Chapitre 41 : Il n'y a qu'un pas de la haine à l'amour
La portière de la voiture noire s'ouvre...
Un homme descend en premier, je ne le connais pas, il à un flingue à sa ceinture. Il porte un chapeau et des bottes de cow-boy, on voit qu'il à de l'expérience à ses cheveux poivre et sel qui dépassent du chapeau. Il porte un jean et un tee-shirt, il ne porte pas de tatouages de mafia. En tout cas, il va falloir se la jouer gentille parce que je suis déjà en position de faiblesse.
Quelques secondes après, un autre homme sort de la voiture et lui je le reconnais...
Alizée : Malik... Dis-je dans un chuchotement.
Il était bronzé, toujours aussi beau avec quelques cicatrices en plus. Le même style qu'avant sweat de marque, jean troué et basket. Il ne portait ni casquette, ni lunette pour une fois. Ses cheveux brun tombé légèrement sur son regard. Il me regarde de haut en bas.
Malik : Holà mi amor... Dit-il suffisamment fort pour qu'on l'entende mais juste ce qu'il faut pour ne pas me faire peur.
Je ne suis pas dans l'optique des retrouvailles du tout.
Alizée : Les armes au sol ! Et n'essayez pas de m'avoir !
Malik et l'autre sont surpris par ma réaction, mais Malik s'exécute immédiatement et demande à l'homme de faire pareil.
Ils enlèvent toutes leurs armes qui forment maintenant un tas par terre. Mais je sais qu'il en manque une.
Alizée : Ton poignard !
Malik : Mais chérie, je ne vais pas me déshabiller devant toi pas le jour de nos retrouvailles quand même.
Il joue l'humour, ça seule carte pour me déstabiliser.
Alizée : Le poignard ou je repars.
Je commence à faire demi-tour pour lui faire comprendre qu'il n'est pas en position de décider, et il le comprend vite en reprenant son sérieux.
Malik : Non, non attends ! C'est bon regarde.
Je me retourne, il enlève son sweat et son tee-shirt, pour enfin détacher le porte poignard qu'il porte en bandoulière au tour de son torse.
Malik : C'est bon, on est désarmés, on peut discuter maintenant !
Je fais face à un beau mec torse nu et désarmé devant moi et la seule chose que j'ai envie de faire c'est de le frapper.
Alizée : Lui dans la voiture. Dis-je en désignant du doigt l'homme qui l'accompagne.
Malik : Rodrigo va dans la voiture.
Il s'exécute, on se tient tout les deux à au moins 2 mètres de distance, c'est la distance suffisante pour que je maitrise mon envie de le tabasser.
Malik : On est seul maintenant...
Je ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase.
Alizée : Qu'est-ce que tu veux ?
Il met quelques secondes avant de répondre à ma question.
Malik : Te récupérer, je vois que tu n'as pas perdu ton caractère.
Alizée : Rhabille-toi.
Malik : Pourquoi ? C'est le seul atout que je peux te montrer tout de suite, pourquoi le cacher ?
Il m'exaspère, et en même temps j'aime bien ça, quelqu'un qui a en fin pas peur de mon regard qui me répond.
Alizée : Pff...
J'essaie de ne pas sourire à sa réflexion
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro