Perdue en forêt
Cela fessais maintenant plus de quatre heure qu'elle était perdue en forêt et tournais en rond dans retrouver son chemin. Elle devait simplement s'éloigner pour aller au toilette lorsqu'elle avait aperçu un petit lapin tout blanc. Ce dernier avait été curieux et s'était approcher d'elle avant de partir en trottinant. La jeune fille avait décider de le suivre comme Alice avait suivie le lapin jusqu'au pays des merveilles. Malheureusement pour elle, elle avait perdue le lièvre de vue avant d'arriver a la tanière du petit animal et elle était s'était perdue. Bien sûr, elle avait fait demi tour et essayer de retrouver son chemin mais rien à faire, tout les arbres se ressemblaient.
Le soleil était presque coucher et la jeune fille commençais à avoir froid. Elle qui connaissait certaine notion de survie en forêt, et puisqu'elle avait peur du noir, elle décida de se faire un petit tas de bois pour s'allumer un feu. Heureusement, elle était partie avec son fidèle canif ainsi qu'un briquet. Elle utilisa l'écorce blanche d'un bouleau en guise da papier, le recouvra de brindille formant un tipi puis mis le feu à l'écorce. Les brindilles brûlèrent et elle alimenta son maigre feu avant de compléter sa réserve de bois et de s'assoir les bras autour des genoux. La noirceur était tomber et la forêt se réveilla. La pauvre fille était terrifier. La noirceur l'entourant, la faible lumière du croissant de lune éclairant la nuit, le crépitement des flammes la gardant au chaud, le craquement des branche au loin et tout près d'elle. Elle eu l'impression d'être observer. Elle avait passer l'âge de croire au monstre mais dans son isolement, un brin de paranoïa la gagna. Qu'est-ce que ce rideau noir peu bien cacher? Toutes ces branches qui craquèrent serait t'elles causer par des animaux sauvage ou des monstres se tapissant dans l'ombre avant de se jeter sur elle et de la dévorer?
Les heures passèrent et Alice pleurais son pays des merveilles. Elle pleurais, accroupis près de son petit feu, et maudissait ce stupide lapin qui lui avait menti. Elle était épuiser, désespérée et bien trop apeurer pour espérer fermer ne serait-ce qu'un œil. Ces amis devaient être terriblement inquiets, à moins qu'ils ne l'avait oublier.
Il devait être environs 3 heure du matin et la nuit d'automne était plutôt fraîche. Sur sa droite, elle entendit des craquements et vis des petits points jaune se déplacer dans l'obscurité. Elle se coucha en petite boule sur le côté, grisonnant de terreur en espérant que ces yeux jeunes la laisserait tranquille. Aux craquements s'ajoutèrent des cris incompréhensible qui glacèrent le sang de la pauvre fille. Le cris devinrent plus distinct, les yeux scintillant se rapprochèrent de plus en plus en elle reconnue enfin le crois de son nom.
Des sauveteurs!? Elle était sauver! Elle bondit sur ses pieds engourdies, mis ses mains en porte voix puis elle se mis à crier jusqu'à s'époumoner. Les lumières se dansaient dans sa direction et elle distinguais des silhouettes accourant vers elle. Elle courus vers eux en criant et en pleurant de soulagement. Elle sauta dans les bras de ses sauveteurs qui crièrent aux autres qu'il l'avait retrouver. L'une de ses amies s'accrocha à son coups et se mise à pleurer. Serrer l'une contrer l'autre, elles sortirent des ces bois terrifiant et se promirent de ne plus jamais commettre la même imprudence.
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