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Jᴜʟɪᴇᴛᴛ

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↳ ░░░░░░░░░░░ éɴdeιхι -- JυƖιєтт

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_ Oh .. entonne Izuku en battant des cils

Toujours allongé, encore un peu dans les étoiles, il suit attentivement du regard les déplacements de Katsuki, qui revient vers lui en arborant un sourire en coin révélateur de ses intentions prochaines. 

_ Katchan est entreprenant. provoque t-il aussi en le dévisageant. 

_ Tu veux voir à quel point ? 

Joueur, Deku arque un sourcil faussement intrigué en se redressant légèrement, s'appuyant sur ses avant bras pour surélever ses omoplates sans changer de position. 
Sur son ventre, les goutes de sperme dévalent son abdomen dans le mouvement, lui arrachant une petite grimace d'inconfort, en même temps qu'un léger grognement de mécontentement. 
Ses muscles se contractent instinctivement avec le petit élan de dégout qui va avec, mais son attention se reporte bien vite sur ce qui l'intéresse vraiment. 
En secouant son cou, il agite les bouclettes sur son front, dégage quelques mèches transpirantes sur le côté, tout en révélant un large sourire aguicheur, défiant son amant de venir le surprendre. 

_ Tu m'excites quand tu me regardes comme ça. insiste t-il en redressant le menton

Debout à quelques pas de là, Katsuki se mord la lèvre inférieure, attaqué de l'intérieur par l'explosion d'envie qu'Izuku suscite décidément chez lui, attisé par ses mots, et affolé par son corps, offert à lui sur un lit. 
Dans sa main, il retient un unique préservatif sorti de sa boite, associé à un tube de lubrifiant dont il ne reconnait pas la marque et qui parait déjà entamé, et son désir grandit encore dans ses veines rien que de songer à la suite. 
Sous la ceinture de son pantalon, difficilement retenue par le tissu prêt à se déchirer de son boxer, l'érection qu'il ne peut décemment plus ignorer pulse si fort qu'elle l'empêchera bientôt de marcher droit. 

Il lui suffit de regarder la silhouette de Deku, installée juste là, devant lui, le ventre tâché et la peau humide, les cheveux transpirants et les cuisses à peine entrouvertes, pour que les battements qui résonnent entre ses jambes deviennent de plus en plus violents. 
Alors, puisqu'il ne peut plus attendre sans risquer de crever d'une seconde à l'autre, il entreprend de détacher lui même son pantalon d'une main, prêt à se défaire tout seul de ses vêtement. 

_ Laisse moi le faire. s'interpose alors Izuku en levant vers lui des yeux brillants

Oh. 

Malgré son envie de tenir les rênes pour cette fois, il s'accorde le plaisir d'accepter sa requête, s'avance vers le lit, sur lequel il dépose son petit matériel, et se poste debout près du matelas, à moins d'un mètre de Deku. 
Ce dernier se redresse davantage pour ne plus avoir à tenir sur ses bras, quitte à voir le liquide sur son ventre glisser encore un peu plus, et offre à Katsuki un regard absolument lubrique au moment de saisir la boucle du jean. 
Lentement, bien plus lentement que prévu, il joue presque à perdre du temps en titillant le bouton métallique, feintant son ouverture à deux reprises, et frustrant toujours plus l'excitation qui rugit en dessous. 

Puis, devant le grognement d'impatience de Katsuki, il finit par lui donner ce qu'il attend, détache entièrement la ceinture en tissu, et libère enfin les reliefs dissimulés en dessous. 
Glissant d'abord ses mains de chaque côté de ses hanches, aventurant ses doigts sur son bassin, il entraine le vêtement en chute avec la descente de sa caresse, l'envoyant se ratatiner sur les chevilles de Katsuki sans la moindre pitié. 
Quelques secondes plus tard, il s'attaque au reste, saisit l'élastique du boxer, tire doucement dessus pour révéler le sexe nu et à la limite de la rupture, congédiant ensuite ce dernier au côté de son camarade. 

Les yeux bien ouverts, il fixe cette érection dressée juste face à son visage, gonflée et ruisselante, presque tremblante tant le sang l'inonde.

_ Satisfait ? questionne Katsuki en dégageant ses pieds des deux vêtements

_ Plutôt. 

_ Parfait. conclut-il alors avant de le surprendre

Soudainement, d'un geste certain et dirigé, il se penche en avant pour saisir la taille d'Izuku, le maintient solidement entre ses mains, avant de le retourner littéralement en un mouvement, l'aplatissant sur le ventre sans plus de cérémonie.
Tel un pancake, oui.  

_ Tu- parvient à peine à souffler Izuku

D'ici, il peut profiter pleinement de la vue sur ses deux fesses, rondes et légèrement relevées, surplombant une paire de cuisses sveltes et fort agréable à regarder. 
Plus au dessus, il dépose son regard dans la cambrure de son dos, la courbe gracieuse de sa colonne vertébrale, légèrement creusée par les lignes de ses reins, et remontant élégamment vers ses omoplates bien dessinées. 
Le paysage à lui tout seul suffit à accélérer encore la course du sang dans ses veines, et à secouer les sensations dans le fond de son ventre, à l'image d'un tressautement infini qui lui brasse l'estomac. 

Superbe.
Deku est superbe.
Encore plus vu d'ici.

Moins brusquement, il prend place à son tour sur le lit, s'allonge sans s'écraser par dessus la silhouette d'Izuku, colle ses abdominaux contre son dos, et aventure un premier baiser dans son cou. 
En passant entre les cheveux éparpillés et humides, il excite encore sa peau en suçotant ici et là les reliefs qu'il trouve près de sa nuque, et susurre une poignée de propositions torrides au creux de son oreille en gonflant sa voix pour la rendre plus suave encore. 

_ J'ai vraiment très envie de toi. ajoute t-il aussi contre son visage.

Puis, progressivement, il s'embarque en descente le long de son échine, embrasse le haut de sa colonne, dérive en dessous de ses épaules, trace son chemin entre ses omoplates, et suit la ligne qui rejoindra plus tard son coccyx. 
Partout où il passe, il marque son territoire en traçant un chemin humide de salive, qu'il dévale sous sa langue.

Sur le trajet, il s'imprègne de son odeur, de son goût comme de sa texture, en même temps que sa main droite s'invite à la danse, caressant son corps sur le même tempo que sa bouche. 

Piégé entre lui et le matelas, Izuku soupire une nouvelle fois, attiré par la délicatesse de l'invitation, les sens en éveil sous la chaleur de sa langue qui le parcoure, et l'envie toujours aussi puissante grondant dans sa poitrine.
Aussi, certains de ses muscles se contractent au contact brûlant des lèvres de son amant, comme sa respiration qui sursaute à quelques reprises quand il caresse des zones plus sensibles.
Katsuki, lui, visite tranquillement la plaine, dénombre une petite quantité de tâches de rousseur ici et là, ainsi qu'un grain de beauté discret, presque planqué sur la naissance de sa fesse gauche. 

D'ailleurs, il la saisit, cette fesse, dans la paume de sa main, pressant ses doigts dessus pour palper ses courbes et en apprécier la douceur. 
Il masse un peu la jolie zone, pose allègrement ses yeux dessus, la poitrine en feu et la gorge pleine de soupirs ravalés, tout en concentrant son attention sur le souffle plus saccadé d'Izuku en dessous de lui.
Ce dernier, collé au matelas et le visage caché contre le tissu, respire plus fortement à mesure qu'il s'offre complètement à lui.

Encore un petit moment, Katsuki prolonge la douceur, il faut durer le câlin pour profiter pleinement de sa délicatesse.
La peau d'Izuku lui inspire la tendresse, les baisers, et beaucoup de soin.
Tout comme il s'est imaginé mille fois se perdre dans le contact virtuel de Zed, il rêve de s'ancrer au corps d'Izuku, presque de fusionner avec.

Puis, quand il se sent prêt à abandonner temporairement la tendresse, desormais désireux d'aller chercher de nouveaux gémissements dans la voix de son amant, il se redresse momentanément sur ses genoux pour fluidifier ses mouvements, et récupère le lubrifiant un peu plus loin.

Opérant au dessus du dos de Deku, il verse hasardeusement le liquide sur une de ses mains, en renverse la moitié sur la peau brûlante de son échine, et le lubrifiant s'étale le long de sa colonne vertébrale courbée. 

_ Ah ! C'est froid ! râle Izuku, le nez dans la couverture

Un sourire taquin au visage, Katsuki s'amuse à faire couler davantage de liquide sur sa peau, officiellement par accident, officieusement pour le plaisir de la voir se contracter sous le choc de la température. 
Ses fesses s'agitent un peu quand il sursaute sous le froid comme ça, et Katsuki pourrait le regarder faire pendant des heures.

_ T'as fini de jouer ? peste finalement son amant en relevant le visage

_ Nan. 

Son cœur bat si fort contre ses côtes, et à force de le laisser s'emballer de la sorte, il pourra bientôt le voir s'échapper et se rompre dans la pièce, achevé par la surcharge émotionnelle et le trop plein de désir. 
Aussi, la brûlure est telle en bas de son bassin, portée par l'incandescence de son érection, qu'il en ressent le crépitement jusque sous son sternum, à l'image d'un immense feu incontrôlable étirant ses flammes à travers toutes ses veines. 

