"On a faim." S'exclamèrent les quatres ensemble.

Les quatres affamés étaient attablés autour d'un banc afin de déguster des petits snacks acheter dans les distributeurs.

Ils discutaient joyeusement de souvenirs ou de loisirs quand une question parvint au oreilles de notre protagoniste :

"C'était comment en France?" Demanda Suno.

Le blanc s'arrêta immédiatement de manger et baissa la tête. Les autres le regardèrent et commencèrent à se poser des questions.

Yaguchi, le voisin de gauche d'Alexis, posa sa main sur son épaule et se rapprocha doucement de son visage. Il entendit des sanglots et vis des larmes sur la joue du blanc.

"H-horrible..." Prononça faiblement le français.

Suno, se sentant coupable d'avoir posé la question, se leva et s'empressa de faire un câlin au blanc. Tônô et Yacchan le suivirent et se fut un câlin collectif pour soulager Alexis de ses souvenirs.

Quand ils le lâchèrent Tônô s'exclama :

"Je pense que tu devrais en parler, ça te fera le plus grand bien. Nous sommes encore trop peu proche de toi, tes parents, eux, peuvent être des personnes idéals."

Le blanc acquiesça et se promis de les appeler le soir même afin de leur parler. En attendant leurs estomacs criait encore famine, ils fallait donc les nourrir.

Le soir même Alexis demanda à Suno et Tamura de venir dans sa chambre. Le bleu, accepta évidemment ne sachant pas à quoi s'attendre tandis que le joueur de foot fut plus réticents :

"Tu connais mieux Yacchan et Tônô. C'est eux que tu devrais inviter pas moi!

- tu est la personne avec qui j'ai développé le plus de liens de vous trois. Avec Tônô on ne se parle seulement quand il n'est pas avec Yu et pour Yacchan, il est de bonne compagnie mais il a l'air de ne pas porter Tamura dans son cœur.

- et Itome? Tu nous parles souvent de lui! Vous êtes presque frère de se que j'ai compris.

- notre lien d'amitié est puissant je te l'accorde mais il est occupé avec Akemi et je n'ai pas envie de lui rabâcher mon passé aux oreilles.

- bien. Si c'est la seul solution pour que tu te confis."

Suno suivis Alexis jusqu'à sa chambre et était donc déjà présent quand Tamura arriva enfin.

Le bleu était relativement étonné de l'organisation et de la propreté des lieux. Il admirait chaque coin qui brillait avec autant d'admiration que Suno auparavant.

"C'est vachement propre...

- j'ai fait la même réflexion tout à l'heure, s'exclama Suno.

- je suis un Livaï 2.0, très maniaque et très organisé. C'est un miracle pour vous le faites que je ne vous ai pas encore obligé à nettoyer le club, mais ça ne saurait tarder."

Le blanc invita le nouveau venu à s'asseoir, se qu'il fit. Puis il expliqua la raison de sa venu:

"Je vais me confier sur mon passé en France à ma mère, j'ai besoin de soutien moral pour y arriver. La raison pour laquelle je vous ai choisi est là suivante, Suno, tu es un ami assez proche et avec qui j'ai tissé beaucoup de liens ses deux dernières semaines. Ton soutien sera important et j'ai jugé que tu étais la personne parfaite pour m'aider dans cette étape." Il prit une pause et respira.

Ensuite il se tourna vers Tamura et lui fit un sourire radieux avec un clin d'œil. Tamura le compris assez vite et se mis à l'écoute en reposant le stylos précédemment pris pour jouer.

"Toi, Tamura, tu est la personne avec qui j'ai tissé le plus de liens depuis mon arrivé. On est, je suppose, ensemble si je ne me trompe pas et j'ai vraiment besoin que tu sois au courant de tout ça."

Tamura acquiesça tandis qu'Alexis se leva pour récupérer son téléphone et le posé sur son bureau. Il appella sa mère et la mis sur haut parleur.

"_Allo chéri ?

- oui maman ? Je dois te parler c'est important...

-_oula tu me fais peur. Que ce passe-t-il ?

- en ce moment tu est sur haut parleur et deux amis à moi sont dans la pièce. Je t'en pris ne me coupe pas et laisse moi parler, quand j'aurais finis je te préviendrai et tu pourras me poser des questions mais pas avant, s'il te plaît ?

-_à tes ordres."

Le blanc pris une grande inspiration et se lança dans pleins d'explication. Au début il parlait seulement de quelques points comme les insultes à répétition et le rabaissement que ses camarades lui fournissait, puis il attaqua les sujets plus grave:

"Les soirs où je rentrais recouvert de bleu, de coupure et autre. Je te fesait croire à des bagarres entre amis. Cela à toujours été faux je n'avais aucun amis en France, pas un seul. Je me fesait tapé, les gens me voulais mort, des menaces, mes affaires scolaires se fesait détruire tout le temps. Les menaces de mort, les insultes coulait sur des papiers dans mon casier, des larmes commencèrent à perler dans les yeux du jeune blanc, ils...ils se moquait...je me fesait harcelé maman...sur les réseaux... à l'école...et...et... j'y ais penser plus d'une fois...je... j'aurais dû t'en parler...je-je pouvais...p-pas..." La voix du français se cassa et il s'écroula en larme.

Ça mère était silencieuse et on pouvait facilement devenir qu'elle sanglotait derrière le téléphone. Tamura et Suno était sans voix.

"Maman...je...je...papa...il...est impliqué là de-dedans...il...il... je...

-_ ne dis rien de plus...j'ai compris mon fils..."

Un grand silence s'en suivis troublé par les pleurs d'Alexis accroupi sur le sol et des sanglots de sa mère peu perceptible.

Tamura et Suno se levèrent et prirent Alexis dans leurs bras avec une tendresse incroyable.

"_j'ai deux questions Alexis.

- o-oui?

-_ la première est pourquoi?...la seconde pendant combien de temps ?...

- la première est pour mon côté efféminé la deuxième à deux réponses...depuis le collège pour les camarades et depuis la primaire pour papa...

-_tes amis sont encore là ?

- oui madame on est là, s'exclamèrent les deux autres en même temps.

-_prenez soins de mon fils. Je vous le confis jusqu'au vacances. Si il lui arrive quoi que se soit contacter moi immédiatement et parlez en au proviseur. C'est clair?

- compris madame." S'exprimèrent-ils ensemble.

Alexis partis raccrocher et tomba sur son lit. Tamura le rejoins en un câlin et Suno resta assis à côté d'eux.

"Tônô avait raison. Ça fait du bien.

- tu gardais tout ça en toi...c'est pas possible... comment détester ses tâches de rousseur ? Ses cheveux ? Se corps? Se caractère ? Je comprends pas...s'exclama Tamura.

- on ne plait pas à tout le monde malheureusement... répondit Suno.

- malheureusement..."repris Alexis.

Tamura et Suno se regardèrent du coin de l'œil et eurent une idée.

"On va te remonter le moral !" S'écrièrent-ils.

J'ai pleurer lors de l'écriture de se chapitre. Il était triste.

On connaît un peu plus le passé d'Alexis. Pour vous c'était horrible sa vie en France?

Quels idée on eu nos amis?

Et la mère que vas être sa réaction avec son mari?

Tônô de bon conseil ? Qui l'eut cru ?

Kiss sur le fessier <3