Pourquoi je suis ici? Comment suis-je arriver là? Pourquoi moi? Existe-t-il quelqu'un d'autre a l'extérieur de ces quartes mur? Tant de question qui demeurerons sans réponse, je dois arrêter de me tourmenter.

Parfois, je me sens seule. Seule. Moi qui as toujours vécus ainsi, puis-je dire que je ressent de la solitude si je n'ai jamais parler à quelqu'un d'autre que ma propre conscience? En réalité, ce n'est qu'un mot, comme la plupart des émotions. J'ignore d'où je connais ces mot pour la plupart dénuer de sens.
Je regarde autour de moi en observant mon monde.

Je vois mon bureau où quatre tiroirs dont chaqu'un transforme mon petite monde selon mes besoins. Je vois ma bibliothèque remplie de livre contenant des pages blanches. Je vois mon gros coussin vert pomme... Qu'est-ce que sa goûte une pomme? Je n'en ai jamais manger, je ne mange pas et je n'en ai pas besoin.

Assise sur mon lit, je contemple l'écran noir poser près de mes pieds qui me permet de modeler mon univers. Tout ce que j'y dessine appâter derrière les limite de mon monde. Je peux tout voir, mais je ne peux pas y aller. Pourquoi suis-je confiner dans un si petit espace? J'ai déjà essayer de dessiner quelqu'un en m'inspirant de mon reflet, mais contrairement à l'eau qui coule sans jamais s'arrêter, le personnage était immobile comme un arbre.

Un bruit sourd venant de ma droite me fis tomber de mon lit. Je me releva en me frottant la tête et n'arrêta net, pétrifier par la peur. Devant moi, de l'autre coter de mon lit et de la frontière se tenant une personne. La personne gigotait avec enthousiasme en agitant les bras et en sautant sur place. Je me frotta les yeux en reculant et cligna des yeux plusieurs fois, mais la personne était toujours là. Je la dévisageais alors qu'elle collait son front à la frontière en souriant et en fessant des gestes avec ses lèvres. C'est une fille au cheveux noir coupé cours et aux yeux verts. Je m'approche d'elle en enjambant mon lit et je posa une main sur la froide frontière. Elle posa sa main sur l'autre côté de la frontière au même endroit que la mienne. La frontière devin plus chaude et ma main sembla aspirer par elle. Je tenta de retirer ma main, mais des doigts traversèrent la parois de la frontière et m'agripper le poignet. C'était la fille. Elle m'attire vers elle et mon corps traversa la frontière.

Je sortis pour la première fois en dehors des quartes mur de la frontière, mais l'autre coter n'avais rien avoir avec ce que j'avais créée.
La fille n'est pas la, il fait très noir et j'ai chaud. Au lieu d'aspirer de l'air, mes poumons aspirèrent un substance rougeâtre ressemblant à de l'eau. La substance coula le long de mon corps et l'air pénétra enfin mes poumons. Je regarda autour de moi en tendant les bras et toucha une paroi vitreuse et circulaire. Je contracta mes muscle et poussa sur la vitre de toute mes forces. La fille qui était de l'autre coter de la frontière apparue, avec des vêtements différent, en courant vers moi. Elle s'arrêta devant la vitre et toucha une drôle de machine. C'est alors que le verre disparue et je tomba dans ses bras. J'étais tremper, j'avais désormais froid et j'étais complètement perdue et terrifier. Une sensation nouvelle me tiraillant le ventre et mes yeux me brûlait. Qu'est-ce que c'est que ça? Qu'est-ce qu'il m'arrive? Pour la première fois, je regretta le confort de mes quatre murs.