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Chapitre 2 (9) : We need protection and certitudes

Bon. Avouons-le, je ne perds quand même pas beaucoup de temps pour ranger le plateau d'échecs. Cette défaite un peu stupide m'a coupé toute envie de faire bouger le moindre pion. Mais bon, c'était instructif. Et j'avoue que je suis déjà un peu plus rassuré sur l'avenir de notre monde si la Fédération ne va pas à vau-l'eau à cause de l'absence de sa cheffe.

M'enfin. Je range mes trucs, puis je sors de la salle de réception. Dans le salon, juste à côté, Nako est assise sur la table, en train de jouer à la console avec Ester et Flor. Visiblement, elle a l'air de bien s'en sortir pour leur apprendre l'anglais, parce que la conversation est vachement entretenue... même par Flor, et ça c'est un miracle. La Forgeronne semble bien plus détendue que d'habitude, et je l'entends même faire une phrase complète en anglais ou deux. Waw. Exceptionnel.

C'est surtout Ester qui m'étonne. Elle sourit, elle rit même, derrière ses joues amaigries par je ne sais trop quoi, et elle pioche dans une boîte de cookies sans doute faits par Nako vu que c'est la seule qui cuisine pour nous, et Nako derrière qui rigole et lui en remet trois dans les mains, et les sourires, et les rires, et...

« Salut le nain ! Bucolique, nan, ce petit tableau ? »

Je reconnais cette insulte si caractéristique... Et surtout, en bon français bien de chez nous, enfin, je sais pas, si ça se trouve elle dit soixante-dix au lieu de septante. Enfin bref. Puisque j'ai reconnu la voix, et que visiblement elle ne compte pas me lâcher comme ça, je me contente de me retourner vers Moanaura, non sans noter que sa voix est pleine d'aigreur par rapport à l'habitude. D'ailleurs, celle-ci ne me regarde même pas. Elle se contente de fixer avec je dirais un semblant de colère (ses yeux lancent des éclairs, le niveau est haut) le groupe des trois lesbiennes. Quoi ? Comment ça Flor est hétéro et a déjà mis un stop à Moanaura ? Chhhhht, moi je sais pas et je m'en fous.

Aucune des trois filles ne nous a entendus, mais j'avoue que je préfère ne pas approcher une fauteuse de troubles de leur calme. Surtout avec moi. Je sais pas pour Nako, mais Flor ne m'aime visiblement pas beaucoup et Ester me déteste, donc si on y rajoute l'autre, là... Je me contente donc de la traîner dans un coin. Cette dernière se laisse faire, mais je vois la crispation de sa mâchoire alors que Nako essuie une miette au coin de la bouche d'Ester.

« Je peux savoir ce que tu fous, le nain...

— Calme-toi, je grommelle, lui faisant signe de baisser d'un ton. Ni toi ni moi ne sommes très appréciés de ces trois-là, et on a vraiment pas besoin de tensions supplémentaires. »

L'Ultime Capitaine lève les yeux au ciel, mais Dieu merci elle obtempère. En tout cas, elle se laisse tomber dans un fauteuil avec moins de bruit que d'habitude.

« Tensions tu parles... Si Kasjasdottir nous foutait la paix...

— Ansgar essaie de faire en sorte que personne ne soit tué, je lui rappelle froidement. Et tu ne lui rends vraiment pas la tâche facile. Et avant que tu viennes ne me parler de Sachiko, j'ai eu des preuves de sa coopération de la part des deux. »

Heureusement pour moi, Moanaura ne semble pas être très encline à la dispute. Elle se contente de soupirer.

