Chapitre 15 - Menaces
*Le lendemain*
PDV Marinette
Au collège, nous allons voir Alya et Nino qui discutaient ensemble. Quand Alya remarque ma présence, elle court vers moi et me serre dans ces bras.
•Alya: MARI !
•Moi: Hey !
Elle me serre contre elle et je la serre à mon tour. Je recule d'un pas, en souriant.
•Alya: Ça va ?
•Moi: Oui et toi
•Alya: Oui. Alors, quoi de neuf ?
•Moi: Rien de neuf et toi ?
•Alya: Rien non plus.
Je souris une seconde fois et je regarde Nino puis je lui salue de la main. Il fait de même et va voir son meilleur ami.
•Alya: J'aime beaucoup ce que tu portes.
•Moi: Oh merci.
•Alya: Création ?
•Moi: Non, seulement des vêtements achetés.
Nous rions et les garçons nous regardent. Ils se demandent sûrement pour quoi nous avons ri. Je leur dis que ce n'est pas important, puis nous allons tous à nos casiers, car les cours vont bientôt commencer. Une fois à mon casier, je l'ouvre et prends mon cartable de français. Je verrouille mon casier avec mon cadenas et je vais voir Adrien.
•Moi: Coucou Chaton.
•Adrien: Coucou M'Lady.
Je lui souris et je regarde ce qu'il fait sur son téléphone.
•Moi: Tu cherches quoi ?
•Adrien: Oh rien. J'envoie seulement un message à Nathalie pour savoir si j'ai quelque chose de prévu après les cours.
•Moi: Tu n'as pas ton horaire avec toi ?
•Adrien: Nathalie allait m'envoyer la nouvelle. Il y a eu quelque changement cette semaine.
Je souris et l'embrasse sur la joue. Il ferme son casier puis m'embrasse sur la joue à son tour. La cloche sonne alors nous allons dans le cours de français. Durant notre petite marche, Rose et Juleka viennent nous rejoindre. Je les salue et nous parlons de notre fin de semaine. Je ne dis pas beaucoup de détail sur ce qui s'est passé ces deux derniers jours. Une fois rendue en classe, je m'assois à ma place, comme tous les autres, puis nous attendons tous Mlle Bustier.
Il est 08h00 dans cinq minutes et elle n'est pas encore là. Pendant que nous l'attendons, je discutais avec Alya, Nino et Adrien.
Peu de temps après, Mlle Bustier arrive enfin. Elle s'excuse de son retard et nous explique que sa voiture ne voulait pas démarrer ce matin, alors elle devait venir ici à la marche. Pendant qu'elle sort ces affaires pour enseigner, nous faisons de même.
•Mlle Bustier: Donc, nous allons parler de votre examen final qui arrive dans un mois. Oui Mylène ?
•Mylène: Est-ce que vous avez déjà la date ?
•Mlle Bustier: Soit le 9 juin ou 13 juin. Je vous tiens au courant.
Nous commençons la matière.
** 30 minutes avant la fin du cours **
Je lève la main et Mlle Bustier me sourit.
•Mlle Bustier: Oui Marinette ?
•Moi: Est-ce que je peux aller aux toilettes ?
•Mlle Bustier: Oui bien sûr.
•Moi: Merci.
Je me lève et sors de la classe. Une fois sortie, je marche vers les toilettes. La cour était vide, il avait seulement le concierge qui balayait la cour. D'un pas tranquille, j'arrive vers la porte des toilettes des filles. J'entre et me dirige vers les lavabos. Je me regarde dans le miroir et Tikki vole à côté de moi.
•Tikki: Ça va ?
•Moi: Oui tout va bien.
•Tikki: Es-tu sur ? J'ai l'impression que tu es ailleurs.
•Moi: Non ça va bien, Tikki.
•Tikki: D'accord ...
Mon cellulaire vibre dans ma poche de ma jupe alors je me saisis. C'est un texto d'Alix.
-Alix: Reviens vite ! Tu manques quelque chose de malade.
-Moi: Qu'est-ce qui se passe ?
-Alix: Chloé se pogne avec Lila.
-Moi: Quoi ?! Pourquoi ?!
-Alix: Viens!
Je remets mon cellulaire dans ma poche et Tikki rentre dans ma sacoche. Je me dirige rapidement dans le cours. Quand j'entre dans la classe, tout le monde me regarde. Le directeur était là et il essayait de séparer Chloé et Lila.
•Moi: Mais qu'est-ce qui se passe ?!
•Lila: Bon voici Ladybug qui est là.
Je soupire et je demande ce qui s'est passé. Le directeur m'explique que les deux se disputaient à cause de moi.
•Moi: Et pour quelle raison ?
•Alix: Que tu n'es pas fait pour être Ladybug.
•Moi: Encore ?! C'est vraiment nécessaire de reparler de ça ? Ça fait combien de fois que j'ai dit que je ne suis pas faible !?
Lila ricane et me regarde dans les yeux.
•Lila: Ce n'est pas -
•Moi: Lila. Arrête de parler pour deux minutes, tu veux bien ? ... Merci.
Les autres élèves rient puis je souris légèrement.
•Moi: Bon je ne vois pas l'utilité de rester là à chialer. On a un examen dans 1 mois et demi, je vous rappelle.
Je vais m'asseoir à ma place et je souris à Mlle Bustier.
•Mlle Bustier: Merci Marinette.
Le directeur demande à Chloé et Lila d'aller à son bureau.
Quand le cours se termine, madame Bustier m'a demandé de rester. Je vais la voir devant son bureau et après que tout le monde soit sorti de la classe, elle prend la parole.
•Mlle Bustier: Comment vas-tu ?
•Moi: Je vais bien et vous ?
•Mlle Bustier: Je vais bien aussi. Je voulais te parler de quelque chose.
•Moi: Mademoiselle, si c'est pour parler de ma "deuxième vie" ou ce qui s'est passé il y a quelque mois, ce n'est pas nécessaire de discuter sur ce sujet.
•Mlle Bustier: C'est nécessaire, Marinette. J'ai l'impression qu'il y a quelque chose qui te tracasse.
•Moi: Pourquoi dites-vous ça ?
Elle me sourit puis vient à côté de moi.
•Mlle Bustier: Tout à l'heure, tu avais l'air très contrariée par le conflit entre Chloé et Lila.
•Moi: Oui ... C'est seulement que Lila me traite de faible et tout. Je m'en fou de ce qu'elle pense de moi.
•Mlle Bustier: Et l'anxiété ? Ça va bien ?
Je ricane et je regarde mes pieds au sol puis je hausse les épaules.
•Moi: J'en ai presque chaque jour ... Tout comme mes souvenirs d'il y a quelques mois.
•Mlle Bustier: Vit dans le présent et non dans le passé.
•Moi: Je me le dis tous les jours, mais c'est plus fort que moi ...
Elle pose sa main sur mon épaule et je la regarde avec un visage triste avec une boule dans la gorge.
•Mlle Bustier: Ne pleure pas. Ça va s'arranger. Tu es Ladybug.
Elle me sourit et me dit de me reposer et d'ignorer les avis des autres autour de moi. Je la remercie et quitte la classe en retenant mes larmes.
Je descends les escaliers et je remarque que tout le monde qui est dans la cour me regarde. Je m'arrête et je les regarde aussi. Tranquillement, je descends les marches qui restent. Une fois rendue en bas de l'escalier, je me dirige rapidement vers mon casier. Après avoir franchi les grandes portes, je ferme les portes-derrières moi et pose mon dos sur celles-ci. Les larmes aux yeux, je cours vers mon casier et j'ouvre mon cadenas avec difficulté. Mes mains tremblent et je saisis mon téléphone dans ma sacoche. J'avais 5 messages textes.
1 d'Alya
2 d'Adrien
2 de personnes inconnues.
Je déverrouille mon cellulaire et je regarde les messages.
Alya
1er message : " Tu vas bien ? Je t'ai vu aller rapidement à ton casier. "
Adrien
1er message: " Je dois appeler Nathalie, mais Alya et Nino sont à la cafétéria. "
2e message: " M'Lady ? Ça va ? "
J'ouvre les messages des 3 personnes inconnus.
"Salut la faible Ladybug ! J'ai entendu dire que tu as faire une crise hier. Haha. "
Le dernier message est le plus pire ...
" Salut Ladybug ou Marinette, j'ai entendu dire que ça ne va pas très bien dans ta vie présentement. De toute façon, ta p'tite vie ne m'intéresse vraiment pas. Alors, te sentir observé par plusieurs personnes et entendre leurs avis, comment tu trouves ça ? Je te regardais quand tu descendais l'escalier et je riais de toi. La peur dans tes yeux et ton regard qui cherchait ton cher Adrien ou Chat Noir. Tu n'arrives même pas à te défendre seule. Pathétique ! Toi qui es supposé d'être Ladybug ... Regarde-toi et demande-toi si tu mérites vraiment ce rôle. Sincèrement, ton existence ne vaut rien parce que tu es juste une faible."
Après avoir fini de lire, mes jambes me lâchent et je m'écroule au sol, en larmes. En fixant mon cellulaire, je relis la dernière phrase. Je tremble de peur puis Tikki sort de ma sacoche.
•Tikki: Qu'est-ce qui se passe ?!
Je reste silencieuse et je ne bouge pas. J'étais seule dans mon allée de casiers, car nous étions le diner. D'une main tremblante, j'appelle Alya puis dirige mon cellulaire à mon oreille. Après deux bips, elle répond.
•Alya: Hey Mari !
Je retiens mon sanglot le plus que je peux, mais malheureusement, je n'y arrive pas et ma meilleure amie l'a remarqué.
•Alya: On t'att- Hey qu'est-ce qui se passe ?
Je n'arrive pas à dire un seul mot. Je continue à sangloter puis décide de raccrocher et mettre mon cellulaire loin de moi. Je le pose sur le banc qui est devant mon casier puis je ramène mes genoux vers moi. Je reste toujours silencieuse à fixer mon téléphone pendant que Tikki essaye de me calmer. Peu de temps après, Rose et Juleka me voient au sol. Elles s'approchent de moi, puis Rose me serre dans ces bras, sans me poser de questions. Ensuite, j'entends la porte qui mène au casier s'ouvrir brusquement. C'est Alya, Nino et Adrien. Mes amis arrivent vers moi et Alya se mit à genoux à côté de moi.
•Nino: Qu'est ce que tu as Mari ?
Je vois mon Kwami aller vers mon cellulaire. Tikki n'a jamais sorti ouvertement en public depuis ma révélation, mais je la laisse faire. Après tout, je n'arrive pas à parler. Adrien saisit mon téléphone et lit le dernier message que j'ai reçu. Les quatre lisaient au-dessus de l'épaule à Adrien. Ils finissent tous bouche bée. Toujours sous silence, je croise mes bras autour de mes jambes et dépose ma tête sur mes genoux.
•Rose: Il faudrait aller avertir le directeur de tout ça ...
•Adrien: Ça serait une idée. Tu en penses quoi Buguinette ?
Je ne bouge pas et continue de trembler de peur. Alya essaye de me parler, mais je n'écoute pas. J'ai seulement besoin d'air et de calme. Sinon l'anxiété va prendre le dessus. Je ferme les yeux puis je respire de façon tranquille et régulière pour réduire mon stress.
•Adrien: Alya recule. Elle a besoin d'espace pour se calmer.
•Alya: Calmer ...?
•Adrien: Et ben ... Anxiété.
En entendant ce mot, je me retiens de pleurer à nouveau. Je lève ma tête et la dépose sur ma porte de casier. Toujours les yeux fermés, je serre mes lèvres l'une contre l'autre pour retenir mon sanglot. Mon cœur bat rapidement et ma respiration n'était plus régulière. Je pose ma main au niveau de mon thorax. La cloche des classes vient de sonner pour avertir les élèves que les cours commencent dans cinq minutes.
•Nino: Il faudrait aller avertir le directeur ou quelqu'un.
•Rose: Juleka et moi on va aller avertir le directeur.
Après cette phrase, je n'entends plus rien comme si je deviens sourde. J'ouvre les yeux et je les referme aussitôt. Voir tout le monde me regarder me fait paniquer. Je tends mon bras vers Adrien, qui a mon cellulaire dans ces mains puis il me le rend. Sans regarder les autres, j'ouvre une seconde fois mes paupières et regarde mon téléphone. Soudain, mon cellulaire vibre. Je clique sur la notification puis je fige instantanément en voyant le message.
" À ce que je vois, tu paniques encore. Pauvre Ladybug. C'est dur de se faire menacer comme ça, n'est-ce pas ? Je suis impatiente de voir ce que tu vas faire. "
Je regarde le message et je serre mon cellulaire dans ma main droite. En colère, je me lève d'un bon et je claque ma porte de casier avec force puis je le verrouille. Je pousse les gens qui sont dans mon chemin et je sors pour aller dans la cour.
"Ouuh attention ! Marinette est contrarié ! C'est très amusant te voir comme ça"
Je regarde autour de moi et il avait trop d'étudiants qui circulaient. Impossible pour moi de voir qui pourrait m'écrire de la sorte.
"Transforme-toi. Peut-être que tu trouveras"
Tikki me regarde et me dit de ne pas me transformer pour ce genre de chose... Soudain, je perds pied et j'agrippe la poutre qui soutient le palier du deuxième étage, à temps. Je ferme les yeux et pose la paume de ma main gauche sur mon front. Je secoue ma tête et je me redresse droitement. Je sentis une main se poser sur mon épaule. Je la regarde brièvement et je la saisis au niveau du poignet. Je me retourne et relâche ma prise rapidement. C'était Lila.
•Moi: Qu'est-ce que tu me veux ?!
Elle rit légèrement et me regarde avec son regard habituellement.
•Lila: Alors la faible, ça va ? On dirait que tu as vu le Papillon.
•Moi: Va-t'en Lila ! J'ai quelque chose à régler.
Mon cell vibre et mon coeur commence a battre rapidement.
" On va en cours. Texte-moi s'il y a quelque chose. Le directeur a été averti , mais il va falloir que tu ailles le voir tantôt quand tu irais mieux et la prof d'art veut que tu viennes la voir après le cours, si tu ne viens pas. Fait attention M'lady. Je t'aime xxx "
Je souris et je remarque qu'il avait juste moi et Lila dans la cour. La cloche du début des cours sonne.
•Moi: Tu devrais aller en cours, Lila.
•Lila: Je ne vois pas la nécessité d'y aller si tu n'y vas pas.
•Moi: Mon absence est motivée et pas toi.
La menteuse me sourit une nouvelle fois puis passe sa main dans ces cheveux et commence à marcher vers les escaliers.
•Lila: À plus tard, la faible !
Je regarde Lila partir et je me dis qu'il était temps de prendre l'air. Je marche vers un banc pour m'y asseoir, avec difficulté. Je regarde ma bague et la pierre est devenue rouge vif.
•Moi: J-je me sens enfermée comme dans une boîte présentement.
•Tikki: Tu devrais aller voir le directeur ...
Mon téléphone vibre une nouvelle fois alors je regarde qui c'est.
"Alors, comment te sens-tu Ladybug ? Je vois que tu n'oses même pas me répondre. Quelle lâcheté ! "
J'ignore le message et je me lève pour aller voir le directeur. Je monte les escaliers et je me dirige vers son bureau. En arrivant devant la porte, je prends une grande inspiration puis je frappe à sa porte. J'entends un "Entrée" alors j'entre dans la pièce.
•Moi: Bonjour.
•Directeur: Bonjour Marinette. Viens t'asseoir.
Je vais m'asseoir sur une des deux chaises qui sont devant mon bureau puis je le regarde, nerveusement.
•M. Damoclès: Rose et Juleka sont venus me voir tout à l'heure.
•Moi: Oui eumm... J'ai reçu trois messages de personne qui m'insultait, dont un qui me menaçait.
•M. Damoclès: Est-ce que je peux voir ?
•Moi: Oui bien sûr.
Je déverrouille mon téléphone et je lui montre les deux messages d'insulte. Je lui dis qu'il peut prendre mon cellulaire s'il le voulait. Il le saisit et lit les messages que j'ai reçus. Après avoir fini de lire, je lui montre le dernier message.
•M. Damoclès: Est-ce que vous avez une idée de qui cela peut-être ?
•Moi: Non malheureusement ... Que dois-je faire ?
•M. Damoclès: Je vais faire un rassemblement demain, si cela te convient ?
Sur ces mots, mon cellulaire vibre encore une fois. Mon coeur bat rapidement et je deviens très nerveuse. Je le reprends et je regarde la notification. Je fige un instant puis je regarde Monsieur Damoclès.
•Moi: Maintenant c'est possible ?
Il me regarde avec incompréhension et je commence à lire le message que je viens de recevoir.
"Je viens d'apprendre que tu allais voir le directeur pour discuter de ça. Comme c'est héroïque de ta part. C'est typique de Ladybug. Tu verras, cela va ne rien servir. Tu ne mérites pas d'être sauvée, car tu es faible. Est-ce que tu te souviens de ton combat contre Papillon ? "
J'arrête de parler et je fixe mon écran. Je ressens une boule dans ma gorge et commence à avoir les larmes aux yeux. Je prends une grande respiration et je continue ma lecture, d'une voix tremblante.
" Tu sais, quand tu t'es fait poignarder, gisant dans ton propre sang rouge comme ton costume et as agonisé de douleurs. Tu te souviens de ce moment-là ? "
Je le pose sur le bureau de M. Damoclès et il le relit rapidement. Il me redonne mon cellulaire et saisit le téléphone de son bureau puis appuie sur les touches.
•Moi: Que faites-vous ?
•M. Damoclès: J'appelle tes parents puis la police.
•Moi: On ne peut pas faire le rassemblement avant ..?
•M. Damoclès: Oui, mais sûrement qu'avec la police, la personne qui te menace va avouer et je crois que tes parents doivent être au courant.
Je baisse la tête et soupire en répondant un "d'accord". Il dirige le téléphone à son oreille puis dès qu'il dit: "Des menaces sur une étudiante", je me lève et quitte la pièce en vitesse. Une fois sortie du bureau, je pose mon dos sur le mur et regarde devant moi. Je ne voulais pas être avec le directeur et entendre les conversations entre lui et la police et celle de mes parents. J'ouvre mon téléphone pour envoyer un message dans le groupe de moi, Nino, Alya et Adrien en leur écrivant:
"Il va avoir un rassemblement dans pas long. La police et mes parents vont être là. Help !!! "
Quand j'envoie le message, je me suis sentie faible, physiquement. Je ressens les mêmes sensations que dans mon cauchemar de l'avant-veille. Mon cœur bat comme s'il voulait sortir de ma poitrine, ma gorge se serre et ma respiration est difficile.
J'étais calme pourtant ... Qu'est-ce qui se passe ?
Je prends de grandes respirations en me disant que c'est juste dans ma tête et tout va bien. J'entends le haut-parleur du collège s'ouvrir puis j'entends la voix du directeur.
"Chers professeurs. Chers élèves. Je vous convoque tous dans la cour du collège pour un rassemblement d'urgence qui commencera dans dix minutes. Merci de votre compréhension."
Suite à ce message, j'entends la porte du bureau du directeur s'ouvrir puis il sort en refermant la porte derrière lui. Il verrouille la porte avec ces clés qui étaient dans la poche de son veston puis il me regarde.
•M. Damoclès: Le chef de la police et tes parents sont en route.
Je souris nerveusement et on descend les escaliers pour attendre mes parents et la police. Je suis très nerveuse et perdue. J'ai peur de ce que cela va engendrer. En arrivant devant l'entrée, j'entends mon prénom.
" Marinette ? Ma chérie ? "
•Moi: Maman ...?
Quand j'aperçois mes parents entrés dans le collège, je ris nerveusement et des larmes coulent sur mes joues, lentement.
À suivre ...
_______________
Coucou,
Voilà le chapitre 15.
J'espère que vous avez apprécié.
Gen-xx
3230 mots
Publié : 6 décembre 2019
Correction complète : 17 janvier 2020
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