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Chapitre 18 - Inattendu

Toujours paralysée par ce que je vois devant mes yeux, j'essaie de dire à mon cerveau de bouger afin d'intervenir mais, rien ne se passe. J'aurais dû porter attention à ce monsieur. C'est mon erreur de ne pas avoir pris le temps d'y faire assez attention. Maintenant, nous sommes ces otages et, en plus, il veut avoir tout l'argent qu'il y a dans le tiroir-caisse. Le criminel est positionné devant la caisse et mon père est devant celle-ci. J'arrive enfin à bouger sauf que je me fais arrêter de force. L'homme dans la quarantaine se retourne très rapidement et pointe son arme sur moi en m'ordonnant de verrouiller la porte d'entrée. D'une main tremblante de peur, je tourne le loquet pour verrouiller la porte. Je devais prévenir la police de ce qui se passe présentement car, techniquement, nous sommes en otage. Le supposé client m'ordonne de ne pas bouger.
S'il pense que je vais rien faire pour sauver mes parents, il est vraiment un sans-génie. **
Je suis Ladybug. Évidemment, que je vais les sauver.
Mon regard se pose sur mes parents qui sont tout les deux sous le choc.
Mon père retire tout l'argent qu'il y a dans le tiroir. Nous sommes en soirée et il est environ 17h00 alors il y a beaucoup d'argent. En voyant cette scène, j'ai réalisée que, sous la caisse, il y a un bouton d'urgence en cas de problèmes. J'essaie de faire signe à mon père pour qu'il appuie dessus, mais ce n'est pas évident de le faire quand tu as une arme pointée sur toi. Surprise, je vois Tikki se diriger vers mes parents pour sûrement avertir mon père. Inquiète, je démarre une conversation avec le voleur pour qu'il ne l'a voit pas.

Moi: Alors ...
Voleur: La ferme !
Moi: Hey ! Relaxe ! Je veux juste savoir pourquoi vous faites ça
Voleur: Cela ne te concerne pas !

Je répond un "D'accord, je me tais." en hochant de la tête. Les mains du voleur tremblent légèrement. Le canon de son arme n'est pas fixe. Je ricane devant lui, en pensant à quelque chose qui m'est venu en tête.

Voleur: Qu'est-ce qui te fais rire ?
Moi: Oh ! Je me demandais seulement si tu sais qui je suis.
Voleur: Euh ... Tu es leur fille.
Moi: Oui, mais est-ce que tu sais qui je suis vraiment ?
Voleur: Tu es une adolescente normale.

Je chuchote "Presque normale..." puis je ricane une nouvelle fois. Malheureusement, le voleur fait un pas en avant pour arriver à quelques mètres de moi.

Moi: Tu ne me fais pas peur, tu sais.
Voleur: Tu vas te taire sinon je tire
Moi: Ok c'est bon ! J'ai compris.

Je lève mes bras dans les airs pour montrer qu'il a mon attention puis je vois Tikki à côter de mon père, une main sous la caisse. Je souris subtilement. Sauf que l'homme me demande pourquoi je souris comme ça, en positionnant le canon de son arme contre mon thorax. Je reste calme devant cette situation dangereuse mais, ma mère panique en voyant l'arme si près de moi. Évidemment, j'essaie de trouver un moyen afin de sortir de ce pétrin, qui n'est pas quotidien pour ma famille. Même que je crois que c'est la première fois depuis l'ouverture de la boulangerie, il y a environ 10 ans.

Moi: Tu vas vraiment tirer sur une jeune fille de 18 ans ?
Voleur: Peut-être

Je fixe son arme des yeux et, tranquillement, je me déplace vers la gauche mais le voleur m'avertit, une dernière fois, de ne pas bouger. Je regarde à l'extérieur, les habitants ne se doutent même pas qu'un vol à lieu dans la boulangerie. Tout le monde marche comme à leurs habitudes et les voitures roulent normalement. Soudain, j'aperçois un voiture de police avec ces sirènes allumées qui se stationne devant la boulangerie. Ensuite, plusieursbruits de sirène de police se font entendre. Rapidement, le voleur se tourne vers mes parents, en marchant vers eux et l'arme vers eux.

Voleur: Qui à fait ça ?!
Papa: Moi.

Le bruit de chargement du fusil se fait entendre et je commence à paniquer. Je devais trouver une solution et vite afin que mes parents ne soient pas blessés. Je saisis un plateau de biscuits qui était près de la vitrine et je marche, d'un pas tranquille, vers l'homme.

Moi: Hey !

Le concerné se retourne vers moi puis un coup de feu est tiré. Je l'évite en me baissant vers le bas et en posant mes bras sur ma tête pour me protéger. La balle brise en milles morceaux la vitre de la porte d'entrée. Les bris de verre sont tous au sol, devant la porte d'entrée. J'avais le pressentiment que le fusil est encore pointé sur moi. Je dépose la plaque loin de moi puis je me relève tranquillement, en levant les bras.
Rapidement, je lui saisis le poignet pour lever son bras vers le haut puis je lui tord. Ensuite, je lui donne un coup de pied dans le ventre. Il lâche son arme et je la « kick » pour l'envoyer vers mes parents. Une fois désarmée, il s'empresse de prendre quelque chose dans sa poche de son blouson.

Maman: Recule chérie !

Je m'exécute et j'évite la lame de son canif.

" Non mais, il est sérieux ?! "

Je fais une face d'incompréhension puis un second coup de lame se fait. Je me fais une légère coupure sur ma cuisse gauche, en déchirant mon jean. Je gémis légèrement de douleur puis je serres les poings.

Moi: Hey ! Tu devrais savoir à qui tu te bats avant de le faire parce que tu viens de te battre avec Ladybug. Imbécile !

Je le frappe en plein visage et je le mets un peu K.O. Je secoue ma main droite, à cause de la douleur, et je laisse un "Outch! " sortir de ma bouche.
Peu de temps après, des policiers entrent dans la boulangerie pour menotter le voleur. Quand le criminel sort de la boulangerie, je lui envoie une petite salutation de la main, en disant dans ma tête : " Bien fait pour toi. Imbécile ! "
Une fois que les deux policiers l'ont entrer dans la voiture de police, je vais voir mes parents pour les prendre dans mes bras. Roger, le père de Sabrina, vient nous voir afin de savoir si nous allons bien. Je lui dis que "oui" mais, il remarque la coupure sur ma jambe. Je lui réponds : "Ce n'est rien" mais, il veut que les ambulanciers la vérifient. Je soupire et je vais vers les ambulanciers. En même pas 24 heures, je vais voir un ambulancier pour la deuxième fois ...
Quand j'arrive en arrière de l'ambulance, une ambulancière me demande de m'asseoir sur le sol, où on transporte les patients en civière. Je m'exécute puis elle me pose plusieurs questions qu'elle doit demander au patient. Je réponds brièvement et avec honnêteté aux questions, en même temps qu'elle soigne ma plaie.

Mes parents viennent me voir pour savoir si tout va bien. L'ambulancière termine de me soigner puis elle dit à mes parents que tout va bien et qu'il n'avait rien de compromettant sur la lame. Soulagée d'entendre ça, je soupire légèrement. L'ambulancière me laisse seule avec mes parents puis Roger vient nous voir pour une deuxième fois. Il veut me poser des questions à propos du vol afin d'avoor des informations. Il me demande si j'avais trouvée que le suspect était louche quand il est rentré dans la boulangerie. Je lui réponds que je n'ai pas fait attention à ce qu'il dégageait.
Roger me pose plusieurs autres questions puis, surprise, il me demande s'il pouvait me parler, seul à seul. Curieuse et confuse, j'accepte. Alors, mes parents s'éloignent de nous. Nous allons sur un trottoir puis nous nou assisons sur le bord de celui-ci. Le père de Sabrina sort un petit calpin et un stylo de sa ceinture où il y a tout ce qu'il a besoin.

Roger: Je voulais te poser quelques petites questions à propos de ce qui c'est passée en milieu de journée.
Moi: D'accord ...
Roger: Tu n'es pas obliger de me répondre si tu ne veux pas.
Moi: C'est correct. Je ne prendrais pas d'avocat juste pour répondre à des questions.

Nous ricanons puis je me racle la gorge.

Roger: Est-ce que tu pourrais m'expliquer ce que tu as vu dans pièce du deuxième étage.
Moi: Eum ... Et bien..
Roger: Prend ton temps je ne suis pas pressé.

Je souris maladroitement et mon coeur bat très rapidement. Ma nervosité fait surface petit à petit. Je sentais que mon coeur qui voulait sortir de ma poitrine.

Moi: Et bien c'était la seule pièce avec une porte alors j'y suis allé. En ouvrant, il n'avait pas de lumière donc j'ai allumé la lampe qui était dans la salle. Puis c'est là que j'ai vu le message. Après ça, j'ai vu la mare de sang et c'est à ce moment que j'ai crié.

Il hoche la tête positivement en écrivant dans son cahier.

Roger: Très bien et je voulais savoir si tu avais trouvé autre chose que ce que tu as vu au deuxième étage.
Moi: Pas vraiment. Je n'ai pas beaucoup regardé le premier étage. C'est plus Chat Noir qui est resté en bas. Quand je suis arrivée, j'ai regardé les lieux brièvement et je suis montré.
Roger: Sans Chat Noir ?
Moi: Oui. Je pensais que c'était juste une connerie venant de quelqu'un.

Il arrête d'écrire en me regardant avec incompréhension.

Roger: Mais comment savais-tu qu'il avait un message qui t'était adressé ?
Moi: Et bien ... Quand j'étais en direction du bâtiment avec Chat Noir, il y a un pompier qui m'avait saisis Le Bras et il m'avait dit qu'il avait un mot pour moi à l'étage.

Roger reprenait ses notes sur son petit cahier au fur et à mesure que je parlais et que je disais quelque chose d'important.

Roger: Et ce pompier. Tu as vu à quoi il ressemblait ?
Moi: Non, il était parti après son avertissement. Il avait son casque alors je n'arrivais pas à voir son visage qu'il essayait de cacher. Je suis désolée.
Roger: Ne t'excuse pas Marinette.

Nous continuons à discuter un peu de ce qui s'est produit et il me posait des questions sur Queen Style. Quand nous terminons, c'était au tour de mes parents. Je m'assois sur le bord du trottoir qui est barrée par la police puis j'entends mon prénom au loin.

???: Marinette !!

Je tourne la tête et j'aperçois Alya avec Nino. Ils étaient derrière la barrière que la police a mis en place afin de bloquer l'accès. Je demande au policier, qui est près de la barrière, s'il pouvait venir me voir. Ce dernier accepte et laisse passer mes deux amis. Directement, ils viennent vers moi. Alya me prend dans ces bras et me pose pleins de questions sur ce qui c'est passé.

Alya: Comment as-tu fais pour t'en sortir avec juste une coupure ?
Moi: Et bien, j'aurais pu avoir une balle aussi, mais je l'ai évité de justesse.
Alya: Sérieux ?

Je hoche la tête positivement. Nino me demande si je vais bien. Je lui réponds que oui.

Nino: D'accord, mais est-ce que tu vas bien ?
Moi: Je viens de te répondre ...
Nino: Je voulais dire ... Ce qui s'est passé dans le bâtiment avec Chat Noir.
Moi: Ah ... Pour être franche, je ne sais pas. C'était l'horreur là-dedans.
Alya: Il avait quoi ?
Moi: Je ne pense pas que je devrais vous dire ce que j'ai vu ... C'est assez traumatisant.
Alya: Ça ne devrait pas être si pire que ça.
Moi: Alya ... Si je dis que c'était l'horreur et que j'ai crié comme la mort, je pense que c'est vraiment traumatisant. Alors ? Tu veux le savoir ?

