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Chapitre 14. Un retour plutôt chaotique.

«Je suis le même que t'as connu, qui aujourd'hui avoue se sentir perdu. Je suis le même que t'as voulu, l'urgence appelle comme un pauvre gars perdu » - Chanson Je suis le même, Garou.

PDV Liam.

- Bonjour Mr. Payne. Comment allez-vous aujourd'hui ? Vous êtes prêt à nous quitter ?
- Bonjour Mlle Caire ! Je vais très bien. Oui, je suis prêt. m'exclamais-je, en finissant de m'habiller.
- Voici tous vos papiers, il ne manque plus que votre signature, ici et ici, et vous serez libre de nous quitter.
- Voilà – je signais aux endroits indiqués – Non pas que votre compagnie ne m'est pas agréable mais j'ai vraiment hâte de rentrer chez moi.
- Prenez soin de vous ! Au revoir Mr. Payne.
- Ne vous inquiétez pas ! Au revoir Mlle Caire.

Mademoiselle Caire quitta ma chambre, en m'adressant un sourire amical. Je finis d'emballer mes affaires. Mes pas se faisaient toujours lents. J'étais encore très faible, trop faible à mon goût. Le moindre effort, me fatiguait. Je n'étais plus que l'ombre de moi-même. Quand je rentrais dans la petite salle d'eau, je grimaçais d'horreur voyant ma mauvaise mine dans le miroir. Des petits pas résonnèrent dans ma chambre. Leena m'attendait devant la porte. Je m'avançais tendrement vers elle. Leena enroula ses bras autour de mes hanches et je mis mes mains de part et d'autre de son visage. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour déposer un tendre baiser sur mes lèvres. Il n'y a pas de meilleure saveur au monde. Le parfum Leena était et restera mon préféré.

- Bonjour mon cœur ! murmura-t-elle, en se détachant de moi.
- Bonjour. Souriais-je.
- On y va ? Tu es prêt ? me demanda-t-elle, en prenant mon sac posé sur le lit.
- On y va ! J'ai vraiment hâte de rentrer chez nous. Dis-je, en lui souriant.
- Chez toi, tu veux dire. Rigola-t-elle, le regard plein de malice.
- Non chez nous. Je t'ai entendu... tu m'as dit avoir emménagé toutes tes affaires à la maison.
- Tu m'as vraiment entendu ! me demanda-t-elle, le cœur au bord des lèvres.
- Oui !

Elle m'embrassa. Quatorze heures, zéro deux. Nous voilà enfin chez nous. J'étais épuisé. Leena m'installa sur le canapé, et vint se loger contre moi. Elle se tut pendant un moment, se contentant de caresser ma poitrine au travers mon tee shirt Ralph Lauren. De ma main gauche, je jouais avec quelques mèches de ses cheveux. Je réfléchissais à nous deux, quand la réalité me frappa de plein fouet. Je regardais son si beau visage. Un an. Cela faisait un an, depuis cette nuit-là. Cette nuit, où tout avait changé en moi et ou je lui avais demandé de me guider vers la lumière. Elle releva la tête en me souriant, sentant mon regard sur elle.

- Quoi ? s'exclama-t-elle.
- Ça fait un an ! avouais-je, en caressant sa joue.
Je la vis réfléchir un moment, avant de me sourire. Un sourire enfantin, joyeux et sincère.
- Tu as raison. Ça fait un an, depuis cette nuit-là. Beaucoup de choses se sont passé depuis ce soir-là, des mauvaises mais aussi, beaucoup, de bonnes. Tu as beaucoup changé depuis un an. Tu t'es ouvert, tu m'as laissé pénétrer ton jardin secret. Tu m'as fait découvrir la vie... Je t'aime pour çà et pour encore beaucoup plus de chose.
- Tu as raison. Beaucoup de choses se sont passées. Tu m'as redonné goût à la vie. Tu m'as redonné l'espoir, l'espoir d'une vie meilleure avec toi à mes côtés. Je t'aime Leena.
Elle m'embrassa et je sentis cette chaleur familière m'envahir. Effet Leena, garantit.
- Mon cœur ? Demain nous sommes invités chez les garçons.
- Très bien. Mais pour ce soir, je ne te veux rien que pour moi. Deux mois c'est beaucoup trop long... enfin ça a surtout dû être long pour toi.
- Tu n'as pas idée.

{...} Une nouvelle détonation, puis le trou noir, le néant. Je me réveillais en sursaut. Des perles de sueur dévalèrent mon visage et obscurcirent ma vision. Je les essuyais du revers la main, essayant de reprendre mon souffle. Chose très difficile. À chaque inspiration, mes poumons me brûlaient, mon abdomen se contracta, ce qui m'arracha une grimace de douleur. Leena dormait paisiblement à mes côtés. Je me levais sans faire de bruit, et descendis dans la cuisine. Me servant un verre d'eau, je songeais. Ce jour-là, ne cessait de me hanter. La douleur me consumait, me déchirait. Je me sentais glisser vers une nouvelle zone sombre, et à cet instant, je n'avais rien à quoi me raccrocher. Leena devait, ignorer mon mal être. Je ne voulais pas l'inquiéter d'avantage. Elle s'était fait assez de mauvais sang pour moi, c'est deux dernier mois. Je remontais dans la salle de bain. J'avais l'espoir que l'eau chaude, laverait mon mal être. Je restais de longues, très longues minutes, sous le jet d'eau. Il était quatre heures. Impossible pour moi de me recoucher pas dans mon angoisse actuelle. Je ne pouvais plus fermer les yeux, sans voir une arme se pointer vers moi et tirer. Je frissonnais rien qu'à y penser. Redescendant, je m'installais derrière le piano à queue et je laissais virevolter mes doigts sur les touches blanches et noires. Je sortis mon paquet de cigarettes de la poche de ma veste et en allumais une. Une mélodie classique et mélancolique s'échappait du piano à chaque note jouée. Les heures filèrent. Les premiers rayons de l'aube, balayèrent l'horizon et nimbèrent le salon d'une lumière chaude et douce. Je sentis les mains de Leena se poser sur mes épaules. Ses lèvres trouvèrent la peau de mon cou et elles laissèrent un chemin de baisers jusqu'à mes lèvres.

- Bonjour mon amour ! dit-elle, en soupirant à mon oreille.
- Bonjour Leena ! répondis-je, en l'installant sur mes genoux.
- Tu es debout depuis longtemps ? me questionna-t-elle.
- Oui ! Mais ce n'est rien !
- Mais...
- Non, ce n'est rien ! Tais-toi et embrasse-moi ! Ordonnais-je.

Elle s'exécuta, et ses lèvres trouvèrent les miennes. Ses doigts habiles, glissèrent dans mes cheveux pour tirer dessus gentiment. Je gémis, tout contre sa bouche. Mes dents agrippèrent sa lèvre inférieure et je tirais dessus. Elle gémit à son tour. Me détachant de son étreinte, je blottis mon visage dans son cou. Je me laissais enivrer par son parfum délicieux, de fraise tagada. Je pouvais sentir son souffle dans mon cou. L'étreinte de ses bras autour de mon torse occultait légèrement ma douleur. Je relevais mon visage et trouvait son regard. Une émotion semblable à de l'inquiétude traversa ses si beaux iris brun.

- Ne t'en fais Leena, tout ira mieux dans quelques temps ! mentis je, en replaçant une mèche de ses cheveux.
Non tout n'irait pas bien. À cet instant, je me sentais comme mort à l'intérieur. Détruit, bousillé, abîmé, torturé. C'était les sentiments que je ressentais à cet instant.
- Liam... je vois bien que ça ne va pas. Tu te renfermes... tu me laisse de nouveau plus te toucher. Parle-moi.
- Je ne peux pas, tu comprends... Si je parle, je vais m'effondrer ! me renfrognais-je, en la faisant descendre de mes genoux.
- Liam. Me supplia-t-elle.
- Non Leena ! N'insiste pas. Râlais-je. Viens allons petit déjeuner.
- Je n'ai pas faim, merci. Je vais aller courir. J'en ai vraiment besoin. Se renfrogna-t-elle à son tour.

Leena quitta le salon. Elle partit courir, vingt minutes plus tard. Après son départ, la maison devint douloureusement silencieuse. Elle venait de me laisser seul avec mes vieux et nouveaux démons intérieurs.

