Chapitre 13
Lauren
Jules se tenait devant moi. Dire que j'avais failli le frapper avec ma batte !
Remise de ma surprise, je finis par lui demander ce qu'il faisait là.
- Je suis venue te chercher, je ne supportais pas d'attendre encore un jour pour te voir ma belle. Me répond t'il.
Il m'a appelée ma belle ! C'est quoi cette blague ? Pas que je n'apprécie pas... c'est juste que c'est bizarre !
- C'est mignon, mais ma mère va arriver et c'est elle doit m'emmener à Paris.
- Lauren s'il te plaît, appelle lui, dit lui que c'est bon, dit t'il en se rapprochant de moi me collant vers le mur.
- D'accord, murmurai-je. J'envoie vite un message à ma mère.
J'ai eu à peine le temps de cliquer sur la touche envoyer que Jules se colla à moi me tenant les hanches. Il se pencha alors vers moi, nos visages étaient si près que je voyais le désir dans ses yeux. Il sentait si bon. Je fixais ses lèvres qui avait l'air douce et soyeuse.
Jules
Nos bouches se touchaient presque. J'avais tellement envie de goûter à ses lèvres pulpeuse. Je me retenais voulant qu'elle fasse le premier pas. Mais soudain, je ne résistais plus, je l'embrassais à pleine bouche.
Lauren
Il venait de m'embrasser. D'ailleurs sa bouche était toujours sur la mienne. Je répondit à ce baiser avec envie. Des papillons pétillaient dans mon ventre m'apportant une chaleur immense et un désir sans pareille. Sa langue vient trouver la mienne peu de temps à près. Au bout d'un moment, à bout de souffle je dû m'écarter. J'avais adoré. Ce n'étais pas comme avec Lucas, je n'ai jamais eu cette sensation de bien être avec lui.
Ne sachant quoi dire, je finis par lui demander qu'il m'aide à finir ma valise pour Londres. Il me suivit dans ma chambre, me tenant la main, nos doigts entremêlés.
Une heure plus tard, je m'engouffrais dans sa voiture. Et oui, Jules avait 22 ans et il avait donc le permis. Moi, pauvre enfant de 17 ans n'avait même pas mon code ! Ma mère avait finalement accepté de me laisser partir mais je devais passer à son bureau lui dire au revoir.
Arrivée à son bureau, je l'embrassa tendrement. Elle viendrait voir un de mes matchs à Londres dans quelques temps. Elle finit par me laisser partir et je rejoignis Jules dans son magnifique cabriolet.
Quelques heures plus tard, je voyais la Tour Eiffel pointait le bout de son nez.
- On ne vas pas à Marcoussis ? dis-je quand Jules ne prit pas la sortie vers le centre.
- Attends, j'ai une surprise, on ira après, chérie.
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