Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

17


~~~~~~

La nuit fut longue, je tournais en rond, mes yeux restant bloqués sur le petit réveille où défilait les heures.

C'est seulement à quatre heure du matin que je réussis à m'endormir. Mais cela ne m'empêcha pas de me réveiller à plusieurs reprise.

Et c'est grâce à une masse m'écrasant et me coupant le souffle que je me réveilla.

« - Jeonggukie! Cria la petite voix d'Ha-Neul.

- Hm.

- Réveilles-toi vite! Appa il est pas content du tout... »

Je fronça les sourcils et tourna ma tête pour regarder la petite fille.

« - Pourquoi?

- Il est midi trente et c'est dimanche.

- Merde... »

Dans leur famille, midi était l'heure indiscutable du déjeuner surtout le dimanche. ChinGi l'avait formellement instauré, s'était l'une des règle de la maison.

J'avais à présent un peu plus de trente minutes de retard et je savais qu'il allait être de mauvaise humeur, il avait du m'attendre.

Je lui expliquerais que j'ai passé une sale nuit à cause d'une mauvaise nouvelle, il sera peut être compréhensif.

« - Descends et vas leur dire que j'arrive s'il te plaît. »

Elle hocha la tête et je lui ébouriffa les cheveux. Elle descendit à toute vitesse pour rejoindre ses parents.
Je sortis du lit et enleva mes vêtements d'hier.

Mettant un simple jean noir et un pull de la même couleur. J'inspecta mon fasciés dans le miroir et me recoiffa puis descendit rejoindre la petite famille.

Lorsque j'entra dans la salle à manger, je reçu de suite un regard noir de la part du père. Isul me sourit et me salua puis elle m'invita à m'asseoir au près d'eux.

Elle commença à nous servir mais à mon avis, ChinGi avait du mal à retenir son agacement et il ne s'empêcha pas de l'ouvrir.

« - J'avais pourtant été clair. Il dit sur un ton autoritaire qui ne me fit ni chaud ni froid. Quelle est la raison de ton retard?

- Bonjour. Commençais-je juste pour l'énerver. J'ai passé une horrible nuit et j'ai réussi à m'endormir que très tard.

- Tu as fait des cauchemars? Demanda inquiète la femme. J'allais lui répondre mais l'autre n'en fit qu'à sa tête.

- Je suis sûr que c'est à cause de ta soirée! Être jeune n'est pas une raison pour se mettre minable!

- Mais ça n'a rien à-

- Ne me contredis pas! Je sais très bien que tu avais bu!

- Oui et alors! C'était à mon tour de m'énerver. Je sais me tenir à ce que je sache! Vous ne me connaissez pas!

- Ta sur ne t'a jamais appris à boire?! Il paraît d'après les journaux qu'elle était dépendante à l'alcool.

- PARDON!? Je fis une mine outrée. Ma sur n'est pas alcoolique! D'où vous vous permettez de me parler d'elle!

- Parce que je suis ton tuteur!

- Certes mais vous n'êtes pas mon père! Je le pointa du doigt en fronçant les sourcils.

- Encore heureux! Je ne veux pas finir comme le vrai! »

J'écarquilla les yeux, choqué de ses propos incohérents et fortement déplacé. Tous ces mots me touchèrent en plein cur, le faisant battre à vive allure.

Isul et Ha-Neul étaient surpris des paroles du père, l'une mettait sa main devant sa bouche pour cacher sa stupeur et l'autre baissait la tête.

Je me leva soudainement, dépassé par les événements et accouru vers l'entrée. Je mis à la va vite mes chaussures montantes et les laça.

« - Attends Jeongguk! Cria la mère.

- Ça ne sert à rien. Je veux bien faire des efforts même après tous ceux que j'ai déjà fait. Mais là y'a des limites. »

Je leur tourna le dos, pris mon manteau et ouvrit à grande volée la porte puis la claqua derrière moi avant de partir dans une marche rapide loin de cette maison.

Le temps était mauvais, il reflétait mes émotions mélangeant tristesse et colère. Je marchais dans les rues sans me soucier des regards intrigués des passants.

Je sortis de ma poche de blouson un paquet de cigarettes et en tira une. Je l'alluma sans arrêter ma marche et aspira la fumée nocive.

Pour me changer les idées, je décida de passer dans les rues touristiques, essayant de voir du monde, de me changer les idées.

Mais la tranquillité n'était pas à son heure, les gens se retournaient à mon passage, les chuchotements fusèrent et l'inquiétude déformait les visages.

Ils changeaient de trottoir, les enfants étaient écartés de ma personne, les parents cachaient leurs yeux bruns pour ne pas qu'ils plongent dans mes prunelles de vipère.

Les regards étaient insistant, les sourcils se fronçaient, les yeux se baladaient, les lèvres bougeaient, le passé resurgissait.

On m'examinait.

Une cicatrice sur le visage.

« - Il est passé plein de fois au info, c'est le frère de l'assassine.»

Des yeux verts si claire.

« - De si beau yeux sur une si mauvaise personne... »

Un corps trop grand.

« - Faut pas lui chercher des ennuis, c'est le genre à te démonter pour une parole de travers. »

Des tatouages sur les mains.

« - Il est trop jeune pour ce faire tatouer. Plus tard, il le regrettera. »

Une clope entre les doigts.

« - Et ça laisse traîner des gars comme lui dans la rue. C'est le genre à se venter de son histoire pour attiré les nanas. À fumer de la drogue et finir clodo entre deux poubelles. »

J'accélère le pas, baissant la tête, essayant de me concentrer sur autre chose pour ne pas écouter les bêtises sortant de la bouche de ces inconnus.

Se fut ça toute la journée, j'errais dans les rues sans bute précis, m'installant parfois dans les parcs pour fumer encore et encore.

Il était à présent trois heure du matin, je n'avais pas daigné à rentrer chez les Choi. Les étoiles dans le ciel obscure m'en avaient dissuadé.

J'avais au préalable appelé Isul pour lui expliquer que j'avais besoin d'être seul et qu'elle n'avait pas à s'en faire pour moi.

La prévenant au passage que je rentrerais sûrement tard pour ne pas à avoir à croiser son mari. Je l'avais également rassuré en lui disant que j'avais de l'argent sur moi et que j'avais manger ce midi et ce soir.

Ce qui est bien évidement un mensonge puisque aucune trace de Won occupaient mes poches. Donc cela faisait environ plus de vingt quatre heures qu'aucune trace de nourriture occupait mon estomac.

C'est avec un léger tourni que je marchais dans les ruelles à présent dépourvues de monde, oubliant que le lendemain, je devrais me rendre en cours.

Enfin plutôt dans moins de cinq heures. Je regardais le sol, caché par la capuche de mon blouson. Mais des voix inconnus me firent lever les yeux.

« - Eh regardez! Dis un garçon maigrichon qui semblait être légèrement plus âgé que moi. C'est Jeon Jeongguk!

- Ce mec à vraiment l'air d'un malade, qui traîne dans les rues à cette heure ci? »

Vous? Sérieusement c'est quoi cette remarque à deux balles? Ils sont trois, trois garçon à me regarder de la tête aux pieds comme si je venais d'une autre planète.

« - Les gens disent tous que c'est sa sur qui a tué son daron mais je suis sûr qu'il y a participé... Ajouta un autre plutôt rond.

- Forcément! Sinon il n'aurait pas cette cicatrice sur le visage. Dit le troisième de petite taille mais plutôt musclé.  »

Mais de quoi il se mêle? Je les ignora, essayant de ne leur porter aucune attention.

« - Tu sais que sa sur n'est pas seulement accusée de meurtre, apparement elle volait de la bouffe dans tout les magasins où ils passaient! Dit le plus fin.

- Pff, moi je suis sur qu'elle s'est au moins prostituer une bonne dizaine de fois pour nourrir ce petit con.

- Ouais! J'aurais bien aimée croisé son chemin, elle est super bonne pour une assassine! J'me serrais bien fait cette pute. »

S'en fut trop pour moi, je me retourna et leur lança mon regard le plus, ce qui marcha apparement puisqu'ils eurent un geste de recul.

« - Eh! Je lança hors de moi. Qui a traité ma sur de pute?

- Il a dit quoi le pauvre? Dit assurément le petit, trop assurément. »

Je m'approche dangereusement d'eux et pris par le col celui qui avait osez insulter la personne qui m'avait élevé.

Je le souleva, ses pieds ne touchaient presque plus le sol, puis répéta ma question.

« - J'ai dit, qui a traité ma sur DE PUTE?!

- Eh! lâche moi! Il se débattit.

- Vous ne me connaissez pas alors je vous interdit de dire ce genre de chose. »

Mais alors que j'allais partir, le plus rond me frappa en pleine joue. Je lâcha subitement son ami et porta ma main à l'endroit où il avait frappé.

Du sang en coula et je serra les dents sous la douleur. Je revins à la charge, attrapant les cheveux de celui qui m'avait provoqué pour venir frapper sa tête contre celle de l'homme qui m'avait frappé.

Ils tombèrent au sol et je redirigea mon attention sur le maigrichon qui me regardait avec peur.

« - Assassin! Il cria.

- Je ne suis pas un assassin. Je me défend. »

Mais à peine eu-je fini ma phrase que le petit revint à la charge et me plaqua au sol. S'enchaîna des coups de pieds dans mon dos, mon ventre, mon torse, mes jambes et parfois mon visage.

Je réussi tout de même à me relever et à leur faire face. Puis une idée me vint, je força un sourire malicieux et sortis mon téléphone de ma poche.

Je l'ouvris et tapa un numéro au hasard puis le porta à mon oreille.

« - Ça sers à rien d'appeler la police! Dis le plus petit. C'est toi qui est en tort!

- Mais je n'appelle pas la police... Dis-je tout en continuant de sourire.

- T'appelles qui alors? Ta sur? Il faut que je te rappelles qu'elle est en taule. »

Je serra une énième fois les dents pour ne pas leur en foutre une et pria pour que mon idée fonctionne.

« - Allo? Ici agent JK je demande des renforts. Appela-je dans le vide alors que les trois hommes me regardèrent curieusement. Code 404, je répète code 404. J'appelle la totalité des hommes à s'éparpiller dans les zones ouest et sud. Je demande à tout membres du gang d'abattre trois hommes, l'un est grassouillet et ne sait absolument pas s'habiller, le nommer me regarda d'un air vexé, le deuxième est très fin et à la peau aussi grasse qu'un kebab, une mine outragée apparu sur celui du plus maigre, et le dernier est si petit que j'ai crus au départ qu'il n'y en avait que deux.

- Eh! Ce dernier sembla bouillir de l'intérieur.

- Je répète code 404, je demande à toutes les unités d'abattre les cibles. Ne laissez aucune preuve et jeter les corps dans la mer. Je fis semblant d'écouter la réponse alors que les visages de mes adversaires se décomposaient. Entendu. Faites en de la charpie. »

Je raccrocha et reporta mon attention sur les hommes me faisant face.

« - Qu'est-ce que tu viens de faire?! Dit l'un d'eux totalement boulversé.

- C'est simple! Je viens d'appeler le gang de ma sur pour qu'ils viennent vous chercher. Personne ne s'en prend à la famille Savage. Si j'étais vous, je courais! »

Ils se décomposèrent sur place et je ne dus pas me répéter puisqu'ils prirent lâchement leurs jambes à leur cou.

Je fis un léger sourire, me disant qu'il fallait être con pour croire à de tels mensonges. Mais ma gaité partit en courant lorsque l'adrénaline tomba.

Toute les raisons de ma fugue reprirent le contrôle de mes pensées et de vives douleurs s'emparèrent de mon corp, me faisant plier en deux.

Je du poser une main sur le sol pour ne pas m'écrouler alors que l'autre maintenait mon ventre là où il avait le plus frappé.

Je pris environ dix bonnes minutes avant d'enfin reprendre mes esprits. Je décida finalement de rentrer, me disant qu'il était tant d'arrêter les conneries.

