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Pour les âmes sensibles, il y a une description de mutilation dans ce chap. Si vous voulez le passer ce symbole vous indiquerons le début et la fin de ce passage : .

Bonne lecture!

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« - Bienvenu. »

Ça y est, j'étais au centre médical pour faire mes examens de santé. Ji Won était médecin et il nous avait suivi moi et Annge pendant toute notre occupation à son domicile, mais j'avais neuf ans lorsque j'étais partis. Alors c'était possible qu'il y est quelques problèmes.

Il m'avait fait un carnet médical ou je ne sais plus trop quoi que j'avais gardé avec moi dans mon sac.

Une infirmière nous avais accueilli et nous emmena directement dans le cabinet d'un des médecins.

C'était une femme d'environ cinquante ans, elle avait examiné mon carnet. J'avais ensuite passé quelques petits tests et tout était dans l'ordre. Ce qui surpris tout le monde.

Quoi? Il s'attendait à ce que je sois atteint de la tuberculose?

« - Et bien tout est dans l'ordre, il n'y a rien à signaler. Sauf les vaccins! Il en manque trois. Nous allons en effectuer un dès aujourd'hui plus une prise de sang.»

Merde je les avais oublié ceux là. J'appréhendais fortement. Je n'ai pas peur des aiguilles mais je n'ai confiance en personne ici.

« - Je refuse.

- Désolé mon garçon mais c'est obligatoire et tu es mineur. Veillez me suivre s'il vous plaît. »

Je poussa ma langue contre ma joue, tout ça m'énervait. Je n'étais pas en état de subir quoi que se soit, tous allait trop vite.

Sur le chemin, Isul me demanda.

« - Tu as peur des piqûres Jeongguk? Elle commence à fortement me les casser celle là.

- Non. Je veux juste que personne ne me touche.

- Mais tu n'as pas le choix. »

Lui je ne pouvais vraiment pas le voir, Chin Gi avait toujours un air méprisant sur moi.

Nous entrâmes dans une salle où un fauteuil en cuir était maître de la pièce. On me demanda de m'asseoir dessus. Ce que je fis non sans broncher.

Deux infirmières assistaient le médecin. L'une d'elle prépara le matériel et s'approcha de moi avec une aiguille.

Alors qu'elle allait effectuer la prise de sang, je commença à gesticuler pour sortir de la, mais les deux autres infirmières me clouèrent sur le fauteuil.

« - Arrêtes de bouger s'il te plaît!

- Ne m'approchez pas avec ce trucs! »

Elle me bloqua le bras de sa main droite et enfonça la seringue de l'autre. Vu que je bougeais, ses gestes devinrent maladroits et l'aiguille s'enfonça plus loin que prévu.

« - Stop! Arrêtes de bouger je vais te faire mal. »

Je grogna tel un animal. Elle se dépêcha de remplir trois petit tube de mon sang et retira vite l'aiguille. Le médecin passa alors au vaccin et je serra la mâchoire tout en montrant les dents.

Le liquide si trouvant me donna des sueurs froides, et si s'était de la drogue! Ou un poison mortel.
Elle vida le contenu du, je l'espère, vaccin dans mon sang. Elle fit de même pour le second sur mon autre bras.

Lorsque ce fut enfin terminé, je sortis de cette pièce le souffle court. Je n'aimais pas les centres hospitaliers, c'était synonyme de control sur la personne pour moi.

Des papiers remplis et des discutions plus tard, nous étions de nouveau dans la voiture. Cette fois ci, nous nous dirigeâmes vers un établissement scolaire.

J'avais la rage. Donc je voulais tout défoncer. Mais pour ne pas que l'on me prenne pour un fou, je me contenais.

Le directeur de l'établissement me conduit dans une salle où se trouvait des tests pour voir où en étais mon éducation.

On m'y laissa avec deux professeurs qui me donnèrent plusieurs feuilles.

( JE PRÉVIENS: la plupart des choses seront modifié dans la scolarité qui est bien en Corée mais je vais faire comme les écoles en France, donc Kook est en âge d'être en terminal.)

Je commença avec le coréen, rien de plus simple. On me donna deux heures, je fini en une heure et quelque minutes.