« Ouais, ouais. Je me doute, iel fait de son mieux, tout ça, tout ça. Mais j'y peux rien, je lae sens sur mon dos à tout instant, et je déteste ça. Ça me soûle, autant que ça me soûle de pas savoir ce que Monokuma a préparé pour moi, ou pourquoi cette salope de Kimura est toujours aussi pimpante alors qu'elle enterre tous les jours au moins deux nouveaux cadavres de bestioles. »

Je grimace. D'autres animaux sont donc venus mourir à nos portes. Super, la joie des Tueries se rappelle d'encore plus à nos beaux yeux. Et, si je me rappelle bien de ce que m'a dit une certaine Ultime Chanceuse devant un chat en train de mourir, je pense que ça l'affecte bien plus que ce qu'elle veut bien nous montrer.

Mais bon, je vais pas raconter ça à Moanaura. Elle me croirait même pas. Moi-même, j'ai du mal à croire ce que je vois.

« Pauvres bestioles, soupire la Capitaine. Elles sont autant victimes que nous de cette connerie.

— Au moins elles ne sont pas forcées de s'entretuer, je lui fais le rappel assez bienvenu. C'est juste que Sparrow aurait vraiment pas dû mourir en premier.

— Pour plein de raisons différentes, grommelle Moanaura en se calant un peu davantage dans son fauteuil. On a jamais eu trop l'occasion de lui parler, nous tous, et même en lui parlant, elle causait que des animaux. Je trouve ça super dommage, elle était choupie. Un peu trop sur les mecs pour moi, par contre, et j'ai jamais aimé la barbe... »

Je me frappe le front. Sérieusement, Moanaura ?!? Dans cette situation ?

« Me dis pas que tu pensais à aller le draguer... »

Elle me fait un clin d'œil. Un peu vide, le clin d'œil, d'ailleurs. Ça essaie de se distraire, X ? Remarque, je comprends, si je n'étais pas ta principale victime.

« T'sais dans la vie, faut savoir saisir les chances d'où elles te viennent. Elle m'intéressait, je voulais tenter le coup, et j'ai pas pu. Fin de l'histoire. Comme avec beaucoup de filles, d'ailleurs. Je vais leur parler, elles viennent dans mes bras, des fois dans mon lit, et puis elles repartent. C'est le flow de la vie, le nain.

— J'approuverais bien ta philosophie s'il n'y avait pas la mention de tes expériences sexuelles, X, je grommelle, autant agacé par l'insulte que par un point de vue que j'ai du mal à partager. T'as quel âge, seize ans ?

— Eh, au-delà de la maturité et du consentement éclairé avec quelqu'un de ton âge, y'a pas d'âge pour commencer. Bon, peut-être pas onze ans, d'accord, pouffe-t-elle en voyant mon air incrédule. Mais j'ai fait ma première fois à quinze. C'était pas ouf, mais ça m'a plu, alors j'ai recommencé. Pas mon principal objectif, cependant.

— Ah oui ? Des fois on dirait pas, je grogne. Tu t'es vue ? »

Elle rigole, avant de m'envoyer une claque sur l'épaule.

« Eh là mon gars, je suis pas aussi obsédée que ton copain, là !

— Prends pas Emerens comme échelle, je pouffe, un peu aigre, c'est impossible.

— ça j'avais remarqué. Et vas-y que ça péchote régulièrement le colosse coréen, et vas-y que ça fait de l'œil au Danseur... Bon, plus trop en ce moment, sourit Moanaura, mais je suppose qu'ils se sont castagnés. »

Ouais, et vu que le sujet de la dispute, eh bah c'était moi, j'ai moyennement envie de savoir qu'ils ne se sont toujours pas rabibochés. Su-per. Je me contente d'émettre un grognement, et Moanaura hausse les épaules.

« Enfin bref. T'sais des lesbiennes out comme moi, y'en a pas des masses à Tahiti. Les meufs de mon âge qui viennent me voir, elles sont dans le placard ou alors c'est des hétéros qui me voient comme une expérience. On s'habitue vite à être juste de passage dans la vie de ces gens.

— Sans vouloir te vexer, ça fait un peu pitié. »

Moanaura grince des dents.

« J'en ai pas besoin de ta pitié. Cette vie me convient très bien. Je peux draguer des meufs qui en plus sont super sympa la plupart du temps, je leur fais passer un bon moment et derrière moi aussi je passe un bon moment. Et je fais gaffe à mon corps et mon indépendance, hein, je prends pas les femmes âgées ou celles qui veulent pas se protéger. Nan, vraiment, je suis bien dans mon mode de vie. C'est pour ça que j'arrive pas à comprendre ce qui va pas avec elle, là. »

Elle a un léger signe de la main, qui désigne Nako toujours en train de pianoter sur sa console, discutant avec Ester qui lui montre quelque chose sur l'écran, ou Flor qui les regarde avec –eh bien je crois que c'est de l'amusement. Je hausse un sourcil. Bizarrement, je sais très bien de qui parle Moanaura.

« Qu'est-ce qu'elle a, Nako ?

— Eh bien premièrement j'ai toujours pas réussi à la pécho, mais ça c'est rien, je peux comprendre les refus, grommelle la Capitaine. Le problème, c'est que le sien, je l'ai encore en travers de la gorge. Et ça je comprends pas. Je me suis pris des râteaux pires, pourtant, soupire-t-elle en se calant dans son siège. Rien que Flor, elle m'a mis un stop de ses morts qui a failli s'accompagner d'une gifle, et je lui en tiens pas spécialement rigueur. Alors qu'est-ce qu'elle a de différent, cette meuf ? Pourquoi je me sens aussi mal quand je la vois me regarder de travers ? »

... Alors je ne voudrais surtout pas cracher mon sel maintenant parce que je crois bien que j'ai jamais vue Moanaura aussi vulnérable. Ses mains tremblent, et elle fixe le groupe de filles avec un regard que je reconnais quand même plutôt bien, pour l'avoir déjà vu et eu. Mais je crois, ma puce, qu'on appelle ça se prendre un rejet de son crush. Et un rejet violent, parce que visiblement, Nako ne fait plus aucun effort pour parler à Moanaura, ou même lui apprendre la langue comme elle voulait au départ le faire.

Et en ce moment, la meuf qui me parlait de ses expériences sexuelles avec le ton de celle qui s'y connaissait m'a plus l'air d'une gamine qui découvre les relations de proximité. Au point que je me demande ce qui a bien pu se passer dans sa vie pour qu'on en arrive à ce qu'elle vive des moments de cul méga tôt sans jamais avoir eu de crush.

J'avoue que je sais pas trop quoi répondre. Je me moque, suivant ainsi la voie de la douce vengeance, ou je lui explique parce que son air perdu me rappelle un peu trop Florian quand il était gosse ?

Merde, je sais pas.

En désespoir de cause, je me contente de hausser les épaules.

« Ptêtre qu'il y a aussi un truc avec le procès. Elle t'a accusée, c'est pas rien.

— Ouais mais au vu de ce qu'il s'est passé... Je peux comprendre, un peu. C'est pas de la colère, pour le coup, c'est... Je sais pas, un genre de regret ? »

Elle se mord la lèvre, avant d'enfin détourner le regarde de Nako et cie.

« Enfin bref... Sincèrement et p'tit conseil d'ami, le nain, tu devrais tenter ta chance avec l'autre blond. Et je dis pas ça pour te faire chier. »

Eh bé allez, on est repartis ! Une blague sur ma relation avec Emerens, comme c'est classique. Je montre les dents, assez agacé –c'est un euphémisme. En fait je bous de rage.

« Et qu'est-ce qui te fait croire que j'ai envie de tenter ma chance, comme tu dis ?

— Beaucoup de choses, elle pouffe. Mais sérieusement, dans un coin aussi paumé, faut profiter de la vie. Et franchement, j'ai pas envie que qui que ce soit regrette d'avoir pas fait quelque chose avec quelqu'un qui va mourir.

— Est-ce que tu veux que je te raconte l'histoire, je grogne, amer, de quelqu'un qui a regretté de l'avoir fait ? »

La pauvre, elle va en avoir marre de servir de référence. Mais même si elle n'a pas lu Danganronpa. Moanaura capte sans doute de quoi je veux parler, puisqu'alors qu'elle se lève ses yeux continuent de me fixer avec le plus grand sérieux.

