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Mais quelle arrogance, je savais que les mecs étaient cons, mais, alors lui, c'est le roi !

Et il a osé dire que je ne l'intéressais pas. C'est réciproque, espèce de sauvage.

— Tout va bien ma jolie ? s'inquiète Maxime.

— Tu trembles un peu. Ça ne va pas ? m'interroge Charlie.

— Je vais bien, ne vous inquiétez pas. les rassuré-je.

Sous l'impulsion nerveuse qui m'envahit, j'enfile mon verre de champagne comme si c'était de l'eau.

À ce stade, je ne ressens plus rien mais, j'ai clairement une montée d'adrénaline qui se crée en moi.

— Bois doucement, sinon ça va te monter à la tête !

— Charlie à raison, confirme Max. Tiens ! Tu veux des chips ? Ajoute-t-il en me proposant le paquet de Brets.

Tout à coup, Cindy arrive vers nous, d'un pas très rapide. L'expression de son visage révèle le degré de colère qui la contient.

— Quelle conne cette serveuse, elle était encore à une pause clope. Je vais finir par la virer ! Hurle t'elle.

— T'es trop méchante. Rétorque Charlie, exaspéré.

— Laisse-la donc tranquille, moi, je la trouve super ! Réplique Max.

Moi aussi, je la trouve super... Le gros souci ce n'est pas la serveuse, mais c'est toi !

— Non ! Je ne suis pas méchante Charlie, mes parents m'ont formellement appris à cerner les personnes sérieuses, et elle n'en fait pas partie ! Une vraie fainéante. Accuse t'elle fièrement, en croisant ses bras.

— Si tu le dis... Se résigne Charlie, agacé et déçu par l'attitude de Cindy.

— Bref, je vais y réfléchir. Car je sais que si je la fais virer, elle se retrouvera sans rien ! C'est ça qui est excitant. ricane t'elle fortement.

Mais quelle grosse conne ! Cindy se met à rire profondément.

J'ai envie de la gifler. Putain Charlie... Pourquoi on est ici ?

— Bon, je ne vais pas tarder, il se fait tard.

— Attend Maxime, viens s'il te plaît, j'aimerais te parler du nouveau programme sportif deux minutes ! le supplie Cindy.

— D'accord, mais après je rentre. Je me lève tôt, demain.

Il se tourne vers moi.

— Ravi de t'avoir rencontré, Stella ! Bonsoir Charlie. nous dit-il, en partant avec Cindy.

Brusquement, dans le couloir qui mène à notre petite salle, la porte coulissante s'ouvre et se referme rapidement. Mes yeux toisent immédiatement celui qui apparaît devant moi.

Oh non ! Il n'était pas parti ?

— Charlie ! s'écrit-il.

— Angel ? Questionne-t-il, un peu surprit.

— Il y a Ethan qui demande à te voir à l'étage.

— Ah d'accord, vient Stella, on y va.

Je me lève pour le suivre quand soudain, sa main effleure la mienne, pour finalement la maintenir de force. Une vraie poigne de fer, mais, en même temps juste ce qu'il faut pour ne pas me faire mal.

Mince, j'ai l'impression d'avoir déjà vécu ça.

— Toi, tu restes là, mocheté. exige-t-il en me fixant. Désolé Charlie, normalement, c'est interdit d'aller à l'étage... Ethan a été très clair à ce sujet, il ne veut voir que toi. enchaine Angel d'un air sincère.

Mais ta gueule !

— Tu pourrais mieux me parler ! Tu commences vraiment à m'... Charlie me coupe aussitôt la parole pour répondre à Angel.

— Non désolé je ne vais pas laisser Stella toute seule.

Je réfléchi un instant, je suis assez grande pour l'attendre un peu.

— Vas-y Charlie, j'y tiens ! Je t'attendrais ici.

— Tu es sur ma beauté ? Ça ne t'embête pas si je vais le voir un peu ?

— Non... Vas-y, je vais finir la bouteille en t'attendant ! Me résigné-je pour lui faire plaisir.

À mes mots, je manque de trébucher. Angel me retient à temps, je tombe à la renverse dans ses bras musclés. Il me soulève aisément, et m'assoit doucement dans le canapé.

— Fais attention ! conseille Angel en me scrutant intensément.

— Je fais vite promis. Je vais voir ce qu'il veut et on partira juste après.

Charlie murmure un truc à Angel.

Que peut-il lui dire ?

— C'est exactement ce que j'avais en tête, ne t'en fais pas, je vais lui tenir compagnie ! décide-t-il.

Putain, vive l'angoisse ! Je sens que l'alcool fait son petit effet, je me sens si sûr de moi d'un coup.

— Je n'ai pas besoin de toi espèce de con !

— Oh ! Très charmante ! rétorque-t-il.

— Bon à tout à l'heure ! Et merci Angel.

— Pas de problème, si bien je n'ai plus rien d'autre à faire. sourit-il.

Angel va aussitôt chercher une bouteille d'eau bien fraîche, il la pose sur la table basse en bois, de forme rectangulaire.

Puis il m'inspecte les yeux, comme pour la première fois.

À quoi joue-t-il ?

— Ça va mieux ? demande t'il.

— De quoi je me mêle ?

— Détends-toi mocheté ! Je ne m'inquiète pas, j'essayais juste d'être sympa.

— Pffff, casse toi, ça me rendra service !

— Je ne peux pas, Charlie me donnerait la fessée, dit-il amusé.

À ces mots, je ris intérieurement, j'ai trop envie de rire à sa blague, mais, non, il serait trop content cet idiot.

— Il te casserait la gueule oui !

— J'en ai même bien peur, ironise-t-il en riant.

— pffff, je soupire fortement.

— Bon mocheté, sinon raconte moi tout, tu as eu l'autorisation de maman et papa pour sortir ce soir ?

— Mais putain, tu vas trop loin ! Vas-y dégages, tu me saoules, dis-je, encore plus agacée.

Comment ose t'il parler d'elle.

J'ai les yeux larmoyants juste à y penser. Il vient de toucher un point sensible.

— Hum... Toi, tu ne m'aimes pas, affirme-t-il en arrêtant de sourire.

— Je te déteste !

Il s'assoit à mes côtés, un peu troublé. Sa curiosité est sans limite.

— Pourquoi ? Interroge-t-il.

Sa tête n'est qu'à quelques centimètres de la mienne. Je sens mon cœur s'accélérer tellement, je suis énervée.

Ou serait-ce autre chose qui le fait soudainement palpiter ? Je me force à respirer plus lentement et reprend mes esprits en lui balançant ce que je pense de lui.

— Tu es arrogant, tu parles sans respecter la personne qui est devant toi ! Et je suis sûre que tu te tapes une nana par nuit.

— Oh là ! Faut que tu baises mocheté, tu es stressée, mais tout ce que tu me dis me va droit au cœur ! Dit-il amusé.

— Va te faire foutre ! Insulté-je, en colère.

Je me lève de ce fichu fauteuil, et pars loin de lui.

— STELLA ? STELLA !! Crie-t-il plusieurs fois. Mais attends, t'énerve pas comme ça ! Vocifère-t-il en se levant à son tour.

Je ne peux plus rester près de lui à écouter ses balivernes. Je me sens perdre la tête, comme dans un manège qui tourne sur lui-même très rapidement.

Le genre de manège qui vous fait virevolter. Les tasses seraient un exemple parfait au vu de mon état dégradant actuel.

Je cherche les toilettes, j'ai clairement envie de rendre. Angel m'a donné la nausée. Puis soudain, je sens une main qui me prend mon bras de force.

— Besoin d'aide ?

— Non. Lâche-moi.

— Tu n'as pas l'air d'aller bien.

— Je t'ai dit de me lâcher !

— Ok, ok, ne t'énerve pas, je voulais t'aider.

Mais l'inconnu ne m'écoute pas, il me tient toujours mon bras et ne compte pas me laisser tranquille.

— Je peux te ramener, tu sais, ma voiture est garée juste devant !

— Non merci ! Alors maintenant, laisse-moi tranquille ! crié-je, désespérée.

Il me tient plus fortement, je n'ai pas la force de me défendre et je n'arrive pas à me détacher de lui.

Il me tient aussitôt par les hanches et me plaque brusquement contre le mur. Il me bloque fortement de ses deux mains. Son torse contre ma poitrine.

Je me débat un peu plus fort mais une nouvelle fois il me repousse violemment contre le mur. Le bruit de l'impact de mon dos contre celui ci résonne et se propage autour de nous.

— Lâche-moi ! Hurlé-je, effrayée.

— J'en ai connu de bien plus coriace que toi. Laisse-moi te déposer chez toi ou tu vas le regretter ! me menace t'il.

Quand soudain, Angel arrive en courant vers moi. Il affiche un air très furieux et balance :

— Elle t'a dit de dégager !

— Bonsoir Angel... Je te pensais parti ! Je voulais juste la raccompagner chez elle. réplique le gars.

— C'est moi qui la ramènerai ! rétorque Angel, en le bousculant et l'attrapant sévèrement par le colback.

Mon cœur bat plus vite, je réalise que même si je ne l'apprécie pas, je peux compter sur lui en cas de problème. Mais c'est mort l'animal, tu ne me raccompagneras pas.

— Ne fais pas chier Angel, elle est tellement belle, ferme les yeux pour une fois !

— Écoutes, tu as deux solutions, ou tu dégages ou c'est moi qui te dégage ! Menace t'il en colère plus que jamais.

— On se reverra espèce de salope ! dit-il en me fixant, avant de prendre la fuite.

Ma tête tourne un peu plus vite après ça. Je n'aurai pas dû autant boire. Je ne supporte pas de me voir dans cet état d'ivresse. J'ai honte de moi.

Angel s'approche, il me frôle la joue droite avec sa main en me demandant s'il m'avait touché, je hoche la tête pour dire non.

Pourquoi me demande-t-il ça ? Qu'est-ce que ça peut lui faire ?

Subitement, mes hauts le cœur reprennent.

— J'ai envie de ... Murmuré-je.

— Désolé, c'est non, tu n'es pas dans ton état.

— De... Vomir, putain ! m'énervé-je.

— Vite ! s'exclame Angel. Il me soulève aussitôt sentant l'urgence.

Il n'a même pas eu de mal à me porter. Il faut dire qu'il est vraiment très musclé.

Bordel, j'adore ça. Je sens sa force, ses bras qui me serrent. Il faut que j'arrête de boire, l'alcool me fait vraiment dire des absurdités.

Pourquoi m'amène-t-il à l'étage ? Je pensais que c'était interdit.

— On va là, en bas, c'est bonder, tu t'aurais fait dessus. affirme-t-il pour me fixer, voyant mon expression douteuse sur mon visage.

— Merci... articulé-je difficilement.

Je lui dois bien, il me sauve la mise. Je ne l'aurai pas pensé comme ça. Lui qui est de nature à se moquer de tout.

— Voilà, je reste derrière la porte, appelles si tu as besoin de quelque chose mocheté.

J'acquiesce de la tête à ses côtés, mais diable, qu'est-ce qui m'a poussé à boire autant ? Pourquoi ai-je perdu le contrôle ?

Et maintenant j'ai un garde du corps arrogant qui me suit partout.

Je m'agenouille devant la cuvette, et je vomis...

— Tout va bien ? Demande Angel derrière la porte.

Je vomis, et avec mes gémissements, je ne lui réponds pas.

— Mocheté ?! dit-il avant d'entrer. Tout va bien ?! ajoute-t-il, angoissé.

— Bah non, je vomis ça ne se voit pas ! confirmé-je.

Illico presto, ma chevelure va limite faire un tour dans la cuvette.

— Et merde ! crie-t-il.

Il fonce vers moi à toute vitesse et me prend les cheveux pour me les maintenir en arrière.

— Je vais rester avec toi !

Et je re vomi toutes mes tripes, avec des hauts le cœur insoutenable.

⭐️⭐️⭐️⭐️

PDV d'Angel.

Mais qu'est-ce qui me prend à rester auprès d'elle ? J'aurais pu juste l'ignorer et m'en aller.

Fais chier ! Encore une fille qui ne sait pas boire. Et si je pars, je passerai pour un pauvre con qui n'a aucun scrupule, mais ça ne me ressemble pas.

Je lui tiens ses cheveux en arrière, en formant du mieux que je le peux, une queue-de-cheval dans une main. Je lui caresse le cuir chevelu et lui murmure doucement à son oreille que tout ira bien.

Je suis là, et je ne compte pas la laisser seule. Je l'entends sangloter de plus en plus. Elle essaye de me parler, mais, les hauts-de-cœur l'en empêchent.

Quelques minutes plus tard, toujours à ses côtés, elle se retourne vers moi, accroupie, je prends aussitôt une serviette et essuie son visage. Elle en a un peu partout autour de ses lèvres, je frotte délicatement.

Qu'est-ce qu'elle est belle, même dans cet affreux état. Je soupire.

Elle essaye de se relever, mais, tombe aussitôt contre moi. Je la retiens immédiatement dans mes bras. Son souffle s'accélère et ses yeux se ferment peu à peu. Elle s'évanouit brusquement.

⭐️⭐️⭐️⭐️

PDV de Stella.

Le lendemain matin, je me retrouve chez mon meilleur ami, comme convenu la veille. Je me réveille dans la chambre d'ami, mais je me demande comment j'ai atterri là.

Je ne me souviens vraiment de rien. J'entends des pas dans l'escalier, Charlie arrive vers moi avec un plateau entre ses mains.

— Coucou ma beauté, bien dormi ?

— Oh... J'ai une de ces migraines mon Charlie.

J'ai trop mal à la tête, qu'est-ce qui s'est passé hier soir ? Dans quel état j'étais ? Qui m'a ramené ?

Et Angel... Mais pourquoi je pense à ce mec arrogant !

— Ne te lève surtout pas, tu étais dans un état !

Oh non ! Pensé-je, en prenant ma tête dans mes mains.

— Qu'est-ce que j'ai fait ? lui demandé-je.

— Je t'explique après, rien de grave ne t'inquiète pas, mais, avant prend ça !

Il me donne un spifen et le grand verre d'eau, qui étaient posés sur le plateau-repas.

— Merci, t'es un amour.

— C'est normal ! Bon, on a quinze minutes devant nous pour parler, et après, tu iras te préparer pour le lycée !

— Oui ! Ça va être dur aujourd'hui, dit moi, hier soir, je me souviens d'être aux toilettes à l'étage avec... Dis-je, hésitante.

— Angel ! Oui... Tu t'es évanouie dans ses bras et il a crié plusieurs fois après moi ! Il a pris soin de toi, tu sais. C'est un mec bien.

Mais non, ce n'est pas envisageable. On ne doit pas parler de la même personne.

— Et on est rentré juste après ?

— Hum... Oui, on peut dire ça. dit-il en gloussant.

— Pourquoi tu rigoles ?

— Bah... Angel t'a porté dans ses bras jusqu'au canapé du petit salon, et tu t'es affalée sur lui ! Ta tête sur ses cuisses, m'avoue-t-il en rigolant.

— Non... Je n'ai pas fait ça ! Supplié-je, choquée.

— Bah si ! Mais ça a duré que cinq minutes pas plus, après il en avait marre, il a dit, je me casse ! Ajoute-t-il.

— Quel connard, ça ne m'étonne pas de lui.

— Enfin, je venais d'arriver quand il a dit ça. Sinon je pense qu'il ne t'aurait pas laissé seule.

— Mais bien sûr. C'est tout à fait son genre !

— Allez, va te faire belle ! Me dit-il.

— Hum... Je soupire légèrement. Ok ! Lancé-je en partant vers la salle de bain.

Je ferme la porte, et me regarde dans le miroir. Je le vois, Angel, il est là dans le reflet.

Putain, je te hais. J'espère ne plus jamais te croiser. Tu te prends pour qui espèce d'ingrat, prétentieux que tu es.

Je finis de me préparer quand soudain Charlie hurle :

— Tu as bientôt fini !?

— Oui ! Crié-je.

Vite ! J'ai intérêt à me dépêcher, Charlie devient impatient.

J'accélère la cadence, je coiffe mes cheveux rapidement, je n'aurai pas le temps de les lisser. Mon père adore quand je les laisse naturels, ils ondulent légèrement. Après quelques coups de brosse, je rejoins Charlie.

— Je suis prête.

— Ça marche ! On n'y va, on passera par la boulangerie prendre deux croissants !

— Parfait !

⭐️⭐️⭐️⭐️

Nous sommes dans la voiture de Charlie. Ça change du bus. On peut partir même à la bourre, on sait qu'on ne sera pas en retard. Sur le trajet, je me rends soudainement compte que je n'ai pas texté mon père.

— Et merde !

— Quoi ?

— Je n'ai pas appelé mon père !

— T'inquiètes pas, je l'ai fait ! Dit-il en me rassurant.

— Oh merci !

Je vais quand même lui envoyer un message pour qu'il passe une bonne journée. Je prends alors mon téléphone et tapote sur mon écran.

⭐️⭐️⭐️⭐️

MOI : coucou Papa ! Passe une bonne journée. On arrive au lycée, je t'embrasse fort ! 😘

PAPOU : oh mon étoile ! Ton message me fait un bien fou, passe une bonne journée. Bisou, papa qui t'aime. ♥️

⭐️⭐️⭐️⭐️

Nous arrivons au lycée. Charlie se gare rapidement sur le grand parking. Pour ne pas changer les bonnes vieilles habitudes, on court très vite vers la salle de classe, nous avons cours d'anglais.

— Je n'ai même pas révisé.

— Bah moi non plus ça craint. Lui répondé-je.

— Hello, sit down. Dit la prof.

Ça craint franchement l'anglais. La prof est super sympa, mais, la matière l'est beaucoup moins. Surtout pour Charlie !

— Oui ? Répondait-il.

— No ! Yes. Lui dit-elle.

— Yes ?

— What do you want to do as a career * ? Interroge t'elle ?

— Hein ! Bafouille-t-il.

Je glousse discrètement, il me fait trop rire. Sacré Charlie ! Mais je compte bien l'aider.

— I want to be a doctor without borders, lui murmuré-je, le temps qu'elle inscrit la question au tableau.

— I want to be a doctor without borders ! Répète-t-il.

— Oh ! It's good !

Elle demande à chacun de nous, ce que nous voulons faire comme métier, je n'en avais pas la moindre idée alors j'ai répondu que je voulais être romancière, car j'adore écrire des histoires.

La journée au lycée se passe rapidement.

— Enfin fini Charlie. On a réussi !

— Oui, je suis crevé ! Mais il faut que je tienne le coup.

— Pourquoi ? Demandé-je.

Il a l'air de me cacher quelque chose, ou je suis en train de rêver ?

— Bah... J'ai une soirée ce soir. Me répond-il.

— Ah bon ! Avec qui ?

— Ethan, me répond-il en souriant.

— Oh, je vois, vous êtes ensemble ça y est ?

— Non... Mais on s'est pas mal rapprochés, d'ailleurs merci, c'est grâce à toi !

— Mais non, c'est grâce à tes muscles ! Gloussé-je.

— Peut-être bien aussi ! Ironise-t-il.

— Du coup, tu vas chez lui ce soir ?

— Non, on va chez Andréa, tu sais la fille qui était là hier, chez Cindy ?

Je vois tout à fait de qui il veut parler, la fille à la cigarette.

— Oui. Elle a l'air cool ! Dis-je faussement.

— D'ailleurs, tu peux venir si tu veux !

— T'es sûr ?

— Oui, il y aura Maxime en plus.

J'avoue, ce serait cool de le revoir.

— D'accord, mais mon père ne voudra jamais que je sorte ce soir, car demain, je commence plutôt. Je te dis quoi plus tard.

Nous nous dirigeons vers sa voiture, Charlie va me ramener à la maison. Je prends place côté passager, je retire mes chaussures, qui ont endolori mes pieds.

Je suis aussitôt dans mes pensées, je me remémore le garçon au casque de moto devant le lycée. Je suis intriguée, j'ai cru l'apercevoir chez Cindy.

Je rêve de savoir qui il est sous ce masque.

Contre toute attente, je pense irrémédiablement à lui... Cet arrogant au regard intimidant. Plus précisément, je revois son visage, un regard si perçant, et mystérieux à la fois. Et s'il n'était pas ce que je pense ? Et s'il était bon et aimant ?

Ah... Angel.

Ton visage me trotte dans la tête, et je n'arrive pas à m'en défaire. C'est inexplicable !

Mon cœur, balancerait-il entre vous deux ? Je m'y refuse. Le grand amour n'existe pas.

⭐️⭐️⭐️⭐️

Hello, sit down * : Bonjour, asseyez-vous.

What do you want to do as a career * : que voulez vous faire comme métier ?

I want to be a doctor without borders * : Je veux être médecin sans frontière.

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