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47 Ta poupée russe.


Chapitre 47 : Ta poupée russe

À ce moment-là, l'ascenseur se remet en marche et semble redescendre jusqu'au rez-de-chaussée. Je pousse un petit cri de surprise. James me repose sur le sol. L'instant d'après, les portes s'ouvrent sur un de mes voisins qui vit au cinquième étage, me semble-t-il.

— Ah euh, bonsoir, nous fait-il, gêné.

— Bonsoir, lui répondons-nous à l'unisson.

Il avance pour rentrer. James et moi nous décalons un peu sur le côté pour lui laisser plus de place.

— Vous remontez ? nous demande-t-il, hilare.

Nous aurions pu porter la pancarte « Réconciliations torrides » sur le front que ça aurait été la même chose.

Je me sens forcée de me justifier.

— Euh oui, pardon, au troisième, s'il vous plaîit. C'est parce qu'on a oublié un truc.

Il me sourit. Un sourire que je traduis par : « Mais oui, c'est ça. Prends-moi pour un jambon. » Il appuie sur les boutons 3 et 5.

J'essaye de me la jouer relax, de faire comme si de rien n'était et de rester sérieuse pendant que , mais c'était sans compter la main baladeuse de James derrière moi, en train de se faufiler sous ma robe. Je glousse. Le voisin se retourne. Je suis rouge comme une écrevisse et je maudis James.

Alléluia, les portes s'ouvrent enfin sur notre étage.

— Bonne soirée ! déclaré-je.

Puis je prends mes jambes à mon cou en tirant sur la main de James pour qu'il me suive, et fissa.

— Merci, bonne soirée.

Que je traduis par : « Bonne baise ». Nous voilà seuls dans le couloir. James ne perd pas de temps et m'attrape par le poignet pour m'attirer vers lui.

— Chez toi ou chez moi ?

— Chacun chez soi, osé-je lui répondre en sachant pertinemment que mon faux refus va l'exciter davantage encore.

Il se presse contre moi, l'une de ses mains soulevant ma robe avant de tirer sur l'élastique de ma petite culotte.

— Dans ce cas, je vais te prendre en terrain neutre, ici et maintenant.

Je tressaille et me mets à frissonner de la tête aux pieds.

— Non, emmène-moi dans ta chambre, montre-moi les petits joujoux dont tu m'as parlé tout à l'heure.

Son regard charnel s'illumine.

— Tu veux t'amuser avec moi, ma jolie ?

Il m'enserre la mâchoire pour m'entre-ouvrir la bouche avant d'y entrer sa langue tiède et humide. Je sens deux de ses doigts se promener sur mon pubis avant de s'enfoncer tout d'un coup en moi. Surprise, je m'arc-boute de plaisir.

— Tu es divine.

— Oui, je... je veux jouer avec toi, James, lui soufflé-je sur le visage en frémissant.

Il me relâche pour pouvoir ouvrir la porte de son appartement.

— Je t'en prie, entre, m'invite-t-il d'une voix voluptueuse. M, mais je te préviens, une fois à l'intérieur, il n'y aucune marche arrière possible. Tu as déjà bien assez fui.

J'ai beau être un peu intimidée, je le suis jusque dans sa chambre. Son lit est immense, un cent quatre-vingts je pense. En face, à côté de la fenêtre dont les volets sont fermés, se trouve une grande commode en bois massif avec quatre tiroirs. Il en ouvre un, je m'attends au pire. Je n'ai jamais utilisé d'objets pour faire l'amour, même pas un canard vibrant. Mais je dois avouer que découvrir ce genre de pratique avec James m'excite au plus haut point. Il possède ce charisme, cette virilité qui te donne juste envie de lui obéir et de tse laisser dominer. En tout cas, quand il s'agit de sexe, parce qu'en dehors de cette chambre, tout sera bien sûr très différent.

Il sort un écrin de velours. Je le regarde, interloquée. Des menottes ou des chaîines peuvent-elles entrer dans une mini boîte d'à peine trois-quatre centimètres de largeur ?

Voilà qu'il se met à genoux juste devant moi, pour la deuxième fois de la soirée. Je ne sais pas comment réagir ni quoi dire. J'attends comme une cruche, perdue, ignorant où il veut en venir. Puis, il ouvre l'écrin dans lequel je découvre une magnifique bague sertie de diamants.

— C'est... un plug anal ? m'exclamé-je sans réfléchir, affolée.

James blêmit.

— Hein ? Quoi ?

Il rit aux éclats. Je crois que je ne l'avais jamais vu rire à ce point.

— Mais non. C'est une bague.

— Une ba... ? baragouiné-je bêtement.

— Prune, épouse-moi, offre-moi ton cœur et ton magnifique petit cul bombé. Je veux que tu sois ma femme. Je veux rester dans ton monde et surtout, je veux te rendre heureuse, c'est le nouveau contrat que je signerai et honorerai. Finie mon ancienne vie, tu es mon nouveau départ.

Je suis sous le choc. Impossible de parler sans renifler. Je ne vais pas tarder à pleurer comme une madeleine. Il y a quelques jours encore, je broyais du noir, je détestais la jeune caissière toute pimpante et plus encore sa collègue qui n'avait plus de glace à la vanille en stock à me vendre.

— Nous marier ? Mais on se connaît à peine... Pourquoi précipiter les choses ?

— précipiter les choses est justement la définition même de notre relation, non ?

Je rigole. Il est toujours à genoux devant moi. Son regard bleu azur ne me lâchera pas tant que je n'aurais pas donné ma réponse.

— On vient juste de se remettre ensemble, et j'ai tant de questions en suspens, ta vie est si floue, si étrange et angoissante.

— Mon passé, tu veux dire, pas ma vie. Je n'ai que trente-trois ans, les prochaines décennies, je vais les passer avec toi, en honnête homme et en mari comblé.

Il se relève et me domine d'une bonne vingtaine de centimètres.

— Prune, je te veux pour femme, je ne suis pas le genre d'homme à avoir une petite amie pendant cent sept ans, je désire beaucoup plus que cela. C'est simple, je veux que tu sois mienne et que tu portes mon nom.

— Haha, que je sois tienne ? Qui dit ça encore à notre époque ? me moqué-je. Et puis, de quel nom parles-tu ? Tu as eu dix mille identités différentes.

— Certes, mais désormais, je n'en changerai plus. Ma vie est ici, auprès de toi.

— Je pourrais toujours divorcer, blagué-je.

Son regard s'assombrit. Il me plaque contre lui, sa main descendant le long de ma colonne vertébrale jusqu'à s'accrocher à l'une de mes fesses. Je peine à avaler ma salive et sens une chaleur aphrodisiaque envahir mon bas ventre.

Fourberie. Il est en train de m'avoir par les sentiments.

Je le repousse pour tenter de retrouver un semblant d'idées claires.

— Tu as été voir des putes toute ta vie et la première femme que tu ne payes pas, tu veux l'épouser en trois secondes top chrono, ce n'est pas un peu extrême, ça ? insisté-je en arquant un sourcil, songeuse.

— Au contraire, c'est d'autant plus logique. Tu es la seule femme que j'ai aimée et je ne veux plus jamais te perdre, mon amour.

Et les chenilles devinrent de magnifiques papillons qui quittèrent leur cocon et s'envolèrent pour me toucher en plein cœur. À croire que c'est cette dernière phrase qui me fait vriller et scelle ainsi mon destin. Un destin qui, je l'espère, ne sera pas éphémère.

— Je... je suis sans doute une grande malade de te répondre ça, mais j'ai envie d'essayer... oOui, je veux me marier avec toi, James. Enfin à une condition.

— Laquelle, ma belle ?

— Je veux savoir ton véritable prénom.

Il s'esclaffe.

— Tu ne l'aimeras pas.

— Dis toujours. De toute façon, j'aime tout de toi.

Il me sourit.

— Robert.

— Oh merde !

Je pouffe de rire sans pouvoir me contrôler.

— Ouais, c'est ça, marre-toi...

Il rougit, vexé.

— Et est-ce que j'ai le droit de continuer à t'appeler James ? lui demandé-je, hilare.

Un sourire en coin est apparu sur son visage d'ange. Toujours collé contre moi, il ne me répond pas et attrape ma main tremblante pour me mettre la bague au doigt, puis il m'embrasse en me tenant par le menton.

— Tu as tous les droits, ma jolie, sauf celui de danser à nouveau avec un autre mec, car tu m'as déjà beaucoup trop cherché sur ce terrain-là.

Un frisson d'excitation me traverse le corps. Je change de sujet, la gorge sèche et les jambes tremblantes.

— Tu sais pourquoi Clémentine m'a inscrit sur Xinder sous le pseudo de poupée russe ?

— Non.

— Parce que j'étais à la recherche de la petite poupée cachée au fond de toutes les autres matriochkas, celles qui sont rangées dans un ordre décroissant.

— Oui, je vois à quoi ça ressemble.

— Après de nombreux échecs amoureux, je voulais enfin trouver l'homme de ma vie et ne plus perdre de temps. Voilà pourquoi poupée russe, tu sais tout. Je suis une éternelle romantique cucul la praline tombée folle amoureuse de son kidnappeur.

— Alors en fait, si je comprends bien, c'est moi ta poupée russe ?

— Oui, c'est ça.

Je le fixe avec tendresse quand il me choppe inopinément par les hanches.

— Bon, assez parler, prépare-toi parce que je ne tiens plus. Je vais te baiser toute la nuit, mon adorable et bandante fiancée. Et demain matin, tu sais ce que tu feras ?

Mes joues s'enflamment. Je peine à prononcer :

— Non ?

— Tu me supplieras de recommencer.

Happy (Hot) End

Attention, il te reste un petit épilogue bien romantique cucul la praline haaha


Tu as aimé James et Prune ? Alors je pense que tu aimeras ma nouvelle romance en ligne sur wattpad : Confinée avec un Con fini. :-)
Je te promets de l'humour, du hot et bien sûr de l'amour ! :-)


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