« Tu ne lui fais pas confiance ? »

... Et super, en voilà une autre qui se barre avec des questions plein mon crâne de laissées derrière elle. Décidément, ils commencent à m'agacer, ces Ultimes, là !

Le pire, c'est que sa question se justifie. Est-ce que je fais confiance à Emerens ? Bon, toutes considérations intimes mises à part, s'entend. J'aimerais tellement dire que oui, mais pour le coup, je crois que je ne fais confiance entièrement à personne ici. Pas même Ansgar, malgré son côté rassurant. Pas même Nako, la maman du groupe. Pas même Ibrahim, ange descendu des cieux. Pas même Ruben, le petit bonhomme incapable de faire du mal à une mouche.

Ils sont tous suspects.

Ruben qui vient de rentrer, d'ailleurs. Je l'ai loupé venir dans la salle, parce qu'il est déjà à côté de Flor alors que Moanaura quitte les lieux. Il lui parle gentiment, mais je peux voir au loin son sourire fatigué et sa posture raide. Le pauvre est à bout.

Moanaura partie et Ruben sur les lieux, je me doute que ma présence sera un peu mieux accueillie du groupe. Je leur fais donc un signe avant de me rapprocher, mais à peine je rentre dans le champ de vision du gosse que je le vois plaquer ses mains à sa bouche avant de se précipiter dehors, les joues rouges. Et évidemment, Ester qui l'a vu s'enfuir me regarde super mal, comme si j'étais le démon. Bien, bravo Thibault, belle manière de démontrer que tu es inoffensif, en faisant fuir des gamins de seize ans dans les couloirs.

Nako m'adresse un regard d'excuse avant de se remettre à parler à Ester. Mais celle qui me surprend le plus, c'est Flor. Qui à peine Ruben dehors se lève et marche vers moi d'un pas sûr, et si je n'étais pas déjà assez certain qu'elle ne cherche pas à choper un livre de l'étagère derrière moi, ses yeux plantés dans les miens confirment cette dernière impression.

Je me raidis. Flor me met autant mal à l'aise qu'elle me méprise, et j'ai vraiment pas envie de lui parler maintenant. Dommage, parce que l'Ultime Forgeronne vient de s'asseoir devant moi. Et continue de me regarder.

Super, je suis un peu pris en tenaille entre le fauteuil et la fille la plus hostile de tous les temps, là. En désespoir de cause, je balaie sa silhouette d'un regard, à la recherche d'un truc que je pourrais bien utiliser comme sujet de conversation ; et un pendentif que je n'avais jamais vu attire mon regard. Il est à son poignet. Ça a pas l'air d'être un truc de Ruben, ça ; le bracelet qu'il m'a offert est toujours autour de mon bras, et je reconnais assez bien quand ce n'est pas sa patte. Mais du coup, je suis curieux. Et je montre du doigt le pendentif dans le secret espoir que Flor sera ainsi distraite de sa sans doute très justifiée envie de me faire la peau.

« Ça vient d'où ça ? »

La Forgeronne lève son poignet à la hauteur de ses yeux, avant de hausser les épaules et de me répondre. Je remarque qu'elle emploie l'espagnol, et non son anglais scolaire que j'entendais quelque fois.

« Moi qui l'aie fait. Dans le cercle d'avant, me dit-elle devant ma surprise. Ici, c'est pas possible. Ça t'intéresse tant que ça ? »

En vrai pas vraiment, même si je pensais pas qu'elle était capable d'une telle minutie. Le travail de l'argent est vraiment superbe, même s'il n'y a pas la moindre pierre dans le pendentif, ce qui m'a écarté de la piste de Ruben en tant que concepteur. Mais sa question est un gros piège. Je peux pas mentir. Tout comme je peux pas lui dire que j'essayais de la distraire. Du coup, je reste silencieux. Et visiblement, Flor est loin d'être dupe.

« Pas là pour te taper. Juste parler.

— .... De quoi ? »

Pitié, pas de ma mort imminente. Pitié, pas de ma mort imminente.

« De ça, grommelle Flor en désignant tout le salon. Ce concept. Les risques. Pourquoi les gens râlent. À quel point les secrets sont dangereux. »

.... Bon, j'avoue c'est pas mieux. Mais heureusement, Flor ne me laisse pas le temps de lui répondre. Elle enchaîne presque immédiatement sur sa phrase suivante, au point que j'arrive à peine à la suivre. Eh, je parle pas espagnol couramment, moi.

« Beaucoup trop de secrets cachés, dit-elle, les dents serrées. Et moi, je ne sais plus qui croire. Personne ne m'explique. Pas même toi.

— Peut-être que si tu étais moins désagréable, je rétorque sans retenir mon humeur devant cette phrase que je trouve assez hypocrite, les gens t'expliqueraient mieux, regarde Nako.

— Et peut-être que si tout le monde ne me mettait pas à l'écart, siffle Flor, je serais moins désagréable. Tu sais, c'est chiant d'être toujours celle qui ne comprend rien. »

.... Et paf ! Okay elle m'a eu. J'avoue que je sais pas trop quoi répondre à ça. Et je crois que ça se voir, d'ailleurs, vu que Flor me regarde avec une certaine animosité. Qui finit par se calmer, au bout d'un moment.

« Je suis pas venue te dire seulement ça. Je veux te demander un truc.

— Ben voyons... Et quoi donc, » je grommelle, peu amène.

Flor semble très peu convaincue à l'idée de me demander son truc. Mais elle se contente de hausser les épaules. Et montre du doigt Ester et Nako, en train de parler, puis la porte.

« Eux. Je veux qu'ils s'en sortent. Je veux que tu fasses gaffe à eux. »

Je plisse les yeux. La porte, j'imagine que c'est Ruben, je vois mal Flor me demander de faire gaffe à du mobilier... Quoique. Mais ça ne m'aide quand même pas.

« Comment ça ? Tu me crois si dangereux que ça ? Super, merci, ça fait deux. »

Elle me regarde avec un certain agacement.

« Mais non, idiot. Les... Les protéger. Voilà. »

... Alors celle-là c'est la meilleure.

Flor Marisol Fernandez, tas de muscles sur pattes, qui sait manier un marteau sans doute bien mieux que moi ma collection de couteaux que je n'ai de toute façon pas sous la main, et sans doute la figure la plus intimidante de tout ce cast, me demande à moi, le roux d'un mètre soixante, de protéger quelqu'un ?!?

Et je dois avoir l'air vachement surpris vu que même Flor semble sceptique.

Néanmoins... On dirait qu'elle ne retire pas ce qu'elle dit.

Bizarre.

Alors je me contente de retenir le rire hystérique qui me prend aux tripes et de fixer Flor avec toute l'incrédulité dont je suis capable.

« Tu me demandes sérieusement à moi de jouer les garde-fous ?!?

— Dit comme ça, ça a l'air ridicule, oui, concède Flor avec un léger frémissement de la mâchoire. Mais t'as un truc. Quelque chose t'empêche de mourir. Et surtout les gens te font bien plus confiance qu'à moi. Donc je te demande, parce que je peux pas demander à quelqu'un d'autre. T'es le mieux placé et le plus digne de confiance, point. »

... Okay celle-là je m'y attendais pas. La confiance de Flor doit être bien fragile, si c'est ça. J'ai peur du niveau de méfiance qu'elle éprouve envers les gens.

Et à voir sa tête, elle aussi.

« Promets pas, grommelle l'ultime Forgeronne. Je m'en fous. Mais fais gaffe à eux. Je veux pas qu'ils meurent. Et je suffis pas pour les protéger. »

.... Et ça malheureusement, je crois qu'elle a raison.

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