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CHAPITRE 1

1985, Amérique Boston

Je n'ose pas lever le regard que celui ci reste figé sur le bouquet de muguet que je tient dans ma main droite, rien qu'à la vu de ces fleurs, d'innombrables souvenirs me reviennent en mémoire et me rappel la raison pour laquel j'ai choisi ces fleurs et non d'autres.

Lorsque j'allais au cinéma et que je voyait la scène où le protagoniste se rendait à la tombe de son ami, qu'il s'exprimait à voix haute je me suis demandée si c'était réaliste et si le jour où ce malheur m'arrivera, je parlerais à voix haute tout comme lui, à présent il me semble que j'ai ma réponse. Me voici en face du corps plongé sous terre d'une personne que j'affectionne particulièrement et aucun mot n'ose sortir de ma bouche, même si j'aimerais me confier ou délivrer mes pensées aucun son ne sort comme ci j'étais devenu muette.

Sauf que malheureusement la simple idée de me dire que je ne reverrais plus son beau sourire rayonnant, ses yeux aussi bleu que l'océan et caresser de ma main ses cheveux châtain me manque. Même le terme "manquer" n'est pas assez fort pour désigner ce que je ressent, il s'agit d'un sentiment encore pire tel que la colère, l'impuissance. J'ajouterais encore en ce qui me concerne, sans elle ce n'est pas un monde où je mérite de rester. Je souhaite me cacher, payer pour ce que j'ai fait et que l'ont m'envoie loin d'ici !

J'aimerais lui dire que je m'en veut, que je l'aime plus que tout et qu'elle ne mérite tellement pas mon amour, que si ça serait possible je voudrais échanger ma vie contre la sienne au moins pour qu'elle puisse vivre une vie normale sans douleur et sans peur. Me concernant, j'en ai beaucoup trop vu pour encore resté ici à ne rien faire face à elle.

Cette douleur qui étrangle mon cœur oblige mes jambes à relâcher prises, rapidement elle me lâches et je finis à quatre pattes, la mains sur le cœur en le serrant le plus possible et à verser de chaudes larmes au dessus de cette pierre tombale. Je me rappel de l'odeur sucré qu'elle dégageait et me tord encore plus à l'idée qu'à présent elle n'est plus.

La terre ne m'a rien fait et pourtant c'est elle que je cogne tellement je m'imagine à sa place et tellement je voudrais me frapper jusqu'à ce que la douleur que je ressent cesse enfin. De jeunes adolescents se baladent par ici et doivent certainement observer la vielle folle que je suis à me frotter au sol. Je ne m'excuse pas, tellement mes regrets sont immenses.

En détachant ma prise du bouquet de fleurs je lève ma main sur la pierre tombale et effleure chaque creux et profondeurs lisant ainsi ce qui y est écrit pour la centième fois comme s'y prendrait un aveugle pour lire le braille. Connaissant par cœur et par habitude je devine les informations peu nombreuses et nécessaire de la pierre à savoir

"Kalen Mackinsey
14.05.1873-27.11.1881"

Je ne me concentre même pas sur ma chaleur corporel qui est descendu si bas tellement il fait froid malgré le fait qu'on soit en printemps. Le vent du nord se met enfin à pointer le bout de son nez mais malgré cette forte tempête je n'ose pas bouger. La terre qui était sèche il y a de cela maintenant 5 minutes se trouve à présent gluante et boueuse, mes cheveux me collent à présent à la peau, mon pantalon me serre encore plus et ma veste de bureau tombe contre mon corps. J'évacue du revers de la main la pluie qui s'est mélangé à mes larmes.

- Quel temps de merde ! Murmurait je à moi même, je me retrouve coincée ici inutile, impuissante et complètement crétine.