Je marchais difficilement sur les trottoirs, riant intérieurement en pensant aux rares voitures roulant sur la route, ils devaient me prendre pour un mec bourré.

Je continua ma route puis commença à fredonner la mélodie que ma sur me chantait, sans doute pour me donner du courage.

Une fois arrivé devant la porte de l'immense bâtisse, je pris mes clefs et déverrouilla la serrure. Je baissa lentement la poignée pour ne pas alerter mes tuteurs.

Une fois rentré, je referma à clefs et me déchaussa. Je monta silencieusement les escaliers grinçant pour ne faire aucun bruit.

Mais les coups que j'avais au paravent subis me rappelèrent à l'ordre pour me faire une seconde fois tordre de douleur.

Un léger grincement inonda la pièce et je pria pour que ni Isul ni Chingi est entendu. Je continua de monter et souffla à la dernière marche, soulagé.

Mais une petite voix me fit cesser tout mouvement.

« - Jeongguk? »

Je me retourna et lui mima de se taire en posant mon index tendu devant ma bouche. Ha-Neul hocha la tête pour me dire qu'elle avait compris.

Je me dirigea vers ma chambre et m'y engouffra, me laissant tomber sur le matelas.

« - Pourquoi t'as du sang partout? Son visage prit une mine inquiète et triste. C'est qui qui t'as tapé? »

Je souffla, cherchant une excuse pour ne pas lui faire plus de mal. J'enleva mon manteau et le jeta sur le sol.

J'essuya du revers de la main le sang encore frais qui tachait mon visage. Mais de petit reniflement me firent sortir de mes pensées.

Je releva la tête et vis avec stupeur de petites larmes couler sur les joues rebondit de la petite fille. Elle me regardait tristement, attendant sûrement des réponses.

« - Ha-Neul...

- Je veux pas qu'on te tape... Sanglota-t'elle.

- Je suis juste tomber. J'essaya de la rassurer mais elle était loin d'être bête.

- Je te crois pas!

- Fais moins de bruit. »

Elle se remit à pleurer et je regretta de suite mes paroles. Mais elle ne sembla pas m'en vouloir puisqu'elle accourue dans mes bras et plongea sa tête sur mon torse.

« - Je suis sale Ha-Neul, je vais tacher ton pyjama.

- M'en fiche. Bafouilla t'elle. »

J'abandonna et fini par la prendre dans mes bras, faisant attention de ne pas lui mettre du sang sur ses vêtements en posant mon menton sur sa tête.

Nous restâmes dans cette position pendant dix minutes, lorsque sa respiration devint régulière, je compris qu'elle s'était endormis.

Mes yeux se posèrent sur l'heure affichée de l'écran de ma chaîne Hi-fi, c'est normal qu'elle s'assoupisse ainsi après tout une enfant de son âge ne veille pas jusqu'à cinq heure du matin.

Enfin... Sauf Annge et moi, nous étions des exceptions.

Je la pris doucement dans mes bras et marcha jusqu'à sa chambre. Je la déposa sur son lit et la recouvris de sa couverture.

J'embrassa son front et retourna dans ma chambre. J'enleva difficilement mon t-shirt salit par la terre et le sang et le jeta au sol, j'en fis de même pour mon bas.

Je rentra dans la salle de bain et vis avec horreur les dizaines d'hématomes qui tachait le haut de mon corp.

Mon visage en avait aussi pris un coup, je me demande comment j'ai pus me montrer ainsi devant une enfant.

Ma pommette droite était légèrement fendue et du sang séché coulait de ma joue jusqu'au bas de ma mâchoire. Mon nez avait aussi saigné et un énième hématome figurait sous mon il gauche, amochant encore plus cette cicatrice affreuse.

Cette vision me donna la nausée, j'avais l'impression de revoir le corps battu de ma sur. Tout ça pour me protéger.

J'essaya de me rassurer en me disant que j'avais fait ça pour elle. Mais... je sais très bien ce qu'elle en aurait pensée.

Elle serait déçu. Déçu de ma perte de sang froid alors qu'elle m'avait tant répété que la violence ne résoudrait rien et que son corps maltraité pouvait le témoigner.

