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Chapitre 2 (19) : From up there

Je suis enfin sorti de cette foutue salle. Les interrogatoires sont compilés sur mon Monodossier et l'ordinateur d'Ansgar, comme la dernière fois, ce dont je n'ai pas manqué de l'informer ; cette fois, iel s'est précipité.e vers la salle d'interrogatoires. Je crois que c'est parce que contrairement au procès d'avant, j'ai fait les interrogatoires assez tôt pour lui laisser du temps.

Mine de rien, je ne manque pas d'indices. Et d'hypothèses, mais ça, je devrai sans doute les démêler au procès. Il faut absolument que j'examine un maximum de choses, maintenant. Le fameux grand retour sur la scène de crime. Putain, je ne m'attendais pas à devoir revoir un corps trois fois.

Emerens m'attend près de l'entrée, avec Sachiko, Ade et Houshang. Ils ont tous l'air relativement tendus, mais au moins, personne ne tente de se taper dessus quand j'arrive, et c'est un bon point. C'est réjouissant un peu de voir que dans une situation de vie ou de mort, ces gens arrivent à fonctionner ensemble.

Si seulement ça avait été le cas avant, nom d'un chien.

Je les rejoins, et Emerens me sourit.

« Ça a été ?

— Boooff, je marmonne. J'avais beaucoup de questions mais pas une ne m'a vraiment aidé. Je pense qu'on verra au procès lorsque chacun présentera ses alibis, tout ça tout ça, et que je devrais chercher des contradictions. Au fait, ta fouille de l'infirmerie ?

— Rien, m'annonce Emerens. Le somnifère le plus fort était encore emballé et ne semblait pas manquer en termes de boîte, et Ester m'assure ne pas s'en être servi. Il n'y a pas de trucs de type sédatif capable de tuer, ou même de drogues comme de la morphine ou autres cocaïne. C'est vraiment des médicaments classiques. »

Je serre les poings dans mes poches. Une boîte en carton se froisse entre mes doigts. Que j'ai compté, encore, et encore, et encore. Assez pour savoir qu'elle n'a pas pu servir.

Il n'y a donc bel et bien pas eu le moindre médicament impliqué. Très bien. C'est une bonne chose. Je crois. Parce que ça élimine une piste, ou parce que du coup la personne la plus suspecte, celle qui prend les médicaments les plus forts, ne peut être accusée par ce biais ?

En tout cas, ça complique grandement les choses. Ou ça les simplifie. Et ça, il va falloir que je le vérifie, en allant de nouveau sur cette foutue scène de crime.

Le groupe d'enquête est prêt. Mais avant que je ne leur dise qu'on peut y aller, je me tourne vers les trois autres, qui ont tous l'air plus ou moins grave. Étonnamment –non, Sachiko est la seule des quatre à conserver son sourire.

« Est-ce que vous avez des trucs à suggérer, vous autres ?

— Pas vraiment, soupire Houshang. On a vérifié les données de connexion, ton interrogatoire me semble bien assez complet, et je doute que fouiller les chambres se révèle nécessaire, cette fois.

— Tu dis ça, sourit Sachiko, mais c'est toi qui as traîné l'autre blondasse dans les couloirs en me laissant avec la tarée entre les papattes d'Ansgar. Vous avez trouvé des trucs intéressant où vous vous êtes juste galochés ? »

Houshang et Emerens échangent un regard lassé. Ce dernier se tourne ensuite vers moi avec un profond soupir.

« Elle aurait pu le dire autrement mais elle a pas tort. Après que tu aies fini nos interrogatoires, Houshang et moi, on est allés fouiller les chambres. On cherchait surtout des médicaments, mais à part les boîtes vides de Ruben, on a strictement rien trouvé.

— Et même si j'avais pu constater un manque de médicaments trop important par rapport à la posologie de Ruben, je doute fort que ce soit déterminant de sa culpabilité, renchérit Houshang. Il n'a absolument pas la force nécessaire pour aller empaler Flor. Ça l'avait disculpé, d'ailleurs, la dernière fois. »

Vrai. Le frisson désagréable qui m'a envahi à la mention de l'Ultime Joaillier finit par se dissiper, après quelques minutes de réflexion. Mais une impression désagréable reste. Ruben est innocenté seulement si le meurtre nécessite de la force. Sauf que dans ce cas, nos trois suspects font partie de ceux ayant un alibi un tant soit peu solide... Entre Ibrahim, Seo-jun et Sachiko, les trois personnes les plus fortes physiquement restant dans cette foutue Tuerie, quelqu'un aurait empalé, voire drogué avant Flor ?

Pas le temps d'y réfléchir davantage. En tout cas, pas sans avoir revu la scène de crime d'un peu plus près.

Sans dire un mot de plus, je fais signe à Emerens, et ce dernier prend la tête du groupe pour nous mener hors de la maison, vers la porte d'entrée de la rue aux mille secrets. Cette dernière, comme Monokuma l'avait dite, est largement ouverte, bloquée dans cette position. Nul besoin, semble-t-il, de s'identifier. C'est désormais un lieu d'enquête, plus qu'un endroit de mobile.

Même si en soit, le mobile court toujours.

Les portes étant ouvertes, le vent pénètre un peu dans le dôme, et fait voleter, de temps à autres, un papier avec un secret. L'un d'entre eux vient frapper Houshang au visage, et ce dernier le repousse avec dégoût. Surprenant mon regard, il pousse un profond soupir.

« Ce qu'on à là, c'est le pire des mobiles. Je ne tiens pas à ce qu'il serve davantage à quelque chose dans la situation où nous sommes.

— Tu penses que c'est pour ça que quelqu'un a tué Flor ? à cause des secrets ? »

Il prend son menton entre ses mains, le visage plissé par une intense réflexion.

« Certes, on a pas découvert le moindre secret sur Flor. Mais elle, elle en avait découvert sur nous. Que ce soit ceux rapportés par Ade ou Ansgar, comme le mien, le tien, celui de Seo-jun, ceux d'Emerens ou celui de Ruben, ou ceux qu'elle a découvert d'elle-même, comme celui d'Ibrahim... Il n'est pas à exclure qu'elle ait été tuée pour avoir découvert le secret de trop. Peut-être même en est-ce un que nous ne saurons jamais. »

C'est un bon argument. Mais pour le coup, ce mobile ne pointe hélas personne. Ce n'est pas ça qui va m'aider à réfléchir, et j'ai le sentiment qu'on part sur une sacrée fausse piste. Mais bon, si ce n'est qu'un sentiment, je ne vais certainement pas ignorer un argument parfaitement valide, je ne m'appelle pas Sachiko Kimura.

Cette dernière vient d'ailleurs d'adresser un immense sourire à Houshang.

« Ironique que ce soit toi qui dises ça, alors que tu étais prêt à apprendre les secrets de tout le monde si cela pouvait te garantir ta petite sécurité. Mon cher Houshang, je crois qu'on appelle ça de l'hypocrisie, non ? »

L'interpellé lève les yeux au ciel.

« Tu vois, Kimura, c'est précisément pour ça que je tenais à ce que tous les secrets soient dits. Pour avoir une idée de chacun des mobiles possibles. »

Sachiko lève les yeux au ciel, mais ne répond rien de plus. Ade vient de se gratter bruyamment la gorge, avant de pointer du doigt le bout de la rue, à quelques mètres.

« On y est presque. Et puisque visiblement je suis la seule à bien regarder aux alentours, j'aimerais vous dire avant qu'on arrive que je n'aie trouvé aucune autre trace de lutte évidente. Flor est bien arrivée jusqu'ici de son plein gré.

— Elle aurait pas pu être traînée ? Intervient Emerens. Avec le vent, c'est dur de dire... »

Ade secoue la tête.

« Une trace dans les papiers n'est pas la seule marque d'un corps traîné au sol. Non, je suis persuadée que Flor était encore consciente lorsqu'elle est arrivée sur les lieux du crime. Reste à savoir ce qu'il s'est passé ensuite.

Malheureusement, pour ça, il va falloir fouiller pour la énième fois un corps plein de sang.

La scène de crime est exactement dans l'état dans lequel on l'a laissée tout à l'heure. Apparemment, Monokuma ne prend même pas la peine de faire des autopsies, et encore moins de décrocher une pauvre fille du lieu de son agonie. Quelle connerie. Mais objectivement et je dis ça en me donnant à moi-même la gerbe, ça m'arrange. Parce que du coup, Ade pourra peut-être inspecter le corps comme bon lui semble. Ça a l'air d'être son truc, donc bon, je ne vais pas l'en priver. Moi, je n'ai aucune envie de fixer ses yeux sans vie.

Ladite Ade vient d'ailleurs de se diriger vers un coin de la place, pour en tirer un escabeau d'au moins deux mètres. Elle l'examine avec attention, concentrée, avant de soupirer et de le ramener vers nous.

« J'avais repéré ça dans un coin de la place tout à l'heure, m'explique-t-elle après que je lui aie lancé un regard interrogateur. Je n'ai pas vraiment eu le temps de vérifier s'il était impliqué dans la scène de crime, surtout qu'Houshang disait ne pas avoir vu de sang ou de traces de lutte ailleurs, mais cette fois j'en suis sûre, il n'a rien à voir.

— Comment tu peux savoir ça, Ade ? Intervient Houshang en désignant, d'un mouvement de tête, l'escabeau. »

Ade soupire avant de le déplier, et de le mette en position juste à côté de la statue, à l'endroit le plus proche de l'épée. Je vois les pieds de cette espèce d'échelle tremper dans le sang, et quelques gouttes tombent de l'épée droit vers le métal des marches. Je serre les dents. Le bruit du sang qui pleut sur une surface aussi proche est extrêmement désagréable, et à voir le visage verdâtre d'Emerens, lui aussi a une sacrée gerbe.

« Voilà pourquoi. Vu la taille de cet escabeau, explique Ade, même pour quelqu'un de grande taille, les alentours de l'épée sont le meilleur endroit pour se placer et empaler le corps de Flor, à supposer qu'elle se soit laissée empaler, bien évidemment. Mais comme vous pouvez le constater, l'échelle n'est pas à l'abri du sang qui coule. Et il est impossible de bien la nettoyer. Non seulement il n'y a pas de produit pour bien enlever le sang, mais en plus l'eau ne coule pas dans cette rue. Vous pouvez aller vérifier.

— Là je suis derrière elle, sourit Sachiko, le regard indéchiffrable. J'ai testé tous les robinets du coin pendant mes propres passages dans la jolie rue aux mille secrets. Pas très, très fonctionnel, très clairement Monokuma ne voulait pas que ce soit un lieu de vie. »

Ade acquiesce, avant de monter sur l'échelle et de se pencher vers Flor. De sa poche, elle sort une petite lampe, avant de se mettre à en examiner les pupilles. Vu ses lèvres pincées, elle n'apprécie pas ce qu'elle voit. À vrai dire, moi non plus. J'ai l'impression de voir une détective à l'œuvre et non seulement son professionnalisme me fout froid dans le dos, mais en plus de lointaines paroles d'Houshang reviennent à mon esprit, venant y semer un doute profond.

Est-ce qu'Ade Okafor nous ment sur son véritable Ultime ?

Je n'ai pas du tout envie de la fixer de quelque manière que ce soit. Et heureusement pour moi, une distraction se présente sous la forme de Sachiko. Cette dernière vient de me taper sur l'épaule, avec toujours son sourire absolument impénétrable.

« T'as quelques minutes à m'accorder entre tes deux contemplations de corps qui pendouille ? »

Elle parle à voix basse, et je surprends son regard fuyant aller d'Houshang à Emerens, ces deux derniers étant en train de fixer Ade travailler. Étrange. Elle cherche encore à cacher des trucs, comme la dernière fois ?

Ça me semble bizarre. Aucune preuve ici ne peut être réellement fabriquée.

— Premièrement, je grommelle, je préfèrerais ne pas avoir à contempler le corps. Deuxièmement, qu'est-ce que tu veux ?

— Fouiller la maison derrière toi. Allez, c'est important. Viens avec moi, puisque visiblement tu sers d'anti-dissimulation de preuves... »

Je hausse un sourcil. Depuis quand Sachiko Kimura se complait aux ordres ?

Je jette un coup d'œil à Ade en plein examen du corps. À Emerens, qui la fixe sans bouger, à Houshang qui détaille chacun de ses gestes avec un certain intérêt. Puis de nouveau, à Sachiko, qui sourit toujours autant.

Fouiller la maison derrière moi. Je ne savais même pas qu'on pouvait y rentrer, tiens, mon excursion avec Emerens m'avait plutôt fait penser qu'elles étaient toutes verrouillées... mais si jamais on peut, elle a raison, on pourrait peut-être y découvrir un élément capital. Et je préfère surveiller Sachiko plutôt que de la voir partir seule, comme elle en est parfaitement capable.

Je me tourne vers Emerens, qui continue de fixer Ade, avant de l'interpeller.

« Emerens ! Tu m'excuses deux minutes ? »

Visiblement trop ravi d'être détourné de la macabre tâche de l'Archéologue, il tourne immédiatement la tête vers moi.

« Tu veux un truc, Thibs ?

— Ouais. En fait, je vais fouiller un peu la maison derrière, du coup je pourrai plus garder les autres à l'œil. Tu peux gérer ça pour moi, steuplait ? »

Son air peu convaincu ne me plaît pas beaucoup. Mais heureusement pour moi et mon enquête, il ne proteste pas, et se contente de hocher la tête.

« Okay, vas-y, file, Thibs. Je les garde à l'œil pour toi, promis. »

Un clin d'œil ponctue cette phrase, alors que je lève mes propres yeux au ciel et prend la suite de Sachiko, qui a déjà disparu dans la maison.

Effectivement, la porte était ouverte. D'au moins celle-ci, d'ailleurs. Un rapide coup d'œil m'apprend qu'il y a un loquet, mais que ce dernier semble ouvert. Voire un peu abîmé... Tiens tiens. Donc quelqu'un est bien passé par là.

Sachiko attend dans la première salle, les yeux passant de l'escalier qui s'y trouve à moi, mais avant toute chose, je balaie la maison du regard, histoire de déterminer à quel genre d'environnement j'ai affaire.

L'endroit est vide. La cheminée ne semble pas avoir été utilisée depuis sa création, et de la poussière pare à peu près tous les reliefs, plinthes, recoins de murs, rares meubles sur place. Quelques outils traînent en désordre près de la cheminée, recouverts eux aussi de poussière. Fait intéressant, il y a des traces dans la poussière, trop nombreuses pour êtres dues aux pas de Sachiko. Dans un coin, plein de gras et d'autres huiles mêlées de gris de cendre, un pauvre évier attend son heure, visiblement jamais utilisé au vu de la rouille qui recouvre le robinet. Curieux, je m'avance, avant d'ouvrir les vannes. Il me faut un peu forcer pour réussir à vaincre la rouille et l'huile, mais même alors que je tourne à fond le robinet, aucune trace d'eau ou autres liquides non identifiables n'en sort.

Hmmm. On dirait bien qu'Ade avait raison sur le nettoyage possible dans le coin. Intéressant.

Un tapement de pied sur le sol m'interrompt dans m'a contemplation. De toute évidence, notre chère Sachiko est en train de s'impatienter. Joie et bonheur.

Je lève les yeux au ciel devant cette charmante marque d'enfance avant de me diriger vers elle, pour le moins agacé.

« Ça va, ça va, j'arrive ! J'ai pas le droit de vérifier des trucs ?

— Pas quand tu prends trois plombes, fait-elle avec une fort vilaine grimace. Le temps file, le soleil se couche, et le plus intéressant est en haut. »

... C'est vrai, on manque de temps, bordel de merde. Mais quand même, j'ai pas envie d'être pressé comme ça. Y'a plein de trucs à voir au rez-de-chaussée aussi.

Enfin bon. De toute façon, on dirait que je commence à perdre mes possibilités de choix. Sachiko vient de me prendre la main, et ne me lâche pas de toute la montée de l'escalier, au point que trois quatre fois, je manque de me transformer en véritable sac à patates pourries bringuebalé derrière une Chanceuse bien trop pressée. Elle ne s'arrête finalement qu'au dernier étage, ou un courant d'air m'effleure la peau.

Ledit dernier étage donne sur un balcon. La fenêtre qui y mène est ouverte, et le verre est craquelé à un endroit, au coin supérieur droit du cadran de fenêtre ; Quelques papiers y traînent, sans doute des secrets. Mais Sachiko ne s'intéresse pas aux secrets. Elle va droit au balcon, passe la fenêtre avec le tour de force de n'absolument rien toucher par terre, avant de se pencher vers la place en contrebas. Un petit rire s'échappe de ses lèvres.

« Regarde-moi ça comme on est méga hauuuuuts ! »

Ça, ma grande, je l'avais senti dans mes pauvres papattes de gars d'un mètre soixante qui fait pas du tout de sport ! Si je me fiais aux perceptions de mon corps, j'aurais au moins grimpé dix étages... Dans les faits, il y en a sûrement quatre dans cette maison, rez-de-chaussée exclu. Mais bon, pas vraiment le temps de protester. Je m'avance vers Sachiko, reprenant, tant bien que mal, mon souffle, avant de faire comme elle, me pencher en avant.

Elle a raison. On est au moins à huit mètres du sol, et en contrebas, Ade qui est actuellement en train de palper les poches de Flor me paraît minuscule. Ne parlons même pas d'Emerens et d'Houshang, en pleine discussion à côté de la statue. L'épée d'Eugène, levée droit vers le ciel, me paraît presque être un point. Bon, j'exagère un peu, mais vraiment, on est plutôt haut.

La rambarde tremble quand j'y appuie mes mains. Aussitôt, j'ai un mouvement de recul. Si ce truc est pas stable, je risque de venir m'écraser huit mètres plus bas, et j'ai vraiment pas envie de me rajouter dans le procès du jour...

Sachiko, en me voyant faire, rigole.

« Chouette endroit pour tomber, hein ? »

Eh bah ça ma grande, je ne te le fais pas dire. Mais mon attention est attirée par un truc, sous mon pied, qui bloque ma progression alors que je recule. Je baisse les yeux. C'est un tisonnier, pointu mais recouvert de rouille. Il semble traîner au sol depuis un moment, mais le déplacer ne bouge que peu de poussière. D'ailleurs, fait intéressant, outre la trace de mon pied, il y a des traces de doigts sur le manche de l'outil.

Ma compagne, l'air absolument pas perturbée, sourit encore plus.

« Quelqu'un est venu ici récemment, tu ne crois pas ? »

... Ouais. Quelqu'un est venu ici, c'est certain. Mais je ne sais pas qui est ce quelqu'un. Je ne sais pas quand. Et je ne sais pas non plus ce qu'il s'est passé.

Pourtant, entre une arme, une fenêtre ouverte et des traces de présence, il y a vraiment de quoi réfléchir.

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