Idem pour les maths, les science, l'histoire et la géographie, l'anglais. J'avais même choisi une langue en option qui n'était autre que le français.

Je n'avais pas la tête à ça mais je ne voulais pas me retrouver dans une classe de personne ayant deux ans de moins que moi, alors je m'étais persuader à effectuer ces tâches vite fait et bien fait.

Ils étaient assez impressionner, pensant que je devais avoir de nombreuse lacunes ou même un niveau digne d'un cp.

Il m'avait donné des exercices de niveau collège. C'était simple aussi.

Je sortis donc de cette pièce étouffante pour rejoindre le couple. Ma tête tournait, j'étais fatigué. Nous nous présentions devant une sorte d'accueil, pour ne pas changer, et le secrétaire demanda a Chin Gi et Isul de le suivre.

Je reste alors là, adossé au mur, mais mon regard dévia lentement vers un objet posé sur le comptoir. Un paquet de cigarette.

Yoongi fumait beaucoup et Annge de temps en temps, ils me disaient que ça les calmait. Je voyais bien le regard détendu de mes deux aînés lorsqu'ils aspirait sur ces battons de nicotine.

Et c'est sans me poser de questions que je m'empara de la petite boîte, je l'ouvris fus surpris de voir qu'il était plein. Tant mieux.

Je pris aussi un briquet qui traînait à ses côté et le rangea dans mes poches de sweat. Les trois adultes arrivèrent quelques secondes plus tard.
On m'annonçait enfin que je pouvais partir.

Une fois arrivé chez les Choi, je me précipita dans ma nouvelle chambre sans oublier de fermer la porte à clef. Je m'assis sur le sol tout en regardant par l'unique grande fenêtre de la pièce. Le soleil allait se coucher.

J'avais prévenu assez sèchement Isul que je ne voulais pas manger, elle était réticente mais mon regard l'avait convaincu.

J'avais ensuite pris une douche, enlevant toute la saleté de cette journée crasseuse.

Et sans pouvoir le contrôler, une violante crise d'angoisse s'empara de mon être. Les images de la séparation de ma sur et moi me revinrent, des souvenirs horribles piquèrent mon cur.

Je revis mon père tombé raide au sol alors que ma grande sur lui avait enfoncé un tesson de bouteille dans le cou.

Le sang qui coule, ses yeux écarquillés, le visage éteint de ma sur, ses pleures quand elle se cachait pour ne pas que je la vois, mes cauchemars.

Mon souffle était coupé, saccadé, je tirais sur mes mèches noirs pour enlevé toutes ces voix.

Des voix?

Qui me parlait? Qui m'insultait?

Je tournais la tête dans tous les sens, essayant de voir ou entendre la moindre chose suspecte, la moindre personne. Mais rien, c'était mon esprit et seulement mon esprit qui me méprisait.

Tremblant je me releva pour faire face au miroir, mon visage reflétait dans cette glace couverte de buée. La cicatrice traversant mon il gauche me dégoûta, celle de mon bras, mon torse et ma cuisse tout autant.

J'étais crispé, j'avais mal.

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Alors c'est sans hésiter que je m'empara de mon rasoir, arrachant les lames qu'il contenait. Ma vision était trouble, je réussis à accouder mon bras gauche sur le rebord du lavabo et dis poser cette lame.

J'hésita un instant, me remémorant Annge qui je le pense, ne souhaiterai pas que je m'inflige une telle torture.

Mais les voix reprirent le dessus, je fis glissé le fin bout de métal contre mon épiderme pour créer de fines lignes. Je ne les contais plus, allant de plus en plus vite, de plus en plus fort.

Je devenais malade.

Mais petit à petit, les paroles se dissipèrent, laissant place à un douloureux silence qui était loin d'être plaisant. Un silence qui me rappelait que j'étais seul.

Que l'on m'avait arraché ma paisible vie comme j'avais arraché la peau de mon bras.

Mais je ne pleurais pas.

J'en étais incapable, une sorte de blocage s'était installé en moi. Mes sentiment étaient devenu muet.

