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Onzième page

Argh, avec quelques minutes de retard, voici le chapitre onze ! (il me manquait UN voeu, okay ? ;w; )

Bref, carillon ! Et bonne lecture !

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Par nostalgie -ou en raison de circonstance-, on s'est fait un moment flashback, avec Alya.

Sauf que ce fut un assez mauvais : elle s'est reconnectée à son Ladyblog.

Mais contrairement à ce qu'on pouvait imaginer, et à mes craintes, c'était amusant. En dehors des commentaires concernant Ladybug et Chat Noir, la voir critiquer son propre travail passé montrait à quel point elle avait évolué.

Madame Lahiffe n'est pas présentatrice télé, non. Alya, sa position de prédilection a toujours été le terrain, et ça n'étonnera jamais personne.

"Comment je pouvais utiliser un portable avec une aussi mauvais qualité d'image ?"

"La couleur du fond est trop flashy."

"Pourquoi personne n'a apprit à cette gamine comment cadrer au collège ?"

"Mais apprenez lui à parler !"

"Elle ne connaissait pas la subtilité ?"

Et enfin :

"Mais pourquoi tu m'as laissée poster ces vidéos, Marinette ?"

Par admiration ma belle, par admiration et respect pour ta passion.


Mon quatre-vingt-et-unième : "Parfois, il m'arrive d'avoir peur pour Alya. Elle ne craint rien cette femme. Toujours prête à foncer dans le tas, et à se jeter dans la gueule du loup.

Evidemment, elle a évolué physiquement. Elle sait parfaitement se défendre à présent. Mais nous savons tous que ce qu'il se passe dans "le monde" n'a rien de bien séduisant, ni sécurisant. Ça ne m'étonnerai franchement pas que cette rouquine aille fouiner là où ça ne la regarde pas.

Cependant, nous ne sommes pas dans un film. Et moi ? Qu'est-ce que je me fais ? Des films, pour ne rien changer.

Je n'oserai jamais le lui demander mais... est-ce par crainte du pire qu'elle et Nino n'ont pas d'enfant ?

Préserve toi du danger, Alya."

Et puis Nino. J'en parle peu, de Nino.

Nino semble avoir la forme, toujours fidèle à lui-même : souriant, prêt à mener l'ambiance. Comme Alya et moi, Nino et Adrien sont restés de bon ami, malgré les absences.

Aaaah... Je bloque. Je bloque, parce que je ne vois pas quoi dire d'autre de Nino. C'est quelqu'un qui m'est précieux, très franchement. Quelqu'un auquel je tiens, et pour lequel je...


Mon quatre-vingt-deuxième : "Je ne te souhaite que le bonheur, Nino. Je ne peux pas creuser plus loin dans ta vie. Je ne sais pas autant de chose sur les autres, que sur toi. Tu as toujours été là, et tu le seras toujours. Je l'espère.

Alors je n'ai rien d'autre à dire, Nino, mise à part : Sois heureux."

Je reste dubitative.

Dis-moi, cher lecteur. Dis-moi.

Si j'étais restée Ladybug, aurais-je pu me mêler de ce qui ne me regarde pas ? Je ne sais pas comment formuler cela autrement, mais maintenant que j'y réfléchis... Par le passé, je me comportais n'importe comment en super-héroïne. Comme si tout m'était permis.

C'était le cas, en soit. Il fallait que quelqu'un prenne les devant pour sauver la population, et que personne ne se mette sur son chemin.

Mon quatre-vingt-troisième :

"Hey, Chat.

Cela fait longtemps, n'est-ce pas ? Enfin, je veux dire... Ça faisait longtemps que je n'avais pas pensé à toi, ni même penser à trouver Tikki pour te revoir.

De toute manière tu n'es pas réapparu depuis la dernière fois.

Mais ce n'est pas pour nos souvenirs que je t'adresse un voeu.

Est-ce un voeu, d'ailleurs ? Je n'en sais trop rien. Je regrette simplement de ne pas avoir ta réponse à la question suivante, qui me torture l'esprit soudainement.

Nous aurions pu garder nos costumes pour protéger Paris de danger sans rapport avec les Miraculous, tu ne crois pas ? Ou alors Maître Fu aurait dû nommer de nouveaux héros dans ce but. En fait, je ne comprends pas comment il peut privilégier la sécurité des bijoux plutôt qu'à celle d'innocent. Du moins... C'est ce dont j'ai l'impression en tout cas.

Tu en sais plus que moi, chat ? Tu y as songé avant moi ?

Dans les circonstances actuels, je te vois mal ne pas avoir tenté de faire n'importe quoi. Petit boulet, sale matou que tu es.

Je me sens un peu inutile, dernièrement, à devoir regarder impuissante ce qu'il se passe dans notre monde, sans pour autant trouver comment changer les choses.

Ah, je crois avoir compris.

Il ne s'agit pas de se battre pour notre chère capitale. Il s'agit de se battre pour le monde entier.

Nous n'en sommes pas capable.


T'écrire à l'aveuglette me permet de remettre en ordre mes pensées.

Merci, chat."


Mais pourtant, malgré la situation, mes proches ne s'en sortent pas si mal. Ils relativisent, évitent les sujets embarrassant, et surtout : aucun d'entre eux ne se cloître chez-lui devant les infos, par expérience, sans doute.

C'est l'idéale, je dirai. De tourner la page, retrouver une vie stable, malgré les difficultés.

Les enfants ne peuvent pas comprendre. Les adultes ne savent pas si prendre.

En général.

Mon quatre-vingt-quatrième te concerne, Max.

"Cher Max,

Toujours aussi pointilleux et rigoureux. Toujours aussi précautionneux et préventif.

Maintenant, je suis certaine qu'ils vont vous prendre au sérieux, Markof_Kanté et toi.

Ne baissez surtout pas les bras, les amis."

"Et si je suis bien Ladybug avec ou sans mon masque, sache que Lady-Chance est avec toi."

Sauf que cette dernière phrase, je ne le rajoute pas. Ça ira très bien comme ça.

Aujourd'hui encore, la majorité de la population remet la faute de cette catastrophe sur le maire, ce qui n'est pas totalement incohérent. Il faut dire que Chloé avait pourtant tout fait pour le persuader. Mais entre la frayeur de la réalité et l'aveuglement volontaire, il n'y a qu'un seul pas.

... Aller, je range mon orgueil :

Mon quatre-vingt-cinquième te revient, Chloé Bourgeois.

"Chère Chloé, jamais je ne pourrais te cerner.

Un coup tu m'horripiles, un coup tu m'illumines. Quand est-ce que tu auras une place plus stable dans ma conscience, voir, mon coeur ?

Pour cette fois, personne ne te reprochera rien. Enfin, ce n'est cela qui t'empêcher de subir les répercussions.

Bon courage à toi.

Tu as mon respect, dans tous les cas."


Enfin. Assez parler de ce sujet.... "Embêtant".

Mon quatre-vingt-sixième est une simple et modeste note d'humour : "Le monde devrait planter des coquelicots, pas les écraser, ni même les brûler, et encore moins les exterminer."

Bon. Je préfère poursuivre sur des choses plus joyeuses, et profiter de mes derniers voeux pour faire des mises à jour dans mon testament. Ça ne fera de mal à personne.

Surtout toi, lecteur.

Mon quatre-vingt-septième :

"Adrien.

Pourquoi Nathaniel a l'hamster de mes rêves ?

Tu as intérêt à trouver une bonne justification, mon cher.

Cordialement.

Dupain-Cheng Marinette."

Ça, c'est fait.

Ensuite.

(Je me retiens d'éclater de rire. C'est affreux. )


Mon quatre-vingt-huitième :

"De nouveau à toi, Alix en solitaire.

Cela faisait longtemps qu'on ne s'était pas vu. En même temps, le Brésil, c'est loin. Personne ne pourra dire le contraire.

Visiblement, tu t'y plait. Mais tu parais te plaire n'importe où. Je suppose que du moment que tu n'as pas l'air de te lasser, c'est bon signe.

Alors amuse-toi Alix. Eclate-toi. On s'en fou de l'âge, hein ?

Santé !"


Et surtout à cause des derniers évènements, j'imagine pas comment ça a dû être compliqué pour elle de revenir à Paris.

Enfin bref : je veux changer de sujet

Mon quatre-vingt-neuvième : "Cher Kim, chère Rose,

Félicitations pour votre mariage. Ça aura mit du temps, mais ça aura abouti.

Prenez soin de vous."


Malgré toutes ces années passées, nous restons toujours ensemble, unis. Ils forment une classe lambda du collège Françoise-Dupont.

Ils sont d'anciens akumatisés, avec le fils du Papillon.

Une classe entièrement décimés par les désires de l'ennemi.

Mais moi, pourquoi suis-je autant accrochée à eux ? Peut-être parce que je les ai énormément  protégé en temps que Ladybug, jour après jour, et je ne m'en plains pas. Ils étaient toujours là, par malchance ou autre.

Je les ai peut-être un peu entraîné dans mon "quotidien surnaturel". Oui, sans doute. J'ai une part de responsabilité là dedans. Mon cher beau-père avait peut-être plus de pistes qu'il n'y parait concernant l'identité de l'héroïne dont Paris avait besoin.

Je vais encore parler d'eux, de mes amis. Camarades. Proches. Je vais poursuivre, comme ils m'ont poursuivi.

Nous sommes la classe de révolutionnaire qui aura le plus apprit durant le règne du Papillon.


~~~~~~~~~~~~~~~


Et nous voilà avec huit voeux ! (donc à dans 8 jours.)

Ça sent la fin, hein ?

Et bien vous verrez. Je vous solliciterai certainement en commentaire.

En attendant, mise à part les collaboration avec ma chère Orphée (Ophélia-Agreste) je ne saurais pas quoi écrire après Testament... 

Vous voulez bien m'aiguiser ? Entre de la romance, du sérieux et de l'historique... Vous pencheriez sur quoi (salut, je sais super bien définir un genre d'histoire ! //SBAFF//)


Aller, à peluche !

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