Une semaine sans nouvelle de Frink, le pays tout entier était au main de J. Les deux héros ne pouvaient rien faire car au moindre mouvement, elle détruisait une ville et toute sa population. Le pire était ce qu'elle faisait du pays, les bâtiments n'étaient plus que des ruines instables car truffé d'explosifs. Toutes les banques étaient vide car tout l'argent et l'or étaient dans le bureau présidentiel de J avait investie. Ce dernier se trouve dans un grand gratte-ciel au coeur de la capital. Il était complètement fermé, ne laissant pas sortir le gaz qui le remplissait. J avait ordonnée que du gaz du bonheur soit injecté dans la ventilation pour être sûr "de ne pas perdre sa bonne humeur". Impossible d'entrer sans que J s'en rende compte. Il était aussi impossible d'en sortir sans l'autorisation de J. Elle contrôlait tout et terrorisait le pays entier.

Les héros, coincés chez eux cherchaient un moyen de faire sortir J... et de sortir de chez eux.

Frink, installer à l'organisation travaillait toujours sur l'antidote.

J n'était plus capable de se maîtriser, elle agissait par réflexe, par pulsion. Elle variait entre inactivité total et pulsion meurtrière. Plus elle prenait de pilule, plus ses accès de violence se faisaient nombreux. Alors qu'elle "dormait" à moitié, Grete entra dans le bureau.

"-Hahaha...qu'est-ce que...tu veux petit pion ?

-Vous apportez vos pilule mademoiselle. Je vous ai également apportez des doses.

-J'aime pas...les injections...ça fait cocaïnomane...

-Je ne sais pas combien vous en avez prit mais, vue votre état, vous êtes bien plus qu'en overdose ou en méga-overdose. Si vous n'arrêtez pas d'en prendre, vous allez finir par vous grillez le cerveau.

-Hahahahaha...super...vivement...

-Non espè...mademoiselle, ne faite pas cela, vous allez vous transformer en une sorte de monstre inhumain.

-Hihihihi...tu m'as convaincue...donne m'en plus...

-S'il-vous-plais, écoutez moi...vous devez stopper la consommation de cette drogue, sinon vous allez...

-Hahahaha...ha...héhéhéhé...tu m'ennuis...sors, je peux pas te tuer...alors dégage et apporte...moi de la chaire fraiche...sinon je devrais me...passer de toi...

-À vos ordres mademoiselle J."

J ne mangeait rien d'autre que des pilules et ne buvait plus, elle ne respirait plus du tout de l'air, plus que cette drogue du bonheur. Elle était dans un délire qui l'a poussée à prendre encore plus de pilules, plus de gaz et encore plus d'injection. Elle avait des crises de fou rire au point qu'elle n'arrivait presque plus à parler.

"-Hihihihihihihihi...j'adore...hahaha...c'est si...hihi...délirant...hahaha...hihi...un si petit pays...ne suffit pas...héhé...j'en veux plus !"