Alors que j'étais trop engloutis dans mes pensés j'en oublia les plaies qui saignaient abondamment. Je repris vite mes esprits.

Je passa mon avant bats sous l'eau pendant cinq minutes jusqu'à ce que le liquide rougeâtre arrête de couler.

Je n'y étais pas aller de mains mortes, ma peau était parsemée de coupure plus ou moins profonde. Mais malgré cette vison, aucun sentiment de regret s'était installé.

Je m'essuya ensuite délicatement pour l'enrouler dans un bandage que j'avais trouver dans la boîte à pharmacie en dessous du lavabo.

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Je m'habilla ensuite seulement d'un caleçon et d'un jogging puis j'alla chercher dans mes poches de sweat mes objets volés.

J'en sortis une cigarette et m'empara du briquet, puis j'ouvris discrètement les battant de la fenêtre pour ne pas que l'on m'entende.

J'alluma le bout du battons de tabac et le posa contre mes lèvres. J'inspira une légère bouffée et la recracha quelque seconde plus tard, je toussa légèrement mais me força à continuer. Petit à petit, je m'habitua à la fumée toxique passant dans ma gorge.

Et je recommença, enchaînant les taffes. Ma tête commençait à tourner légèrement. Mais cette sensation était très agréable, c'était relaxant, ça me faisait oublier la connerie que je venais de commettre.

Une fois finit, j'écrasa le mégot contre la tuile du toit et referma la fenêtre. Je m'allongea sur le sol et m'enroula dans la couverture. Une heure plus tard, je tombais dans les bars de Morphée.

Les jours suivant, j'avais passé plusieurs examens de niveau supérieur pour savoir si j'étais capable d'entrer en terminal.

J'avais eu également une prise de sang, un rendez vous chez un psychologue. Bien sûr je n'avais en aucun cas abordé les voix qui s'était immiscée dans mon crâne lors de mes crises d'angoisses.

En parlant d'elles, j'avais à présent le droit à une chaque soir. Moins écrasante que la première mais tout de même douloureuse.

J'avais essayé de ne plus me couper, j'avais pratiquement réussis mais je retombais tout de même une fois sur deux dedans. Étant le seul moyens que j'avais pour faire taire le brouhaha de ma tête.

Par contre je fumais une clope par soir, et ça m'aidait grandement, bien que cela soit mauvais pour la santé. Mon paquet se vidait petit à petit, j'avais peur d'être en manque.

Alors un soir, très tard, j'avais fait le mur pour aller acheter un stock de trois paquet avec mon argent de poche. J'étais passé sans que le tabagiste ne se doute que j'étais encore mineur.

En même temps il y avait de quoi confondre avec mes tatouages sur les mains et mon 1m88. C'était un avantage.

Aujourd'hui nous devons nous rendre au centre de l'éducation pour déterminer mes résultats des tests que j'avais effectué.

J'étais dans un bureau avec le couple Choi comme je les appelais, mais cette fois ci la petite Ha Neul nous avait accompagné.

« - Bonjour je vais à présent vous annoncer les résultats de Jeongguk lors de ses examens. L'homme nous faisant face parlait d'une façon robotique, comme si il voulait rapidement se débarrasser de cette entretient.

- A vrai dire je vais les découvrir en même temps que vous. Il ouvrit une grande enveloppe et sortit les quelques feuilles s'y trouvant. Alors, se sont bien évidement des moyennes. Coréen: 17,55/20, mathématiques: 12,45/20, j'aime pas les maths c'est de la merde. L'ensemble des sciences: 14,65/20, histoire géo etc: 16,15/20, anglais: 15,85/20, et le jeune homme avait choisit une langue en option qui est donc le français: 20... 20/20. »

Sans vouloir me vanter je n'étais pas vraiment surpris. J'avais la même mémoire que ma sur et j'avais persévéré pour travailler correctement. Elle me disait toujours que comme ça j'aurais une avance sur les autres.

Je lisais beaucoup de livre de tout genre, apprenais par cur les règles de grammaire, m'entraînai à parler de façon à ce que mon accent soit parfait.

Enfaite, je n'avais jamais eu d'accent coréen en parlant cette langue, c'est plutôt l'inverse.

« - Wow,... Jeongguk tu es très doué. Me dit Isul.

- Oui c'est assez surprenant. Avoua Chin Gi.

- Comment se fait-il que tu es de si bonne connaissance alors que tu étais à la rue? » Demanda l'éducateur.

Je poussa ma langue contre ma joue tout en fronçant les sourcils, mon regard devint méprisant.

« - J'ai été élevé par une sur qui a endossé un rôle de mère, elle m'a aidé toutes ces années à travailler jusqu'à négliger ses propres études. Elle a tout fait, absolument tous fait pour que j'ai une éducation correcte. J'ai lu des cinquantaines de livre pour perfectionner ma
langue, je révisais comme pas possible pour prouver que nous pouvions nous débrouiller. D'ailleurs, nous sommes des débrouillards qui n'avions pas besoin de bureau et de cahiers tout neufs pour pouvoir acquérir les mêmes connaissances qu'un élève banal. »

Plus un mot, j'étais aller un peu fort. Mais il ne fallait pas toucher à la corde sensible, c'est à dire l'éducation que m'a donné ma sur.

« - Bien, je comprend. Alors voici les papiers pour l'inscription de ton lycée où tu vas suivre tes études de terminal. Tu es bien évidement accepter. Je vous souhaite une bonne journée. »

Et il se barra, c'est bien ce que je pensais.

La journée se passa assez lentement, nous avions plusieurs rendez-vous pour finaliser mon inscription. Je n'en avais aucune envie, aller dans un établissement rempli d'adolescents de mon âge, très peu pour moi.

Mais je n'avais pas le choix. Ils voulaient absolument que je connaisse la vie de groupes mais moi je n'aime pas les gens.

J'étais à ce moment précis dans ma chambre. Adossé à ma fenêtre, aspirant la fumée pour la recracher en parti dans l'air froid de l'extérieur et d'une autre dans la pièce.

Je n'en avais rien à foutre de l'odeur de tabac froid qui restait incruster dans les murs.

Deux semaines étaient passées depuis l'arrestation de Annge et moi. Tout était passé très rapidement, j'avais déjà été inscrit dans un établissement scolaire. J'allais rentrer demain, j'étais en retard d'un mois mais se n'est pas comme si cela m'importait.

Mon uniforme avait été plié et posé avec soin sur mon bureau par Isul. Je détestais ce genre d'accoutrement mais je n'avais pas le choix.

J'allais me coucher à contre cur, vers deux heure du matin, les cours commençais à huit heure et je devais me lever a six heure pour prendre le bus.

La veille, Isul m'avait donné un téléphone, sachant que je n'en avais pas. J'avais ajouter deux numéro, le sien et à contre cur celui de Chin Gi.

Je tournais en rond dans ma couchette étalé au sol, avec une légère douleur au niveau de mon bras gauche.

C'est sûr ces pensées que je m'endormis.

Un bruit détestable me réveilla, le réveil venait de sonner. Je me leva la boule au ventre pour aller prendre une douche une fois séché, je me dirigea vers mon bureau pour enfiler mon uniforme.

Il était constitué d'un pantalon noir, d'une chemise blanche et d'une veste bleu marine. Le blason de l'école était incrusté sur la partie gauche.

On m'avait dit pour mon plus grand soulagement que nous n'avions pas de cravate ni de chaussures spécifiques. Alors je m'empara de mes Docs Martens montantes et les lacèrent jusqu'au dernier trou.

Je descendis avec le sac à dos noir et neuf que l'on m'avait fourni et salua d'un geste de main moue Isul.

« - L'uniforme te vas très bien.

- Je n'aime pas, c'est trop serré.

- Je comprend... Aller viens manger. »

Je m'approcha de la table à manger et m'assis. Je fus alors étonné de voir des croissants et un jus d'orange devant moi.

« - Je me suis dit que c'était déjà compliqué de rentré dans un établissement scolaire pour toi alors je me suis dit qu'un petit déjeuné français ne ferais pas de mal. Je la regarda, surpris.

- Merci.

