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35-Quiproquo

Résumé des chapitres précédents

Tami et Gwendal sont dans les deux camps rivaux. Les deux se retrouvent enfin, mais chacun est censé trahir pour son groupe. Le camp de la PMN ne sait pas pourquoi les sorcières harcèlent les druides.

Tami est en mission à Brest pour enquêter sur l'entrepôt qui a été attaqué dans lequel il y avait du sang de goule. Il rencontre un seigneur sorcier de son passé qui l'enlève. L'homme s'enflamme devant lui alors que Tami essayait de le faire parler. Il est surpris de la cruauté de Gwendal qui les a rejoints.

Personnages principaux :

Tami Charlaix, fée, inspecteur de police à la PMN.

Gwendal Tiersen, le druide du vent

Merlin Charlaix, bébé fée

Baboo, petit papillon humain du monde magique

Personnages secondaires :

Jeanne, la sœur du curé et Léopold le curé

Michel le Quenec l'enfant sauvé.

Les collègues de la PMN : Shane la sorcière du Nord, Horio l'orc, Irène Lanala son ex capitaine, Le lourd son nouveau capitaine et le commissaire Tabor. Boniface le policier qui a disparu. Rosa l'experte scientifique.

Les policiers de la PMN de Bretagne : le capitaine Landerneau, l'inspecteur Erwan Rosdof.

Les druides : le grand druide Loeiz pouvoir du feu, Alban pouvoir du temps, Mannekan électricité, Armogen vision, Nolwenn prévision, Anton charme, Boubacar médecine, Mehdi les animaux

La meute de l'Est : André Charlaix, son père. Martial Markalan le Bersek et lra Champelier le futur couple d'alpha. Jason Markalan, l'alpha de la meute de l'Est. Liam Daguerre, le scientifique de la meute et le beau-père d'Ira, marié à Frédéric Champelier, le père d'Ira. Tom et Luis les changeants loups, le vampire Klino et Nouria la nourrice Orc du bébé.

***

Tami

─ Tu étais là ? je déglutis, en fixant le petit tas de poussière.

Lui est sombre, d'une humeur noire comme ses yeux. Je me relève difficilement, étourdi encore.

Pourquoi a-t-il fait une telle chose ?

─ Oui j'ai bien aimé quand tu as dit que tu avais un mec, tu parlais bien de moi ?

Je me recule quand il s'approche. Il vient de commettre un meurtre et il m'a suivi.

─ Tu as tué cet homme !

─ Ce n'est pas moi qui l'aie tué ! c'est toi !

Nous nous fixons stupéfaits, réalisant en même temps. Le soulagement m'assaille et lui sourit à nouveau. Je viens de comprendre pour son air tendu, il a cru que c'était moi. Je m'ébouriffe les cheveux en m'exclamant pour nous deux :

─ Les sorcières ! OK, donc les Rockdern ont dû lui faire subir un serment de fidélité. Tu me suivais ?

Il se gratte les sourcils, enfonce ses mains dans ses poches, penaud.

─ Pas vraiment ! Le vent sait simplement si tu vas bien. Il a senti ton anxiété et m'a prévenu, explique Gwendal. Pourquoi est-ce qu'il t'a enlevé ?

─ je suppose pour jouer avec moi ?

Je soupire, pas très fier de moi.

─ Quand j'étais jeune...

─ Il y longtemps !

─ Attention humain stupide, tu m'énerves ! Tais-toi !

Il m'a rejoint et m'enlace :

─ Je t'écoute, pardon je me tais.

─ Je l'ai séduit, nous sommes partis ensemble visiter l'Angleterre, je l'ai trouvé ennuyeux et je l'ai planté.

─ Il a dit que dans le passé tu avais les cheveux verts, tu devrais être beau avec !

─ Tu me trouves laid ?

─ Magnifique, mais j'aurais voulu te connaitre à toutes les périodes de ta vie.

Nous nous tenons l'un en face de l'autre, front contre front.

─ Que va devenir sa propriété maintenant qu'il n'est plus ? demande Gwendal.

─ C'est une bonne question, je suppose que les vilaines pestes ont surement prévu un moyen de se l'accaparer. Tu as entendu juste avant qu'il brule, il a dit qu'il a cédé une ile aux sorcières, c'est important, il faut trouver laquelle !

Je m'approche de son oreille pour lui chuchoter un secret.

─ J'ai mis un repère dans le domaine. Figure-toi que j'ai gravé un des canons.

─ C'est malin ! Ce sont des pièces anciennes de notre patrimoine ! D'une valeur historique inestimable !

─ Voyez-vous mon farouche petit Breton !

─ Promets moi Tami, que tu ne t'ennuieras jamais de moi ? Je ne devrais pas le dire, mais je tiens à toi.

─ Je pense que j'ai un vrai zim pour toi le petit humain. Attention au passage, défense de me suivre et de te mêler de mes enquêtes.

─ Un zim ?

─ Tu n'as pas vu le dessin animé Dracula ? Il faut tout t'apprendre ! C'est un coup de foudre. Alors c'est qui le jeune maintenant ?

