Lucie
-Luce réveille toi. Lucie. Dit quelqu'un en me secouant légèrement.

J'ouvris doucement les yeux encore fatiguée. La silhouette d'Arizona était penchée au dessus de Moi Tout souriante. Je me frottais les yeux et me relevai.

-Qu'est ce qui se passe? Dit je d'une voix ensommeillé.

-Viens, je dois te montrer un truc. Me répondit mon amie en me tendant sa main.

Je la prise et elle m'aida à me relever. Je vis que les autres étaient tous entrain de dormir sauf Oskanna qui faisait la garde avec Ari.

La blonde m'entraîna hors de la tente en me prenant la main. Je fis un bref signe à la jumelle qui surveillait assise sur sa chaise. Elle me sourit et me renfis mon signe. Arizona continua à me trainer plus loin du campement.

-On va où? Lui demandais je.

-Ici! S'exclama mon amie en s'arretant.

Je regardai autour de moi. On était sur une colline, à gauche on pouvait voir la tente et à droite...

-Wouah... Soufflais je en m'approchant encore un peu.

En bas, dans la vallé il y avait une grande ville éclairé. La vue était à coupé le souffle. Ari s'assit et je l'imitai.

-Bienvenue à Rome. Me dit elle en souriant.

Je tournais ma tête vers elle étonné.

-C'est pas vrai... Murmurais je.

Arizona avait un sourire jusqu'aux oreilles et je jetai un nouveau coup d'oeil à la ville. J'avais toujours voulu me rendre à Rome et je devais y aller cet été avec les filles. Rome m'avait toujours faciné par son architecture hors du commun.

-Joyeux anniversaire, joyeux anniversaire, joyeux anniversaire Lucie, jouyeux anniversaire. Chanta mon amie à côté de moi.

Je me retourna une nouvelle fois vers elle. Ari avait un mini cupcake avec une bougie allumé dessus et me le tendait. C'est vrai que c'était mon anniversaire aujourd'hui, j'avais complétement zappé.

Une larme m'échappa que j'essuyai en vitesse. J'étais tellement émue et touché que mon amie se souvienne de mon anniversaire et qu'en plus elle m'a fait cette surprise.

-Fais un voeux. Me dit Ari.

Qu'on s'en sorte tous vivant s'il vous plait.

Je soufflai et Arizona m'applaudis. Je posai le cupcake par terre et pris mon amie dans mes bras. On se serra fort et je laissai couler plusieurs larmes.

-Merci. Dit je d'une voix étranglée.

-Oooh ma Luce. Lança la blonde la voix chargée d'émotion aussi.

On se sépara et Ari m'essuya mes dernières larmes avec sa main. J'avais de la chance de l'avoir elle et Cara.

-Bon, on le mange ce cupcake! S'exclama Arizona.

Je rigolai et partagai la patisserie en deux. J'en donna un bout à mon amie et mangeai l'autre en contemplant le spectacle qui se deroulait devant nos yeux.

-Je savais que tu ne veux pas le dire aux autres mais si tu as changé d'avis... Commença mon amie.

Je secouai la tête. Je m'en passerai, je suis heureuse qu'elle s'en ai souvenu. Il ne manquerait plus que Cara pour que ce moment soit parfait.

Elle me manquait énormément, j'ésperais de tout coeur qu'elle et Noah avaient réussi à s'en sortir. Je n'arrivais pas à immaginer qu'elle puisse...

-Arrête. Arrête de te torturer tu sais qu'elle n'aurait pas voulu ça. Me coupa Arizona comme si elle lisais mes pensées.

Je laissai échapper un petit rire.

-C'est sur, elle serait arriver par derrière et nous aurait une tape sur nos têtes. Souriais je.

-Et puis, elle nous aurait dit de bouger notre gros cul pour s'installer entre nous deux. Continua Arizona un leger sourire aux lèvres.

On resta un moment en silence et je terminai mon cupcake d'anniversaire en profitant de cette magnifique vue.

Omniscient
Le président tapa sur la table très en colère.

-Apporté Moi tout ce que vous avez sur cette petite garce! Ordonna t'il à ses conseillé.

Les conseillés de regardèrent entre eux, se demandant si le président n'avais pas perdu la tête.

-TOUT DE SUITE! Hurla ce dernier.

Les conseillés filèrent hors du bureau tous effrayé et les idées confuses. Le président poussa un soupir de mécontentement et s'assit dans son fauteuil.

Depuis son plus jeune âge, Tom Keen n'avais eu qu'un seul et fidèle ami, Marcus. Ensemble ils avaient fait les quatre cent coût et jamais ils n'avaient été séparé.

Lorsque Marcus avait eu des ennuis avec la famille Hard et qu'il avait été envoyé injustement en prison à l'âge de dix huit ans, Tom avait fait la promesse à son ami de le libérer.

Cela avait pris quarante trois ans pour qu'il arrive enfin au pouvoir et libère son seul et unique ami. Mais ce n'était que le plan B.

Ils avaient réussi le plan A qui était d'aider Marcus à s'échapper. Mais comme c'était un grand impatient très rancunier, ils s'en était pris aux trois filles Hard.

Malheureusement, Cara Hard avait réussi à s'en tirer et l'avais livre à la police. Tom a du donc déployés le plan B.

Et voila qu'à peine son ami sorti qu'il lui demande le plein accès aux fichiers des plus grandes agences et de l'Amérique et du monde entier.

Quand Marcus lui a dit ce qu'était devenu la jeune drogué, il était très impressionné. Elle avait arrêté la drogue mais sûrement pas ses activités illégales.

Quelqu'un toqua à la porte et le président se redressa et annonça d'un voix ferme et froide que son visiteur pouvait entré.

Un des conseillés de Tout à l'heure entra nerveusement sans cesser de remonter ses lunettes rondes. Il s'approcha du bureau un dossier en main.

-Monsieur, je... enfin... Balbutia ce dernier.

Le prédisent lui lança un regard noir et le pauvre conseillé ravala sa salive.

-Nous n'avons rien trouvé Monsieur. Annonça l'employé d'une petite voix.

Tom se leva d'un coup et se retourna vers la fenêtre en essayant de contrôler sa rage.

-Avec la guerre en...en Europe, c'est très compliqué de... de retrouver quelqu'un... c'est le chaos là bas... Continua le conseiller en essayant de contrôler sa peur.

Le président souffla un coup puis se retourna.

-Et pour les funérailles? Demanda ce dernier.

-Uhm Tout est prêt monsieur comme vous l'avez demander. Dit le conseiller en se raclant la gorge.

Le président hocha la tête au moins une chose qui se déroulait comme prévu. Tom avait fait organisé les plus belles funérailles pour son ami que cette garce avait éliminé.

Cette petite garce lui avait enlève son seul ami et pilier et il comptait bien se venger.