6 - Découverte de la rose
Lucy s'habituait petit à petit aux hommes. Il commençait à vraiment faire froid d'ailleurs. Ça faisait déjà deux mois qu'elle était leur captive.
Natsu voyait bien qu'elle était un peu triste et sa conscience le rongeait. Il se refusait à la laisser partir mais il voulait enlever cette petite étincelle de tristesse dans son regard. Chaque nuit, malgré l'interdiction, il la serrait contre lui. Elle était si peu robuste comparé à lui qu'elle craignait le froid. Heureusement, grâce à elle et ses pièges, ils avaient pu attraper plus de gros gibiers et elle avait fait des couvertures et des capes avec leurs peaux.
Aujourd'hui encore, ils étaient allés chasser. Happy était à la pêche. Il aimait vraiment le poisson !
La chasse ne se passait pas bien. Ils ne trouvaient rien, il faisait trop froid.
– Lucy... pleurnicha Natsu en mettant sa tête dans sa poitrine. Je suis fatigué !
– Pourquoi mets-tu toujours ta tête là ! Rosit-elle, habituée.
– Parce que j'adore cette partie de ton corps ! Répondit-il en attrapant ses seins de ses deux mains et en les reniflant.
– Natsu ! Devint-elle de plus en plus rouge.
– Luce...
Il remonta sa nez dans son cou puis continua à caresser ses seins. C'était devenu son rituel. Il adorait les caresser, mais il adorait aussi les réactions que ses gestes provoquaient !
Soudain, il se rendit compte qu'il n'avait jamais vraiment fait attention à ce qu'elle avait entre les jambes. Il y a peu, elle lui avait expliqué qu'elle avait une « rose » et non un bâton. Mais en plus, elle lui avait montré des fleurs qui s'appelaient aussi rose. Peut-être était-ce la même chose ? Ce serait bien ! Surtout que ça sentait bon les roses !
– Natsu ? Fut-elle surprise car il avait arrêté tous ses mouvements.
– Viens Luce, on va se cacher dans ma cabane secrète !
– De quoi !? S'étonna-t-elle.
– Quand j'étais un enfant et que Grey m'embêtait, j'allais me cacher dans une vieille cabane ! Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux pas que les autres voient ta rose, tout comme je ne veux pas qu'ils te touchent ! Même pas Happy ! Il profite bien trop de mes coussins !
– CE SONT DES SEINS ! IMBECILE !
– Ouais, c'est la même chose ! Balaya-t-il ses explications.
Mais l'information monta seulement au cerveau de la blonde. Comment ça, il ne voulait pas que les autres voient sa rose ?!
– Natsu... Qu'est-ce que tu vas me faire ?! S'inquiéta-t-elle.
– Je vais juste regarder ! Lui sourit-il.
– Non !
– T'as pas le choix ! Dit-il plus perversement en la portant pour éviter qu'elle ne s'échappe.
Il finit par l'attacher comme un saucisson puis arriva enfin dans sa cabane.
Il l'attacha de part et d'autre du lit en écartant bien les jambes.
– Natsu, s'il te plaît !
– Pourquoi tu ne veux pas que je vois ? S'étonna-t-il, boudeur.
– C'est... C'est gênant... avoua-t-elle.
– C'est juste pour ça ? Ne t'inquiète pas Luce ! Je t'ai déjà vu sans tes vêtements !
– Je sais mais...
Il la fit taire et détacha ses pieds. Il savait qu'elle se laisserait faire. Et puis, elle n'avait pas le choix ! Même s'il lui laissait des libertés, elle était toujours sa captive ! La dernière fois qu'elle avait refusé qu'il lui caresse sa poitrine, il l'avait puni ! Il l'avait attaché toute la journée chez lui ! Il l'avait détaché à condition qu'elle accepte de se laisser faire quand il voulait, car elle était à lui !
Il enleva le fin vêtement qui la cachait. Ça ne ressemblait pas exactement à une rose...
C'était un peu fripé, bizarre.
– C'est bon ? Demanda-t-elle, les larmes aux yeux.
– Non.
– Dépêche-toi... le supplia-t-elle.
– Laisse-toi faire, soupira-t-il. Sinon, je t'embête toute la nuit !
– Comment ça ? S'inquiéta-t-elle, regrettant déjà son ancienne punition.
– Je jouerai avec mes oreillers toute la nuit ! Lui sourit-il.
– Pitié...
Il posa un doigt dessus, la faisant sursauter.
C'était chaud et un peu humide...
C'était plaisant. Il fut surpris quand son doigt passa la frontière des deux grandes lèvres. Il y avait autre chose ! Ça ressemblait un peu plus à une rose. Ou plutôt, au cœur d'une rose.
Lucy gémit et serra les poings. C'était la première fois que quelqu'un la touchait aussi intimement. Elle la première n'avait jamais touché si ce n'était pour se laver...
– Natsu...
– Attends, Luce, gronda-t-il.
Sur le haut, il y avait une petite boule. Intrigué, il la toucha du bout du doigt. La jeune femme gémit doucement en contractant tous ses muscles.
– C'est drôle ! Rit le garçon en recommençant.
Il joua avec le petit bourgeon en ricanant. Il adorait la voir rougir ainsi, le souffle court.
– C'est comme quand je tète tes seins ! S'enthousiasma-t-il. Tu deviens folle pareil !
– Tu... Tu as fini ? Haleta-t-elle.
– Attends, lui sourit-il.
Trouvant qu'il avait assez joué, il descendit plus bas. Là encore, c'était bizarre. Elle était trempée !
– Lucy... Tu avais besoin d'aller aux toilettes ?
– Non... souffla-t-elle. C'est une sorte de transpiration...
– Une transpiration ? Elle est bizarre !
– Je sais... Je ne sais pas pourquoi ça me fait ça quand tu me touches... avoua-t-elle.
– C'est moi qui te fais ça ?
– Oui...
– Ça ressemble un peu à ce que mon bâton a fait sortir quand j'ai vaincu ton clan, réfléchit-il en le regardant.
Il écarta un peu plus ses jambes et mit son nez en face pour mieux observer. Il reposa son doigt dessus et le fit glisser vers le bas. Soudain, son doigt s'engouffra en elle, la faisant gémir et le faisant paniquer.
– T'as un trou !
– Aye... soupira-t-elle, haletante.
– C'est normal ?
– Aye... Je te l'ai déjà dit... C'est la différence entre l'homme et la femme... Toi tu as un bâton, moi j'ai un trou...
– Ouah ! C'est super bizarre... s'inquiéta-t-il en tenant son poignet avec la main où il y avait le fameux doigt.
– Je ne sais pas, gémit-elle en se tortillant.
Elle avait les larmes aux yeux. Cette position et son regard n'étaient vraiment pas agréable, si bien, qu'elle retint un sanglot, alertant le garçon qui la détacha, inquiet.
Un peu ailleurs, elle entoura la nuque du garçon et posa ses lèvres sur les siennes. C'était la première fois qu'ils faisaient ça. Ils aimaient ça.
Une fois le baiser fini, il l'allongea puis se mit à califourchon au-dessus d'elle.
Elle semblait épuisée, essoufflée. Il reposa ses lèvres sur les siennes, appréciant encore ce contact qui l'électrisait. Encore une fois, son bâton se durcit quelque peu, mais sans lui faire mal. C'était si agréable... Il avait envie de bouger contre elle...
Il arrêta le baiser pour pouvoir respirer. Elle lui sourit doucement puis tourna la tête en fermant les yeux. Elle s'endormait. Il faisait nuit dehors maintenant... Le village allait s'inquiéter mais c'était trop dangereux de sortir la nuit quand les bêtes sauvages et les dinosaures chassaient à leur tour les proies ne pouvant voir la nuit... Comme les humains.
Il s'allongea près d'elle. Elle se blottit contre lui. C'était rare qu'elle se colle d'elle-même mais il en profita en la serrant contre lui et en respirant son doux parfum...
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