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N°14 { Troubled futur }

Jusqu'à ce jour, la salle du trône n'a jamais paru aussi austère. Gaster est le mieux placé pour le certifier, s'y étant rendu de nombreuses fois par le passé. Mais cette atmosphère ne le surprend guère. Les évènements survenus plus tôt ont ébranlé la plupart des monstres, même Asgore qui se force pourtant à garder la tête haute face au scientifique... mais également face à Toriel, dont la mine inquiète lui serre le cœur.

« ... Frisk est inconsolable ... souffle-t-elle. Dès le RESET survenu, il s'est recroquevillé dans un coin de sa chambre en hurlant ... Je l'ai confié à Asriel en espérant que sa peine puisse se tarir ...

- ... Quand est-il de Chara ? interroge le roi.

- ... Il n'était plus dans sa chambre ... et personne à Snowdine n'a pu me renseigner. »

Gaster garde les yeux rivés vers le sol, sa propre âme lui donnant une impression de lourdeur étouffante. Si seulement il avait été là ... s'il avait pu être là, s'il ... s'il avait réalisé plus tôt le danger que représentait Aggro.

Il serre les poings, la rage et la culpabilité lui nouant la gorge. Lorsque Sans est venu le trouver après le RESET pour lui apprendre la situation, le scientifique a été incapable de réagir. Incapable de réfléchir à une solution convenable, à une réaction adéquate à avoir. Car dès l'instant où il a saisi que Aggro avait été tué, peu importe à quel point il était mauvais, il a su que Frisk ne s'en remettrait pas. Et le simple fait d'imaginer le jeune humain complètement détruit ... l'a ravagé.

« ... Gaster ... »

Il sursaute en sentant une main sur son épaule, relève la tête avec surprise pour s'apercevoir que Asgore s'est approché et le fixe avec inquiétude :

« Mon ami... Est-ce que ça va aller ? Veux-tu prendre du repos avant de continuer ? »

Le scientifique secoue doucement le crâne :

« Non ... Ce n'est certainement pas le moment. Si vous et Toriel prenez des mesures pour le royaume, je ne veux pas être tenu à l'écart.

- ... Je comprends. »

Asgore retire sa main et reprend un air sévère :

« Notre priorité ne change pas. Nous devons absolument mettre au point la sauvegarde. Nous ne pouvons nous permettre que quelqu'un d'autre soit ainsi supprimé. Cette fois ce fut Aggro, mais la prochaine fois cela concernera peut-être l'un de nous.

- ... Je dois donc me consacrer uniquement à cela ? demande Gaster.

- S'il te plait. Ta jeune amie, Alphys, t'assisteras.

- Je n'ai pas bes...

- C'est un ordre Gaster. Tu mets ta santé en puéril autrement. Sans pourra également t'épauler.»

Le scientifique détourne le regard tout en se frottant le bras nerveusement, n'aimant que peu recevoir de telles directives. Contraint d'accepter, il préfère ne pas s'y attarder davantage et s'empresse de changer de sujet :

« Concernant Chara, que faisons-nous ? Devons-nous partir à sa recherche ?

- J'ai déjà chargé la garde royale de le retrouver, répond le roi.

- Et ensuite ? Avez-vous prévu ... de le réprimander ? »

Toriel se tend, vient à fixer son mari qui garde la tête haute. Il a déjà pris sa décision, elle le sent, et elle sait déjà que cela ne va pas lui plaire :

« Il avait interdiction de RESET et donc de tuer. Il a bravé ces deux interdits. Je ne vois nulle option que de bloquer son pouvoir et l'enfermer un certain temps.

- Bloquer son pouvoir ?! s'exclame Gaster. Vous voulez dire ... Mais nous ne savons même pas s'ils sont au point ! »

La reine se crispe davantage, fait un pas fébrile :

« De quoi parlez-vous ? Comment pourriez-vous bloquer le RESET ? »

Les deux hommes échangent un regard. Le scientifique se révèle hésitant, nerveux même, et son regard se fait une nouvelle fois fuyant :

« ... Lors de mes recherches sur le RESET et la SAUVEGARDE, j'ai ... j'ai travaillé sur un prototype de substance, qui peut altérer la détermination, et donc le RESET ...

- ... Quoi ... ?

- Toriel, ce n'est pas... c'est juste une mesure de sécurité.

- Sécurité contre quoi ? Contre Frisk et Chara ?! Contre MES enfants ?! »

Gaster tressaille. Il ne se souvient pas de la dernière fois où sa vieille amie s'est énervée. Elle qui a toujours été si douce, si calme ... la voilà qui hausse brusquement le ton, le regard empli de colère. D'ailleurs se tourne-t-elle vivement vers Asgore, les poings serrés :

« Comment as-tu pu mettre cela en place ?! Ils sont également tes fils, au même titre que Asriel !

- Asriel n'a pas de détermination, répond le roi qui ne se laisse pas démonter.

- Mais s'il en avait, tu n'aurais pas créé ce mécanisme ! Tu as toujours eu davantage confiance en lui ! Tu as toujours refusé d'admettre que Frisk et Chara étaient tes enf... ! »

Le poing de Asgore frappe brutalement le trône, fait taire Toriel dans l'immédiat :

« ... Comment ose-tu ... ? gronde-t-il. J'aime Chara et Frisk ! Ce sont également mes fils ! Mais je n'ai pas le loisir de laisser passer leurs enfantillages ! Pas lorsque j'ai tout un peuple à m'occuper ! Et penses-tu que cela me fasse plaisir de restreindre leurs capacités ? Chara s'est révélé dangereux de nombreuses fois, et le dernier RESET est de trop ! Bon sang Toriel ... Il m'a tué ! Et s'il n'y avait pas eu Aggro, il aurait sûrement entrepris un génocide sans le moindre RESET ! Crois-tu que je puisse laisser passer cela ?! »

La jeune femme hoquète, retenant misérablement un sanglot de rage. Elle fusille son mari du regard et celui-ci fait de même. La lourdeur de l'ambiance pousse Gaster à reculer d'un pas, se sentant de trop dans ce conflit. Pourtant, Asgore s'adresse de nouveau à lui :

« ... Concentre toi sur la sauvegarde, mon ami. Nous parlerons du reste plus tard. »

Voyant là une autorisation à disposer, le scientifique fait une révérence avant de se téléporter, laissant le couple seul dans la pièce.

« Toriel. »

La reine se prépare à subir une morale vertigineuse, voit déjà une réelle dispute éclater entre eux. Mais sa rage s'écroule lorsqu'elle voit son mari se laisser tomber sur son trône, passer une main sur son visage pour dissimuler la soudaine faiblesse qui l'a saisi :

« ... Tori ... puisses-tu pardonner ma terreur, je t'en supplie ... »

Elle écarquille les yeux, perdue, s'avance pour s'agenouiller près de lui et glisser une main sur son genou :

« ... Que veux-tu dire ?

- ... C'est la première fois que je me fais tuer ... »

La reine se pétrifie, porte une main à sa bouche sous le choc. Oui ... Oui c'est vrai ! Chara n'est jamais parvenu à vaincre Sans, n'a donc jamais pu atteindre Asgore. Et soudain elle réalise à quel point son mari a dû être terrifié. Terrifié de mourir si subitement alors qu'il a encore tant de choses à faire, terrifier de disparaitre définitivement. Terrifier de ressentir une telle douleur, de sentir son être disparaitre en un vulgaire amas de poussière. Terrifier de mourir, tout simplement.

« ... Mon dieu... Oh, Asgore ... »

Elle se redresse, vient l'enlacer avec toute sa douceur, le sent trembler dans ses bras.

« ... Mon amour ... je suis désolée, je suis tellement désolée ... chuchote-t-elle en caressant doucement ses cheveux. Ma première mort remonte à si loin... j'en avais oublié que tu n'avais pas subit cette expérience ... »

A présent elle comprend mieux ses mesures extrêmes.

