Chapitre 6 : Départ
La jeune femme s'endormit dix minutes après, dos à Legolas qui resta allongé sans dormir en attendant ses amis. Environs deux heures après la porte s'ouvrit sur Aragorn, les Hobbits ainsi que Gandalf. L'elfe se leva pour les saluer. Il remarqua le fais que le magicien avait remarqué la demoiselle endormit dans son lit mais aucun des deux ne dit quoi que ce soit.
Les autres allèrent se coucher sans même lever les yeux vers le lit de l'elfe. Éniline avait vaguement entendu l'arrivée de l'équipe et avait sentit l'elfe se lever mais elle s'était rendormi immédiatement.
Le lendemain elle ouvrit les yeux avant que l'aube ne le fasse. Les souvenirs de ces deux derniers jours lui revinrent en mémoire et elle ne bougea pas d'un cil pour éviter de réveiller l'elfe à ses côtés ou quiconque dans la chambre. Mais elle entendit une voie mélodieuse lui chuchoter :
"_Déjà réveillée ?
_Visiblement. répondit la jeune femme en se tournant vers le jeune elfe
_Mauvaise nuit ?
_Non, bien au contraire, je ne pense même pas les avoir entendu arriver.
_Tans mieux j'ai crains de te réveiller en allant les saluer.
_Et bien je dormais et je n'ai rien entendu ou senti.
_Nous devrions nous lever et sortir avant de les réveiller. Rien n'est plus dangereux qu'un nain que l'on tire de son sommeil car l'on parle.
_Je te suis."
Les deux amis sortirent sans un bruit et ils partirent à la bibliothèque. En entrant ils virent Thranduil, un livre ouvert dans les mains, assit dans un des fauteuils près de la cheminée.
"_Bonjour père.
_Bonjour Legolas.
_Bonjour... salua Éniline sans savoir comment appeler l'elfe assit
_Bonjour."
À la grande surprise de la blonde son ton était plus doux que la veille. Elle se dit qu'il était mal réveillé et qu'il ne l'avait pas reconnu.
"_Vous êtes bien matinaux. Que venez vous faire ici ?
_Lire. répondirent-ils d'une même voix comme si c'était une évidence
_Nous n'avons que peut de livre en langage commun...
_Je préviendrais ceux qui ne parle pas elfique. promis la jeune femme
_On vous a appris l'elfique dans votre monde ? s'étonna le roi des elfes silverstre
_Non, bien sûr que non puisque dans mon monde les elfes n'existe pas. J'ai appris seule."
Et les deux plus jeunes allèrent chercher un livre en laissant le roi des elfes perplexe. Mais il se ressaisi et reposa les yeux sur le livre qu'il lisait. Mais il repoussa quelque peu sa lecture en voyant son fils chercher un livre que, visiblement, il ne trouvait pas.
"_Quel livre cherches-tu ?
_Celui sur les légendes anciennes.
_Celui que j'ai dans les mains donc.
_Ah ! C'est pour cela que je ne le trouvais pas !
_C'était pour une légende en particulier ?
_Non, non, je le lirais une autre fois."
Le prince prit un autre livre et en conseilla un à la demoiselle. Alors que chacun lisait la porte s'ouvrit sur le reste de la communauté plus ou moins bien réveillée. Les trois personnes qui étaient déjà là se levèrent et ils partirent tous petit déjeuner. Lorsque chacun fut suffisamment éveillé pour comprendre ce qui était dit Thranduil annonça :
"_Dans deux heures nous quittons tous le château. Nous devons gagner la montagne solitaire dans les plus brefs délais pour les avertir que ce qu'il c'est passé hier.
_Qu'avons-nous loupé qui mérite que le peuple elfique se déplace jusqu'à un royaume nain ? demanda Aragorn
_Les Orcs ont lancé un assaut en début d'après midi... commença Éniline
_Pour protéger les femmes et les enfants, j'ai conseillé des les envoyer vers la montagne solitaire. continua Gimli
_Seulement la bataille s'est terminée avant qu'ils ne partent. Mais nous avons pris la décision de partir pour d'une part avertir les nains que les Orcs ne craigne plus d'attaquer directement des royaumes et aussi pour un minimum protéger ceux ne pouvant ce battre. acheva Legolas
_Pendant que l'on parle de ça, c'est mes bouquins qui raconte n'importe quoi ou l'armée elfique est composé d'elfes aussi bien masculin que féminin ? interrogea Éniline
_Non, c'est vrai. affirma Thranduil
_Alors pourquoi avoir écarté les femmes hier... Et, accessoirement, pourquoi m'avoir demandé de les rejoindre. Une femme qui se bat n'est pas si étrange...