- C'est normal, j'imagine que mademoiselle Savage et toi ne mangiez que ça avant, non? »

Je hocha tristement de la tête, croquant dans une des viennoiseries. Le goût sucrée du croissant me fit repenser aux petits déjeunés partagés avec ma sur et Yoongi.

J'avala difficilement, une boule d'angoisse au fond de la gorge.

Quand j'eus fini, je remonta me brosser rapidement les dents. Je sortis ensuite de la maison et me dirigea vers mon arrêt de bus.

Quelques minutes plus tard il arriva, je montra ma carte au chauffeur et m'installa vers le fond du véhicule. J'enfonça mes écouteurs dans mes oreilles et lança une musique du groupe Nirvana.

Tous le long du trajet, j'avais retracer du bout de mes doigts les lignes du tatouage que moi et ma sur avions en commun. Passant par la lune, le soleil et la petite planète sur mon majeur.

Lorsque mon arrêt fut venu, je descendis lentement sans une once de motivation. Je devais un peu marcher pour pouvoir atteindre le lycée, environ 5 cinq minutes de marche.

Sur le chemin je décida de m'allumer une cigarette pour me décontracter. J'imaginais déjà tous ces regards sur ma personnes lorsque mes pieds auront traversé l'enceinte du lycée, je devais res^pirer calmement.

On parlait de mon histoire dans les journaux, à la télé, sur les réseaux sociaux. Tous le monde me connaissait pour mon plus grand malheur.

Être connu, oui. Mais pas de cette manière là.

Je voulais juste finir cette année rapidement pour revoir ma sur et réaliser mon plus grand rêve: devenir chanteur et danseur.

Au fur et à mesure de mes pas, je distingua enfin le lycée. Des élèves commençaient à rentrer et d'autre attendaient patiemment devant le portail.

Je voulais d'abord finir mon battons de nicotine avant de rentrer en enfer. Je me posta alors devant les grilles sous le regard de plein d'étudiant et aspira une dernière bouffée avant d'écrasé le reste et la mettre à la poubelle.

Je leva la tête et entra, les autres me regardaient discrètement avec leur bande d'amis. Certains m'observaient de loin, d'autres m'ayant reconnu, ne se gênait pas pour le dire à voix haute.

Mais je ne leur prêtais peu d'attention. Je me dirigeais juste lentement vers l'accueil pour savoir où était exactement la classe. On m'informa et je me dirigea vers la salle indiquée.

La sonnerie était déjà passée, mais je ne me pressa pas. Prenant mon temps avant de devoir affronter un paquet d'adolescents curieux.

Arrivé devant ma classe, je toqua et on me dit d'entré, ce que je fis.

« - Oh Bonjour! Tu dois être Jeon Jeongguk, c'est bien ça? »

Je regarda la professeure froidement, ça se voit non je suis pas le pape. Face à mon mutisme elle continua.

« - Et bien présente toi jeune homme. »

Je me déplaça jusqu'au milieu de l'estrade, dos au tableau. Les élèves me regardaient avec de grand yeux, on dirait des abrutis.

« - Je suis Jeon Joengguk.

- Mais encore?..

- Je suis moitié français moitié coréen, j'ai dix-sept ans,...

- Très bien, alors tu peux aller t'asseoir à côté de Taehyung au fond. »

Je leva le regard vers le fond de la classe pour voir un bras se lever. Je regarda alors le garçon se nommant Taehyung.

Il... il est différent. Et pourquoi il me regarde avec ce sourire en forme de rectangle.

Je m'approcha de lui, posant mon sac sur le côté de ma table mais lorsque j'allais m'asseoir, il se leva. Toute la classe nous regardait, et je fus d'autant plus surpris de voir l'immensité du gars me faisant face.

Il avait une aura écrasante, mais il était surtout très beau. Même si j'ai du mal à l'avouer. Ses cheveux brun, son long nez, ses yeux en amandes, ses quelques grins de beauté.

C'était perturbant.

« - T'es grand dit donc, tu mesures un mètre combien? » Me demanda t'il.

C'est quoi cette voix super grave, elle me fout des frissons.

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J'espère que ça vous aura plus! Ésitez pas à donner un avis........

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