Le couple se regarde afin de savoir si c'était une bonne idée de le savoir. Nino hausse les épaules et ils me disent qu'ils veulent savoir. Je soupire en cachant mes mains tremblante à cause de la peur.
Je leur dis qu'un pompier m'avait intercepté, en me saisissant le bras, qu'il avait un message pour moi au deuxième étage. J'avais décidé d'y aller sans Chat Noir à cause de la curiosité. Il avait seulement une pièce qui avait une porte alors j'ai entrée. Après avoir vu et suivit la ligne rouge, il avait un message pour moi sur le mur, écrit en rouge. Ensuite, j'avais lu le message choquant et j'avais remarqué qu'il avait une mare de sang sur le plancher.
J'arrête mon dialogue, un instant, pour avaler ma salive et prendre une inspiration. Je continue mon récit avec une voix presque tremblante.
Chaque mots qu'ils avaient dans le message, chaque secondes passées dans cette pièce, chaque regards sur cette scène me reviennent à l'esprit. Mon cri, que j'avais émis, résonne dans ma tête, comme si je venais de crier de la même façon. C'était un cri de terreur, un cri de détresse. J'ai des frissons qui traversent tout mon corps. J'arrête de parler, encore une fois, et je fixe mes mains. Comme toujours, des parties de ce que j'ai vu refont surface. Je regarde Alya et, derrière elle, je remarque la même mare de sang. Je ne comprends pas ce qui se passe. Ma meilleure amie m'interpelle.

Alya: Hey ça va ?
Moi: Euh oui oui ...
Alya: Tu es sur ? Tu as l'air vraiment traumatisée et confuse.
Moi: Euh je ... Est-ce que vous la voyez ?

Nino et Alya se retournent pour regarder derrière eux.

Nino: De quoi ?
Moi: Et bien, la mare.
Alya: Mari ... Il n'a rien. Tu es sûr que tu vas bien ? Je peux aller te chercher l'ambulancière.
Moi: Non ça va. Je vais bien. Je veux juste .....

Je finis à peine ma phrase que je réalise que je n'ai pas vu Tikki depuis tout à l'heure. Je vérifie dans ma sacoche et elle n'est pas là. Je me mets au bout des orteils pour vérifier s'il n'avait pas de créature rouge volante. Rien. Voilà, je panique.

Moi: Tikki ! Je ne l'ai pas vu depuis qu'on est sorti de la boulangerie.

Je commençais à respirer difficilement. Alya pose ces mains sur mes épaules et me demande de me calmer. Je lui dis que je n'y arrive pas. En panique totale, je cours pour aller voir mes parents et Roger. Alya et Nino me suivent en courant aussi. Quand j'arrive à côter de mes parents, je pleure.

Moi: Où est-Tikki ?! Je ne sais pas où elle est !

Ma mère regarde mon père et je vois dans leurs regards qu'ils se disent qu'ils ne savent pas non plus. À ce moment là, c'est la catastrophe. Déjà que Lila à le Miraculous du Papillon, je ne veux pas qu'une autre personne aie un Miraculous en main, surtout pas MON Kwami.

Moi: Je dois aller vérifier à l'intérieur.

Je cours vers la boulangerie, mais je me fais crier, par Roger, que je ne pouvais pas. Je l'ignore et je continue mon chemin. J'arrive près de la porte fracassée et j'entends des paroles qui me font figer sur place.

« Ladybug est encore en panique ! Regardez ! »

Je me concentre sur ce que je viens d'entendre. Confuse, je me retourne tranquillement vers les dizaines d'habitants qui sont derrière la barrière, direction du collège. Il avait plusieurs élèves du collège dans la foule. Je les regarde, toujours en pleurant. Je renifle en essuyant mes larmes puis je continue mon chemin vers l'entrée.

« Elle ne mérite plus d'être notre héroïne ! »

Sur les nerfs, j'entre dans la boulangerie, même si j'avais l'interdiction de Roger. Je marche sur le verre éclaté de la vitre et je vais derrière la caisse pour voir si elle était là. Rien. Je commence à l'appeler en lui demandant de se monter. Soudain, un policier me demande de sortir d'ici. Je l'ignore et j'entends Roger dire de me laisser faire.

Moi: " Elle mérite plus d'être notre héroïne " ils ont vraiment dit ça ?

Je parle à voix haute tout en cherchant Tikki. Mes parents, mes deux amis et les deux policiers restent silencieux.

Moi: Tikki! Où es-tu ?

Ma mère me dit de me calmer et de revenir vers eux, mais je lui coupe la parole.

Moi: CHUT ! J'entends quelque chose !

C'était une petite voix qui provient de la vitre près de la caisse. Je m'approche de l'endroit et je vois une petite créature rouge.

Moi: Tikki ?

Le petite créature tourne la tête et elle se lève aussitôt. Je la prend dans mes mains en pleurant de joie. Je lui dis mes inquiétudes puis je vais vers le groupe qui est à l'entrée.
Je sors de la boulangerie avec Tikki à mes côtés et automatiquement une personne dans la foule réagit :

" Tu devrais arrêter d'être Ladybug. Tu nous mets en danger ! "

J'arrête de marcher en me tenant droite, les deux bras chaque côté de mon corps et je prends une grande inspiration. Je tourne la tête vers la foule, de manière normale et tranquille. Les policiers étaient presque tous parti. Il restait seulement trois voitures de police sur les six qu'ils avaient au départ. Alors, certains étaient soit près de la barrière, où il y a le collège, soit près des voitures. Je voyais très bien les habitants derrière la barricade. Je me tourne vers eux et je commence à marcher, normalement. Mes parents et Alya ne voulaient pas que j'interviens, mais je le devais. Ça devait cessez.

Moi: Je voudrais m'adresser à celui ou celle qui vient de dire quelque chose à mon sujet. Si c'est possible.

Les habitants ne répondent pas et certains s'éloignent de la barrière. Je regarde les gens de façon polie et calme, à attendre que la personne me répondre.

Moi: Très bien alors je vais te dire ce que je pense de ton petit commentaire disant que je mets votre vie en danger. Garde-le pour toi. Je ne t'ai peut-être pas encore sauvé de quelque chose, mais ne vient pas ici devant une scène de crime pour me provoquer. C'est vraiment pathétique !

Je tourne les talons et quelqu'un prend la parole.

" Tu n'acceptes juste pas ton rôle "

Je refais face à la foule et je souris poliment. C'était un homme. Le même quk m'a provoquer quand il y a eu une attaque chez les Agreste. Je l'ai reconnu tout de suite.

Moi: Bonjour ! Vous êtes celui qui m'avait aussi provoquer après l'attaque chez les Agreste. N'est-ce pas ? Ça fait longtemps !

Je m'adresse à lui de façon polie, mais arrogante. Tout les autres, qui sont près de lui, s'éloignent un peu et le regardent.

Homme: Oui c'est moi et cela ne me deramge pas de te provoquer.
Moi: pour moi, c'est dérangeant. Vous devriez avoir honte de dire ça. Regarder le jeune qui est à côté de vous. C'est comme si vous lui interdisez de croire aux héros de la ville. Je suis d'accord avec vous que Jai beaucoup de problèmes, mais mes problemes n'affectent pas mon travail d'héroïne. Je veux seulement une ville sécuritaire. C'est vrai que Chat Noir, moi ou Rena Rouge nous sommes pas toujours là quand il est nécessaire, mais nous avons tous un vie à vivre.

L'homme avait les bras croisés contre lui et il me regarde avec dégout. Il me mettait tranquillement en colère. Jessaye de garder mon calme et mon professionnalisme, mais ce regard me dérange.

Moi: Est-ce que vous pouvez bien arrêter de me regarder comme si je serais un déchet, s'il-vous plaît. Ce n'est pas très agréable. Merci.
Homme: J'ai le droit de te regarder comme je veux.
Moi: Je sais, mais ce n'est pas agréable. Écoutez, je sais que vous me détestez, mais il y a une différence entre "détester" et "haïr". Je veux seulement que vous gardez votre opinion pour vous. Je ne veux pas entendre ce que les gens pensent de moi de façon négative. Merci.

Je tourne les talons et j'ignore le commentaire de l'homme.

" Tu n'es qu'une fille de 18 ans qui ne comprend pas le danger qu'elle cause à la ville ! "

Deux policiers vont vers la barrière pour demander à l'homme de quitter les lieux. Je ne ferais pas de plainte contre lui. Ce n'est pas nécessaire de porter plainte pour un imbécile. Quand j'arrive vers mes proches, ils me félicitent tous d'avoir garder mon calme. Je souris pour les remercier et je réalise à quelque chose.

Moi: Est-ce qu'on peut retourner à la maison ?
Papa: Je vais demander à Roger.
Moi: D'accord.

Mon pere va vers le chef de police de Paris pendant que moi, Alya, Nino et ma mère discutont de tout et de rien.

Finalement, nous pouvons rentrer à la maison. Il était 18h30. Alya et Nino me saluent car ils devaient partir. Je les salue a mon tour puis mes parents et moi rentrons dans la boulangerie pour ramasser les dégâts. Les policiers commencaient a ranger tranquillement les choses puis dix minutes plus tard, ils etaient tous parti.

* Une heure plus tard *

Une fois tout ramasser, mon père installe une planche de bois contre la porte de la porte d'entrée pour fermer l'ouverture. Nous allons tous au salon pour manger un petit quelque chose, car nous n'avons pas souper. Nous n'avons pas très faim alors je me prépare des toasts au Nutella, ma mère se prépare un bol de céréale et mon père mange le restant du souper de hier.
Mon téléphone sonne au moment où je décide d'aller au toilette pour une urgence féminine inattendue. Je demande à ma mère de répondre à ma place.

PDV Adrien
Je viens d'apprendre ce qui c'est passée chez Marinette par Alya. J'ai eu un horaire chargé aujourd'hui alors je n'ai pas utilisé mon cellulaire. Je téléphone ma petite amie et c'est sa mère qui me répond.

Sabine: Bonjour Adrien.
Moi: Oh Mme. Dupain-Cheng. Est ce que je me suis trompée de contact ?
Sabine: Non tu appelles bien Marinette. Elle est aller au toilette.
Moi: Oh d'accord. Je vais l'a rappeler un peu plus tard. Je voulais savoir comment elle va. Mais vous, vous allez bien ?
Sabine: Oui ne t'inquiète pas. Marinette s'est bien débrouillé.
Moi: c'est une bonne chose.
Sabine: Oui.

Un moment de silence fait surface. Puis j'entends la voix de ma copine. Je souris et elle s'excuse que ça ne soit pas elle qui ait répondue. Je lui dis que ce n'est rien et je lui demande comment elle va.

Marinette: Je vais bien. De toute façon, j'ai déjà gérer une situation comme celle-là il n'y a pas si longtemps. Alors, je me suis débrouillée.

Je souris et je me dirige vers mon lit afin de m'allonger. Marinette et moi continuons de discuter au téléphone, durant une bonne demie-heure, jusqu'à temps que Marinette me laisse, car elle devait préparer ces choses pour demain. Je lui souhaite une bonne nuit et que je l'aime.

À suivre ...

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Sans-génie
Expression canadienne qui signifie qu'une personne est imbécile ou stupide. Aussi exprimé de la même façon pour "Sans-dessein"
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Bonjour !!
Voilà le Chapitre que vous attendez.

À bientôt
Gen-xx
13 mars 2020
3795 mots

Correction : xxx

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