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Mon père, j'ai péché

Pour les plus sensible je préviens que ce chapitre contient un lemon
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Le soleil retombé sur les bâtiments du Caire.

Je venais à devoir préparer mon départ, s'il devait avoir une quelconque confrontation.

Entre lui et ses perturbateurs de Joestar.

Il m'avait souhaité de repartir, au cas de problème.

Et comme une énième journée j'étais resté à lire attentivement au bord du jardin.

Il était le seul et unique endroit où je pouvais être seul sans être dérangé.

La journée, il était impensable que Dio ne sorte.

Et les douce couleurs du soir venait repeindre les façades du manoir.

Alors que je venais de nouveau scruter la sensation de tes lèvres sur les miennes.

Ceci fut une expérience délicate mais si étrange.

Étrange pour mon corps, qui perdait tous sens relative entre mon esprit et le reste de ma raison.

De cette étrange sensation qui recouvrait mes lèvres d'un doux voile.

De cette étrange baiser qui tourmente mes pensées sans cesse depuis.

Comme si je ne pouvais passer outre cet événement.
Qui hante mon âme.

Qui rend fébrile mon coeur lorsque je toise ton rouge regard.

Qui tords mon ventre quand je scrute ton corps déambuler.

Qui enivre mes pensé la nuit.
Et bouleverse mes rêves.

Et me rend stupidement faible.
Une faiblesse humaine.

Que je ne semble pouvoir contrer.
Et résister à cet alchimie étrange de "l'amour".

Car il me semble être atteint de cet étrange chose.
Qui chamboule tous mon âme.

Alors que je peux croiser la lueurs de tes yeux au milieux des étoiles.

Qui me fixe d'un rouge sang, sur le bord de la fenêtre.

Sans vraiment connaitre l'expression que tu me portes.
Dont un épais frissons traversais mon corps.

Face à la brise qui raflait les rues.
Et me fit sortir de mes songes.

Le manoir se retrouvé vide.
Avec une peur de te croiser.

Au milieu de cette nuit.
De la pleine lune qui couvre mon anxiété.

De la peur de faire une action que je regretterai.

Au plus profond de moi, de mon âme, la mauvaise idée.
Mais traversé plusieurs fois l'esprit.
De pêcher.

Et chaque nuit, je repenses a ce foutu baiser, avec cette soudaine envie de goûter plus.

Et de cette maudite pleine lune qui éclairé le couloir, je pouvais observer mon reflet au abords de la vitre.

Avant de constater ta présence en fond.
Ce fût mon sang entier qui venait de ce glacer.

Cherchant à détourner mon regard de ton torse à l'affût.

Pour effectuer un pas au sens contraire de ta personne.

Avant que ta voix ne résonne dans le vide du manoir.

"Je souhaiterais te parler"
Mon esprit fit un tour au complet dans la carapace de mon corps.

"Ne veux tu pas en parler demain, Dio ?"

La lueur de la lune pénétrer les pores de ta peau, rendant ton corps étrangement plus attirant.

Et la nuit semblais rendre le désir plus intense.

Peut-être es ce le fait du silence qu'offrait la nuit, à l'abris des regards.
Comme invisible au yeux des choses.

Comme protéger du regard de Dieu à travers la mystérieuse nuit qui semble couvrir nos pêcher.

Qui rend une atmosphère si persistant.

Es ce pour cela que j'en est peur de faillir.

"J'aurais aimé te voir Enrico"

Sous la mélodie incessant de mon coeur au fond de ma poitrine.

Je mire l'étendu sans fin de ton regard.

Avec l'unique envie de déposer une nouvelle fois mes lèvres sur les tiennes.

Et alors que je me faufilais dans la pièce.

Je pouvais aisément dire au plus profond de mon âme, d'une certitude certaine.
Mon père, j'ai pêché.

Et de manière subtile et incertain j'avais ôté l'espace entre nos deux lèvres.

Et ça était l'une des seul fois où tu fus surpris de manière inattendu.

Mais très vite tu avais semblé devenir amusé de la tournure des choses.

Alors que la voix au fin fond de mon esprit viendra m'attendre au porte de l'enfer pour avoir succombé et failli à mes demandes.

Et sont baiser fut-elle qu'il était bien impossible que je ne reviennes en arrière, marchant juste vers la luxure.

Qui venait tendre ses bras ouvert et de baiser le long de ma nuque.

Alors que je pouvais sentir les premiers frémissement de ma peau.

Qui réagissait à tes lèvres qui traçait ma nuque.

Alors que mon propre souffle devenait difficile, j'ai repoussé ton corps du mien de mes mains sur ton torse.

Et tu semblais dorénavant ennuyé de cela.

"Tu ne viendra pas me faire dire qu'aucun prêtres n'ont pêchaient avant d'atteintre le paradis et puis...

Il venait tenir de manière plutôt douce le bord de mes joues, pour n'avoir que mon simple visage face au sien.

... je connais ce regard, pourquoi ne tenterais tu pas l'interdit ...

Et ta voix devenait plus attayante qui fit glacer soudainement mon corps.

... avec moi Enrico"

Tu avais murmuré ses mots au creux de mon oreille d'une manière si suave.

Que j'ai semblais avoir perdu le nord.
M'offrant à toi.

Me laissant tenter par l'interdit.

Par les caresses de tes doigts qui venait rendre à nue mon torse sous la simple lueur de la lune.

Pour ne sentir que le ravage de tes lèvres sur ma nuque.

Entremêlé entre la chaude sensation de ton souffle et la glacial sensation du murs qui me soutenait.

Alors que je trifouillais tes cheveux.
Pour descendre de manière maladroitement mes mains sur les abords de ton torse.

Et ce fut bien étrange de sentir celle ci réagir sous ma peau.

Au même moment que tes ongles traçaient leurs chemins sur mon corps.

Et que tes canines ne vienne effleurer les bords de ma peau.

Et ma respiration devenait saccadée au fur et à mesure que tu te baladais sur mon corps.

Et je cherchais à faire cette chose similaire que tu pouvais me faire ressentir.
De manière maladroite.

Qui te fit rire.
"Tu es mignon, Enrico, mais laisse moi prendre les choses en main"

Dépose t'il un fin baiser sur mes lèvres.

Je me suis retrouvé sur le lit derrière toi.
Où d'une main tu soutenait ma joue pour me saisir lors d'une embrassade.

Alors que tu basculais le reste de mon corps sur le matelas.
Qui me semblait bien plus confortable que le mur.

Où tu venais défaire les derniers vêtements qui me restais.

Je me suis sentis aussitôt gêné d'être ainsi.

Tandis que je ne pouvais sentir que tes lèvres sourire, d'un sourire carnassier.

Et je commençais à comprendre ce que tu cherchais à dire lorsque tu voulais prendre les choses en mains.

Et mon corps se raidit à ce contact.
Qui venait faire parcourir une nouvelle sensation le long de mes veines.

Qui laissait ma gorge coupé.
Et ma respiration lourde.

Sur ce phénomène qui rendait mon corps dans un épais bien-être.

Le désir, le plaisir, je devenais troublé au reste de tes gestes.

Qui frissonnait mon corps.
Et enduisé mon corps de luxure.

Alors que tes mains basculait lentement vers mon fessier.

Je trouvais ceci plus osé.

"Je serais doux, avec toi, me fais tu confiance ?"
Tu avais de nouveau ronronner au près de ma nuque.

Et malgré la peur que je pouvais ressentir, je le réclamais.

Le fais de pouvoir te sentir en moi.

"Je te ferais toujours confiance"
Et ton regard dégageait un mélange de tendresse ou de désir je ne serais le décrire.

Mais je l'ai aimé ce regard sur moi.
Autant que ton corps sur le mien.

Et sûrement avais tu arrêté le temps un moment.

Car j'ai senti un baiser volé sur mes lèvres et des mots que je ne pourrais jamais entendre de toi.

Et tu avais enlevé tes derniers vêtements à ce moment car je ne t'avais point vue le faire.

Et de mon corps suinte.
Sous une vague de plaisir que j'aurai manqué durant un laps de temps.

Dont tu seras le seul à avoir ce moment en-tête .

Tu n'avais pas brisé ta promesse.
Et je venais à être partagé entre un mélange de douleur et de plaisir.

Que je ne pourrais décrire.
Où je venais à apprécier ton corps contre moi.

Et certain de mon souffle, devenait quelque gémissement soudain que je cherchais à étouffer.

Et il m'était arrivé de venir échapper ton nom entre deux.

Mon corps ne semblait être plié uniquement au plaisir.

Puis je l'ai ressentis cette vague qui avait parcouru le long mon corps.
Cette chose qui avait semblais être le comble de mon désir.

Je me suis senti plus essoufflé dans un état d'euphorie certaine.
Alors que tu semblais être de même.

Je pouvais juste dire haut et fort cette fois ci.

"Mon père j'ai pêché"

Sans rencontrer aucun remord.

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J'ai eu mon bac alors pour ça un chapitre plus long que d'habitude.

J'espère qu'il vous aura plus, car j'ai eu du mal à écrire ce chapitre.

Et il ne me reste qu'un seul chapitre pour clore cette histoire.

Alors je cherchais une idée de prochaine fic et j'ai beaucoup trop de choix.

J'aimerais vous laisser choisir.

Avdol x reader

Abbacchio x reader

Josuhan (Josuke / Rohan)

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