Il démarre, je fais un dernier au revoir à cette petite famille.

Quelques temps après, je suis dans le train en partance pour Marseille.

Je réfléchis à tout ce qui m'attends et tout ce qui c'est passer dans ma vie.

Après des heures de trajet je sors de la gare et récupère l'enveloppe que j'avais rangé dans ma valise, il y avait un téléphone et c'était marqué à utiliser qu'a l'arrivée. On peut dire que je suis arrivé, je l'allume. Puis je suis les instructions, c'est marquer appeler le premier numéro.

Ça sonne,

Voix : Allo ?

Alizée : C'est Alizée.

Voix : J'arrive.

Et il raccroche. Je n'ai pas eu le temps de reconnaître la voix, je ne sais pas qui vient me chercher. Je ne crois pas avoir de quoi me défendre au cas où. Je chercher bien dans l'enveloppe et je trouve un petit poignard, très petit mais si il est empoisonné il sera largement suffisant pour me défendre. Je le mets dans ma poche et ranges l'enveloppe dans ma valise. Après quelques minutes à attendre une voiture s'arrête devant moi, il fait sombre. La fenêtre passager avant s'abaisse, la personne n'approche pas sa tête et reste dans la pénombre de l'habitacle.

Personne : Monte !

Alizée : Pourquoi je ferais ça ? Après tout, je ne vous connais pas et je ne sais pas où vous m'emmenez.

Avec ce monologue j'eu le temps de récupérer mon portable dans ma poche arrière et d'allumer la lampe pour en suite lui la mettre en pleine figure et voir à qui je m'adresse.

Alizée : Agent 001 ?

Agent 001 : Étiez vous obligez ?

Alizée : Je me méfie de tout et de tout le monde même de mes amis sachez-le.

Je monte dans la voiture qui démarre peu de temps après.

Alizée : Ou va-t-on ?

Agent 001 : Chez moi.

Alizée : Pardon ! Non je veux voir le chef ! Avant savoir où je mets les pieds emmener moi à l'agence !

Agent 001 : Continuer à conduire Mr, ne vous occupez pas du petit caprice de mademoiselle.

Je récupère le poignard que j'avais rangé précieusement dans ma manche et je le pose sur son coup.

Alizée : Nique ta mère le petit caprice, je crois que je me suis mal fait comprendre je veux aller immédiatement à l'agence !

Il fait signe à son chauffeur de faire demi-tour pour aller à l'agence.

Agent 001 : C'est bon, C'est bon, tu peux retirer cette lame de mon cou.

Alizée : Non ! Je crois que tu me connais pas il faudrait mieux travailler vos dossier 001. Vous allez très vite apprendre que tout ce que je veux je l'ai ! Et la je veux une arriver en force, comme par exemple revenir avec le meilleur agent de l'agence un couteau sous la gorge. C'est pas mal qu'est ce que vous en pensez ?

Agent 001 : On m'a dit certaines choses sur vous aux quelles je n'ai pas voulu croire mais elles sont vrais, vous êtes sans cœur !

Alizée : Ça fait longtemps que je n'ai plus de cœur et je n'en aurais jamais !

Agent 001 : Vous savez j'ai une famille des enfants et je ne peux pas perdre la vie ne serait-ce que pour leur bonheur. J'aurais aimé que vous ayez une famille comme la mienne et si j'aurais pu vous éviter tout ce mal je l'aurais fais car je sais utiliser mon cœur à bon escient. Pour le moment je suis celui qui va vous remettre dans le bain mais je suis sur qu'après cette courte formation, c'est vous qui m'apprendrai des choses.

Alizée : Pourquoi je ferais cela ?

Agent 001 : Parce que nous serons amené à travailler ensemble agent 1256. Alors pouvez-vous enlever cette lame de mon cou le temps du trajet au moins.

Il se retourne vers l'arrière pour me regarder et d'un chuchotement il calme légèrement ma peine et ma haine.

Agent 001 : Je vous respecte plus que personne, s'il vous plaît...

Je retire le poignard et le range dans ma manche.

Agent 001 : Ne gâchez pas votre image de jeune femme forte et sûre d'elle, par ça.

Alizée : Je ne suis pas celle que vous décrivez, je suis une tueuse...

Agent 001 : Non, vous ne l'êtes pas croyez moi...

Alizée : J'ai tué beaucoup plus de gens que vous ne le pensez...

Chauffeur : On est arrivés.

Alizée : Alors laisser moi gérer la situation et croyez moi tout ce passera bien.

On sort de la voiture je ressors mon poignard et le positionne sur son cou puis je glisse discrète ma main pour récupérer son arme et la mettre dans ma poche une arme petite mais très utile.

Alizée : Montrez moi que je peux avoir confiance en vous et ne faites rien à part me guider au chef.

Agent 001 : Il est en réunion.

Alizée : Encore mieux ! Je suis désolée pour votre fierté masculine mais c'est soit ça, soit rien.

Je sens sa respiration s'accélérer.

Alizée : T'as peur ?

Agent 001 : Bah un peu, comme même ce n'est pas comme si tu mettais ma vie en danger.

Alizée : Ah on se tutoie maintenant, bah alors, où sont passé les bonnes manières ?

Agent 001 : ça va, pas besoins d'en rajouter...

Alizée : Crois moi, il y a beaucoup plus dangereux que ça, j'ai. Du mal à croire que tu sois le 001 et que tu réagisses comme ça.

On avance dans les couloirs tout en discutant, on arrive au bureau.

Alizée : La guerre c'est comme du cinéma soit on est acteur soit on est spectateur, regarde écoute et apprend.

Alizée : Ouvre la porte !

Il sursaute face à mon ton.

On rentre le directeurs adjoint n'a pas changé à ce que je vois et je peux toujours pas me le blairer avec ces chemises hawaïen.

Alizée : Toi, rassis toi !

Il se rassoit immédiatement.

Alizée : Il est où le chef ?!

Adjoint : Troisième porte gauche mais il est en réunion.

Alizée (en sortant l'arme) : Je crois qu'on c'est mal compris ! Rassis toi !

Alizée : Allez, nous on y va !

On arrive face à la porte que j'ouvre et tous les regards se tournent vers moi, ma tête est affichée sur le grand écran de la salle de réunion.

Chef : Agent 1256 ?

Alizée : C'est bien moi en personne !

Chef : Mais qu'est ce que vous faites avec agent 001 ?

Alizée : Bah je tenais à venir vous voir personnellement et voilà ce que je fais de ce que vous m'envoyer.

Chef : Baisser cette arme immédiatement ! Voilà comme je vous l'avez dis c'est une agent très douée. Agent 001 débattez-vous !

Agent 001 : Pourquoi faire ? Lui faire encore plus de mal ?

Femme : C'est peut être l'une de vos meilleure agent mais vous ne la maîtrisez pas cela ressemble plus à une bombe à retardement qui risque de faire sauter tout le system et notre couverture en même temps.

Alizée : Hé ! Marie la vierge, elle va se la boucler ! Avec son ballet dans le cul, avant que je lui col une balle entre les deux yeux !

Femme : Je suis... Désolé je ne voulais pas vous énervé...

Chef : Alizée, venez avec moi !

Alizée : Pourquoi faire ?

Chef : Laisser cet homme il a une vie et une famille contrairement...

C'est la phrase de trop, je lâche l'agent 001 et sors l'arme que je pointe contre le chef.

Alizée :Allez-y et vous dites adieux à votre famille inexistante !