Texte: Peur de te perdre.
« Peur de te perdre. »
J'abîme notre relation en ayant peur de te perdre. Je nous détruis. Tout ceci est si précoce et sauvage. L'incompréhension et l'interprétation des paroles de l'autre, nous détruise aussi. Les déceptions et l'exigence qui nous ramasse à la pelle et nous achève à la hache. On se détruit pour encore plus s'aimer.
Toute l'attraction qu'il y a en nous, tout se petit mélange nous rendant fou. Ce mixte nous donnant la soif de l'autre. Tout ceci, notre amour.
La peur de te perdre le ronge l'estomac comme un ver solitaire mange la nourriture. Les accusations et reproches nous mangent comme un vautour sur une carcasse. Les larmes des malentendus nous croquant comme dans une pomme. Les disputes nous coupant le cœur comme un sécateur. L'afflux de distance nous comprimant le cœur.
Je suis ton ange, tu es mon cœur. On ne sait pas vivre l'un sans l'autre. Cette fatalité nous ronge. On se détruit en s'aimant. On se taquine en se reprochant le manque d'attention. On s'embrasse et se disputant. On se fait un câlin en se chamaillant. Nous vivons de hauts et de bas et revenons à la charge dans notre amour. Ce manque de toi en moi, me pince et pénètre le cœur comme une flèche. Je te veux toujours, je suis en manque de tes yeux. La distance nous sépare de peu, mais nous prenons tous les risques pour s'aimer. L'amour est plus fort que la mort. Avec toi je mourrais, sans je pourrirais, l'un sans l'autre nous ne vivrons pas. Je n'ai peur que de te perdre, cela nous abîme et nous renforce.
Je suis ta malédiction de l'attachement. Je suis ton ange de la déception. Je suis la reine de ton bonheur. Je suis la souveraine de tes larmes. Je suis l'impératrice de ton sourire. Je suis la princesse de ton attention. Je suis l'héritière de ton malheur. Je suis l'esclave de ta douleur. Je suis la poupée de ta souffrance. Je suis l'ancolie de ton cœur. Je suis la rose de ton âme. Je suis la bénédiction de ta vie. Je suis la déesse de tes bons souvenirs. Je suis l'envie de tes désirs. Je suis la marionnette de ton dégoût. Je suis la malchance de ta destruction. Je suis l'essoufflement de ta tristesse. Je suis le mal être de ta peine. Je suis ta moitié, on se complète. C'est réciproque.
« On s'abîme en s'aimant. On se déteste en s'embrassant. Les deux côtés, parallèles aux hauts et bas de la vie. Nous sommes deux, nous sommes deux être qui ne font plus qu'un. Nous sommes liés à jamais, ensevelis sous la mardis de l'enfer et l'enfer du paradis. »
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