pensées tentatrice
Le lune éclairé depuis un temps la pièce.
De sa fine lueur qui apaise les âmes et qui tourmente mes pensés.
De cette nuit où seul ton visage semblé me hanter, jour et nuit.
De mon corps entier qui s'affole face à ton regard perçant.
Qui fait perdre contrôle mon cœur lorsque tu viens sourire.
Comme si tu n'étais que ma simple raison de vivre.
Mon unique pensé, depuis en temps.
Sans que je ne cesse de vouloir me noyer dans le rubis de tes yeux.
Sans que je n'arrive à t'arracher de mes songes.
Et à chaque étoiles qui survole mes pensés, ton images me semble toujours plus déplacé, toujours plus obscène de ta scrupuleuse personne.
Je suis un pécheur, de pensé ainsi.
Mais cela me semble si difficile de vivre une vie sans toi.
Serais ce ...
Non j'ai passé bien trop de temps pour ne pas ressentir ça.
Je ne peux, si je veux atteindre le paradis.
Le paradis est mon unique but, je ne peux faire attraction de ça.
De ce sentiment insignifiant humain.
Qui ne viendra que interférer mes plans et amener un mauvais présage.
Boucher mon but.
Je n'ai nullement besoin de cette futile chose dans ma vie.
Cela ne peut être que de l'admiration.
Qui ne le serais pas en te voyant.
Qui ne serais pas fasciné de ta personne ?
De tes muscles de fer ... et de tes imposantes canines qui pourrait tracer la chair d'un mouvement.
De ta peau pâle qui semble s'unir à la lune.
De tes maudits yeux qui admire d'un regard de satin.
De tes stupides lèvres qui sembles si délectable.
De ton horible voix qui sonne si angélique à chaque note.
Qui ne serait pas envieux de ta perfection idiote.
Qui empêche mon corps de dormir sagement.
Qui obnibule mes pensés.
De ses choses si futiles.
Je ne suis qu'un pécheur.
Je devrais bâillonner mon esprit.
Pour ne pas que je divague à vouloir toucher mon corps.
Pour que je ne sois qu'un homme pur à l'arrivée au paradis.
Je ne connais point la gourmandise.
Je ne suis pas feignant.
Et encore moins avare ou bien égoïste.
Je résiste à l'envie de la colère.
Alors pourquoi contrer la luxure et si compliqué ?
Pourquoi donc l'envie ! Soudaine de t'embrasser me traverse telle l'esprit si souvent.
Le suis je destiné ?
À pécher.
À être sali, être impur, et être attendu au pied de l'enfer.
Si je viens à succomber.
Serais ce même en crime ?
De céder face à toi.
Qui même que Dieu pourrait capituler devant ta scrupuleuse silhouette.
Qui cascade de ton torse nue, des finitions si parfaites de ton corps.
Serai t'il péchait de penser ainsi de toi ?
De cet manière si ... obscène, si tentatrice et interdit .
De te sauter dessus.
Que le diable lui même ce sentirait faible.
À telle point que je devrais cloisonner mon corps.
Loin de toi, pour effacer à tous jamais l'envie de la luxure.
De connaitre la gourmandise de ton corps, la paresse de mon esprit.
L'orgueil et l'avarise de la richesse de ton corps.
Pour finir sous la foudre de la colère de mon âme souillé.
Pour éradiquer mes horribles songes .
Qui souille nos deux images.
Qui briserai ma clé d'entrer au porte du paradis.
Que cela ferais de moi si je venais à croquer un morceau de la pomme ?
Si le serpent venait me murmurer au creux de mon oreille ?
Si tes lèvres murmurait au creux de ma nuque ?
Si tes mains tracaient ma peau ?
Ferait il de moi un pécheur ?
Si je venais à goûter une fois au désir infâme de la luxure.
Au goût aigre de tes lèvres.
Et à l'amère goût de ta peau.
Me considérais tu comme un pécheur ?
Lorsque l'on sait ce que font les prêtres au jeune garçon.
Ne sont il pas pire que moi ? Si je venais à franchir la barrière et succomber à l'envie.
Je suis si envieu de ses lèvres, que si je ne prend point de distance.
Je viendrais faire l'irréparable.
Et je succomberai à la capiteuse rue du désir.
Alors je supplis la lune de m'aider à atteindre le paradis, loin de tous ce feu de l'enfer engendré de mes pensés.
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J'espère que ceci vous plait ?
Car je commence vraiment à aimé écrire Pucci, qui est un personnage que j'apprécie énormément, qui est mon antagoniste préféré même.
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