Que le ciel me pardonne si je fait fausse route mais j'ai comme l'impression que cette pluie tombe à pique, une tempête comme celle ci devrait tomber lors d'un jours plus triste que celui ci comme par exemple le jour de son enterrement ou sans aucune logique tout était magnifique, rayonnant, lumineux, éclatant et parfaitement fonctionnel et adorable à la fois. Tel est la version d'un ami à moi qui trouvait que ce jour correspondait parfaitement à l'événement, même si le soleil était chaud et appétissant moi je voyais les choses de manière sombre et glaciale.

Me rendant compte à quel point les choses tournent à mon désavantage j'en vient presque à croire que quelqu'un tourne sens cesse autour de moi à courir après mes malheureures, à coordonnées le temps en fonction des événements et à saisir le moment opportun pour me montrer à quel point il se vente et se réjouis de mon malheur.

J'arrive presque à admettre cette idée et le provoque de venir me défier et d'en finir avec tout ce que j'endure. Prise de colère je cogne une nouvelle fois le sol boueux qui se met à gicler sur mon visage, par réflexe je ferme les yeux ayant pour impression que quelque chose s'y est glissé et ce n'est que lorsque je les rouvre, en visionnant mes mains recouvertes de gadoue qu'un souvenirs lointain me traverse.

1868, au Far West

Dès que je dépose le dernier verre commandé sur la table demandé j'en arrive à vider mes deux plateaux, je jette un coup d'œil en direction du bar là où Billy, mon supérieur qui est à la fois gérant et barman, me fait signe disant qu'il doit s'absenter et que je me doit de prendre sa place, il sort par la porte de derrière. Je ne sais pas pour quel raison il décide de partir mais ce doit être urgent sinon il ne me laisserai pas seule au service à gérer autant de clients, tous sont déshydratés, ci cette auberge n'était pas là je me demande comment ils feraient tous.

Dès que je le peux, je passe voir chaque clients pour prendre leur commande, ensuite je dépose avant tout les plateaux que m'a préparé Billy avant de me quitter, sur le chemin, certains me demandent un verre en plus ou impatientent. Je m'excuse mais j'aimerais bien les voir galerer à ma place, même s'ils m'énervent je dois garder mon self contrôle après tout ça ne fait pas longtemps encore que je travaille ici et je suis payé pour bosser et vivre avec un toit au dessus de ma tête. De plus je ne dois pas oublier qui je suis, et qui ils sont car un faux pas de ma part et tout est fichue.

En préparant les verres d'alcool je dois aussi faire la vaisselle lorsque j'en ai l'occasion, ce que je n'ai pas souvent mais tente de me débrouiller. Dernière le bar à essuyer a l'aide d'un chiffons quelques verres, je nettoie des yeux la pièce observant tout ces ivrognes. Je n'ai rien contre eux, ils sourient et prennent du bon temps après leur dur journée. Je me rend tout simplement compte que malgré toute l'énergie que je dois investir pour servir un verre ou deux, passer un coup de balais, nettoyer les tables et toujours être rapide et efficace, il reste tout de même de bons côtés dans ce travail qui n'est pas si terrible finalement.Ce que j'apprécie tout particulièrement c'est la fermeture de l'auberge car à cet instant tout est beaucoup plus calme en raison des clients qui se doivent de rentrer chez eux.

Malheureusement ces sourirent remplis de joie auquel j'en devient ravie ne durent que très peu de temps. L'un se lève furieusement de sa chaise et assène un violent coup de poing à son voisin qui était tranquillement assis à boire, dans ce genre de situation et face à un combat d'homme à homme mon sang ne fut qu'un tour ! L'homme qui était tranquillement assis redresse sa tête et surprend son adversaire en fonçant sur lui la tête la première dans l'abdomen reculant de plusieurs pas et y détruisant au passage une table où buvait 4 autres clients, je me rend compte que les choses ne vont pas en s'arrangeant lorsque les hommes de la table décident de s'inviter au combat.

Dès cet instant je réagit enfin que ces combats ne sont pas quelque chose qui risque de plaire à Billy, raison de plus pour le rencontrer, savoir la raison pour laquelle il m'a abandonnée et régler cette histoire au plus vite. Affolée, je sort par la porte de derrière menant à une ruelle qui débouche sur personne d'autre qu'une pincé de sable volant et abandonné. Je ne peux pas perdre mon temps à chercher mon patron, il faut absolument intervenir.

C'est pourquoi lorsque je me retrouve de nouveau dans la salle de bar, je me rend compte que même ma voix ne réussira pas à s'exprimer rien qu'avec tout le raffut qu'absolument tout les clients se sont mis à effectuer. Des vitres sont brisés pour cause des nombreux gars propulsé en dehors de l'auberge mais le reste ne semble pas vouloir partir d'ici.

Dans les placard du tiroir appartenant au bar, je recherche larme secrète de Billy après tout ce type d'événement à dû lui arriver des tonnes de fois. Lorsque j'ouvre l'avant dernier en partant de la droite je me retrouve sous le choc et en même temps j'ai eu raison de chercher. Tremblante de mes mains je saisie la carabine qui me fait face et m'exécute au plus vite, malheureusement le coups part avant que je ne l'ai décidé éclatant mes tympan et cessa aussi de laisser mon cœur battre l'espace d'un instant. Je n'entend plus rien mais remarque aussi que mon coups de feu à cessé toutes les bagarres, à présent tout les clients sont tournés vers moi et n'osent dire un mot, balayant l'auditoire. Seul le bruit d'un verre brisé provenant de l'étage, là ou le coup de feu à été tiré retenti puis des battement d'ailes se firent entendre pour s'en aller dans un coin plus sécurisé qu'ici.

_ En aucun cas je ne tolère une bagarre dans cette auberge ! Si vous avez des comptes à régler, occupez-vous en dehors, ai-je bien été assez claire ?

Ces hommes continuent de m'observer sans ajouter aucun mot, je les dévisage un par un tentant de cacher ma peur même si en vérité je tremble sur place à l'idée qu'ils se révoltent. Je continue de serrer fermement le bout du fusil de toutes mes forces au cas où il m'arriverais quelque chose. Après tout je suis seule contre tout cet attroupement, mon sang ne fait qu'un tour dès que l'un de ces ivrognes ose enfin s'approcher de moi, me défiant. Il essuie d'un revers de la manche le whisky toujours présent et mélangé à de la sueur autour de sa bouche sans détacher son regard du miens.

_ Je n'ai jamais reçu d'ordre de ma femme ni d'aucune autre femme et sache que ce n'est pas aujourd'hui que les choses changeront, jeune fille. Dit le vieille homme en crachant toutes ces paroles d'un cailloux de salive face à mes pieds, j'essaye de rester infaillible à ces propos même si mon corps me trahi, je suis obligée de garder les jambes tendus pour les empêcher de trembler. Je me demande quand est ce que Billy va revenir.

_ Dans ce cas, comprenez monsieur qu'il existe un début à tout. D'une tonalité aussi sérieuse et glaciale je me surprend à rester ainsi de marbre, brandissant mon arme dans sa direction. Dans ce genre de situation tout pourrait m'arriver mais pourtant même si j'ai peur, ma bouche parle à ma place sans que je ne lui en donne l'ordre.

L'homme ne bouge pas, il ne quitte pas ses yeux sombre de mon regard et c'est ce qui m'inquiète. Je ne me demande comment les choses peuvent se terminer et je ne vois que deux solution : bien ou mal.
Alors le vieillard m'observe une dernière fois avant de se pencher sur le bar qui nous sépare pour saisir son chapeau et l'emboiter sur son crâne peuplé par 3 cheveux sur le cailloux qu'il n'a jamais osé retirer.

La peau brillante de transpiration, tracée par la poussière et bronzé par le soleil il est suffisamment près pour me laisser examiner les moindres défauts que sa vieille peau me laisse. Des taches foncé de vieillesse par ci par là, des pores ouvert et deux verus l'une situé à son nez et l'autre sur sa joue. Il porte également des lunettes épaisse et aux branches noir, cachant la vue sur ses sourcils épais, avec des verres qui font suffisamment loupe pour m'indiquer que sa vue n'est pas en parfait état, au moins elle laisse la possibilité de détailler ses yeux bleu ciel, presque gris. Créant une sensation de se perdre dans un ciel brumeux annonçant l'arrivée d'une pluie torrentielle, son nez est droit mais n'est pas petit tout comme ses oreilles qui sont légèrement décollés et impressionnantes. Les rides de son visages me semblent eux aussi mécontent, ses lèvres pincé comme sa macheoir semble tirés vers le bas. Son chapeau de peau de bizon cache à présent le peu de poils blanc qui habite le sommet de son crâne mais laisse place à une impressionnante barbe si peuplée et si épaisse qu'on aurait cru qu'il avait sacrifié ceux qu'il a sur sa tête pour les coller au niveau du menton.

En ce qui concerne ses vêtements, tout est plus différant des autres. Une chemise à la fois propre mais négligé en raison du compact, elle est defroissée. Une veste par dessus couverte de poussière, un pantalon noir, net et uniquement recouvert de quelques poudres de poussière en lien à la bagarre. Des chaussures sobre et propre de ville. Son apparence de balais déjà beaucoup usé me permettais presque à dissimuler l'homme de cette ville que l'ont appel le PipeerTown. Un chiffon bleu soit disant "royal" est pendu à la poche gauche de sa veste signifiant le titre important qu'il est, le président des affaires juridiques et aussi le maire. Le voyant suffisamment calme je rabaisse mon arme

_ Je ne partirais pas tant que ce salopard ne m'aura pas rendu mon argent !

Le vieillard faisant approximativement la même taille que la mienne, c'est à dire environ 1m73. Pointa du doigt un homme plus grand que nous deux, le visage caché par son chapeau. Sa tenu plus humble ressemble à celle d'un visiteur, un chiffon reste attaché autour de son cou, autrefois blanc à jaunie avec le temps. Il doit certainement porter une chemise comme beaucoup j'imagine sous son plaide. Sans oublier bien entendu les bottes indiscrète qu'il porte, le pantalon en jean ainsi que la ceinture autour de ses hanches qui contient son arme en cas de besoin. Lui aussi m'a l'aire poussiéreux et bronzé de peau. Un touriste qui ne date pas d'aujourd'hui je suppose.

_ Pourquoi le lui avez-vous donné tout d'abord ?

_ Je n'ai rien donné, il m'a volé. Qu'elle idiote !

Je jette un regard noir au vielle homme avant de fixer de nouveau le touriste qui n'ose pas bouger de sa place, droit comme un "I", il garde uniquement une main dans sa poche et l'autre sur son arme. Inquiétant est ce qui me vient en tête. Je ne cherche qu'à régler toute cette histoire pour continuer à travailler dans le calme, Non d'un chien retire ce chapeau ! Cet homme m'énerve à reste aussi silencieux et mystérieux à la fois, son comportement est excentrique pour moi ! J'ai du mal à rester aussi calme alors que j'attends son explication. Même le maire attend que l'homme prononce ne c'était ce qu'un mot.

_ Monsieur, est ce vrai que vous avez voler le maire de PipeerTown ? Au bout de quelques secondes de silence traduit pour ma part par de l'excentri à se penser supérieur à d'autres, le touriste lève enfin son regard pour croiser celui du vieille homme et venir se poser sur moi. Étonnée je ne bouge pas, ne dit rien et observe tout ses faits et gestes, le détaille. Après quelques secondes de silence il ouvre la parole.

_ Ci c'est la vérité que vous voulez la voici. Monsieur le "maire" de PipeerTown ici présent n'a fait qu'insister pour miser dans une simple partie de black jack, de l'argent. Décidément il est trop tard à présent pour se rendre compte qu'il ai pris une mauvaise décision. Peut être qu'ici on appel ça du vol mais pour moi il s'agit d'un mérite tout à fait honnête et légal, mademoiselle.

_ Sauf qu'ici ce n'est pas vous qui créez les règles ! Rétorque l'un des ivrognes toujours debout d'une bagarre. J'observe de nouveau le maire lui aussi ivrogne et qui ne me quitte pas des yeux, bien vite il se met à me faire un clin d'œil puis à distribuer son sourire pervers à mon égard. Je ne fait pas attention et ne réagis pas, tout ce que je remarque est le silence du touriste qui se met finalement à chercher une bourse d'argent dans sa poche et s'avance vers moi d'une manière décidé. Mais décidé à quoi ?

J'observe précisément le visage qui me fait face en détail et me perd dans ces beaux yeux azur légèrement envahit par la poussière et un peu de boue au niveau des paupières. Ces quelques secondes d'analyse ont semblé durer pour moi une éternité apaisante que j'aurais tant aimée garder, ce fut un étrange boost pour ma journée qui m'ait permis à reprendre de la force. Bien évidemment j'en fait des caisses mais pour résumer simplement ces yeux sont les plus reposant dans lesquels je ne me suis jamais perdu, c'est apaisant comme sentiment. Il dépose alors sa bourse d'argent tout juste gagné sur le comptoir ainsi qu'un autre plus ancienne, plus amoché mais fabriqué à partir de peau de bizon.

_ Je voudrais une chambre pour cette nuit

Sous le regard de beaucoup je ne devient pas plus intimidée au contraire j'exécute mon travail habituel. Je saisi la bourse appartenant anciennement au maire pour la ranger dans la poche de ma robe, poche se situant dans mon corset, au niveau de ma poitrine. Quant à la plus petite je la repousse du comptoir, le fameux cow boy la reprend, je range mon arme, saisi les clés nécessaires et le tire vers moi dans le but de me suivre à l'étage.

Le public reste abasourdi rien qu'en voyant comment les choses se terminent. Bien vite tous n'ont que faire de la situation d'un vieillard et décideront soit de partir, soit de rester. Le chemin du couloir s'est avéré plutôt calme et apaisant, nous entrons tout deux dans une chambres avant que je ferme la porte, le touriste me fixe de manière curieuse et méfiante certainement intrigué par ce que je pourrai lui faire ou dire, après tout il n'a pas été très bien accueilli.

_ Maintenant que je suis convaincue que personne ne risque d'entrer on peut commencer

Rapide et efficace je m'avance vers l'homme réduisant la distance que nous avons l'un envers l'autre, lui n'ose pas bouger tandis que je ramène mes cheveux à l'avant pour desserrer mon corset au niveau du bas du dos. L'espace de quelques secondes je me tourne et prend une grande inspiration puis expire profitant de cette liberté temporaire, mon ventre était tellement comprimé au court de la journée que j'ai souvent dû oublier quel sensation ça fait que de respirer à nouveau.

Des mains nues viennent se cambrer au creux de ma taille me surprenant dans ma lancé, elles descendent doucement de plus en plus bas jusqu'à mes reins et je n'ose pas bouger. Ma respiration s'élance dans une course d'obstacles, ma poitrine se gonfle puis se dégonfle plus rapidement que d'habitude et mes joues sont à présent brûlante. Moi qui n'osais pas bouger trouve enfin la force de me retirer des bras de cet homme seulement lorsque ses lèvres viennent effleurer la peau nue de ma nuque et que son souffle chaud me donne des frissons de plaisir. Plaisir, un mot que je n'aurais jamais imaginée penser dans ce genre de situation. Les joues toujours en feu puis après m'être tournée face à la personne je remarque que son émotion aussi n'est pas comprise, ses yeux brûlant de désir continuent de fixer mes épaules et la naissance de ma poitrine nue tandis que ses mains restent attachés dans mon dos.

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