Je serra les dents et me reteins de briser de mon poing le miroir reflétant cette image si lugubre de moi même.

J'étais à bout, j'essayais de résister mais j'étais à bout. Je pris un gant de toilette et l'humidifia pour nettoyer la crasse et le sang collant à ma peau.

Lorsque je fus enfin propre, je défis mes bandages tachés par la terre et mon liquide rouge. J'étais tellement sur les nerfs que je tira trop fort sur les bandes, les croutes de mes plaies s'arrachèrent et je retins un cris de douleur.

Le sang coula presque à flot et je me maudis d'empirer mon état. Je fis tout pour empêcher ces globules rouges de couler et nettoya de nouveau ma peau.

Épuisé, j'enroula tout de même mes avants bras et mes cuisses de nouveau bandage propre. Je me dirigea chancelant vers mon lit et m'écroula.

Le bruit de plusieurs coups sur la porte me sortis du monde des rêves, où plutôt des cauchemars pour ma part.

Je grogna, sentant déjà le manque de sommeil me manquer.

« - Jeongguk? La voie d'Isul retentit me faisant presque sursauter.

- Oui? Je répondis encore endormis.

- Il est déjà sept heure et quart, tu vas être en retard. »

Merde! Je n'ai même pas pensé à mettre un réveil. Je n'ai dormis que deux heures et ça s'avère mal pour la journée.

« - J'arrive! »

Elle descendit les escaliers, je fus rassuré qu'elle n'ouvre pas la porte parce que mon corps n'était pas beau à voir.

Je me dépêcha de me lever et alla dans la salle de bain, les hématomes auparavant rouges s'étaient colorés d'un bleu passant par le noir.

C'était pas beau à voir. J'enfila mon uniform puis hésita à changer mes bandages qui s'étaient rougis dans la nuit mais l'heure m'en dissuada.

Je descendis les escaliers et me pointa dans la salle à manger, je m'assis à côté d'Ha-Neul et face à ChinGi.

« - Qu'est-ce qui t'es arrivé? Demanda l'homme totalement intrigué.

- Des mecs ont insulté ma sur et m'ont provoqué, avec les événements je n'ai pas réussi à garder mon sang froid et je me suis battu.

- Oh mon dieu. Ça c'était Isul. Mais il faut porter plainte enfin...

- Non. Ça ne servira à rien et c'est vraiment pas le moment. »

Je pris une tranche de pain et remonta dans ma chambre, je donna un peu d'ordre dans mes cheveux qui commençais d'ailleurs à être très long tout en mangeant mon seul repas.

Je me brossa les dents et pris vite mon sac sur mon dos pour redescendre puis me chaussa. Je mis ensuite ma capuche et enfila mon manteau.

Je sortis et marcha jusqu'à mon arrêt. Je du a plusieurs reprise me tenir contre les murs tant la fatigue me faisait tourner la tête mais je continuais tout de même d'avancer.

Une fois face à mon arrêt, j'attendis patiemment le bus, empêchant mes paupières de se fermer. Lorsqu'il se pointa, c'est à dire à peine une minute après, j'y monta et m'installa vers les derniers sièges.

Je me rendis compte que je m'étais endormis lorsque le raffut des élèves me réveilla. Je me leva à mon tour et sortit le dernier.

Je sentais les regards sur ma personne mais j'étais trop démuni pour ne faire ne serait-ce qu'un regard noir.

Je me sentais mal. Physiquement, j'étais presque démoli, chaque pas, chaque gestes que je faisais me brûlait le corps.

Mais le pire était à venir. J'avais compris depuis un moment que j'étais rentré en état de dépression. Jusqu'à là, j'avais pu tenir mais je me voyais déjà craquer.

Je suis fort mais je suis aussi humain.

J'ai ma part de faiblesse.

~~~~~~

Et voici le chapitre 17, ça commencera réellement à ce mouvementer dans les prochains chapitre!

J'espère que mon histoire vous plait car je prend énormément de temps à l'imaginer...

Bonne journée et restez chez vous!

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro