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Chapitre 13 : Nouvel objectif {corrigé}

"Merci, Konchuu, grâce à toi je me suis surpassée", dit Aya alors qu'elle se tenait devant le corps percé de Konchuu. Elle regarda sa main, le losange toujours présent sur celle-ci.

"Gengo ?" Demanda-t-elle.

"Oui ?"

"Tu peux savoir où est Eikiri grâce à ce sceau ?"

"Oui."

"Dis-moi où il est", ordonna-t-elle.

"Très bien", soupira-t-il.

D'un coup, Aya vit une flamme s'allumer au loin.

"C'est sa position ?"

"Exactement, il te suffit de t'y rendre et voilà", expliqua-t-il.

"Super, merci Gengo, va dormir maintenant."

"Ok."

Aya se dirigea vers la flamme représentant Eikiri, elle ne pensait plus à ses amis. De toute façon, Minarai allait se faire soigner, et il était avec Cujonha, qu'est-ce qui pouvait lui arriver ?

Cela faisait plusieurs heures qu'Aya courait à travers la zone des vents. Elle atteignit rapidement la frontière entre la zone des vents et la zone volcanique.

"Sacrée coupure", remarqua-t-elle. En effet, là où le sol de la zone des vents était vert et recouvert d'herbe, celui de l'autre zone était noir, sec, et fissuré. Elle décida de s'arrêter dans l'un des quelques petits villages se trouvant à la frontière.

À l'entrée, elle fut surprise de tomber sur une affiche disant qu'elle était recherchée.

"Ils ont été rapides après la mort de Konchuu". Elle baissa la tête et lut sa prime. Elle fut à deux doigts de hurler en voyant celle-ci.

"DEUX MILLIARDS DE YAMOS ?!" hurla-t-elle intérieurement. "Ça va être dur de s'en sortir ici", surtout avec toi !", cria-t-elle.

Sur ces mots, un homme sortit de derrière un arbre. Il était armé d'une lance à deux piques, entourée de câbles.

"Ta perception est impressionnante", remarqua-t-il.

"Merci du compliment", répondit-elle.

"De rien."

"T'es qui toi du coup ? Un chasseur de prime ?"

"Exactement, et on va pas se cacher que deux milliards de Yamos c'est alléchant comme offre."

"En effet, je pense donc que le combat est inévitable."

"J'ai des gosses et une femme à nourrir, avec deux milliards je pourrais arrêter ce taff de merde et rester auprès de ma famille."

Aya souffla.

"Alors finissons en vite."

L'homme s'élança vers elle, "il est rapide pensa-t-elle". D'un coup il surgit derrière elle, sa lance armée, il réussit à toucher Aya au ventre.

"C'est tout ?" demanda-t-elle en rigolant. Mais elle regretta vite ses paroles, car l'homme pressa un bouton et elle fut électrocutée par la lance. Elle tomba à genoux, l'homme sourit.

"Tu mérites pas ta prime", soupira-t-il, "je voulais un long combat moi !"

"T'es sûr de ça ?" Demanda Aya en se relevant.

"Comment peux-tu te relever ?" Demanda l'homme impressionné. Aya ne répondit pas et observa sa blessure se refermer. "Bon, c'est bon j'en ai assez vu".

Elle s'approcha de lui à pas lents, l'homme recula et chuta en arrière sous la peur qu'Aya lui inspirait. Elle tendit la main, une larme coula sur la joue de l'homme.

"Un dernier mot ?" Demanda Aya par respect pour son adversaire.

Il ne répondit pas.

"Tu habites le village ?"

"Oui..."

"Très bien..."

Après ça, l'homme s'écroula, mais sans souffrance. Elle porta ensuite le corps et s'engouffra dans le village. Après plusieurs heures de recherches, elle retrouva enfin sa maison. Elle toqua et laissa son corps à l'entrée.

Après être partie, elle vit un papier sur un tableau de bois de chêne, il était seul, comme Aya. Elle le lut, et fut choquée. Le papier parlait d'une recherche de gardien dans un camp d'exploitation d'enfants maudits. Elle le lut entièrement et décida qu'elle irait s'occuper de ce camp le lendemain. Elle trouva tant bien que mal un endroit où dormir malgré sa prime.

Le soleil s'engouffra dans sa chambre par la fenêtre sans rideaux de sa chambre. Elle se leva de son lit vieux et abîmé, parsemé de trous desquels la mousse du matelas ressortait. Elle mit un t-shirt blanc, un sweat avec le nom de la milice illégale de sa mère dessus en se disant "c'est risqué mais bon". Elle mit aussi un pantalon militaire gris et des baskets blanches.

Elle descendit dans l'entrée de l'hôtel, lorsque l'homme à l'accueil la vit, il trembla. Aya ne le regarda pas et sortit du bâtiment.

Elle extraya le papier parlant du fameux camp de sa poche et trouva le lieu de rendez-vous. Derrière le village entre les grands sapins. Aya regarda dans cette direction et remarqua effectivement d'immenses sapins perdus au milieu des petits chênes.

"Étrange qu'ils soient là" pensa-t-elle. Après 2 heures de marche, elle arriva enfin au pied des arbres, là, un homme mystérieux attendait.

"Ahhh, tu es la première à être arrivée."

"Qui êtes-vous ?" Demanda Aya.

"Je te le dirai quand nous serons plus "cachés", allez suis-moi", ordonna-t-il.

Il marcha, Aya sur ses talons. Pendant plusieurs minutes, ils marchèrent sans s'adresser la parole. Puis ils arrivèrent devant une grande porte en métal froid plantée dans une montagne.

"Fais gaffe, Aya", dit Gengo. "Son aura est bizarre."

L'homme l'ouvrit et ils entrèrent. Ils arrivèrent dans une immense salle dont le sol, les murs, et le plafond étaient faits de métal. Quand elle entra, la lourde porte coulissa et se ferma, comme si elle n'allait jamais se rouvrir. L'homme enleva son manteau.

"Bon il est où le camp ?"

"Il n'y a pas de camp, Aya", répondit-il, un sourire dans le coin des lèvres.

"Excusez-moi, mais on se connaît ?" Demanda Aya.

"Tu ne me connais pas, mais moi je te connais bien. Aya, détentrice du démon le plus puissant actuellement, capable de libérer le chaos, celle qui a tué la grande Konchuu."

"MAIS PUTAIN T'ES QUI !" Lui hurla-t-elle.

"Mais tu vois", dit-il en tendant la main. "J'ai pu récupérer son corps pour en faire ma marionnette."

"Comment ça ?"

"Regarde."

D'un coup une boule qui avec l'air d'être faite de chair apparut sous sa main. Puis elle se transforma en Konchuu. Mais celle-ci était différente, elle était calme, elle titubait, elle était courbée. Même avec Aya devant elle, elle ne se jetait pas sur celle-ci.

"Tu lui as fait quoi ?"

"Ma pierre, et celle de la matière. Tu connais le grand principe de la matière."

"Elle ne peut être ni créée, ni détruite, seulement modifiée."

"Exact, et bien moi je peux la modifier comme je veux. Et je peux donc modifier la mémoire et l'intelligence de mes victimes pour en faire des zombies." Il éclata d'un rire sadique.

"ET J'AI HÂTE DE VOIR À QUOI TU VAS RESSEMBLER !"

"Pourquoi les gens qui veulent ma peau sont toujours des tarés", demanda-t-elle. "Bon allez."

Elle remonta ses manches et fit apparaître un katana.

"Au moins je risque pas de rouiller", dit-elle en souriant.

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