Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 5 - « En route pour aller acheter des céréales. »

Lucas avait un air coincé dans la tête qu'il n'arrivait pas à oublier. Cette mélodie lui était venue alors qu'il mangeait ses céréales le matin même, mais il n'arrivait pas réussi à la terminer une fois son bol, et son paquet par la même occasion, vide. Il avait donc sauté sur ses pieds et pris la direction du supermarché le plus proche afin d'en acheter un nouveau.

Il était toujours impressionné par le fait que l'inspiration pouvait venir des petites choses de la vie. C'est vrai, il n'aurait jamais pu imaginer qu'il composerait une musique entière uniquement en regardant son stylo tourner sur la table ou alors en regardant son père s'étalé de tout son long sur le sol après avoir trébuché contre un lego. C'était une histoire qu'il ne fallait mieux pas raconter.

Voilà donc où il en était, en route pour aller acheter des céréales.

Claquant des doigts au rythme de ce qui se passait dans sa tête, il slalomait entre les touristes qui s'agglutinaient autour des vitrines des magasins qui composaient la rue piétonne.

Cela faisait un certain temps qu'il ne s'était pas penché sur sa musique, la dernière qu'il ait composée étant celle du solo de danse de Lucie. Ça lui manquait.

En toute honnêteté, plus il y pensait et plus il avait envie de construire son futur dans cette branche. C'était sa passion, elle l'aidait dans les moments difficiles comme ceux de bonheur et il ressentait le besoin d'en faire son quotidien.

Bien sûr, Lucas savait que ce monde était très peu accessible, que ce soit sur le devant de la scène ou alors derrière les rideaux, mais il avait l'impression que sa musique valait non seulement la peine d'être écoutée, mais était suffisamment qualitative pour un large public. C'était son ressenti personnel et même si le résultat attendu n'était pas encore présent, il allait tout faire pour que ça le devienne.

Il ne voulait pas spécialement être celui qu'on reconnait dans la rue, celui qui s'expose au public, c'était même quelque chose qui l'effrayait particulièrement. Toutes ces critiques sur le moindre mouvement des célébrités, ce n'était pas vraiment sa définition d'une vie saine pour le moral. C'était même ces critiques qui le retenait de parler de sa passion, la peur de ne pas être à la hauteur et de décevoir.

Cependant, s'il voulait vivre de sa musique, il allait devoir franchir ce cap.

Perdu dans ses pensées, une musique fraya son chemin à travers jusqu'à ce qu'il comprenne qu'elle ne venait pas de son imagination. Fronçant les sourcils, il regarda tout autour de lui à la recherche de la source, mais avait du mal à l'identifier avec le monde qui inondait la rue.

Faisant confiance à ses oreilles, il avança de quelques mètres avant de s'arrêter, le son passant progressivement derrière lui. Il recula de plusieurs pas, la distance qu'il fallu pour que la musique se trouve parfaitement à sa droite. Lucas mit plusieurs secondes à comprendre ce qui se situait devant lui.

Séparé de la rue par de grandes baies vitrées, le bâtiment contenait, au rez-de-chaussée, de très grandes pièces au parquet brillant et aux murs recouverts de miroirs. À l'intérieur, un groupe de danseurs se déplaçait, chacun effectuant un bon nombre de figure et de pas de danse.

Un studio de danse.

« Cool. » Murmura-t-il en se promettant d'en parler à Lucie dès qu'il rentrerait chez lui

Elle allait adorer cet endroit.

Reprenant sa route d'un pas beaucoup plus rapide, il arriva à destination dans les deux minutes qui suivirent. Le supermarché se trouvait à environ deux kilomètres de la maison que son père louait pendant les vacances, il n'avait donc pas mis très longtemps pour s'y rendre.

Pénétrant dans l'enceinte, il fut interpellé par le nombre de familles qui faisaient leurs courses. Il avait l'impression qu'il y avait autant de monde à l'intérieur que dans les rues. Après tout, le Sud de la France était un endroit très prisé des touristes pendant les vacances et beaucoup de locaux comme Zoé ne partaient pas.

Lucas était déjà exaspéré par la foule, voilà pourquoi il ne tarda pas à trouver ce qu'il cherchait. Même s'il avait plusieurs minutes à tomber sur le bon rayon et sur le genre de céréales qu'il mangeait, il essaya de rattraper le temps perdu en naviguant entre les clients et courant en direction des caisses automatiques. Malheureusement, une petite queue s'était formée, même ici.

Prenant son mal en patience, il attendit et observa ceux qui se trouvaient devant lui. Sérieusement, les gens ne savaient-ils pas lire ? Une caisse panier réservée aux moins de dix articles ne signifie pas que vous pouvez venir avec trois paniers et plus de trente articles !

Quand vint son tour et alors qu'il se dirigeait vers la caisse qui venait de se libérer, son téléphone sonna. Ne prenant pas le temps de regarder qui pouvait l'appeler, il répondit.

« Lucas ! » Il n'avait même pas pu dire un seul mot que son père venait de lui hurler dans l'oreille. « Comment est-ce que tu as pu me cacher ça ? »

Lucas ne savait pas s'il était censé savoir de quoi son père lui parlait. « Je te cache pas mal de choses, il va falloir que tu sois un peu plus précis. »

Un silence de plusieurs secondes s'ensuivit et Lucas ne pouvait que trop bien l'imaginé en train de se demander ce qu'il avait pu omettre de lui dire. Il pouvait pratiquement l'entendre lever les yeux au ciel.

« Lucie ! » Son coeur rata plusieurs battements. « Tu ne m'avais pas dit qu'elle était aussi ici en vacances ! »

Lucas était pratiquement sûr qu'il était devenu aussi blanc qu'un bonhomme de neige. « Je- J'ai dû oublié. » Il secoua la tête pour se réveiller. « Mais comment ça se fait que tu le sais maintenant si je ne t'ai toujours rien dit ? »

« Et bien elle est juste devant moi sur la plage. » Il pouvait entendre que son père avait un sourire qui allait d'une oreille à l'autre. « Je sais que je ne l'ai vraiment vu qu'une seule fois, mais tu sais bien que j'ai une très bonne mémoire des visages. »

« D'accord, » Lucas tenta de calmer son coeur qui battait de plus en plus vite, au point de frôler l'infarctus et, à son âge, c'était vraiment inquiétant, « quoi qu'il se passe, surtout tu ne fais rien. Tu ne bouges pas et tu ne vas p- »

Son père l'interrompit avec un grand rire. « Tu rigoles j'espère ? Quel père je serais si je n'allais pas lui dire bonjour ? »

« Non, papa tu ne- »

Mais c'était déjà trop tard, il avait déjà raccroché. Lucas écarquilla les yeux, paya son paquet de céréales en quatrième vitesse et partit en courant en direction de la plage. Ce n'était pas bon, vraiment pas bon.

Assise sur sa serviette, le sable chaud glissant entre ses doigts, Lucie observait une famille qui se trouvait non loin d'elle. Les parents étaient posés sous le parasol et surveillaient leur deux filles qui construisaient un château de sable mais qui ne cessait de s'autodétruire. Alors que la plus jeune ne supportait pas de voir son oeuvre ne pas résister à la gravité, la plus grande essayait de la rassurer et d'essayer de nouvelles techniques pour réussir.

C'était une vision qui réchauffait le coeur de Lucie.

Elle aurait aimé avoir un frère ou une soeur, avoir ce genre de relation qui ne pouvait se retrouver que par le sang. Elle savait bien que tous ne s'entendaient pas forcément, particulièrement à l'âge adulte, mais c'était quand même quelque chose qu'elle enviait.

Elle le voyait bien à travers Alexia et son frère. Même si sa meilleure amie arrivait à se plaindre qu'il venait toujours l'embêter et qu'elle ne pouvait jamais être tranquille, elle savait pertinemment qu'elle ne l'échangerait pour rien au monde.

Avoir un frère ou une soeur aurait été une compagnie non négligeable, quelqu'un avec qui Lucie aurait pu partager la difficulté de sa relation avec ses parents et, peut-être, que cela aurait été moins dur à porter. Mais d'un autre côté, ça n'aurait pas été juste. C'est vrai, comment pouvait-elle souhaiter à une autre personne de vivre ce qu'elle avait vécu ?

Soupirant, Lucie détourna le regard et s'empara de son portable pour téléphoner à Alexia. Cela faisait déjà quelques jours qu'elles ne s'étaient pas appelées et Lucie avait besoin de parler. La tonalité ne sonna que deux avant que la blonde ne répondit.

« Salut toi, » un grand sourire égayait son visage, « j'espère que tu as une bonne raison pour m'interrompre dans ma méditation. »

Lucie leva les yeux au ciel. « Ne fais pas comme si tu n'avait pas attendu mon appel toute la journée d'hier. »

« C'est vrai, j'ai même sacrément été déçue de ne pas entendre ta douce voix. » Le sarcasme dégoulinait de sa voix. « Bon, et si tu me disais ce qui te travaille maintenant ? »

Lucie fronça les sourcils. « Comment- » Mais elle secoua la tête. « Je sais pas trop, l'ambiance chez moi est super lourde et ça commence à me peser sur le moral. »

« Lourde ? Comment ça ? »

Lucie haussa les épaules. « Mon père est insupportable, il refuse constamment que je fasse quoi que ce soit, il est sur mon dos dès qu'il le peut. Quant à ma mère, soit elle m'évite, soit elle essaye de faire la conversation comme si de rien n'était. J'ai vraiment du mal à les suivre, ils sont tellement contradictoires. »

« Et tu as essayé de leur parler ? » Grimaça Alexia connaissant parfaitement la réponse.

« Bien sûr que non, non seulement ça ne servirait à rien, mais en plus ça risquerait d'aggraver les choses. »

La blonde soupira. « Écoute Lucie, ça peut pas continuer comme ça et tu le sais très bien. »

« Je sais, » elle regarda autour d'elle avec un certain désespoir, « mais qu'est-ce que tu veux que je fasse ? Je n'ai absolument aucun pouvoir sur leur comportement. »

« Tu n'as pas beaucoup d'options, soit tu leur parles et tu es honnête avec eux, mais aussi envers toi même, soit tu prends un vrai recul et tu arrêtes de prendre cette situation aussi à coeur. »

Lucie prit le temps de réfléchir. Elle savait parfaitement que sa meilleure amie avait raison, ce n'était vraiment pas sain, mais ce n'était pas pour autant une décision facile à prendre. Elle n'était pas sûre d'avoir le courage de faire l'une ou l'autre des solutions.

« Je dois te laisser, » reprit Alexia, l'inquiétude perçant dans sa voix, « réfléchis-y et n'hésite pas à en parler, que ce soit à moi ou à Lucas, d'accord ? »

Lucie acquiesça et, après l'avoir saluée, raccrocha. Parler à sa meilleure ne lui avait pas procurée la tranquillité d'esprit qu'elle recherchait et avait même eu l'effet inverse. Elle se posait de plus en plus de questions.

Elle ferma les yeux et laissa les rayons du soleil lécher les traits de son visage accompagné de la douce brise marine. C'était une de ces journées d'été où la chaleur était présente, mais pas étouffante. Une journée idéal pour profiter.

« Lucie ! »

Cette dernière sursauta à l'entente de son prénom par une voix qu'elle ne connaissait pas. Sautant sur ses pieds, elle se tourna vers l'origine et se retrouva face à un homme d'une quarantaine d'année portant un short de bain noir et une chemise hawaïenne. Une barbe de quelques jours et des cheveux bruns encadrant son visage, des lunettes de soleil recouvrait son regard.

Elle fronça les sourcils avec suspicion, pas vraiment rassurée. « Bonjour ? »

Il s'arrêta devant elle avec un grand sourire sur les lèvres. « Bonjour, je sais pas si tu te souviens de moi, mais je suis le père de Lucas. »

Lucie écarquilla les yeux et ne put qu'admettre que c'était vrai lorsqu'il enleva ses lunettes, révélant ainsi ses yeux bleu électrique qui étaient identiques à ceux de son fils.

« Lucas ne m'avait pas dit que tu passais aussi tes vacances ici ! »

« Euh... » Lucie essaya tant bien que mal de cacher son malaise. « C'était pas vraiment prévu. On s'est croisé par hasard au début des vacances. »

« C'est quand même une sacrée coïncidence. » Il lâcha un petit rire, toujours aussi joyeux. « Il faudrait que vous me racontiez ça un de ces jours. Tiens, tu devrais venir manger à la maison ! »

Lucie se figea, ne sachant pas vraiment quoi répondre à ça. C'était l'interaction la plus étrange qu'elle avait eu dans sa vie et pourtant elle vivait avec ses parents. Heureusement, son chevalier arriva à temps.

« Papa ! » Lucas s'arrêta dans une glissade à ses côtés. « Qu'est-ce que je t'avais dit ? Tu ne fais rien, tu ne bouges pas ! C'est pourtant pas si dur à comprendre ! »

Son père balaya sa remarque de la main. « Je n'ai fait que me montrer poli. D'ailleurs, figure-toi que je l'ai invitée à manger à la maison. »

Lucas fronça les sourcils, visiblement pas content par cette nouvelle. « Quand ça ? »

« Pas aujourd'hui bien évidemment, ce n'est pas avec ce qu'on a dans le frigo qu'on va pouvoir faire un dîner complet ! »

« Ok, d'accord, » il se frotta les yeux avec exaspération, « on va y aller nous. À tout à l'heure. »

Lucie eut tout juste le temps de murmurer un au revoir que le brun l'entraînait par le bras dans la direction opposée. Ils ne ralentirent que lorsque Lucas estima qu'ils étaient bien trop loin pour que son père ne décide de les rejoindre.

« Ton père est très... » Réfléchit Lucie, dubitative. « Joyeux. »

« Il est surtout fatiguant. » Grommela-t-il avec mauvaise humeur. « Il m'a appelé dès qu'il t'a vue, mais, comme d'habitude, il en a fait qu'à sa tête et est venu t'interrompre alors que tu avais très certainement mieux à faire. »

Lucie haussa les épaules. « Pas vraiment à vrai dire, je venais juste de raccrocher avec Alexia. »

Son ton tendu attira l'attention de Lucas qui se tourna vers elle. « Ça va ? »

Elle se mordilla la lèvre et secoua la tête. « Est-ce qu'on peut aller chez moi s'il te plaît ? »

Lucas ne se posa pas de question et acquiesça. Il avait une petite idée de ce qui la perturbait, mais il était tellement soulagé qu'elle décide de venir lui parler d'elle-même qu'il ne voulait pas anticiper.

Arrivés à destination, ils s'installèrent tous deux au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, profitant du calme ambiant. Ils restèrent silencieux pendant plusieurs minutes, Lucas attendant patiemment que Lucie se décide à parler, préférant ne pas la brusquer au risque qu'elle se renferme.

Elle finit par se décider et lui adressa un petit sourire. « Tu sais, Alexia m'a dit qu'il fallait que je parle à mes parents ou alors que je décide de les ignorer définitivement. Mais je ne sais pas quoi faire. »

« Personne ne peut vraiment décider pour toi. » Murmura-t-il comme s'il se mettait à parler plus fort, quelqu'un viendrait lui prendre ce moment qu'il avait tant attendu. « Est-ce qu'il y a quelque chose que tu aimes dans le comportement de tes parents ? »

Elle le regarda comme si un troisième œil venait de lui pousser au milieu du front. « Il n'y a rien à apprécier dans leur comportement, ils sont abjectes. »

« Je suis sérieux Lucie, » il insista du regard, « même pas un tout petit truc ? »

« Je- » Elle s'interrompît, décontenancée par cette drôle de question.

Mais Lucas avait une raison particulière de l'avoir posée. Sa réponse allait lui permettre de prendre une décision qui allait certainement tout changer.

« Et bien, je suppose que je ne déteste pas quand ma mère essaye de me parler, » elle baissa les yeux sur ses mains, « j'ai l'impression qu'elle veut renouer le lien qu'on avait quand j'étais petite, mais je n'ai pas envie de me faire de faux espoirs. »

Un petit sourire se dessina sur les lèvres de Lucas, mais il tenta tant bien que mal de le dissimuler pour ne pas qu'elle s'en aperçoive. « Dans ce cas là, tu ne devrais pas te couper d'eux. »

Lucie leva la tête vers lui, un tumulte d'émotions se mélangeant dans ses iris vertes. Il y avait le soulagement d'avoir enfin une réponse claire, l'espoir d'entendre quelque chose qu'elle voulait entendre, la confusion de la raison de sa réponse, mais aussi l'appréhension de ce qu'elle va devoir faire.

« Si tu apprécies quand ta mère essaye de se rapprocher de toi, c'est que tu n'es pas prête à faire une croix sur elle. Je ne sais pas ce qu'il en est de ton père, mais tu devrais vraiment essayer de parler à ta mère. Elle pourrait être la clé pour que tu te sentes enfin mieux. »

Elle prit le temps d'intégrer toutes ces informations. Lucas essayait de deviner ce qu'il se passait dans sa tête, mais elle était partie bien trop loin pour qu'il puisse y voir clair. Il espérait sincèrement avoir réussi à l'aider dans sa prise de décision car il voyait bien que ça la rongeait de l'intérieur et il ne voulait pas que ça finisse par la consommer entièrement.

Elle méritait mieux.

Elle tourna son regard vers lui et l'embrassa sur la joue. « Merci. »

Malgré l'absence d'explication, Lucas n'eut aucun mal à comprendre que son discours avait fait son petit bout de chemin dans son esprit. C'est tout ce qu'il demandait.

Ils passèrent le reste de la journée à discuter et profiter de la chaleur en écoutant de la musique au soleil ou alors en jouant à différents jeux de carte et de société. Cela faisait déjà quelques temps qu'ils n'avaient pas passé du temps rien que tous les deux.

Ils ne virent pas la journée passer et qu'elle ne fut pas leur surprise lorsque la porte de la maison s'ouvrît alors qu'ils étaient assis autour de la table du salon de jardin en pleine partie de Uno.

Lucie se leva d'un bond, les yeux écarquillés d'horreur, en se rendant compte que ses parents venait de franchir le seuil et que leur regard se posait sur Lucas qui était pétrifié sur place. Elle ne prit pas le temps de réfléchir et lui jeta ses affaires, le tirant par le bras en direction de la porte.

« Ce n'est rien, il est juste venu me tenir compagnie parce que je n'avais pas envie de sortir et de passer ma journée toute seule. » S'écria-t-elle en évitant leur regard et marchant le plus vite possible. « Il allait partir. »

Et en un claquement de doigt, Lucas se retrouvait à l'extérieur, la porte se fermant derrière lui alors qu'il partait en courant vers un lieu plus sûr.

Lucie, quant à elle, n'attendit pas une seconde de plus et commença à grimper les marches qui menaient à sa chambre alors que le teint de son père devenait de plus en plus rouge.

« Lucie. »

Mais elle secoua la tête. « Il faut que j'aille terminer mon livre. »

Elle venait de signer son arrêt de mort.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro