_LaFolia_

Assise sur un frêle trône de Romarin, la Reine qui en vain attends le matin ferme doucement les yeux, un funèbre cyprès ombrageant son visage, et un tendre pétale de rose glissant sur son éternel sein blanc... Assoupie dans le Jardin de pitié aux floraisons mortifères, et perdue dans le songe d'une nuit sans fin, elle attends, affaiblie, l'heureux départ promis par son Eugénie.---------------------------------/!\ Lecture FORTEMENT DÉCONSEILLÉE en cas de SPLEEN, de MÉLANCOLIE, ou de DÉPRESSION /!\(Ce n'est pas une plaisanterie).…

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Approchez si le coeur vous en dit, et si celui-ci est au passage bien accroché (ce qui impose vérification), dans ce recueil de nouvelle Décalées et Détraquées, où le bizarre côtoie l'élégance d'une tea party de cinq heures, où l'étrange est érigé en banalité, et où la Démence pourrait avoir tendance à un peu trop retourner la tête des protagonistes...et des lectrices et lecteurs ! Aurez-vous l'audace, le panache ou le courage de lire jusqu'au bout les curieuses, improbables, et parfois même dérangeantes, mésaventures de Valentine la psychopathe affirmée, Olive la suicidaire lucide, ou encore d'assister aux étonnantes -quoique sanglantes- réflexions de Psycho Killer et ses contemporains ? Hé bien ! Si tel est votre choix, je ne vous avertirai pas davantage... Mais prenez garde ! J'ai vu l'autre jour, comme un couteau un peu trop aiguisé, sur la table du jardin où reposent perpétuellement nos tasses à thé...En vous souhaitant tout de même une agréable, et sûre lecture;La Folia, la Poupée Humaine Autonome (P.H.A)…

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La nuit tombe sur les plaines du Dartmoor lorsque Dolly Heaventon passe les portes de l'inquiétant Manoir Thrall. Jeune violoncelliste prodigue à la peau de porcelaine et aux yeux de rubis, Dolly, envoyée au fin fond des Cornouailles pour trouver remède à la terrible maladie qui la ronge, se voit mystérieusement abandonnée par l'attelage sensé l'emmener à Port Isaac...Appercevant finalement un manoir au loin, elle y est accueillie par la ténébreuse et mélancolique Lady Gwendolyn Thrall, unique habitante et propriétaire de la riche demeure. Alors que la nuit se poursuit, des liens se tissent, des vérités se dévoilent, des coeurs, des esprits, des corps et des âmes se confondent, se découvrent et se troublent.Des vérités seulement?Si elle est en ce moment même dans le manoir de Lady Thrall, alors pourquoi Dolly est-elle soudain dans sa demeure à Riverhive dans le Yorkshire, en compagnie de son frère? Pourquoi est-elle internée dans un sombre asile, et traitée de dangereuse folle par le terrifiant docteur Edmond? Tandis que les racines du cyprès grandissent à ses pieds et que les lys se fanent, Dolly ne sait plus si ce qui l'entoure est la réalité, ou une macabre chimère produite par son cerveau. Dans ce qui semble être à la fois la plus réelle et la plus brumeuse des illusions, Dolly pose, chaques secondes, un nouveau pied à l'écart de la raison..."Amour, allons voir si le lysSous le cyprès a bien grandi.A ta mort j'étendrai ton corps sans vieSous ce cyprès plein de lysPour que jamais notre passion ne périsse."…

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Une chevelure verte, un camarade poulpe, et une 'profession' de voleuse mettant toute la maréchaussée du compté de GreenSmith à ses trousses? Pas de doute, nous parlons bien là de Vertiline Eunice March!En ce but de mettre la main sur un espèce d'artéfact qui pourrait soit disant lui permettre d'accomplir quelque chose de très important pour elle (à ce qu'elle dit), Vertiline n'est pas au bout de sa quête, à devoir crapahuter à travers tout HighSmith (continent délicieusement steampunk s'il en est); le tout en prenant part à tant de rencontres et pérégrinations loufoques qu'elles et les chères lectrices et lecteurs ne risquent pas de les oublier de sitôt! Et pour cause! J'en veux pour exemple un Liche psalmodieur en manque de pastilles pour la gorge, des leçons de bonne manière enseignées par des fous, des cheveux rouges reliant deux corps en un, un accident de lampadaire, une incroyable stichomythie, au moins deux blondines revanchardes, un grillon en jaretelle et son banjo magique, beaucoup de vapeur et d'engrenages, ainsi que, bien évidemment, l'incroyable presse-beignet au chapitre quatorzième!N'attendez plus! Enfilez vos lunettes, mettez votre plus beau chapeau, n'oubliez évidemment pas votre tasse de thé; et faîtes chauffer les moteurs de vos aéronefs et autres tacots; cap à toute vapeur sur HighSmith!---------------Cette histoire vous est généreusement prodiguée par :La Folia, la Poupée Humaine Autonome (P.H.A)/!\ Tout problème de rédaction sera vu comme une anomalie dans les mécanismes de La Folia, et sera vite corrigée. Merci de ne pas en tenir compte.Cordialement,Arthurus Rex McLogan (créateur de La Folia)…