─ Tu veux voir ce qu'il va te faire le petit humain fragile ?

Je presse mes lèvres contre les siennes, pendant qu'il nous entraine dans les landes sauvages avec le panneau nature préservée. La demeure s'efface devant nous.

Gwendal ne dit rien, il est concentré sur le vide et semble perdu dans ses pensées.

─ Je ne savais pas que les sorciers pouvaient faire disparaitre leur propriété ainsi.

─ Cela ne vaut que pour les seigneurs !

─ Les seigneurs ?

─ Les sorciers les plus puissants, ils sont moins d'une vingtaine. La plupart sont des bonnes personnes et vivent à Nice.

Gwendal me serre dans ses bras, et je n'ai pas eu le temps de cligner des yeux qu'il me ramène dans sa chambre. La soirée va mieux se terminer qu'elle a commencé. Il tombe à pic mon mec.

Je vais m'assoir sur son lit, tout sourire et il me fait face.

─ Merci de m'avoir aidé.

─ Je réalise que tu y arrivais seul, mais je n'avais pas le courage de te laisser. Tu veux que je te ramène chez toi ?

─ Quoi !? NOOOONNNN !!!!

Je sursaute choqué par l'indécence de sa proposition ! Il ne compte pas me faire de câlin ?

Il sourit et retire son tee-shirt.

─ Ah OK, tu veux quelque chose !

─ Il me faut une grosse dose de câlins et de coup de reins, oui tu as compris !

─ Je suis là pour toi ma fée.

─ Merci mon petit courant d'air d'amour.

Nos lèvres se mordillent comme dans un duel. Il presse sa main contre les boutons de ma chemise que je me dépêche d'enlever et je fais tomber le pantalon et le slip affichant une douloureuse érection.

Il me rejoint dans la nudité et les caresses nous comblent. Il m'installe à quatre pattes m'admirant indécent, je gémis d'impatience pendant qu'il me prépare et enfin me pénètre.

Il s'occupe de la mienne avec une de ses mains. Nous baisons dans les airs, ce qui permet des positions originales. Il croyait me surprendre, mais je suis une fée coquine, c'est lui qui a du mal à suivre.

Plus tard, il nous repose dans le lit. Je m'installe au creux de ses bras et me tortille pour me trouver à hauteur de son visage. Il me sourit, se penche déjà pour m'embrasser.

─ Gwendal, pourquoi elles en ont après vous ? Elles sont vicieuses mais pas au point de s'acharner comme ça ? Au passage, moi il ne vaut mieux pas que je tombe entre leur main, car ma tête est mise à prix ! Elles me détestent.

─ Toi particulièrement ?

─ Et oui, pour la faire bref, j'ai détruit une de leurs armées.

J'en frissonne et me serre plus fort contre lui.

Est-ce parce que vous êtes sur ce qu'elles considèrent comme leur territoire ?

─ Non, nous avons quelque chose qu'elles veulent !

Je l'ai coupé, pas tellement envie de lui raconter pourquoi il ne faut pas que je retombe entre leurs mains.

─ Réponds Gwendal, qu'est-ce que vous avez qui pourrait à ce point susciter leur convoitise ?

Je repense à ce qu'a dit la prostituée dans la rue, plus tôt dans la journée. J'ai l'impression de l'avoir sur le bout de la langue.

─ Je ne suis pas autorisé à te le dire et toi aussi tu ne me dis pas tout avec tes pensées masquées. Et raconte m'en plus, pourquoi ta tête est mise à prix par les Rockdern ?

Il est temps de faire un peu ma drama queen.

─ Rhaaaa ! mon charme n'opère plus ! Tu n'as pas confiance en moi ! Tu m'espionnais aujourd'hui ?

─ Non promis, je te laisse ton intimité, je suis juste alerté si tu es en danger. Ne me le reproche pas !

─ Tu entends mes conversations ?

─ Uniquement si je suis physiquement présent. Tu as des choses à me cacher ?

─ Je suis un flic et c'est un vice de procédure si tu écoutes ce que je dis.

─ Je n'écoute rien, promis juré.

Je l'attrape par le menton et le jauge quelques minutes avant de hocher la tête.

─ N'oublie pas, je détesterais être suivi !

Nous dormons ensemble. Le matin il me conduite en bas dans leur réfectoire et me prépare un petit déjeuner. Je salue ses amis au loin qui ne s'approchent pas de nous.

─ Je vais devoir y aller, j'ai du boulot. Tu peux me déposer à Huelgoat ?

Il acquiesce.

─ Tu me vois comme une société de transport, je ne me vexe pas mes frères me voit comme un climatiseur.

─ Va reparler à tes chefs et essaye de les convaincre que nous sommes les gentils.

─ Mon chef est le plus apte à vous faire confiance ce sont les autres, dont moi qui ne vous font pas confiance !

─ Comment tu peux dire ça ? alors que tu me connais !

─ Je te fais confiance et je t'adore, je n'ai aucune confiance dans les autres magiques !

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