{...} Nous nous mouvions dans notre chambre, sans pour autant nous toucher, ni même nous parler. Nous ne nous étions plus adressé la parole depuis ce matin, sept heures. Il était dix-huit heures, cinquante-deux. M'habiller, relevait encore du défi pour moi, surtout en ce qui concernait les tee-shirts. Prenant mon courage à deux mains, je me tournais vers Leena, qui se trouvait dans la salle de bain, en culotte et soutien-gorge. Ça ce fut de la torture. Voir mais ne pas pouvoir toucher.

- Leena ! s'il te plait, tu peux m'aider. Je n'arrive pas à enfiler ma chemise. La suppliais-je.
Elle ne me répondit rien. Aïe ça fait mal. Elle se plaça derrière moi et m'aida. Je glissais mes bras dans les emmanchures. Sentir sa présence si près de moi, était grisant. Volontairement, je la caressais du bout des doigts, sur son ventre. Instinctivement, elle recula, s'échappant de mes caresses. Une vive douleur parcourut mon corps et un pincement, me serra le cœur.
- Je t'en prie Leena, ne soit pas en colère contre moi.
- Je ne suis pas en colère contre toi Liam. Je ne peux jamais l'être... je suis seulement contrariée par tous tes changements de caractères. Je ne sais jamais à quel Liam, je vais avoir à faire. Tu es comme cela depuis ton réveil. Tu changes de comportement en une nanoseconde et je ne sais plus où j'en suis. M'avoua-t-elle, les larmes aux yeux.
- Ne pleure pas ! J'ai seulement besoin de temps.

Je me retournais pour me retrouver face à elle. Je posais ma main sur sa joue, Leena appuya sa joue contre ma paume. Ses joues étaient humides. Encore une fois, j'étais responsable de ses larmes. Elle me regarda, les yeux larmoyants. Puis sans rien dire, elle se détacha de moi et retourna dans la salle de bain, pour en ressortir une vingtaine de minutes plus tard. Je ne pus que soupirer devant sa beauté. Elle avait laissé ses cheveux ondulés dans son dos. Son regard était intensifié par un trait de crayon noir et du mascara. Elle portait une robe, prune et des escarpins noirs (). Leena était ravissante, sexy et absolument attirante.

- Tu es superbe. Cette robe te va à ravir. Murmurais-je.
- Merci. Me répondit-elle, simplement.
Tandis qu'elle fermait la porte, je sortis la voiture du garage. Tel un gentleman, je descendis de la voiture pour lui ouvrir la portière. Rien. Aucun regard. La soirée promettait d'être très pesante. Leena m'en voulait, et je la comprenais mais la voir se détacher de moi, me faisait mal. La situation n'allait pas être simple à rétablir. Deux mois d'absence, de nouvelles casseroles à trimballer et un traumatisme grandissant de minutes en minutes. Nous roulâmes en silence, jusque chez Zayn. L'ambiance dans la voiture était palpable. En toute innocence, je déposais ma main sur la sienne, posait sur son genoux. Elle posa son autre main par-dessus, en me caressant la peau de son pouce. Une vague de chaleur parcourut mon être. Enfin, peut être que tout n'était pas perdu.

- Ne restons pas fâchés Leena, je t'en prie. Suppliais-je, en contemplant la route. Ca me tue que tu ne m'adresse pas la parole.
- Et moi ça me tue... que tu ne me parles pas ! articula-t-elle, en regardant par la fenêtre.
- Que veux-tu que je te dise, que je suis traumatisé ? Très bien... je suis perturbé par ce qu'il s'est passé.
- Je comprends que tu sois perturbé Liam. C'est une réaction, on ne peut plus normale. C'est un véritable choc autant psychique que physique que tu as subit... mais je veux t'aider, alors ne me repousses pas, s'il te plait. M'implora-t-elle, en tournant son regard vers moi.
- Leena, j'ai juste besoin de temps. Laisse-moi, juste du temps.
- Très bien.

Je garais la voiture dans l'allée de la villa. J'en descendis le premier pour aller ouvrir la portière de Leena. Elle prit la main que je lui tendis. Une fois que nous fûmes face à face, elle me contempla avec un je ne sais quoi dans le regard. J'enroulais mes bras autour de sa taille pour la rapprocher de moi. Je l'étreignis tendrement. Surprise. Elle ne me repoussa pas mais encercla mon bassin de ses bras frêles. Nous restâmes un moment comme ceci. Mon nez dans ses cheveux et son souffle dans mon cou. Un instant après, nous sonnâmes à la porte. La porte s'ouvrit sur un Zayn tout apprêté. Il nous sourit, nous salua, et nous laissa entrer. Dans le salon, une banderole « Welcome Home » était attaché au plafond. Dans la pièce, se trouvait un nombre incalculable de personne. Nicola et Ruth me tombèrent dessus, dans une étreinte fraternelle très agréable.

- Bienvenue à la maison ! me dit Niall, en me prenant amicalement dans ses bras.
- Bienvenue Bro'. Surenchérit Louis.
- Salut. Me salua Harry.
Tour à tour, je saluais chaque personne présente ce soir. Je n'en connaissais pas la moitié. La plupart était des amis des garçons. Il faut dire que mon nombre d'ami était très limité. Matthew et Malese était là, eux aussi. Killian, le frère de Leena était également de la soirée.

{...} Le sang pulsait dans mes veines, au même rythme que la musique. Le verre dans mes mains était vide. Je me frayais donc un passage jusqu'au bar, pour comblait se vide. J'avais arrêté de compter le nombre de verre après le troisième whisky. Étrangement, dans ce brouillard alcoolisé, je ne ressentais plus aucune douleur, plus aucune gêne. Je me sentais libre de tout ce traumatisme que je trimbalais depuis quelques jours. Une fois mon verre plein, je le portais à mes lèvres. La chaleur et la force du liquide qui glissa dans ma gorge, me fit sourire. À cet instant, je me sentais bien. J'avais perdu de vue Leena. Je ne savais pas où elle pouvait se trouver. Elle ne devait pas être loin, avec Zayn ou Matthew sans doute.

- Tu ne crois pas que tu vas un peu loin là... me dit une voix derrière moi.
- Malese ! Quel plaisir de te voir ! m'exclamais-je, un peu plus fort que prévu.
- Tu as bu combien de verres Liam ? me demanda-t-elle, sur un ton de reproche.
Embrouillé, je comptais sur mes doigts et les lui montrais. Elle me lança un regard noir, et plein de réprimande. Je la regardais en souriant. Pourquoi s'inquiétait-elle de mon cas ? Elle ne m'avait jamais aimé.
- Tu t'inquiètes... Oh que c'est gentil. Me moquais-je.
- Tu n'es qu'un sombre idiot Liam. Tu crois que Leena n'a pas assez souffert ? me questionna-t-elle, un air mauvais sur son visage.
- Oh tu m'emmerdes ! Fou moi la paix.

Malese me jeta un regard glacial et repartit dans la foule. Leena me manquait, et j'avais bien envie de l'embrasser, voir même plus. Je balayais du regard, la pièce. Mes poings se serrèrent lorsque je la vis discuter avec un garçon. Un mec plutôt grand, vêtu d'une veste rouge. Les cheveux en bataille (). Il se tenait beaucoup trop près d'elle à mon goût. Je ne pus retenir ma rage, au moment où je le vis remettre une mèche de ses cheveux en place. Elle éclata de rire, et il lui déposa un baiser sur la joue. Pourquoi était-elle si proche de ce type ? Mon cœur se vrilla, et je partis, telle une furie, dans leur direction.

- Ah Liam, chéri je te présente Shane, mon...
- Elle m'appartient... c'est ma copine ! Hurlais-je, à l'intention de cet homme.

Sans qu'ils ne puissent s'y attendre, mon poing atterrit dans le nez de ce type. Leena se redressa, avec horreur, du tabouret sur lequel, elle était assise. Elle me fusilla du regard, avant de se précipiter sur ce mec.

- Shane. Tu vas bien ? lui demanda-t-elle.
- Ça va ! Moi aussi, je suis ravi de faire ta connaissance Liam. Ma cousine m'a tellement parlé de toi, que j'avais vraiment hâte de te connaître. Ironisa-t-il.

Une minute, son cousin. Sous ma brume d'alcool, je senti la honte m'envahir. Mon regard, ne cessait de faire des va et vient entre lui et Leena. Leena était fâchée, contrariée... non je dirais même qu'elle était furieuse à mon égard.

- Tu joues à quoi Liam ! Sérieusement.

Elle me laissa planter là, telle une statue. Je détaillais ce Shane du regard. Les traits de son visage, ressemblait à ceux de Leena. Ils avaient des airs de familles. Quel con ai-je été ? Bravo Payne. Un bon point pour toi.

Cela faisait plus d'une heure que je cherchais Leena, en vain. Elle m'évitait. Ma dose d'alcool avait encore un peu plus augmentait, avec les trois autres whiskys que j'avais bu d'une traite. Quand j'aperçu Zayn au milieu du salon, avec Perrie, je me dirigeais vers lui en titubant. L'alcool pulsait encore dans mes veines. Il me rattrapa aisément, au moment où je me pris les pieds dans le tapis.

- Bro', il me semble que tu as un peu abusé de l'alcool ce soir. Me sermonna-t-il à son tour. Allez vient, je vais te ramener.
- Non... J'ai été raisonnable. Je n'ai bu que huit whiskies et avec du coca en plus. Rigolais-je, sans savoir ce que je racontais.
- Arrête de faire le con Liam ! me reprocha-t-il, en me conduisant vers la sortie.
- Je dois voir Leena ! Articulais-je, la voix rauque sous l'effet de l'alcool.
- Pourquoi ? Pour encore la faire pleurer. Me gronda-t-il, comme on gronde un enfant.
- Elle ne fait que de pleurer de toute façon... ce n'est pas toujours de ma faute. Essayais je, de me justifiais, en levant les épaules.

Zayn m'installa avec force dans la voiture. Il m'en voulait. Je ne comprenais pas pourquoi. Pourquoi tout le monde se dresser contre moi ? Oh. J'étais Liam, le vilain petit canard. Cette image me fit rire. Zayn roula avec rapidité jusqu'à la maison. Il m'aida à rentrer et repartit, en claquant la porte. Oula. La pièce se mit à tourner autour de moi. Oh. Je me dirigeais vers le canapé. Perdant l'équilibre, je m'y affalais.


PDV Leena.

Après avoir pleuré comme une idiote dans les bras de Malese, je rentrais enfin à la maison. Il était trois heures, trente du matin et j'étais épuisée. La soirée n'avait franchement pas été une réussite planétaire. Zayn m'avait dit avoir raccompagné Liam, je n'avais donc pas à m'en faire pour lui. Enfin si, je m'inquiétais grandement pour lui. Son comportement de ce soir n'avait rien eu de normal. L'alcool avait aidé son attitude mais je ne connaissais pas ce Liam violent. Insérant la clé dans la serrure, je priais pour que Liam dorme. Je ne voulais pas avoir droit à une scène, à cette heure-ci. Je retirais mes escarpins pour ne pas faire de bruit. Il était là, affalé à moitié sur le canapé et à moitié sur le sol. Dans un geste désespéré, je levais les yeux au ciel. Je ne pouvais pas le laisser comme cela. M'avançant vers lui, je l'installais, non sans difficulté, convenablement sur le canapé. Déposant une couverture sur ses jambes, je lui fis un baiser sur le sommet du crâne. Il grogna, et se retourna sur le canapé. Je le laissais donc là. J'allais dormir seule cette nuit, encore. Je me mis en pyjama, enfilant un tee shirt de Liam. Il était peut-être, rentré à la maison, mais ce n'était plus mon Liam. Je soupirais de tristesse, avant de glisser dans les bras de Morphée.















Voilà pour le chapitre 14 <3

Je tiens à remercier toutes les personnes, présente après tout ce temps et je sais qu'elles sont peut nombreuse. Merci pour votre soutien sans quoi tout cela ne serais pas possible. Je vous nems fort émoticône heart

Alors que pensez vous de ce chapitre :

--> Le retour de Liam à la maison ?
--> Le mal être de Liam ?
--> Le fait qu'il se renferme sur lui même ?
--> La soirée ?


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