De ce spectacle, il ne veut rien louper, rien du tout. 

Alors, de sa main sèche, il attrape gentiment la cuisse d'Izuku pour la faire glisser sur le matelas, pliant son genoux dans la manœuvre jusqu'à ouvrir totalement l'accès à ce qui l'intéresse. 
Dans cette position, Deku tourne la tête pour libérer son visage, collant plutôt sa joue sur le lit, les cheveux en vrac sur son front transpirant, et la bouche ouverte d'impatience. 
Puis, se courbant au dessus de lui, en appui sur un seul coude pour ne pas s'affaler de trop, Katsuki se prépare enfin à découvrir de nouveaux horizons sur son corps, promenant d'abord sa paume mouillée sur les reliefs de ses fesses, avant d'inviter ses phalanges entre elles, les glissant jusqu'à l'entrée recherchée, et touchant l'orifice sensible du bout d'un doigt. 

Une seconde, Izuku s'arrête de respirer, bloquant sa posture alors que Katsuki le taquine de très près, jouant à affoler ses sens sans complètement s'insérer en lui. 
Si c'était encore possible, la température grimperait de quelques degrés supplémentaires, mais dans la petite pièce isolée, le mercure explose déjà ses propres limites.
L'atmosphère chargée de souffles chaud et de caresses enflammées, la surface du lit se change en brasier, cœur d'un incendie sans fin, où leurs corps rapprochés se consument inlassablement tel deux fétus de paille. 

Seulement quand il estime avoir suffisamment perturbé la respiration de son amant, Katsuki lui accorde enfin le plaisir libérateur de faire entrer la longueur entière de son majeur, confiant de ses gestes et sûr de l'effet qu'il produit. 
A l'intérieur, distinguant la chaleur de ses parois, il reproduit des mouvements qu'il maitrise déjà, ouvre le champ et élargi l'espace en bougeant légèrement ses phalanges, cherchant en même temps à déclencher de plus fortes réactions. 
Aussi, il se permet encore de déposer quelques baisers sauvages entre les omoplates d'Izuku, allume encore et toujours sa peau sous sa langue pour ne jamais perdre le contact, pendant qu'il se prépare à ajouter son index à la partie. 

A deux doigts, il accède à une plus large de gamme de soupirs, tout droit sortis des lèvres de Deku, qui s'évaporent dans l'air, volant jusqu'au plafond et s'infiltrant dans ses tympans. 

Izuku, lui, la tempe contre la couette, ferme les yeux et pince ses lèvres, soufflant bruyamment par le nez à mesure qu'il reçoit les sensations, les bras relevés au dessus de sa tête et les mains accrochées aux draps. 
Couchées sur son front, ses boucles viennent s'accrocher à ses cils immobiles, et les rougeurs de ses joues camouflent partiellement les tâches de rousseur qui y résident. 
Pendant une poignée de minutes, Katsuki continue de le travailler au corps, parfois un peu plus vite, d'autres fois plus profondément, allant cueillir ses gémissements depuis le centre de sa poitrine. 

Des éclairs de plaisir lui traversent le dos à intervalles réguliers, déclenchent des frissons prononcés le long de ses hanches à chaque fois que Katsuki effleure le bon endroit. 
Il en perd même aléatoirement le contrôle de sa voix et du tempo de sa respiration, oubliant de retenir les échos plus aigus qu'à l'accoutumée qui sortent de sa gorge. 
Sous les pieds du lit, le sol tremble et tourne sur lui-même, comme les murs qui se balancent à droite et à gauche, et le plafond qui s'émiette vulgairement en petits morceaux sans valeur. 

Pendant ce temps, Katsuki bute jusqu'à la base de ses doigts, glisse contre les parois internes et écarte la voie jusqu'à s'en sentir satisfait, les phalanges couvertes de lubrifiant et sa paume humide se baladant d'avant en arrière. 
Finalement, il ralentit le geste après plusieurs minutes de préparation sagement menée, s'introduit encore une fois ou deux pour la forme, avant de se décider à passer complètement à autre chose. 
Prêt à engager l'étape suivant, il se redresse encore sur un dernier baiser plein d'adrénaline, puis s'installe correctement sur ses genoux et relevant totalement son buste et les épaules. 
Passant sa main propre dans ses cheveux pour les jeter en arrière et libérer son front chaud, il s'applique à retrouver le sachet du préservatif quelque part par là, ouvre le petit emballage qu'il abandonne au milieu du lit, et déroule proprement la protection sur sa verge tendue à bloc. 

A nouveau, il verse du lubrifiant un peu partout, un peu à côté au passage, salit les draps et mouille tout l'environnement sans s'en inquiéter, avant d'attraper fermement les hanches d'Izuku. 
Sans brutalité néanmoins, mais avec un brin d'urgence, il lui intime de se décoller du lit, puis de prendre place à quatre pattes, le dos cambré et les omoplates creusées par la position. 
Devant lui, son incroyable fessier se poste là, juste à sa portée, offert comme un cadeau et prêt à l'accueillir.
L'excitation touche son paroxysme quand il braque ses mains sur les deux jolis ronds, massant la chair tendre en se mordant l'intérieur des joues. 
Sans parler, glissant une de ses paumes le long de la colonne vertébrale, pendant que l'autre l'aide à trouver le chemin sacré, il s'introduit en lui sans se presser, sans forcer, et en veillant à ne pas brusquer quoi que ce soit. 

Lentement, il s'enfonce progressivement, garde un oeil sur les réactions d'Izuku, alors que les sensations qu'il déguste enfin se fraient un passage voluptueux à travers son bassin. 
Un instant, il ferme les yeux et la bouche, frémit en sentant la chaleur de Deku entourer étroitement son sexe, en même temps qu'il presse un peu plus sa main contre son dos. 
Plus en avant, Izuku se cambre davantage, tord son échine comme s'il cherchait à la plier, plaquant ses clavicules et son visage contre le lit, et ramenant ses bras près de sa tête. 
D'ici, Katsuki peut s'offrir une vue absolument plongeante sur son corps et sur les courbes outrageuses qui se tiennent entre ses mains. 

Probablement capable de damner un saint, la silhouette de Deku le rend totalement et définitivement fou, accro, cinglé.
Le voir ainsi suffit à lui faire perdre la tête, à lui donner le vertige, il en égare jusqu'à ses pensées.

A peine remit de ses émotions, fiévreux et excité au possible, il s'emploie à bouger progressivement pour multiplier le désir, recule son bassin pour mieux le réavancer, et crée graduellement un mouvement régulier et parfaitement délicieux. 
Il accélère un peu, se penche en avant au dessus de son amant, et perd le contrôle de son souffle à mesure qu'il lui fait l'amour, observant en même temps son corps qui se secoue au rythme de ses actions. 
Izuku gémit. 

Tout à coup, Katsuki ne se souvient plus ni de la date du jour, ni de la météo, ou même de sa localisation, juste emporté par la tornade de plaisirs qui s'accrochent à son bas ventre, qui bouillonnent sans limite, et qui grimpent en furie à travers sa poitrine. 
A l'approche d'une implosion, il s'agrippe un peu plus au dos creusé de Deku, ouvre plus franchement la bouche pour soupirer avec lui, tandis que leurs respirations se noient entre les claquements obscènes de leurs peaux qui s'entrechoquent. 
Pourtant, il n'entend plus grand chose autour de lui, si ce n'est les pulsations de son propre cœur, qui butent contre ses oreilles et résonnent entre ses tempes, l'emmenant toujours plus près du grand final à grand coup de sensations folles. 

Il n'a jamais autant pris de plaisir à faire l'amour qu'en le faisant avec lui.
Et le voilà, à gémir comme un dingue contre le corps torride de l'homme qui a piraté son ordinateur et son téléphone.
En plus de faire exploser la moitié de Musutafu.
S'il remarquait déjà que leur relation prenait un tournant inattendu, elle vient d'atteindre des sommets.

Quand il jouit, quelques dizaines de secondes après, il s'affaisse malgré lui dans sa posture, suffoque dans l'air beaucoup trop chaud qui lui brûle la poitrine, et une fièvre soudaine lui attrape le front. 
La transpiration coule le long de ses abdominaux, témoin de l'effort puissant qu'il vient de fournir, en même temps qu'une fatigue soudaine s'abat sur lui. 
Puis, un éclat de rire secoué par l'orgasme à travers la gorge, il baisse la tête en inspirant autant qu'il peut.

L'adrénaline et la dopamine en roue libre dans son sang, il sourit malgré l'épuisement, ressentant encore les vagues de satisfaction lui caresser le ventre, quand bien même il s'écroule à moitié. 
Il ne se rappelle pas avoir déjà pris autant de plaisir dans sa vie.

Contre le lit, la joue collée aux draps et les épaules liquéfiées, Izuku reprend son souffle comme il peut lui aussi, les paupières entrouvertes et les cheveux définitivement décoiffés, le dos toujours tordu par la prise de Katsuki sur sa colonne vertébrale. 
Les genoux pliées, et accessoirement les fesses en l'air, il avale la salive passablement pâteuse qui envahie sa bouche, racle sa gorge anesthésiée, avant de tenter un murmure rauque et épuisé. 

_ Ah putain j'ai chaud .. 

Réveillé par les mots de son amant, Katsuki se reconnecte au réel en battant des cils, constate la chaleur insupportable qui règne autour d'eux à son tour, et souffle dans l'espoir de se rafraichir tout en se retirant de lui. 
La capote toujours en place sur la verge désormais à demi molle, il s'effondre d'abord à côté d'Izuku, s'allonge sur le dos en plaquant ses deux mains sur son front, et fixe niaisement le plafond en souriant. 
Respirant autant que faire se peut dans cette fournaise, il tourne ensuite la tête vers lui, croise son regard brillant alors qu'il déplie ses genoux pour s'étaler à nouveau sur le ventre, et admire fièrement son visage trempé et rougi. 

_ C'est assez entreprenant ? demande t-il sur un ton joueur

Taquin, Deku fait mine de rouler des yeux en haussant vulgairement une épaule, feintant une expression d'indifférence qui ne colle pas du tout à son état général. 

_ Mouais. Peut mieux faire. 

_ Je t'emmerde. 

Dans la chaleur quasi insupportable de la pièce, baignée toutefois dans le calme et l'apaisement, ils restent ainsi un long moment, à se regarder en silence, à se sourire bêtement tel deux ados découvrant l'amour, enfermés ensemble dans une petite bulle tranquille. 
En attendant qu'elle éclate, en espérant qu'elle tiendra encore assez longtemps, ils profitent juste de ce qu'elle peut leur offrir, des sentiments qui y vivent et s'y déploient, comme de la douceur qu'elle leur permet d'entrevoir. 
Le matelas, si peu confortable soit-il, se fait le témoin principal de cette relation aussi jolie que bancale, planquée dans un sous sol, prisonnière d'un combat qu'elle ne fera pas disparaitre, et condamnée à obéir à un plan dont elle ne fait théoriquement pas partie. 

_ Deku ?

C'est vrai, quand le moment viendra, il faudra se détacher de la bulle, mais tant qu'elle existe, tant qu'elle persiste, ils peuvent au moins s'y installer un petit instant.

_ Hm ?

Profiter du regard de l'autre et d'une ribambelle de caresses, oublier parfois que la guerre se prépare, se permettre de ne pas penser à la catastrophe qui arrive.

_ Non, rien.

Se redécouvrir, et puis s'aimer. 
Avant de ne plus pouvoir le faire, avant de devoir remettre les pieds sur le chemin, avant de retrouver les grondements pénibles de la réalité. 
Le temps fera son travail, à un moment ou un autre.
Quoi qu'il advienne.

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Hey ! 

J'ai plusieurs choses à vous dire ! 

Déjà, bah finalement il est quasiment 100% lemon ce chapitre, même s'il est un tout petit peu plus court que d'habitude (3300 mots contre les 3600 habituels en moyenne) 
Et puisqu'on en parle, j'aimerais revenir sur son message à ce lemon. 
Je ne suis absolument pas fâchée contre les commentaires qui font référence au concept Uke/Seme, mais j'aimerais clarifier une chose : 
Je n'écris pas de lemon pour nommer un dominant ou un soumis, et il n'y a ni dominant ni soumis dans cette relation d'ailleurs. 
Le but, outre le plaisir d'écrire un peu de citron (parce que ça fait toujours plaisir soyons honnêtes), c'est aussi de mettre en avant de développement de leur relation, et le fait que Katsuki n'est pas le seul à se laisser aller et à s'ouvrir à l'autre. 

Oui dans ce lemon il prend le dessus, mais personne n'a dit nul part que ça faisait d'Izuku le soumis de ce couple. Il n'y a pas de soumis. Je fais travailler leur relation et leurs caractères l'un vis à vis de l'autre. 
Voilà, je voulais simplement apporter cette précision. 

Ensuite, je suis chez mes parents pour quelques temps, disons pour me refaire une santé, parce que la période actuelle est assez difficile pour moi et que je ne suis pas au top. 
Du coup, il est fort possible que j'ai moins de temps pour écrire durant les jours à venir, et donc les publications vont probablement s'espacer un peu pendant une semaine/10 jours. 
Mais comme d'habitude, je reviens vite ! 🥰

Le prochain chapitre devrait être chargé en nouveauté et en intrigue 👀

J'espère que celui ci vous a plu, et je vous embrasse en attendant la suite 😘

Prenez soin de vous ❤

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