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Chapitre 10


Prévention d'avant chapitre : Présence implicite d'un abus et violence physique. Pas de description des scènes, mais on le comprend dans les dialogues.

Le noiraud passa sa soirée avec la boule au ventre, ayant peur que le plus jeune ne fasse pas ce qu'il lui avait dit et que, de nouveau, il n'exprime pas son refus ou pire que le blond n'en tienne pas compte, qu'importe pourquoi. 

Il essayait de penser à autre chose, reprenant le portait qu'il avait commencé de Hyunjin. 

Il allait être minuit, le téléphone sonna, ce qui signa la crise cardiaque pour Minho, qui faillit tomber en se levant d'un seul coup pour aller prendre son téléphone qui était sur le meuble télé.

- Jisung ?

- Minho, dit le plus jeune à peine audiblement. Minho il, il veut pas m'écouter, dit-il en essuyant ses joues.

- De quoi ? Comment ça ?

- Je, j'ai dit non pour aujourd'hui, je voulais pas, il m'a forcé, dit-il en pleurant de nouveau.

- Pourquoi tu ne pars  pas ! dit-il en mettant ses baskets, avant de sortit sans même fermer à clé Il monta et alla frapper chez Félix, sachant que ses parents n'étaient pas là

- Je sais pas où sont les clé, là je suis dans les toilettes, il est dans le salon.

- D'accord, restes enfermé, ne sors, pas j'arrive avec Lix.

-  Oui... dit-il tremblant de tout son corps.

-Jisung, il faut que tu appelles la police. D'accord ? Tout de suite, sinon moi et Lix on peut rien faire.

- Je fais, vous êtes là bientôt ?

- Oui promis, dit-il en frappant à la porte du blond, qui semblait dormir. Moins de dix minutes

- D'accord, je j'appelle la police alors

Le noiraud entendit des coups à la porte de l'autre côté du téléphone. 

- Jisung, qu'est-ce que fous ?

- Tu m'as fait mal ! Donc attends merde !

- Appelles tout de suite, on arrive, dit l'aîné.

- Hmm, dit-il en raccrochant. 

Il tendit l'oreille pour savoir où était Léo. Il l'entendit dans la cuisine, assez loin pour qu'il appelle sans danger.

- Allo, police secours ? se fit entendre une voix féminine.

- Bon, bonsoir, je j'ai besoin d'aide, mon copain m'empêche de sortir de chez lui et il, il m'a forcé à des actes, je ne peux rien faire pour sortir.

- D'accord. Tu es où là de suite, dans l'appartement ?

- Enfermé dans les toilettes.

- Bien, tu peux me donner l'adresse.

- Oui, dit-il en le faisant.

- Le temps que des agents arrivent, tu penses pourvoir rester en sécurité ?

- Non pas du tout, mais, mais j'ai appelé des personnes qui habitent dans l'immeuble d'à côté, parce que je savais pas qui appeler, avant de vous appeler.

- D'accord, ils peuvent faire ce qu'ils peuvent pour te mettre en sécurité. Qu'importe quoi, là on fait avec les moyens du bord, je ne sais pas dans combien de temps ils vont arriver.

Du côté de Minho :

Félix ouvrir la porte, la tête dans le guidon, mettant un jogging de pyjama.

- Qu'est-ce que tu fous là ? dit le blond

- Les explication après, mets des baskets, on a quelqu'un à tuer et après on cause, dit simplement Minho. C'est pour Jisung, il est en danger donc ...

A peine le noiraud eut-il dit les mots "Jisung" et "danger" dans la même phrase, que le regard du blond changea d'un seul coup.

- Qui ? Quoi ? Où ? dit-il en mettant des basket, avant de claquer la porte suivant le noiraud en courant.

- Son copain de merde !

-Léo !

- Oui Léo, il a abusé de lui Lix, dit Minho essuyant ses joues.

- De de ... Le souffle du blond c'était coupé, tout comme toutes pensées rationnelles. 

- Il n'avait pas conscience de la notion du consentement, 'fin à moitié j'ai l'impression, alors il l'a toujours laissé faire. Je lui ai expliqué et il lui a dit non clairement, l'autre n'a pas dû apprécier, dit-il en ouvrant la porte de l'immeuble, laissant Félix passer ne sachant pas quel appartement était le bon.

Felix tambourina à la porte du premier étage.

- Ils sont là, dit Jisung à la femme au téléphone.

- D'accord, dit-elle, crispée sur son siège, elle avait relançait les brigades, mais avait l'impression que rien n'y faisait, personne n'était parti.

- Vous savez quand est-ce qu'il vont arriver ?

- J'ai relancé, mais personne ne prend le cas pour le moment, je ne comprends pas ! s'énerva t-elle. Promis, je restes avec toi jusqu'à ce que tu sois en sécurité. Il se passa quoi ? Tu entends ?

 Félix allait finir par exploser la porte.

- Quoi ? dit Léo en se levant, pour voir qui allait finir par exploser sa porte.

- Enfant de pute, ouvres la porte ! Magnes toi, je te tues sinon ! dit le blond, ne prenant même pas en compte les voisins.

-Pourquoi ?

- Tu l'as touché ! Laisses le partir, espèce de cinglé ! 

- J'ai aucun ordre à recevoir de toi.

Félix mit un coup de pied dans la porte

- Pètes la porte j'ai pas assez de jambe pour ça, dit-il à Minho, qui fit donc.

En quelques coups surpuissants, la porte lâcha, tout comme la cheville du noiraud qui retint une complainte.

- Ils sont entré je crois, dit Jisung, soupirant, essuyant ses joues de nouveau.

- Bien, parfait alors, dit-elle en tapant sur son collègue, lui passant le dossier, pour qu'il appelle n'importe qui qui daignerait aller aider et faire son fichu travail de gardien de la paix. J'ai envoyé une ambulance, il t'a fait mal c'est ça ? dit-elle en notant.

- Oui, vraiment mal, il m'a tabassé aussi, mais pas le visage.

La noiraude au bout du fil avait le cœur qui se serrait à chaque mots du brun, imaginant son fils dans un pareil cas. 

- Ils ont dit querelle de couple, ils n'ont pas le temps pour ça, dit son collègue à peine audiblement.

- Pardon ? Querelle ! Ils sont fichus, le signalement est pour eux ! dit-elle rouge de colère.

- Vous avez dit ? dit le brun.

- Rien ne t'en fais pas, je parle à mon collègue.

- D'accord.

*

Félix avait lui explosé Léo contre le mur, en une seule droite bien placée, à peine furent-ils entré.

- Je vais tu tuer ! Je t'ai prévenue, touche le je te tue ! dit-il en lui assenant de nouveau coup. Il n'avait pas conscience !Et là, là il te dit non car il a bien compris et donc il savait qu'il pouvait dire non, que rien n'est obligé, et toi, au lieu de dire d'accord c'est non, tu, tu abuses de lui, seigneur t'es mort, dit-il en se levant lui assenant un coup de pied dans l'abdomen.

Minho était directement partit chercher Jisung. Il en avait que faire de Léo, qui avait de toute façon signer son arrête de mort ce soir.

- Jisung ? dit-il en frappant à la porte.

- Minho ?

- Oui c'est moi, ouvres moi, c'est fini.

Le brun fit donc et Minho le prit contre lui un instant.

- L'ambulance doit être en bas, dit la noiraude toujours au téléphone. 

En effet, les flashs bleus se reflétaient par la fenêtre du salon.

- Oui, elle est là.

-Super, eux vont pouvoir faire quelque chose. La brigade a décidé de faire je ne sais quoi, mais à l'hôpital ils vont pouvoir l'arrêter.

- D'accord, dit le brun, qui était juste assis sur les toilettes n'arrivant pas à se lever. Ils ont cassé la porte par contre et Lix l'a frappé aussi... dit le brun, qui avait peur que son ami ne se fasse poursuivre.

- Ce n'est rien, il a voulu l'agresser et j'ai dit qu'il fallait faire ce qu'il faillait pour te libérer.

- D'accord.

 Minho attendait, Félix avait bloqué Leo au sol, les ambulanciers arrivèrent enfin à la porte. 

Le noiraud les conduisit à Jisung, qui leur passa le téléphone car la noiraude avait des instructions à leur donner.

Cela fait, ils donnèrent leur téléphone à Minho et parlèrent à Jisung.

- Jisung, c'est bien ça ?

- Oui, dit le brun

- Est-ce que tu peux marcher ? dit la docteur du SAMU

- Oui, mais ça fait mal... dit-il en baissant les yeux.

- Bien, l'ascenseur est trop petit pour un brancard, dit-elle pour elle même. Déjà, tu as mal où exactement ?

Le brun se pinça les lèvres.

- Il a fait des actes de force, donc c'est là que tu as mal ? dit-elle, comprenant bien la gène extrême et la honte que pouvait ressentir Jisung à ce moment, quand bien même il n'a à être honteux de rien.

- Oui, et puis, dit-il en levant son tee-shirt, montrant les ecchymoses sur son abdomen. C'est la même chose sur les jambes.

Minho était partit dans le salon, voir Lix, préférant laisser la médecin avec le plus jeune.

- Chan va me tuer, dit Félix, les mais bleues, dû aux coups.

- Il  ne va rien te faire ! Pourquoi même ?

- Je l'ai laissé avec Léo ! Sans lui dire !

- Il n'a pas besoin d'être au courant et Jisung ne voudra rien lui dire, donc toi aussi tu ne dis rien et tu ne dis rien au gars non plus.

- Mais...

- C'est pas à nous de décider, on a fait notre part pour l'aider et Jisung ne voudra jamais le dire c'est sûr, donc voilà.

Le blond se mordit la lèvre.

- Oui... Mon bébé, dit-il en essuyant ses larmes. C'est de ma faute, je lui ai pas expliquer correctement, je l'aurais fait rien ne serait arrivé, j'aurais pas du penser qu'il savait tout comme il faut, on en sait jamais.

- Tu n'as rien fait Lix, tu n'y es pour rien du tout, vraiment.

- J'aurais dû le tuer, c'est pas assez là.

- Les flics s'occuperont de lui t'en fais pas.

- Pff, ils sont où hein ! Si Sung a appelé pourquoi il y a que l'ambulance !

Le noiraud pinça des lèvres, sachant qu'il avait raison.

Ils virent la docteure aider Jisung à marcher.

- On le ramène à l'hôpital du centre pour examen, dit-elle.

- D'accord, dit Minho en se levant, grimaçant sa cheville avait vraiment pris cher. 

- Vous avez défoncé la porte ?

- Oui.

- Vous avez dû vous faire une entorse, on va vous prendre également, dit-elle.

*

A l'hôpital :

Jisung avait reçu plusieurs examens importants était maintenant dans une chambre avec Félix.

- Je suis vraiment le pire des cons sérieux, dit Jisung énervé contre lui même.

- Mais non, pourquoi tu dis ça !

- Parce que il a fallu que Minho débarque pour qu'il m'explique tout ça ! ça fait une semaine qu'il est là ! Il a capté que l'autre faisant des trucs pas correct et que moi je laissais faire.

- Sung... Le principal, là maintenant, c'est qu'il ne mettra plus la main sur toi. 'Puis, moi aussi je suis con hein, j'ai rien vu du tout, Minho a vu c'est le principal on va dire...

- Oui.. Il est où ?

- En train de se faire poser une attelle je crois, sa cheville a pris cher.

- Putain, il va faire comment ? Sana va jamais le prendre s'il ne peut pas travailler à peine une semaine après.

- Sung, penses pas à ça là de suite

- Si ! J'ai rien d'autre à penser, j'suis sensé l'aider ! Depuis le départ, c'est que lui qui m'aide; en l'espace d'une semaine il c'est fait démonter par mon frère et ça ce soir, franchement je sert à rien.

- Je comprends ton ressentit, mais tu l'as aidé hein, à partir du moment où tu l'as accueilli chez toi, je pense que voilà t'as fait beaucoup.

- Hmm. Jures moi sur ta tête que personne ne sera jamais, ô grand jamais, au courant de tout ce qu'il c'est passé. Personne, ni les gars, ni Chan, ni même ton doudou.

- J'te jure Sung.

- Bien, on parle plus alors, ils ont tous ce qu'ils leur faut. Moi, j'veux plus rien savoir, ni procédure ni rien du tout.

Félix le regarda, perdu.

- Mais..

- Rien du tout Lix, j'en ai rien à foutre de tout ce qui arrivera, qu'il se fasse enfermer ou pas ou j'en sais rie,. Le temps que je ne le vois plus jamais et que ma vie avance, le reste je m'en cogne sur vingt génération, point !

Félix baissa les yeux.

- D'accord Sung, promis j'en parle plus jamais alors.

- Voilà c'est bien, dit-il en fermant les yeux, énervé et épuisé.

Minho entra dans la chambre, suivit d'un médecin.

- On va te garder jusque demain soir au moins, puis tu pourras rentrer chez toi.

- D'accord, dit simplement Jisung.

- Je t'informe aussi que la plainte a bien été prise et qu'une équipe l'a embarqué après les soins.

- Je suis obligé de retourner au poste et tout ? Ou ils ont tous ce qu'il faut ?

- Normalement ils ont out ce qu'il faut, tu recevras les notifications de l'avancée et du jugement, si je ne te dis pas de bêtise. Tu peux soit aller au l'audiences pour témoigner ou ne pas y aller, c'est toi qui verras.

- Pas besoin d'y aller, ils ont tout, j'ai rien à dire de plus

- C'est ton droit.

Le brun hocha la tête.

- Je vais t'arrêter une semaine également, que tu te reposes complétement.

Le brun pinça des lèvres.

- D'accord...

Le médecin sortit ensuite pour le laisser tranquille.

- Poussez-moi dans le fleuve c'est mieux ! Comment je dis à Sana que je suis arrêté, 'fin pourquoi je le suis !

- T'as la grippe ? dit Félix. Trop de fièvre, t'as fait un malaise, on t'a amené aux urgences dans la nuit et voilà.

-Hmm. ça va toi ? demanda t-il à Minho, qui avait le regard éteint.

- Penses à toi Jisung, moi ce n'est rien du tout.

- Moi ça va aussi ! dit-il.

Les deux savaient bien que Jisung restait de marbre, mais qu'en réalité il n'allait clairement pas bien, ce n'était pas possible.

- D'accord, toi aussi ça va alors, dit Minho.

Voici pour ce chapitre !

Je ne sais pas vraiment quoi en penser, j'ai l'impression que quelque chose ne va pas...

'fin bref, passez un bon Week-end et prenez soin de vous. 
Des bisous <33

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