pourtant, je veux croire que tout cela n'est qu'une blague.

Qu'il y a encore quelque chose à trouver.

Mais la seule piste que j'ai mène là, et j'ignore même si elle m'emmènera plus loin. Et il y a de fortes chances pour que je me retrouve dans une impasse. Une très mauvaise impasse.

« ... hier, un des temps possibles d'ingestion de la drogue vu le truc, deux personnes sont allées apporter quelque chose à manger à Ester.

— Tu penses que ça vient de là ? Demande une Alannah hésitante. À coup sûr ?

— C'est une overdose, je grommelle, je pense pas qu'il y ait eu d'ingestions au préalable, ça accoutumerait le corps. Quelqu'un qui voudrait empoisonner avec ça le ferait d'un coup. »

Elle serre les dents avant de se taire. Ce qui me permet de continuer mon petit exposé.

« Du coup, le coupable, ou au moins une personne impliquée, est forcément une de ces deux personnes, je continue. Les deux étaient proches d'Ester, les deux pouvaient facilement lui faire avaler le poison.

— Eh là, une minute, gronde Moanaura. T'es pas en train d'accuser Nako, j'espère ?!? »

Ladite Nako relève la tête. Et derrière ses larmes, je vois le regard plein de haine qu'elle jette sur moi.

Je pousse un profond soupir.

Il est temps.

« Justement, non. »

Nako sursaute. Et tous les regards se portent sur le deuxième accusé, qui devant les neuf paires d'yeux accusateurs qui le fixent, écarquille les siens.

Enfin.

Huit.

Parce que moi, je suis incapable de ne serait-ce que le regarder en face.

« La drogue ne peut pas être cuite. C'est écrit dessus, ceux qui parlent français peuvent vérifier. Et la mettre sur des cookies ne provoquerait pas l'effet d'overdose attendu. Y'en aurait juste pas assez et... Ester aurait juste plané. Donc le Cheval de Troie... C'est forcément l'autre. »

Et l'autre...

Je serre les dents. Avant de me tourner vers cet autre, qui me fixe avec stupéfaction.

J'ai mal.

Mais je dois absolument le dire, ne serait-ce que pour arriver au bout de cette affaire.

« Emerens, je soupire. Ça ne peut venir que de toi, pas vrai ? »

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