« ... Je comprends ta peur ... Mais je pense que tu dois te calmer avant d'entreprendre quoique ce soit avec Chara. Retrouvons le dans un premier temps ... ensuite nous verrons...

- ... Toriel ... Comment fais-tu pour ne pas être si terrifiée ? »

Elle lui offre un délicat sourire :

« J'ai un mari qui s'entête à assumer toutes les responsabilités ... Je n'ai donc pas l'excuse de crouler sous le stress. »

Elle finit par lui déposer un baiser, tendre et délicat, qui le ravit et calme ses tremblements.

*** ***

Le silence pesant des ruines, de ces lieux désertés, fuis par tous les monstres. Ce lieu emplis de souvenir, d'horribles cauchemars. Hors du temps, de l'espace. Obscure, silencieux, toujours plus silencieux ...

Ces lieux inhabités, invivables, où l'air est si lourd que l'oxygène manque à chaque pas.

Il ne sait pourquoi il s'y est rendu. Ses pas l'ont mené jusqu'ici sans qu'il ne réfléchisse. Chara ne réfléchit que peut lorsqu'il va mal, vraiment mal. Il a juste cette sensation d'étouffer, d'être plongé dans ne semi-conscience dont il ne peut s'extirper.

Seul ses pas résonnent dans les couloirs caverneux.

Il s'enfonce toujours plus loin dans les vestiges du passé. Plus il approche, plus il sent un courant d'air soulever légèrement son manteau, ses cheveux.

Il s'arrête. Il est arrivé au bout des ruines, au fin fond de l'Underground. Le seul endroit pourvu d'une lumière naturelle, la lumière du soleil, si l'on excepte le hall du jugement.

Chara reste figé, muet, alors que son regard caresse le tapis de fleurs dorées qui s'étend au centre de la pièce. Les rayons du soleil couvrent les pétales délicatement, révèlent les particules de poussières qui volent ici et là.

« Tu connais cette légende, Chara ? »

Il reprend le contrôle de son corps, suffisamment pour s'approcher à nouveau, dépasser les piliers de marbres qui entourent la flore et s'élèvent jusqu'au plafond.

Chara lève les yeux, aperçoit le trou, l'unique passage entre la surface et le monde souterrain.

Il se laisse tomber, s'écroule dans les fleurs, roule sur le dos et reste ainsi allongé, à fixer le ciel bleuté au-dessus de lui.

« ... Si proche ... Si loin... »

Il tend la main au-dessus de lui, comme s'il pouvait saisir la liberté aussi simplement. Mais quelle liberté ? Qu'est-ce que la liberté ?

Il laisse retomber sa main.

Dans les ombres, dissimulé dans un coin de la salle, Sans est appuyé contre le mur, à grignoter une sucette sans lâcher l'humain des yeux.

« ... C'est mon coin. » commente le squelette, sans pour autant faire un reproche.

Chara le sait. Mais il avait besoin de venir.

« ... Sans, tu crois que ... Le Reset est mal ?

- ... En l'occurrence, il a permis de sauver ton frère. »

Le squelette quitte les ombres pour s'approcher de l'amas de fleur, son regard continuant de scruter les gestes de son jeune ami. Chara ne parait pas convaincu, fixe toujours le ciel comme s'il attendait un signe, une révélation :

« ... Sauver Frisk ... Mais il a pris à jamais la vie de quelqu'un. Crois-tu que le Reset puisse un jour se retourner contre nous ?

- ... De quelle manière le ferait-il ?

- ... Si un jour il vient, par exemple, à buguer ... et qu'on oublie tous nos précédents Resets ? Qu'à chaque nouvelle timeline, on oublie les précédents ? »

Sans lève à son tour les yeux vers l'unique ouverture. A dire vrai, il s'est déjà posé la question par le passé. Mais ...

« Qu'est-ce qu'on pourrait y faire ? »

Chara le regarde avec surprise :

« Comment ça... ?

- Si on oublie tout... on n'aura jamais conscience que le RESET à causé cela. Nos souvenirs ne pourront pas nous manquer, puisque nous les aurons oubliés. Donc s'inquiéter pour cela, je pense que c'est inutile. Surtout que ça n'arrivera peut-être jamais.

- ... Tu ne t'inquiètes pas assez.

- Et toi tu t'inquiètes trop. »

Chara pouffe, se laisse enfin aller à un de ses habituels sourire :

« Ahah... ouai, peut être bien.

- ... C'est pas tant le Reset qui t'inquiète, n'est-ce pas ? »

L'humain se redresse en soupirant, ramène ses jambes contre lui alors qu'il perd de nouveau le sourire, le cœur serré. Le squelette se laisse tomber à côté de lui et vient doucement lui ébouriffer les cheveux.

« ... C'est ton frère, hein ? ... Tu as fait ce qu'il fallait faire. Si tu n'avais pas Reset, c'est moi qui me serais chargé de tuer Aggro.

- ... Je suis... partagé. Je ne sais pas comment prendre cette... cette mort. Nous on est 'immortel', on s'en fou de crever... on a l'habitude de revivre. Mais Aggro... il ne revivra pas. »

L'humain se laisse aller contre le squelette, fourrant son nez dans son cou, à la recherche d'une plus grande proximité :

« ... Frisk ne s'en remettra jamais... il aimait vraiment ce satané gosse...

- ... On fera de notre mieux pour le soutenir, ne t'en fais pas. Au pire je lui ferais des vannes sur le papier.

- ... Pourquoi des vannes sur le papier ?

- Parce qu'elles déchirent. »

Chara relève la tête, halluciné, avant de lui foutre un coup de coude :

« Enfoiré, t'ose plaisanter dans cette situation ? accuse-t-il en souriant malgré lui.

- Eheh, je plaide coupable ! Faut dire que je suis un As en la matière ~

- L'As de trèfle qui pique mon cœur ?

- Belle ref, je t'accorde un point.

- Faut dire que j'ai joué carte sur table ~ »

Le squelette rit franchement, entrainant son camarade dans son hilarité, avec cette douce chaleur qui les prend tous deux à l'âme. Ça faisait un moment qu'ils n'avaient pas ri comme ça !

Collés, presque enlacés, ils échangent leurs fameux sourires pleins de complicité alors que Sans se penche imperceptiblement, l'esprit paisible en cet instant. Il est hypnotisé par les iris carmin de son camarade et se dit que, peut-être, rien que pour cette fois, il peut accepter de se laisser.

Il peut accepter de répondre à ses sentiments.

Ses dents viennent chercher les lèvres rosées. Il perçoit le sursaut de Chara, son ébahissement, et cela lui arrache un sourire. Il approfondit le contact, laisse ses mains venir glisser jusqu'aux hanche du plus jeune et les saisir, de façon à le tenir en place, à avoir une meilleure accroche tandis qu'il se montre plus véhément, laissant sa langue sortir et quémander un accès supérieur.

Chara ferme les yeux, le cœur battant à tout rompre, son visage devenu plus rouge que ne l'est son âme. Il entrouvre timidement les lèvres, ses mains tremblantes s'accrochant de plus en plus fort au sweat de peur de perdre pied, avant de glapir quand la langue du plus âgé s'immisce dans sa bouche et vient taquiner sa consœur.

Sans continue de l'embrasser, fait durer l'instant tout en savourant du regard son visage gêné. Il se trouve happé par cette vision, ses sensations qui le rendent si étrange, qui lui provoque quelques frissons. Il ferme les yeux à son tour, les bruits mouillées de leur échange emplissant les ruines si silencieuses.

Ils se collent davantage, toujours plus, comme si ce n'était jamais assez. Pris dans leur transe, ils ne réalisent pas comme leurs âmes se sont régularisées au rythme de l'autre, battant à présent à un rythme similaire, rapide, intense. Leurs âmes qui se matérialisent peu à peu, se rapprochent, viennent à se frôler et s'illuminer, puis lentement, très lentement se mêler.

« QU ?! »

Ils hoquètent, s'écartent brutalement, les yeux écarquillés. Leurs âmes reviennent en eux sans qu'ils n'aient le temps de voir grand-chose, mais ils ont clairement senti que quelque chose se produisait, quelque chose dont ils ne connaissent rien.

« ... C-Cette sensation... bégaie Chara. Qu'est-ce que c'était... ?

- ... Je ... »

Sans se passe une main sur le visage, terriblement confus :

« ... Je n'en sais rien. » avoue-t-il à contre cœur.

Et cela l'effraie. Cela l'effraie car cette sensation si étrange lui à donner l'impression d'être lié à Chara. Lié par quelque chose de trop puissant pour être maitrisé.

*** ***

Les fioles s'entrechoquent doucement. Gaster en fixe le contenu, le regard terne, incapable d'être pleinement concentré dans ses recherches. Il repose les solutions et s'appuie sur le bureau dans un soupir las, avant de serrer les poings.

Il n'arrivera à rien ainsi.

Il a besoin de voir Frisk, de s'assurer de son état.

Il peste, fait volteface et retire sa blouse, la jetant sur la première chaise venue avant de quitter son laboratoire, pressant le pas dès lors qu'il se retrouve dehors, dans la neige de Snowdine. Ses pas crissent sur la poudreuse, il n'y prend nullement garde.

Il appréhende, il appréhende depuis des heures de voir son jeune ami, il appréhende de le voir détruit, désespéré.

Mais la simple idée que Frisk puisse se trouver en larme lui tord l'âme.

Il parvient à la maison et toque doucement sans recevoir la moindre réponse. Il se doute que Toriel n'a pas encore dû rentrer, mais il devine que Asriel doit se trouver là pour veiller sur son grand frère. Malgré sa gêne de rentrer sans permission, il finit par pénétrer l'endroit et jette un rapide coup d'œil aux alentours, avant d'entendre du bruit à l'étage.

Il reconnait la voix du jeune prince et monte sans attendre, n'osant pas faire part de sa présence. Il gagne ce qu'il sait être la chambre de Frisk et s'arrête en percevant la porte entrebâillée. Il y jette un discret coup d'œil, pour recevoir tel un coup de poignard dans l'estomac.

Frisk est là, recroquevillé sur son lit, lover contre Asriel qui essaie de calmer sa crise de larmes. L'humain à les joues trempées, la voix détruite par des sanglots qui ne s'arrêtent plus.

Gaster est pris de vertige, recule, serre les dents.

Merde... Merde... !

Il ferme les yeux, pourfendu par ces sentiments glaçants que sont la colère, la culpabilité, la peur, l'inquiétude. Il est cloué sur place, ne peut pas ne serait-ce que montrer qu'il est ici. Il est incapable d'aller enlacer Frisk comme il aurait aimé le faire, incapable de le réconforter, de le soutenir.

Encore aurait-il fallu qu'il sache se soutenir lui-même pour soutenir autrui.

Sa gorge se noue, il se mord la langue.

Il ne sait pas s'occuper des autres. Il n'a pas pu s'occuper convenablement de ses enfants, ne peut pas s'occuper de Frisk. Il ne peut s'occuper de personne, il n'en a pas les compétences, peut importe à quel point il essaie.

Son œil droit s'illumine de bleu, il se téléporte à nouveau chez lui, dans son salon, et se laisse tomber dans le canapé, se prenant le crâne entre les mains.

« ... Je refais les mêmes erreurs, encore et toujours... ! »

Il ne peut plus laisser cela arriver. Il ne peut plus laisser ceux qu'il aime être ainsi blessé. Il ne peut plus lier quiconque à ses expériences. D'abord Sans, puis Frisk ... Sans parler de Papyrus qu'il a délaissé, et de ... ce qu'il a fait.

« ... Tch... »

Il se redresse froidement, les arcades froncées. Non, il ne laissera plus de telles erreurs arriver.

Il en va du destin des monstres.

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