_Certe mais hier nous ignorions : le nombres, l'armement, des ennemis et donc le risque de mort potentiel de nos soldats... Donc par précaution les femmes reste au près des enfants. Mais je ne dénigre en rien leurs aptitudes au combat. Nombre de femmes sont bien plus forte que les hommes. expliqua le roi
_À commencer par celle qui se trouve à la table. dit le nain
_Merci, au faite combien d'Orcs en moins par le fer de ta hache ?
_138 ! répondit l'intéressé et on entend dit Legolas retenir un rire
_Et toi mon fils, qui semble bien rire, combien d'Orcs as-tu tué ? questionna Thranduil
_197. dit simplement l'elfe pour le plus grand malheur du nain
_Je n'étais pas loin ! Mais la prochaine fois je l'emporterait ! déclara-t-il convaincu mais pas vraiment convainquant
_Et toi jeune fille, combien d'Orcs à ton tableau de chasse ? demanda Aragorn ignorant le prénom de la jeune femme assise en face de lui
_Ça n'est pas important mais... 237.
_Je comprends mieux ce que Gimli disait il y a un instant ! fit le roi des hommes impressionné
_Excusez ma question mais... Qui êtes-vous ? demanda Pippin au grand dam des trois autres Hobbits
_Je suis la jeune femme que Gandalf a fait venir d'un autre monde, pour une raison qu'il est le seul à connaître mais cela l'amuse. Je me nomme Éniline.
_Enchanté ! répondirent tous ceux ne l'aillant pas rencontré la veille"
Deux heures plus tard ils étaient sur des chevaux menant le peuple elfique vers la montagne solitaire. Éniline chevauchait seule tout comme Thranduil, Aragorn partageait sa selle avec Merry, Legolas avec Gimli, Gandalf avec Pippin, Frôdo et Sam était sur un poney.
Ils discutaient de tous et de rien mais la discussion était énormément basé sur Éniline qui venait de les rejoindre. Les questions pleuvaient mais elle était ravis d'y répondre et son sourire ne semblait pas prêt de s'effacer et elle ne semblait pas prête à se lasser de répondre.
"_Et dans ton monde les animaux sont même qu'ici ? interrogea Pippin qui en était à sa septième question d'affilé
_Pour la plus part. Par chance nous n'avons pas de Wargs mais nous n'avons pas non plus d'animaux que l'on peut qualifier de magique.
_Mais, vous avez de la magie ?
_Non... Et c'est mon plus grand malheur. Les seuls "magiciens" que nous avons son enfaite des illusionnistes. Alors cela peu être parfois très impressionnant mais il y a toujours un fonctionnement technique derrière les tours.
_Tu devrais peut-être arrêter un peu tes questions Pippin. s'écria Merry en voyant son cousin ouvrir la bouche
_Moi une chose m'échappe... Si la magie n'existe pas, que seul les hommes existes... Comment as-tu pu apprendre l'elfique ou ne serais-ce que connaître notre existence ? demanda Frôdo
_Par les livres. Chez moi les récits de vos aventures que toi et Bilbo avaient écrit à la fin de vos voyages son des œuvres de fictions écrites par John Ronald Reuel Tolkien ou J.R.R. Tolkien, c'est plus court à prononcer et à écrire. Et il a également écrit un livre pour apprendre l'elfique.
_Je vois... Maintenant la question est comment savait-il ?
_Cette fois je ne peux répondre et lui non plus malheureusement... Il est décédé...
_C'est le principe d'une vie. philosopha Gandalf
_En effet. Mais je regrette d'être née trop tard pour avoir pu le rencontrer. Même les parents n'étaient pas nés à ce moment, ma mère est née l'année suivante et mon père un an après ma mère.
_Il est mort il y a combien de temps pour vous ? demanda Merry
_Laisse moi deux secondes le temps de calculer... 2020-1973... 47, ça va faire 47 ans.
_Ça n'est pas si lointain. dit Thranduil
_Quand on est un elfe peut-être...
_Quand on est un homme non plus. sourit Aragorn
_Ah oui, pour les descendants de Numénor. Pour les autres c'est un peu moins long l'existence...
_C'est... C'est vrai... capitula Aragorn prit au dépourvu par les connaissances de la demoiselle"
Ils continuèrent à parler un de tout et de rien et le sujet s'étendit à un peu toute la Terre du Milieu. Le voyage était loin d'être triste et morose. Même Thranduil eu un sourire se qui est particulièrement rare, pendant une fraction de seconde la blonde cru qu'elle avait rêvé.
À suivre...
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro