Divagation
Les étudiants s'entassaient pour rentrer dans la classe de nouveau professeur d'Histoire-Géographie, les places de devant étaient prises par de nombreux oiseaux vulgaire et quelques filles intéressées. Les places de derrière étaient prises, celles à côtés des radiateurs et des fenêtres aussi, il restait les places du milieu et c'était mieux ainsi, présent mais discret. Emma et Belle avaient pris une table de binhomme ensemble et leurs ami.e.s assis aux alentours. Ils devaient probablement se trouver dans la salle de classe la plus propre, il n'y a aucuns chewing-gum sous les bureaux, aucuns gribouillis sur les murs, tables, chaises et fenêtres, les couleurs étaient pastels et apaisantes, vert, bleu et gris. En question d'accessoires, il y avait le tableau numérique, mais les salles étaient à peu près pareil, de grandes fenêtres, des pièces de grandes superficies, le bureau de l'enseignement à l'avant de la salle sur une estrade en bois d'une dizaine de centimètres de hauteur.
Les bavardages et roucoulements disgracieux cessèrent dès que Regina claqua ses main les sourcils un petit peu froncé montrant son autorité mais tout de même sexy. Elle les dominait du haut des ses talons qui rendaient sa silhouette encore plus élancée, ce qui veut dire encore plus délicieuse pour Emma, la finesse de ses jambes toniques et galbées remontaient vers ses fesses moulées outement dans la robe serrée qui serrait son ventre et ses seins. Ses mains étaient placées de chaques côtés de ses hanches et son pied claquait contre le bois, la moue de son visage rajoutait de la rondeur à son visage angélique.
La bouche d'Emma était béante et Belle lui tapota gentiment l'épaule pour lui faire remarquer.
— Merci jeunes gens, mais je m'attendais tout de même à plus respectueux. dit-elle avec le ton élevé mais doux, tout le monde la regardes plus ou moins désolé ou une autre partie avait la tête baissée. Emma était définitivement perdue, son cerveau n'enregistrait seulement que les lèvres rouges bougées, la posture droite et les yeux brun cognac, elle était si délicieuse, si précieuse et si intouchable non seulement parce qu'elle est sont professeur mais également parce qu'elle est la femme de son père, c'est-à-dire dire sa belle-mère. Emma était vraiment dégoûtée mais elle voulait mettre sa vengeance à terme. Regina commença à bouger et à donner son cours son postérieur tremblait dès qu'elle commença à écrire, la robe faisait un petit son de froufrou, elle écrivait certainement les règles utiles durant l'année mais Emma ne s'en soucier pas une seule seconde, elle avait un besoin qui ne sortait de nul sait où de déguster Regina toute entière. Soudain il n'y avait plus de mouvement et Regina l'observait, la façon dont ses sourcils tricotaient et sa bouche n'avait de mots. Son professeur se plaça devant elle et lui secoua la main devant les yeux, elle sortit de sa rêverie et cligna des yeux éveillée.
— Comment? Excusez-moi mademoiselle ? Emma s'excusa humblement, Regina fit une moue de colère adorable, au fond d'elle elle avait envie de se mettre en colère comme à chaques fois qu'elle voit Emma, comme une enfant, pourtant elle se contrôlait autant que possible, son travail intérieur était intense, elle travaillait si fort qu'elle sortit un gémissement boudeur et Emma compris, ses yeux devinrent plus attentionés d'un coup.
— Je suis désolé, je rêvais, ma main me fait mal et je n'arrive pas à penser à autre chose.
mentit-elle, c'est mieux que de se faire prendre en train de mater, plus grossièrement, le 'cul' de son professeur.
— Je ne vais pas me répéter Emma, tu viendras me voir à la fin du cours.
dit-elle en se contrôlant. Emma resta plus attentive, durant l'heure Regina distribua les emplois du temps, les informations utiles à noter et à commencer son cours en distribuant des fiches documentaires sur ' la colonisation et le développement de l'Amérique', les fiches parlaient de La période de l'expansion coloniale britannique dans les Amériques qui a duré de 1585 à 1776. La première tentative des Britanniques de coloniser l'Amérique du Nord a commencé avec la colonie de Roanoke en 1585. La colonie de Roanoke a échoué, mais a été suivie par Jamestown en 1607. Jamestown, en Virginie, est devenue la première colonie anglaise permanente des Amérique, résumé global du premier paragraphe. Elle avait vu ce cours en 8th grade, trois ans avant, elle le connaissait déjà, pas autant que voulu pour poursuivre des études supérieures mais des bases simple qui passent n'importe où. Il y avait un quiz facile, le travail était probablement une compréhension de texte, les dates qui ont durées cent-quatre- vingts-un ans de guerre, cette époque de far-ouest, cowboy et Lucky Luck, les peaux rouges contre les visages pâles. Un massacre historique d'un peuple qui n'avait rien demandés, des flèches contre des fusils, sans même imaginer on pouvait savoir qui allaient gagner. Emma aimait son pays mais certainement pas dans ce cas, ils ont été cruels et limités. Un croquis en guise de documents à exploiter montrait un Indien avec son carquois en main et son arc dans l'autre se préparant à rentrer en guerre. Pourtant le travail consistait au début de la colonisation et un petit paragraphe sur les indiens d'Amérique en hommage pour les années passées de tortures.
Certaines personnes dans la classes avaient le visage grave en étudiant le texte, d'autre avaient un sourire débile qu'Emma remarqua dès qu'elle tourna la tête.
— Madame, pourquoi est-ce que les indiens se battent alors qu'ils savent déjà qu'ils vont perdre ? demanda un garçon avec une tête de rat encore plus écoeurante quand il a posé la question.
— Comment vous appelez vous?
les lèvres pincées et le regard noir ne passaient pas inaperçu mais sa voix restait douce.
— Jeffrey McAddams M'dam.
il lui fit un clin d'œil.
— Eh bien Jeffrey, comme tous peuples qui se respectent une personne de bat pour son patrimoine et ses congénères raciales, une personne loyale se bat pour ses proches et ses amis, mais ce que tu le dit est que ils n'ont aucune chances. Tu te trompes cependant, les peuples amérindiens se sont battues et ont donnés chaire et sang pour un peu de respect, le respect que tu ne respectes pas aujourd'hui, ils vivent aujourd'hui dans une réserve et leurs rytes ancestraux sont bientôt morts à cause de personnes qui voient les choses de cette façon. Imagine que un groupe de milliers personnes viennent se battrent contre toi et ta famille plus ou moins proche, peut importe, vous n'êtes munis que d'un couteau chacuns et que vous ennemis on des mitrailleuses, quelle serait ta réaction ?
Tout le monde étaient bouche bées, elle a remis un élève malpolis à sa place dans le plus Grand des calmes avec des explications Complètement plausibles. Le regard ahuri de Jeffrey était affreuse, une grimace laide se formai quand il compris qu'il avait tord.
— Je me cacherai en attendant que le massacre soit finie, je ne suis pas assez courageux pour tuer. les yeux baissés il annonça celà.
Miss Mills avait un sourire satisfait.
— Je vois, tu ne turas pas, c'est déjà une bonne idée, mais tu comprends que c'est aussi injuste par le choix des armes?
il hocha lentement la tête.
C'est bien, maintenant réfléchit mieux avant de sortir un tel fumier, tu te fais déjà passé pour un cancre.
Certains gloussaient et d'autres s'en fichaient complètement, le cours a repris son calme et Emma divagait encore, elle voyait à peine se qu'il se passait autour d'elle-même, comme un floue au ralenti. Son imagination a pris le contrôle et dans sa tête un fantasme commençait.
La salle était vide, il n'y avait qu'elle et Regina, probablement la fin d'un cours, elle avait son sac sur l'épaule et avança vers la porte, elle croyait elle-même qu'elle allait partir mais son soi de son fantasme ferma la porte et ferma la serrure à doubles tours, elle se tourna et vis Regina l'a regarder avec des yeux ronds, comme si elle s'y attendait, son professeur était assis en train de classer des fiches dans des pochettes à élastique.
— Emma que fais-tu?
demanda-t-elle sans relever les yeux, Emma s'approche et se tiens derrière Regina et se penche.
— Si tu refuse je te brises, si tu cries je t'étrangle et si tu te débats... Je forcerais encore plus fort. lui murmura-t-elle sèchement, la tension sexuelle enrobée toute la pièce, les lumières devinrent plus sensuel, les bruits plus attentifs et les touchés plus intimes. Regina se lève, elle a du comprendre qu'elle n'avait pas le choix, Emma derrière elle tenait sa taille et la serrait un peu fort, ses lèvres dans son cou aspirait la peau sensible lui laissant un suçon violet, elle remonta et commença à mordiller la mâchoire, la peau douce était rosée, la pression des dents était plus ou moins fortes mais lui laissant un courant électrique descendre de sa colonne vertébrale puis laisser une chaleur lui englober des reins jusqu'à l'aine, le désir sexuel l'engloutit et une râle coula le long de sa gorge au lèvres épais et sucré comme du miel. Emma aillant fini lui lèche la travail qu'elle avait laissé sur la peau doré de sa belle.
Tout était si parfait dans le fantasme d'Emma, tout était ressenti, à la fois ses actes et les ressenti, sa concentration était perdue et elle replongea.
La peau de Regina était brûlante, elle n'avait qu'une hâte, d'enlever la robe de son corps pour pouvoir la caresser, elle désirait ce contact depuis tellement longtemps. Elle était tellement excité de tous ce qui de produisait qu'une flaque d'humidité coula de son vagin. Elle poussa ses hanches contre les fesses de Regina, aimant la sensation des deux gros globes sur ses aines. Regina était tout aussi excité, sa culotte était détruite et elle poussa négligemment ses fesses contre Emma qui la tatait.
Les grandes mains de la blondes errait sur les courbes dodues et pleines de Regina, et elle dézippa la fermeture au dos de la robe et la fit glisser sur ses épaules, le tissus se froissait entre les doigts et de plus en plus elle descendait de plus en plus elle voyait la peau ferme et alléchante, des frissons étaient perçus sur l'épiderme tendre. Arrivée jusqu'aux hanches la robe tomba toute seule et Regina se retrouva en en sous-vêtements, elle avait un tanga en coton blanc et un soutien-gorge.
— Alors? La petite reine s'est tue? railla Emma son oreille en prenant son lobe d'oreilles entre ses lèvres.
Je parie que tu te ravies quand j'utilise mes dents sur ton corps, Mh?
Regina hocha précipitamment la tête. Elle sent derrière elle Emma tomber à genoux et poser son visage contre sa lingerie, frottant son visage contre ses joues les doigts enfoncés dans ses cuisses pour la tenir stable, avec ses dents elle baissa le chiffon humide de cyprine et pris une bouché d'une fesses en faisant monter la pression. Regina haletant et grogna les poussant étatiquemment contre le visage d'Emma.
— Tu es tellement excitée, à la fin tu ne pourras plus faire aucuns mouvement et tu sentiras ton ventre déchiré, tes venues incessantes à en salir le sol.
Les mots sales d'Emma lui firent trembler les genoux et Emma poussa trois longs doigts en mettant les quatre phalanges puis les sorties d'un coup laissant Regina suintante. Elle dégrafa le soutien-gorge blanc et pencha Regina sur son bureau et elle se remis à genoux, elle claqua les trois doigts et pompa fort, le bout des ses doigts poussèrent contre le col de l'utérus et Regina gémis fort.
— Espèces d'imbéciles on va nous entendre, je t'ai dit que si tu fais du bruit je te brises, il ne te reste qu'une chance, soit sage.
gronda Emma en lui claquant une joue.
Elle pompa toujours plus fort toujours plus vite pliant ses doigts contre le point G à chaques poussées. Les va-et-vient infatigable se mouvait contre les parois serrées, trop serrées, et tellement humides, un bruit de succion régulier de faisait à chaques entrées.
— Plus Emma s'il te plaît, plus ! Plus !
Regina chuchota fort, Emma avait compris qu'elle essayait de se faire le plus discrète possible.
Elle poussa le petit doigts et rentra sa paume jusqu'au pouce et ne cessa pas ses mouvements, elle ferma ses doigts en poing pour élargir encore plus le vagin bien trop serré autour de sa main. Sa main battait avec une force incommensurable à l'intérieur de sa belle-mère et frotta la clitoris dur et enduit de liquide acidulé, les lèvres roses foncées et gonflées flottaient autour de sa main, les poils du sexe de Regina frottaient contre le nez d'Emma, cette sensation agréable et rugueuse, odeur incrusté mélangé de sueur, le pubis bougeait vite face aux coup puissants d'Emma. Regina était affalée sur le bureau, ses doigts enfoncés dans les bords de son bureau pour sa chère vie, le visage rouge écrasé contre son bureau, sa teinte ambré habituelle était devenu rouge et des larmes de plaisir aveuglément coulaient de ses yeux, elle sentait à peine sa culotte pendre sur une de ses chevilles.
Emma arrêta de rêver quand un imbécile qui se balançait est tombé dans un bruit sourd, elle à vérifier son amie Belle pour savoir si elle avait remarqué la rougeur sur son cou et son visage, pendant ses 15 dernière minutes son corps avait ressenti toute une panoplie de sensations écrasantes. Son propre sous-vêtements était mouillé, elle allait le regretter pour le reste de la journée.
L'hologe du mur en face indiquant l'heure, lui disait qu'il restait à peine 5 minutes avant la sonnerie, et à peine elle revient dans les explications de son professeur la sonnerie retentit et tout le monde se précipite collés des fout idiots en s'échappant d'un cours pour en aller à un autre. Emma rangea ses affaires lentement sachant que Regina l'attendait, elle se dirigea vers le bureau en bois brun.
— Emma... Merci d'être restée. Je voulais te demander si ta main allait mieux.
Regina était tout sourire.
— En faite elle me fait un peu mal, mais je vais bien. Par contre toi...
Les sourcils froncés elle s'approcha de Regina et l'enlaça.
— Emma, je ne sais pas pourquoi mais à chaques fois que je te vois j'ai envie de plonger dans cet espace où je me sens si petite et innocente, comme si tu devais me protéger.
elle sanglota et serra Emma dans ses bras de toutes ses forces.
— Oui je sais, ne t'inquiètes pas ma jolie petite fleur je serai toujours là pour toi. dit-elle en embrassant son front.
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