Après avoir mis mon premier ami à terre, je demande au deuxième d'approcher d'un signe de la main.
Il me dit non de la tête, j'aide le premier à se relever, cette personne est le chef de la mafia japonaise et le deuxième est le chef de la mafia colombienne.

Je sais, là tu te dis y a un problème, elle est agent secret et censée faire respecter un minimum la loi sauf que avant que l'agence m'embauche j'étais la sous chef de la mafia colombienne et la meilleure mafieuse du japon, je leur ai sauvé la vie plusieurs fois et le business de leur mafia aussi.
Comme je veux récupérer mon meilleur ami et que l'agence s'en bat les couilles de lui (excusez de l'expression 😁) il faut se débrouiller avec les connaissances, en l'occurrence la mafia.

Chef Colombien: Alors? Que veux-tu ?
Alizée: Tu te souviens de la mafia brésilienne ?  
Chef.C: Bien sûr, ils ont tué la moitié de mes hommes, une année.
Alizée: Génial, on a le même but sauf que moi je veux juste récupérer mon meilleur pote qui est entre leurs mains.
Chef.C: Pourquoi nous ?
Alizée: Parce que vous êtes les seules personnes en qui je peux avoir confiance et qui ne m'ont JAMAIS trahie puis vous possédez les secondes et troisièmes plus grandes mafias du monde.
Alizée: Alors ?
Chef.C: Pour moi c'est ok !

Le chef japonais hésite.

Chef japonais: Mais pour le plan...

Je le coupe

Alizée: Vous le faites tous les deux, vous vous mettez d'accord sur la date, dans trois mois de préférence, vous choisissez tout. Puis vous m'informez et m'expliquez le plan et on y va.
Chef.J: C'est d'accord.
Alizée: Parfait, je vous laisse faire et on s'appelle.
Je remets mon casque démarre et reparts.

***00h00***

Je viens d'arriver devant la villa, je pousse le portail, rentre je monte les escaliers mais  je m'arrête, je sens une présence derrière moi, je sors mon portable allume la lampe de poche et dans l'autre main j'ai mon poignard, je me retourne et vois Aurélien.

Auré: Vas-y tue moi ! Dit-il

Il relève la tête, il a les yeux rouges, je me rends compte qu'il a pleuré. Je me retourne et range mon poignard et remonte les escaliers, une fois dans ma chambre je prends un nouveau flingue et un deuxième poignard, plus une mitraillette que je mets dans mon sac  à dos avec quelques affaires, j'avais dit que je resterai une nuit pas deux donc je repars et je transférerai mes affaires demain. 

Petit chapitre. Bonne vacances pour ceux qui le sont. Bisous