
-C'est l'heure.
Le roi se retourne petit à petit, c'était un grand squelette avec une énorme cape rouge et une jolie couronne jaune. Il souriait, néanmoins on pouvait deviner que son sourire était triste. Il semblait adorable et me faisait de la peine. On pouvait sentir par son aura que c'était une bonne personne rien qu'en le regardant. Mais on pouvait aussi remarquer qu'il avait fait des actes horribles par devoir.
Papyrus: -HO... HUMAIN! TU ES DÉJÀ LÀ...? J-JE NE M'ATTENDAIS PAS A UNE TELLE RAPIDITÉ... NE T'EN FAIT PAS. J'ESPÈRE QUE TU ES PRÊTES À AFFRONTER LE GRAND PAPYRUS !
Mon âme {C/A} apparaît. Tu es remplis de {T/C}.
{T/P}: -N-Nous ne sommes pas obligés de nous battre...
Il ne dit rien et des os se matérialisent et se dirigent dans ma direction dans un rythme endiablé. Je m'efforce de les éviter pour sauver ma vie. J'enjambe, je passe à droite, à gauche.
Lorsque c'est mon tour, je tente d'appuyer sur le bouton Clémence. Mais celui-ci n'a aucun effets.
Je tente de discuter avec le roi. Malgré la peur qui me nouait le ventre.
{T/P}: -J-Je suis sûr qu'on peut trouver un terrain d'entente... N-Nous ne sommes pas obligés de nous battre!
Je regardais dans un coin de la pièce. Une personne en noir nous observait, il semblait être là et en même temps être absent.
S'il te plaît! Pensais-je fortement. Aide-moi!
Gaster: -Je ne peux rien faire de plus.
Mais c'est ton fils!
Gaster: -Le destin des monstres est entre tes mains.
{T/P}: -Ton père n'aurait pas voulut tuer les monstres!
Le paysage semble grésiller.
Papyrus: -JE NE VOIS PAS DE QUI TU PARLES.
Peut-être qu'il était trop jeune et qu'il ne s'en souvenait pas?
J'esquive de nouvelles attaques assez puissantes. Je commence à m'épuiser...
{T/P}: -Pense à ton frère...
Il ne dit toujours rien. Je pense que je l'ai un peu blessé... Je fais n'importe quoi! Je n'arrive à rien !
Je me prends quelques attaques, toujours dans cette danse pour ne pas me faire tuer. Mais tout devient plus difficile à esquiver. Les os sortent du sol, m'enferme. J'ai beau être {T/C}. Je perds mes points de vie encore et encore...
...
Il ne me reste plus qu'un seul point de vie.
Je tombe à genoux et attends le coup fatal.
Mais rien ne vient.
Pourtant le roi brandissait un os au-dessus de moi. Mais il n'arrivait pas à me le planter en plein cœur.
Papyrus: -HUMAIN.... J-JE... JE NE PEUX...
Il baissa son arme et s'écroula en pleure.
Papyrus: -JE N'EN PEUX PLUS... JE NE PEUX PLUS TUER D'ENFANTS... JE NE LE SUPPORTE PLUS...
Je relève la tête et me mets à pleurer aussi à cause de l'émotion. Je le prends tendrement dans mes bras, espérant le consoler.
Papyrus: -JE VEUX JUSTE... REVOIR MON FRÈRE... JE VEUX JUSTE... AIDER MON ROYAUME...
Je murmure avec délicatesse ses paroles:
{T/P}: -Je vous promets de tout faire pour vous aider... Pour que vous soyez heureux...
Au même instant, un bruit... Non... Pas ce bruit...
Caché dans l'ombre, Tem, qui lança avec malice une attaque sur le roi.
Je m'interpose entre les deux et me prends l'attaque. J'étais morte.
Le noir... Le froid...
Mais ce n'était pas comme d'habitude.
Devant-moi. Tem était là.
Tem: -Hoi! C'est teeeeellleeemeeeeennt dommage! Tu étais presque hein?
Je le fusille simplement du regard et cherche où se trouve ma sauvegarde.
Tem: -Tu n'y arriveras jamais. Tu recommenceras encore et encore. Une centaine, un millier de fois. Tu finiras folle à force de réessayer. Tu es prisonnière de la boucle dorénavant comme nous tous.
{T/P}: -Rien n'est impossible. Je l'a briserais. Je les sauverais. J'aiderai Ariel, Chara et tout les autres!
Ta/Ton {T/C} atteint son maximum.
Tem: -Et si par "bonheur" tu y arriverais? Qu'est-ce qu'il ce passera? Tu recommenceras. On ne peut pas défier la boucle. Lorsque les monstres atteignent la liberté, ils se retrouvent de nouveau enfermés. J'ai déjà essayé. C'est toujours la même chose. Les mêmes dialogues. Les mêmes actions. Les mêmes comportements. Tout se désagrège petit à petit.
Je cherche toujours ma sauvegarde en me balançant sur mes pieds. Où pouvait-elle bien être ?
Tem: -Toutefois, tu es intéressante. Tu changes les dialogues, tu as tout bouleversé. Surtout le comportement d'Asriel. Tu as quelque chose de spécial. Mais cela ne suffira pas.
Il fut coupé. Tout tremble autour de nous.
Tem: -Qu'est-ce qu-POURQUOI?!
Je reviens près du roi. Juste après mon combat.
Papyrus: -H-HUMAIN...?
Une voix me chuchote à l'oreille.
Gaster: -Merci qui?
Merci Gaster.
Je souris et regarde Papyrus dans les yeux.
{T/P}: -J'ai quelque chose pour vous...
Je lui rends le fameux livre.
{T/P}: -Il appartenait à votre père.
Papyrus: -M-MON PÈRE...? CELA FAIT SI LONGTEMPS... MERCI HUMAIN.
Une seconde... N'avait-il pas dit qu'il ne savait pas de qui je parlais? M'a-t-il mentis ou...?
Il ouvre le livre et le débute avec des petites larmes, je pose ma main sur l'objet en souriant.
{T/P}: -Vous devriez attendre votre frère pour lire ceux-ci.
Papyrus: -JE NE SAIS PAS OU EST-CE QU'IL CE TROUVE.
{T/P}: -Je le trouverais pour vous. Je vous le promets.
Papyrus: -MERCI HUMAIN.
Je le serre une nouvelle fois dans mes bras avec gentillesse.
J'avais l'impression... Plus loin... Une force m'attirait...
Devais-je m'y rendre?
{T/P}: -Puis-je me rendre vers la barrière?
Papyrus: -AUCUN SOUCIS HUMAIN! ELLE SE TROUVE DANS LE PETIT ENFONCEMENT TOUT DROIT.
Je me lève, m'incline avec maladresse et me rends vers le lieu que m'a indiqué le roi. Il y faisait très sombre. Une petite lumière éclairait le centre d'un chemin. Je savais que Tem me suivait dans l'ombre, il était vraiment curieux.
Le reste du chemin était complètement noir. Une petite angoisse se formait au creux de mon estomac. Plus loin... Une immense lumière blanche. Était-ce ça la barrière...? C'est magnifique... J'approche mes mains d'elle pour au moins l'effleurer. Une voix derrière-moi me fit sursauter.
Metta: -Elle est belle n'est-ce pas...? Cette magie que les humains ont créée et qui nous retient tous prisonnier. Elle est aussi le but de toutes les boucles temporelles.
Je me retourne vers Metta, puis regarde la barrière de mes yeux ahuris.
{T/P}: -Je voudrais tellement la briser...
Il sourit dans l'ombre et me tend sa main.
Metta: -Et si je t'aidais...?
Je recule avec un visage sérieux.
{T/P}: -Je ne te fais pas confiance.
Il range sa main.
Metta: -Je peux comprendre. Tu me connais à peine. Pourtant je suis assez fabuleux! Ce serait dommage de ne pas collaborer avec moi!
Il est très narcissique.
Metta: -C'est juste dommage, tu n'arriveras pas à les faire sortir.
{T/P}: -Et qu'elle en est la raison?
Metta: -Cette Timeline...
... Est...
Remplie de bugs.
Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro