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Chapitre 11


Point de vue de Kayleigh :

Nous même avons été assommés après que nous ayons dégommés les morts-vivants, du moins une bonne grosse partie. Après que Luke se soit prit une poterie sur le crâne, il est tombé raide mort au sol et n'a plus bougé alors que du sang s'écoulait de sa tête... Les autres en ont certainement déduits qu'il était mort et nous avons à notre tour perdu connaissance. Lorsque je me suis réveillée, Dylan était encore inconscient à mes côtés, sur un lit. Je l'ai secoué comme un prunier et il a finit par se réveiller, clignant plusieurs fois des yeux.



«- Putain, j'ai mal au crâne, grogna-t-il.

- Et moi au bras mais là, c'est le cadet de nos soucis !»



Il frotta ses yeux en se redressant lentement tandis que j'observais la pièce dans laquelle nous étions. Elle m'était totalement inconnue, la décoration était très basique et ancienne, datant probablement des années soixante ou soixante-dix mais semblait être entretenue. J'aurai aimé pouvoir regarder par la fenêtre mais la pièce en était dépourvu. 

Je sautai du lit avant de me précipiter sa porte, tentant de l'ouvrir avec délicatesse mais rien, elle était fermée à pieds, quelqu'un nous avait enfermé.



«- Quoi, t'as pas de force ? me demanda Dylan avec un sourire amusé.

- C'est pas le moment Dydy' ! Tu te moques encore de moi, et tu finis castrer, soupirai-je.

- Tu ne feras pas ça parce que tu m'aimes trop.»



Il s'était levé à son tour avant de rapidement presser son corps contre le mien, mon dos appuyé contre le mur tandis que ses mains glissaient jusqu'à ma taille. Son visage s'était dangereusement rapproché du miens, je sentais son souffle s'abattre délicatement sur mon visage et ses lèvres frôlèrent les miennes, les cherchant.



«- A quoi tu joues ? murmurai-je, perplexe.

- Ça ne se voit pas ? Je tente ma chance si jamais je m'en sors pas.

- Dylan...

- Non, Kay ! Ça fait des semaines qu'on se cherche et j'en ai marre de ne pas passer à l'action.

- Mais...

- C'est simple, si on survie à ce merdier, tu veux être ma petite-amie ?»



Je fus assez prise de court, j'eu besoin de réfléchir quelques secondes avant de plaquer mes lèvres contre les siennes en guise de réponse, il n'avait pas tort. J'avais appris à aimer son toucher et peu à peu, je me rendais compte que j'avais extrêmement peur de le perdre, plus que les autres...




***



Cela faisait vingt minutes que nous étions enfermés dans la chambre et dîtes-vous bien qu'on a essayé de l'ouvrir de différentes manières, passant des plus douces aux plus brutales en essayant de la casser mais rien, elle était rudement solide. 

A nouveau allongée sur le lit, les yeux rivés sur le plafond tandis que mon meilleur ami slash peut-être futur copain faisait les cent pas, j'observais les dalles qui ressemblaient fortement à ce qu'on pouvait trouver dans des lycées et universités... En les observant, une idée avait germé dans ma tête, je m'était redressée et avait attrapé la chaise de la pièce avant de grimper dessus, me mettant sur la pointe des pieds mais il me manquait une vingtaine de centimètres pour toucher le plafond.

Je croisais le regard surpris de Dylan, ce dernier changea d'expression faciale, comprenant peut-être ce que voulais faire. J'avais abandonné la chaise pour finalement monter sur le petit bureau qui était bien plus haut et en restant sur la pointe des pieds, je pu toucher du bout des doigts les dalles blanches.



«- Dylan, viens m'aider !»



Il avait acquiescé, me rejoignant sur le bureau avant de me soulever en me prenant par les hanches puis la paume de ma main poussa la dalle qui se soulevait. Génial ! Je montais sur ses épaules et poussait la dalle avant de comprendre qu'il y avait un faux plafond ! Je poussais la dalle, la remettant à l'intérieur avant d'essayer de faire de même avec une voisine mais elle ne bougeait pas, je testais avec une autre qui fonctionnait.



«- Laisses-moi passer le premier, je suis plus grand et comme ça, je t'aiderai à monter ! me proposa Dylan.»



Je redescendis de ses épaules avant de lui voler un doux baiser. Il sauta en l'air et attrapa le bord de l'intérieur avant de se hisser dans la faux plafond, à la seule force de ses bras. Je le regardai le souffle court en entendant des pas se rapprocher puis il me tendit ses bras avant que je ne saute et m'y raccroche, lui, me tirant à l'intérieur. Il tomba en arrière, moi au dessus de lui avant de pousser un léger rire nerveux. J'étais fatiguée et terriblement à bout de ses conneries. Des cris en allemand se firent entendre, mon sang ne fit qu'un tour et me dépêchais de remettre les dalles comme elles étaient je remarquais que nous étions dans le noir le plus complet.



«- Dylan, sors ton portable pour nous éclairer.»



Il s'exécuta et passa devant, rampant sur les genoux tout comme moi puisque la hauteur des "couloirs" ne faisaient même pas un mètre cinquante. C'était un drôle de passager à la limite entre le conduit d'aération et je ne sais quoi. Après quelques minutes, au bout du couloir se tenait une échelle pour descendre. J'ai haussé un sourcil avant que le brun ne jette un coup d'œil, il ne semblait y avoir personne. Nous sommes descendus assez rapidement en faisant le moins de bruit possible avant de tomber dans une salle étrange. Pleins de machines reliées avec de tas de tuyaux avec différentes grosseurs. 

(ceux/celles qui ont vu le film Resident Evil 1, revoyez la pièce étrange.. Vous devriez reconnaître avec la photo ;))


Un frisson me parcouru alors que j'avais une impression de déjà vu... 

J'avais attrapé la main de Dylan, la serrant dans la mienne en avançant timidement avec lui.



«- Dylan, cet endroit est très étrange il ne te fait pas penser à...

- Un film ? me coupa-t-il. Oui, c'est flippant.»



Nous avions marché pendant de longues minutes avant que je n'arrive face à une boîte en verre ou un corps entubé tenait à l'intérieur, entouré d'énormément d'eau... On aurait dit la mutation d'un humain en celui d'un monstre que je n'arrivais pas à définir.



«- Dylan, il faut vraiment qu'on sorte d'ici, il se passe des choses tellement étrange...

- Je sais mais il faut que tu sois forte, j'ai la nette impression qu'on n'est pas au bout de nos surprises. »



Je poussai un long soupir avant de me remettre en route, sortant de ce drôle et effrayant endroit, tombant dans un très long couloir avec des tas de portes. Je haussai un sourcil avant de suivre Dylan, qui lui aussi essayait de se faire le plus discret possible, ne faire aucun bruit lors de nos pas...



«- Peut-être que... On devrait juste jeter un coup d'oeil à une salle ou deux pour... trouver des choses ? murmurai-je à voix très basse.

- Oui mais c'est risqué...»



Je me mordis la lèvre inférieure sachant qu'il avait raison mais il fallait bien trouver une sortie et de quoi nous armer, au cas où...

Nous sommes alors passés devant une salle ouverte, personne à l'intérieur, nous nous y faufilions avant qu'on le ne trouve, en fouillant, un simple petit revolver à moitié chargé dans le tirer de l'un des bureaux. Curieuse, mon regard fut attiré par les écrans des ordinateurs, on pouvait y lire des courbes et des chiffres, que je ne comprenais absolument pas d'ouvrir des fichiers successivement et de tomber sur différentes photos... Que je reconnu immédiatement. NOS photos avec en dessous "Sujet" et le numéro qui suivait.


Hailey Sanchez : Sujet 1. 

Etat : Décédée

0%


Blandine Winter : Sujet 2.

 Etat : Décédée

0%


Kristen Anderson : Sujet 3.

 Etat : Décédée

0%


Luke Hemmings : Sujet 4.

 Etat : Décédé

0%


Thomas Sangster : Sujet 5.

Etat : Normal

69%


Cameron Dallas : Sujet 6.

Etat : Normal.

72%


Dylan O'Brien : Sujet 7.

Etat : Normal.

66%


Kayleigh Stewart : Sujet 8.

Etat : Blessée

53%



A la vue de cela, j'ai senti ma vision se brouiller et mon souffle se faire court, mon Dieu...



«- Dylan... Je... Jette un coup d'œil, s'il te plaît.»



Il fronça les sourcils et me rejoignit, posant les yeux sur l'écran, le parcourant du regard.



«- Nous ne sommes que des rats de labo, murmurai-je la voix enrouée.

- On doit partir, avec un ou sans les autres.

- On doit les retrouver !»



Il poussa un soupire en attrapant ma main et m'entraîna à nouveau dans le grand couloir, je me laissais faire, tremblante de tout mon être ayant la désagréable impression que nous n'étions pas aux bouts de nos surprises.



*



Point de vue de Cameron :


J'ai entraîné avec moi Thomas dans les bois pour quitter le foutu terrain des Hemmings et juste prendre une voiture pour y aller au plus vite. Nous surveillons sans cesse nos arrières, je sais que cela faisait un moment que nous marchions et pour cause, mes pieds étaient trempés à cause de la neige. A ce moment-là, deux hommes ont surgit des buissons, armés jusqu'aux dents, leurs AK-47 pointés sur nous, ne pouvant rien contre eux, nous nous sommes laissés emmenés je ne sais où. 

Ils nous ont fait monter dans un hélicoptère, de force bien entendue, j'ai tenté de me rebeller mais je l'ai vite regretter en me prenant un coup de crosse dans le ventre et j'ai suivi... Le voyage a été rapide mais suffisamment long pour que je perde patience. Une fois encore, nous étions poussés comme des merdes, jusqu'à un un petit bâtiment et je fus surpris de voir que nous prenions un ascenseur pour nous rendre aux étages inférieurs.

Je fronçais les sourcils en voyant qu'il y avait un train de métro face à nous. Encore une fois, nous avions été forcés de nous taire et d'acquiescé alors que je rêvais de les tabasser jusqu'à la mort. Quels enfoirés ! Nos conditions étaient égales à ceux des animaux. Après une dizaine de minutes, nous étions arrivés à une autre rame de métro et on nous a fait courir jusqu'à un autre ascenseur puis nous sommes passés dans des tas de couloirs similaires, tous blanc éclatant et... terriblement vides.

C'est alors que l'un des hommes a ouvert une grande porte en bois massif et décorée de fioritures dorés. La porte s'est alors ouverte sur une femme, grande, les cheveux courts et blonds, la peau laiteuse. Elle devait avoir une quarantaine d'année et un sourire étirait ses lèvres rouges.



«- Je suis heureuse de vous rencontrer, Thomas et Cameron.»



___________________________________

Hello 

 

J'espère que vous avez apprécié ce chapitre ! 

C'est probablement le plus long de la fiction...

Fiction qui touche à sa fin vendredi. Il ne reste plus qu'un chapitre et l'épilogue. :)


N'hésitez pas à voter et à me donner vos avis sur le chapitre, ça me ferait plaisir ! 


Je vous fais des bisous,

Caroline.

 


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