19
Eleanor
Ça fait deux semaines, deux putains de semaines qu'Harry ne réponds plus à mes messages. Deux putains de semaines qu'il m'ignore, comme si je n'ai jamais existé, comme s'il ne m'aimait pas.
Nous sommes dans la même université et il n'a fait que me fuir. Dès que je m'approchais de lui, il faisait en sorte de pouvoir partir.
Je n'ai pas pût lui adresser la parole, même pas pour lui dire un simple bonjour.
J'ai pleurée tous les soirs, j'ai même battu Xavier en boxe tellement j'étais énervée contre moi même.
Je ne dors que très peut, j'ai des cernes horrible et je crois bien que j'ai perdu cinq kilos.
Ce matin, je me suis réveillé déterminé. Je comptais bien parler à Harry qu'il le veuille ou non.
Je me suis lavée, je me suis habillée d'une robe bustier blanche avec des fins collants, j'ai mît ma veste en cuir noire et mes boots à talons noires. ( Multimédia )
Je me suis maquillée et ai mit de l'anti cernes et un rouge à lèvre bordeaux.
J'ai attachée mes cheveux en une queue de cheval haute. Je me suis regardée dans le miroir et ai grimacé.
- Pauvre fille. ai-je dit
Je suis sortit de chez moi et je suis entrée dans l'université.
Je suis actuellement adossée sur le casier d'Harry. Il ne devrait pas tarder à arriver.
Je tourne ma tête vers la droite et le vois en compagnie d'une grande jeune fille qui n'est autre que Cindy.
Je roule des yeux.
Elle ne me fait plus peur ou quoi que ce soit maintenant. Depuis que je l'ai battu en boxe plus personne n'a peur d'elle et ses deux toutous ont décampées.
Cindy a son bras enroulé autour de celui d'Harry. Elle lui parle de je ne sais quoi d'inintéressant pendant que lui regarde son téléphone.
Je laisse tomber mon sac à mes pieds et regarde devant moi.
Je sens le regard de quelqu'un sur moi, je retourne la tête et vois Harry me scanner de la tête aux pieds.
Il me matte ouvertement, je sens mes joues rougirent et un sourire naître sur mon visage.
Au lieu de s'arrêter à son casier il continue d'avancer avec Cindy qui parle toujours.
Je tends discrètement mon pied devant moi, Cindy passe et tombe part terre. Harry se dégage d'elle et la regarde pendant que plusieurs personnes rigolent.
- Fais attention salle pute. cri-t-elle
- C'est toi qui es tombée pas moi, donc c'est à toi de faire attention.
Elle grogne et se lève, elle enlève les sois disant poussières présentes sur son jeans et regarde Harry.
- Qu'est-ce que t'as à rigoler toi? demande-t-elle
Harry lève les yeux au ciel. Elle part ensuite en furie vers les toilettes des filles.
Harry continue à marcher, je ramasse mon sac et lui cours après.
- Harry, criais-je
Il ne se retourne pas, je continue à courir. Une fois à sa hauteur je lui attrape le bras et le retourne violemment vers moi.
- Qu'est-ce que tu veux? demande-t-il
- Te parler. dis-je
- J'ai pas le temps.
- Harry, nous savons tous les deux que ton prochain cours n'est que dans une heure. soufflais-je
- J'ai pas envie.
- Laisses-moi cinq minutes, juste cinq minutes pour que je puisse m'expliquer.
Il réfléchit puis souffle, vaincu.
- Ok, mais juste cinq minutes. dit-il
Je souris.
- Merci, mais je préfère dans un endroit plus calme. dis-je
Je lui prends la main et le tire en dehors de l'université. Nous nous asseyons sur un banc.
- Tout d'abord je tenais à m'excuser. Je suis vraiment stupide. dis-je
- Ça c'est sûr, souffle-t-il
- Ne me coupe pas.
Il se tut.
- Bien, donc je commence part le début. Je suis folle amoureuse de toi depuis plus de trois ans. Dès que je t'ai vu, j'ai sût que je tomberais pour toi. Choses dites, choses faites. Je ne peux passer une journée sans penser à toi. Sans penser à tes yeux, à ton sourire charmeur, à ton visage, à ton corps svelte. souriais-je rêveuse, Donc quand j'ai eu ton numéro part tout hasard, j'ai voulu te parler. Je ne t'ai pas dit que j'étais car je savais que tu ne me répondrais pas. Mais tu m'as répondu et j'étais heureuse. Mais je ne pouvais pas te donner mon identité, j'ai donc transformé tout cela en un jeu. Je pensais que tu ne trouveras jamais qui je suis mais quand tu as indirectement dit que tu m'aimais tout es devenu bizarre. Pas bizarre dans le sens mauvais mais dans le bon. Je ne pensais pas te faire du mal en ne te disant pas qui j'étais, mais j'ai eu tord. Tu m'as parlé, sourit, invité à un bal qui s'est mal terminé, pris dans tes bras, emmené au cinéma. Mais moi je t'ai fait que du mal en te cachant mon identité dernière ce téléphone. Je pense que si je t'avais tout simplement dit qui j'étais, je serais certainement dans tes bras ou en train de t'embrasser à ce moment. Mais tout ne se déroule jamais comme on le voudrait. Je nous ai fait du mal à tous les deux. Et je comprends si tu ne veux plus me parler ou bien même me voir.
Je lève ma tête vers lui et le vois en train de sourire.
Pourquoi sourit-il bon dieu?
- Pourquoi? demande-t-il
- Pourquoi quoi?
- Pourquoi ne t'aurais-je pas répondu si tu m'avais donné ton identité dès le début?
Il a retenu que ça, sérieusement?
Je souffle.
- Parce que je suis moi, Eleanor, la pauvre fille sans amis que son frère a renié pendant plus de trois longues années. Parce que je suis moche, grosse, trop intelligente, mal parfaite, conne, insociable, et la liste est longue. dis-je en baissant la tête
Du bout des doigts Harry relève mon menton, nos regards se connectent.
- Relèves la tête princesse, ta couronne va tomber. ( Niall J. Horan ) dit-il
Je rougis
- Et tu dis n'importe quoi. Tu es parfaite à mes yeux. Tu es belle, intelligente, gentille, attentionnée, douce, sensible, tu as un sale caractère, et tu as des muscles du fou. j'émets un léger rire, Tu es tout simplement la femme parfaite. dit-il
Je secoue la tête.
- Je ne suis pas parfaite. dis-je
- Pour moi tu l'es, et c'est tout ce qui compte.
Je souris.
- Je t'aime. souffle-t-il
- Je t'aime aussi.
J'allais le prendre dans mes bras mais il me stop.
- Peut-être que je t'aime mais je te fais toujours la tête. dit-il
Je souffle.
- Merci de m'avoir écouté.
- Et je comprends tout sauf le fait que tu te rabaisses. Tu es parfaite et je te le ferais découvrir.
Il est l'homme parfait.
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