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Chapitre 8 : L'absurde

J sortie de l'acide, elle avait les yeux fermait. Ses paupières et le contours de ses yeux étaient noircie. Elle réussie à grimper sur un bout de métal flottant dans la marre d'acide. J ouvrit les yeux, la plaque de métal fondait. J était sereine, détendue sur l'acier fondante. Elle se releva pour regarder autour d'elle.

"-Malgré la trêve, j'ai tuée Fire-Thunder... pas mal."

Un rire timide raisonna.

"-Je t'ai aidée grande soeur ?"

J cherchait d'où venait la voix.

"-Qui est là ?

-Je t'ai aidée ?

-Montre toi et je te répondrais."

L'acide fut évacuée par des siphons installés dans le sol. J était à nouveau à nouveau sur le sol, à moitié bouffé.

"-Je l'ai remis dans la cuve et j'ai fermée les tuyaux, je vais les enlever après. J'ai bien fait grande soeur ?

-Montre toi si tu veux une réponse."

Une femme un peu plus petite que J apparue de derrière une porte dissimulée dans un des mur. Elles se ressemblaient comme deux goutes d'eau, si J était sous sa forme normalisée. Cette femme à peine plus jeune que J avait des cheveux mi-long noirs et d'immense yeux gris bleutés. Elle regardait J avec un regard obnubilé, comme si elle était face à son idole. J reculait, elle venait de réaliser que cette femme l'appelait grande soeur.

"Encore un bâtard, elle a l'air joyeuse." pensa-t-elle.

"-Pardon ! C'est juste que..."

Elle tendit le long imperméable qu'elle tenait à J qui n'avait plus que des lambeaux de sous-vêtements. J l'enfila et le ferma le plus possible. C'était comme une robe brune foncée, presque noir.

"-Merci. Moi aussi j'ai des questions à te poser. D'abord comment as-tu fais pour entrer chez moi et qui ta permis de squatter ma planque ?

-Papa m'a donné le libre accès à l'usine avant que tu nous en débarrasse. Je voulais te rencontrer depuis très longtemps ! Papa t'appelait toujours le clown triste mais depuis que tu "bosse" je te trouve créative et... drôle. Tu es créative, je l'ai tout de suite vue.

-Oh... mais où sont passés mes bonnes manières ? On va recommencer, comment t'appelle-tu ?

-Jessica mais tu peux m'appeler Jess, c'est comme tu veux.

-Alors Jess, c'était quoi ton plan ? J'ai une petite idée mais j'aimerais que tu me le confirme. Et que tu me donne une bonne excuse pour avoir saccagée mon usine comme ça." J dit ça avec un sourire gentil.

"-Je voulais attirer ton attention et t'impressionner avant de te parler.

-Grâce à toi j'ai prit mon quatrième bain acide... j'y survivrai ne t'en fais pas. Pourquoi tu veux m'impressionner ?

-Tu es ma grande soeur, je veux te rencontrer depuis mon enfance et je me suis dit que c'était le moment rêvé pour te parler.

-Donc si j'ai bien compris, on a le même paternelle ?

-Oui je suis le bâtard du côté paternelle. Il m'appelait souvent comme ça... mais je veux te demander quelque chose : l'autorisation.

-L'autorisation ? J'ai pas la gueule du chef de famille pourtant.

-Tu es la seul qui reste et qui a l'âge et la transformation pour donner l'ordre.

-Qui me dit qu'on a bien un lien de parenté ? Je ne voudrais pas qu'un malade qui ne soit pas de ma famille profite de la "solution Joker".

-C'est pour ça que je t'ai apportée ceci, c'est un test de paternité que papa a fait faire. J'ai aussi une photo de lui et de moi."

Elle tendit les documents à J. Elle les examina rapidement.

"-Ouais...

-Je sais qu'on peut facilement faire des faux mais..."

J se mit à avancer tout en lisant les documents. Jessica la suivit sans dire un mot. J s'approcha d'un reste de cuve, plongea sa main dedans et jeta l'acide, qui y restait, au visage de Jess. Elle ne réagit pas, comme si c'était de l'eau.

"-C'est possible que tu sois de la famille... encore un test de paternité et je te croirait.

-Oh merci grande soeur !"

Jessica essaya de faire un câlin à J qui l'a repoussa d'une gifle si forte que Jess fut projetée au sol.

"-Je n'apprécie pas trop les contactes "humain".

Jessica se releva, cracha le sang qu'elle avait en bouche avant de sourire.

"-Tu cogne fort ! Hihi... papa aussi me tapait mais pas aussi fort.

- Arrête de me comparer à lui ou je t'en remet une.

-Ok, je veux travailler avec toi.

-T'es directe, j'aime bien. Pourquoi que maintenant ? Tu aurais pue essayer de me rencontrer plus tôt.

-Avant j'étais trop jeune et après papa ne me laissait pas sortir, j'étais comme en prison. Ensuite tu l'as tuée mais tu n'étais pas toi même donc je me suis dit que je pouvais peaufiner mon plan pour t'impressionner jusqu'à ce que tu aille mieux. Alors j'ai mis au point un perturbateur de personnalité et la S.M.A et ça a marché puisqu'on est en train de discuter.

-T'es vraiment douée. C'est vrai, pour un premier coup, c'est vraiment bon. Tu as potentiellement butée un super héros et tu as foutue un beau bordel, c'est presque impressionnant.

-Potentiellement ? Fire-Thunder ne peut pas avoir survécue à ça !

-Oh pauvre petite débutante, tu ne sais pas que la règle numéro une est de ne jamais vendre la peau du super con avant de l'avoir écorchée.

-Ne pas crier victoire avant d'avoir vue le corps, compris. T'es un bon prof.

-Je prends pas d'apprentie.

-Pourquoi ?

-Toi tu connais pas Assassination classroom. Je vais t'aider à le trouver, ça iras plus vite.

-Je veux devenir ton associer pas ton élève. Tu ne m'apprendrais pas, tu me donnerais des conseils.

-Tu sais jouer avec les mots. Je verrais, retrouve déjà Ray et je verrais.

-Youpi ! J'y cours, j'y vole, merci grande soeur !"

Jess commença les recherches en sautillant dans l'usine.

"-Quelle enthousiasme !"

Alors que J se sentie fatiguée, elle entendit tousser près d'elle.

"-Héhé... increvable celui-là !"

Elle s'approcha d'un des mur et des décombres d'où venait le bruit. Elle vit bouger.

"-C'est dingue que t'as réussie à survivre à ton bain."

Ray se releva, il était torse nue, son pantalon était à moitié déchiqueté, ses cheveux bleu ciel parsemés de mèches bleu nuit cachaient son visage. Il malta sa main dans le mur, comme si c'était du beurre, pour ce tenir. J passa sa langue sur ses lèvres en regardant le torse musclé de Ray.

"-Je n'aime pas le gâchis... je vais devoir me salir les mains."

Il leva la tête. Sa peau était aussi blanche que celle de J, ses yeux étaient noirs avec des reflets dorés.

"-Ca te vas bien... tu me plairais presque si je ne te tuais pas.

-Venant d'une aussi belle jeune et charmante femme."

La voix de Ray était légèrement plus grave. Il réussie à se tenir droit, J sourit.

"-Il arrive encore à parler, avec une magnifique voix en plus !

-C'est si brûlant...

-C'est normal, c'est de l'acide. Je ne t'imaginais pas aussi résistant... ou aussi appétissant.

-Je ne suis pas mort... toi, tu vas bien ?

-Dans ma famille, on résiste tous à l'acide. D'autre personnes résiste aussi à l'acide, mon grand-père pensait que ses personnes était faîtes pour les membres de ma famille."

J avait les mains dans ses poches. Ray se colla contre elle d'un coup, si vite que J n'eu même pas le temps de réagir quant il lui attrapa le bras. Ray et J était collés l'un contre l'autre. Elle ne bougeait pas, elle restait impassible, comme toujours.

"-Qu'est-ce qui m'arrive ?

-Très chère, tu deviens complètement fou."

Ray se mis dans le dos de J, il posa ses mains sur les hanches de la jeune femme qui le suivait son manège du regard. Elle se retourna pour lui faire à nouveau face. Elle posa ses mains sur les épaules du jeune homme.

"-Je peux savoir ce qui se passe dans ton petit cerveau grillé ?

-Je suis fou...

-Je sais, c'est moi qui te l'as dit.

-Je suis fou... fou de toi !"

Ils repèrent et se collèrent contre le mur qui se fissura et manqua de s'écrouler. Ray l'embrassa.

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