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-3-

Nous suivons Ethan d'un pas rapide et affirmé. On quitte la grande cuisine marbrée, on passe par un énorme couloir rempli de gens qui font la queue pour aller aux toilettes. Heureusement que je n'ai pas envie, je n'aurai pas la force de patienter.

Au niveau de l'escalier, il y a un panneau " interdit d'aller à l'étage ".

Nous continuons de suivre Ethan, il est un peu plus grand que Charlie, je glousse discrètement, si on nous regarde bien, on peut passer pour les Daltons, du plus grand au plus petit. C'est amusant.

Enfin, nous arrivons dans la petite salle du fond, cette maison a une taille démesurée, vraiment. Il y a plusieurs canapés rapprochés les uns vers les autres.

— Bon voilà, on va se poser ici, c'est le coin des populaires ! Et normalement, cette salle est interdite à ceux qui n'y sont pas invités par Cindy, mais je lui dirais que vous êtes les miens ! affirme Ethan, fièrement.

— D'accord... Merci Ethan. répondé-je.

— Me remercie pas Stella, je trouve ça ridicule ! insiste-t-il bien sur le mot.

— Qu'elle te remercie, qui soit ridicule ? demande Charlie.

— Non pas du tout, plutôt cette salle privé pour les populaires, Cindy est vraiment stupide de faire ça !

— C'est comme ça que tu parles de ton amie ? Questionné-je, surprise.

— Tu sais Stella, ce n'est pas parce que je passe du temps avec elle, qu'elle est mon amie.

— Mais alors pourquoi tu traînes avec elle ? Rétorque Charlie.

— Disons que nous avons des amis en commun. Et toi, pourquoi ? demande Ethan à son tour en fixant Charlie.

— Disons que j'y ai vu là, une opportunité que je ne pouvais pas manquer ! lui répond-il. Puis, il me lance :

— Asseyons-nous !

Nous nous installons sur un grand et large canapé. Je pose mes mains sur celui-ci. Il est super doux, une matière un peu velours.

— Voilà, je reviens vite, je dois rejoindre un peu des amis, ça ira ? Suggère Ethan.

Avec un mouvement de tête en cohérence, nous disons oui.

— Aller, trinquons ! Proposé-je.

— Oui ! Dit-il en cognant mon verre contre le sien.

— À nous ! À notre amitié si parfaite !

— À notre amitié exceptionnelle ! Confirmé-je.

Brusquement, le bruit des talons aiguille claquant sur le parquet, annonce la venue de Cindy.

— Tiens beau gosse ! Tu ne m'avais pas dit que tu avais amené ton animal de compagnie ! Dit-elle amusée en pouffant.

Je rêve ! Comment ose t'elle dire ça ?

Je ne dis rien, je n'ai pas assez confiance en moi pour rétorquer. Et puis mon père m'a toujours appris à répondre aux imbéciles par le silence.

— Ferme là ! Tu vas trop loin ! S'emporte Charlie en se levant rapidement du sofa.

— Détends-toi Charlie. J'irais doucement, promis ! Réponds t'elle en s'avançant vers moi expressément.

Qu'est-ce qu'elle me veut bon sang.

— Qu'est-ce que tu fou là ? Accuse-t'elle d'un ton peu aimable.

— C'est mon invité ! Dit Charlie aussitôt pour reprendre ma défense.

— Ce n'est pas à toi que je parle, beau gosse !

Là, à cet instant précis, j'ai envie de me lever et de partir très loin. J'ai l'impression de manquer d'air, et de suffoquer. En plus, tout le monde nous regarde, je me tape clairement la honte.

— Oh ! Je te parle, tu n'es pas la bienvenue ! lance t'elle. Tu penses vraiment avoir ta place ici ? Pauvre gamine ! On ne vient même pas du même milieu. Ouvre les yeux bon sang !

Elle m'insulte en me bousculant légèrement. Je fais deux pas en arrière. Charlie lui attrape le bras violemment et l'éloigne pour mettre les choses au clair.

J'ai soudainement très chaud et le cœur prêt à exploser. Je suis comme figée. Ma bouche voudrait s'exprimer, mais elle refuse de coopérer.
Je reste sans voix, devant l'immensité des dégâts verbaux.

Depuis petite j'ai toujours eu peur de faire face en cas de problème. Je me défile au lieu d'affronter. Je ne me sens pas capable de combattre. J'en ai pas la force.

Cela remonte à ma plus tendre enfance, j'ai grandi avec un seul parent. Mon père a prit le rôle des deux à la fois, plus protecteur que jamais. Je n'ai jamais eu le besoin de défier quiconque. Dès que je me sentais attaqué ou contrarié, il était là sans que je demande quoique ce soit. J'ai été couvé. Un peu trop surprotéger.

Charlie aussi a toujours été là pour me défendre, surtout quand j'ai des absences. Ce moment où je me sens paniquée, bloquée dans mes émotions. Où je deviens muette, à en perdre la voix. La peur m'a toujours séquestré.

L'instant précis qui m'immobilise, pendant que mon âme danse autour de moi. Mon corps qui ne m'appartient plus. Vous avez déjà ressentie ça ?

— T'es qui pour lui parler comme ça ! dispute Charlie d'un ton sévère. Je vais te dire une chose, Stella c'est ma pote et elle m'accompagne, point barre ! Contente ou pas ! Manque-lui encore une seule fois de respect, tu vas le payer ! insiste-t-il courageusement, en la menaçant.

Manquant d'oxygène et me sentant bien humiliée, je me lève aussitôt du canapé. Je me dirige vers la porte-fenêtre qui est grande ouverte, et sors prendre l'air.

Je me retrouve dans le jardin pour reprendre ma respiration, qui était amoindrie par cette tension pesante.

— Stella ! S'exclame mon meilleur ami, prêt à me suivre.

— Bon écoute moi... Ok, elle peut rester, mais je ne veux pas l'entendre chialer ! Serveuse !! Un verre ! ajoute-t-elle, bien vexée, en repartant vers des amis.

— Qu'est-ce qui se passe Charlie ? interroge Ethan, en lui tenant le bras fermement pour le retenir.

— Oh ! C'est ta putain de copine qui fait des siennes ! Je vais aller voir si Stella va bien ! balance t'il, très irrité.

— Attends s'il te plaît !

— Quoi ?!

— T'énerve pas sur moi, ce n'est pas de ma faute si Cindy est une connasse ! Alors maintenant tu dois te calmer !

Ethan prend la main de Charlie, d'où je suis je vois la scène, ils ont l'air de se rapprocher par cet affreux événement. Ce serai dommage de tout gâcher. Je prend mon téléphone et j'envoie un message à mon meilleur ami :

Moi : ne viens pas, je prends juste un peu l'air et je reviens après. Ne t'inquiète pas.

Charlie : je te laisse pas toute seule c'est mort. J'arrive et on partira.

Je souri crispée. Bizarrement, je n'ai pas envie de partir...

Moi : d'accord, après tout, si Cindy ne veut pas de moi, je n'ai rien à faire ici.

Je lui répond à contre coeur, les yeux rempli de tristesse.

Charlie : non ! Finalement, tu peux rester, mais on s'en ira ! Elle a été trop loin cette catin !

Moi : ah non, si elle a changé d'avis, on restera pour toi... j'y tiens !

Charlie : ok, on verra ça ma beauté.

Je ferme la messagerie en basculant mon index de bas en haut sur l'écran tactile.

⭐️⭐️⭐️⭐️

PDV de Charlie.

— Si t'es occupé, je peux te lâcher la main. suggère Ethan.

— Oui, va donc rejoindre Cindy... Après tout, tu traînes souvent avec. accusé-je.

— Charlie ! Tu vas me rendre dingue ! Arrêtes ça, s'il te plaît !

— pff..., soupiré-je.

— Je ne te lâcherais pas ta main, et souffle autant que tu le veux ! Je n'en ai rien à faire ! enchérit-il.

Je lève les yeux au ciel, je trouve Ethan incroyablement sexy et sûr de lui. Ça me rend nerveux, cela fait un an que je craque secrètement pour lui. J'ai tellement envie de l'embrasser, là maintenant. Mais il me prendrait pour un fou.

— Charlie, je t'en prie, mets ta haine de côté.

Au loin, Cindy cri après Ethan pour qu'il vienne vers elle.

— Je viendrai après quand j'aurai du temps ! crie-t-il.

De l'entendre la repousser sans ménagement, j'ai le cœur qui bat la chamade. Mais je ne peux pas délaisser ma meilleure amie pour lui. C'est hors de question, surtout dans une telle situation. Alors je lui lance :

— Je vais rejoindre Stella !

— D'accord je comprend. Tu sais où me trouver, dit-il en rejoignant ses amis.

⭐️⭐️⭐️⭐️

Les yeux sont le miroir de l'âme.

PDV de Stella.

Je suis en rogne, qu'elle aille se faire voir, comment a t'elle osée me parler comme ça devant ses amis. C'est une conne, et le mot est faible. Jamais je n'aurai dû venir, il n'y a rien pour moi ici.

Je m'assois en terrasse, et je sens des yeux rivés sur moi. Brusquement Charlie me fait face avec un léger sourire, en me dévisageant des yeux.

— Tu tiens l'coup ma beauté ? dit-il faiblement, les yeux scintillants d'empathie.

— J'ai connu mieux, répondis-je doucement.

— C'est une taré, fais pas attention à ce qu'elle dit.

— Je sais mais je suis comme ça, je suis désolée je prends tout à coeur. Depuis toute petite j'ai toujours été très émotive.

— T'es hypersensible, ne t'excuse pas. C'est ce qui fait ton charme, avoue t'il en déposant un bisou sur ma joue.

Je passe le bout de mes doigts, effleurant le passage de ses lèvres sur ma peau. Un sourire s'affiche aussitôt au coin de ma bouche.

— Merci Charlie, je vais déjà mieux. Heureusement que t'es là, lancé-je rassurée. Tu pourrais aller récupérer mon verre ? Quémandé-je.

— Je reviens, bouge pas, s'applique t'il immédiatement.

Soudainement, un garçon brun au regard ténébreux, assis à trois mètres de moi, me dévisage intensément. Je ne peux soutenir son regard tellement il m'intimide. Je ne suis pas à l'aise. Il me scrute attentivement. Je baisse les yeux comme une enfant perdue. Je me pose alors plein de questions.

Qui est-il ? Pourquoi me regarde-t-il ainsi ? J'ai quelque chose qui est collé sur le front ?

Au premier abord, c'est un gars très mystérieux. Il me fixe toujours, tout en parlant avec trois filles.

Pfff, arrête de m'examiner comme ça. J'ai l'impression d'être fouiller du regard. Encore un mec bourré qui a besoin de se sentir admiré.
Ma tenue ne dois rien arranger. Je porte une longue robe près du corps en satin, de couleur lilas. Elle a une forme bustier et ouverte le long des jambes. Plutôt sexy, et très classe à la fois.

— Un verre mademoiselle ? Propose gentiment la serveuse de tout à l'heure.

— Non merci, mon ami est parti récupérer le miens.

— Tout va bien ? Je vais prendre ma pause cigarette, je vous en propose une ?

— Honnêtement, ça pourrait aller mieux. Et non, merci, je ne fume pas, mais c'est gentil de me le demander.

— Pas de soucis, vous passez tout de même une bonne soirée ? Questionne t'elle.

— Pas vraiment, je déteste les propriétaires, enfin, plus précisément leur fille. avoué-je d'un ton exaspéré.

— Ah, vous devez parler de Cindy !

— Oui ! Vous la connaissez bien ?

— Oh que oui ! Elle me fait tout voir. À la dernière soirée qu'elle a organisée, elle m'a giflé devant tous ses amis, parce que j'avais renversé mon plateau de foie gras sur elle. Sa robe était foutue !

Je ris franchement d'entendre ça. Bien fait pour sa gueule !

— Je vous adore déjà ! éclaté-je de rire.

— Je dois y retourner, promettez moi de vous amusez un peu ! espère t'elle, avec un sourire sincère.

— Promis, et vous promettez moi un jour de lui rendre la pareille. Elle me sourit faiblement, et retourne servir les invités.

J'ai mal pour elle, son sourire si léger pesait tellement lourd.

Quelques instants plus tard, je repère que l'autre gars me fixe encore. Me prenant au jeu, je le dévisage et l'inspecte à mon tour.

C'est décidé ! Celui qui baissera les yeux aura perdu. Voyons voir si tu es joueur. Tu n'as pas choisi la bonne personne !

Sans plus tarder, Charlie revient vers moi, verres à la main, en souriant fièrement.

— Voilà ton verre ma beauté ! dit-il en me donnant ma coupe de champagne à demi-remplie.

— Merci beaucoup t'es un amour, acquiescé-je sans vraiment le regarder.

Désolée Charlie, tu reviens au mauvais moment.
Je n'ai clairement pas envie de perdre cette petite bataille des yeux, avec l'autre gars mystérieux.

— J'te dérange ? Tu regardes quoi comme ça ?

— Ce n'est pas pour être méchante, mais là oui, désolée mon Charlie. gloussé-je légèrement. Je fixe un gars qui pense pouvoir me battre. Tu me connais ! Quand je veux avoir raison, je ne lâche jamais l'affaire. Au pire profites-en pour aller voir Ethan ! proposé-je.

Je souris faiblement sans détourner mon regard.

— Toujours aussi têtue oui ! glousse t'il. Bon, je suis rassuré, t'as l'air d'aller mieux ! Ok, je repasserai un peu plus tard, amuse toi bien, ironise t'il en riant fortement.

Le jeu des yeux se prolonge, et me voilà embarquée dedans. Il va peut-être penser qu'il m'intéresse. Il me regarde toujours très intensément, ça en devient même troublant à vrai dire.

Ne le regarde pas... Ne le regarde pas, je me répète en boucle cette fichue phrase. Bon sang ! Pourquoi je ressens le besoin de le scruter à mon tour !

Il a maintenant le regard plus perçant, plus vrillant, venu de plus loin sous les sourcils.

Quand soudain, j'entends l'une des filles avec qui il est, lui parler sèchement.

— Hey ! Tu pourrais me regarder quand je te parle !

Brusquement, je le vois tourner ses yeux vers elle pour lui répondre. Oh yes ! J'ai gagné ! Je souris bêtement dans le vide, en regardant mes talons aiguilles.

Il s'en est aperçu, il me regarde de nouveau, avec une expression sauvage qui anime ses yeux.

J'ai quelque chose qu'il ne lui revient pas ? Il m'exaspère.

Non loin, je vois des bouteilles de champagne, je me lève de ma chaise et je décide d'aller me servir comme une grande. Néanmoins, ce n'était pas une très bonne idée.

— Oh non ! Attendez mademoiselle ! Surtout pas ! S'empresse la serveuse, d'un air très angoissée.

— Quoi ? questionné-je.

— Laissez-moi vous servir ! Je vous en prie.

— Ça ne m'embête pas et vous en faite déjà assez.

— Je vous supplie, m'implore t'elle.

— Oh, susurré-je.

— Écoutez, je suis en charge du petit salon et de la terrasse, si mademoiselle Zelinky voit que les invités se servent seuls, je pourrais le regretter.

— Oh, je suis vraiment désolée pour vous, d'accord dans ce cas-là avec plaisir, acquiescé-je.

— Hum... Prenez la bouteille et cachez-la près de vous ! Exige t'elle après réflexion. Vous vous resservez quand Mademoiselle Zelinky n'est pas dans les parages, ajoute t'elle, aussitôt avec précision.

— Oh ! Merci beaucoup, approuvé-je, reconnaissante.

— Je vous apprécie beaucoup, passez une bonne soirée ! Lance t'elle avant de repartir servir les autres invités.

Elle est si gentille cette femme, mais vraiment trop. Elle a sûrement peur de perdre son emploi et à mon avis qui doit bien la payer.

Je la comprends quelque part. Trouver un travail qui paye bien de nos jours, n'est pas évident pour tout le monde.

— Bonsoir ! Alors comme ça, on pique la bouteille ?! M'accuse un garçon poli.

— Euh... Non ! bredouillé-je, surprise.

— Détends-toi, je plaisantais !

— Pas de soucis, on partage la bouteille si tu veux !

— Je suis à la vodka, mais, merci, je ne te balancerai pas, ricane-t-il.

Subitement, le mec mystérieux passe juste à côté de nous, accompagné des trois filles qui ont l'air de le suivre, comme le ferait un petit toutou avec son maître.

Il me regarde avec une expression si intense... Il me troublerait presque. C'est d'ailleurs le cas, oh mon Dieu, je ne dois rien laisser paraître !

La tension est pesante. Je ne crois pas en l'amour alors arrête de perdre ton temps. Il me rend nerveuse plus qu'autre chose.

Tout à coup, cela ne m'amuse plus, je vais immédiatement y mettre un terme. Le jeu des yeux est fini. Je détourne alors son regard, d'un mouvement assuré et sûr de moi.

Et puis ce gars, c'est clairement le genre de mec à draguer tout ce qu'il voit.

⭐️⭐️⭐️⭐️

PDV d'Angel.

J'ai été invité par Ethan et je pensais n'avoir rien à découvrir de nouveau.

C'est une soirée chez les Zelinky et je ne suis pas venu accompagner. Motard et solitaire dans l'âme.

Et puis, j'ai vu des filles que je connais. Andréa et des amies à elle. Elles m'ont fait signe de les rejoindre au jardin.

Quand soudain, je la vois venir sur la terrasse, les yeux larmoyants. Elle est l'élégance incarnée, des pieds aux poignets. Je ne percute pas de suite que je l'ai déjà rencontré. Son portrait me frappe de plein fouet. J'espérais secrètement revoir son visage un jour. Voilà qui est fait.

Elle parle peu, elle observe l'ambiance qui l'entoure. Mais, qui la mise dans cet état de mélancolie ?

Elle me regarde plusieurs fois sans me voir. Le garçon poli qui la rejoint me parait un faire-valoir.

Elle semble si seule dans l'atmosphère. Elle écoute le bruit du monde un verre de champagne en main, mais j'ai l'impression que le silence absolu résonne en elle.

Je fais exprès de passer devant elle, une fille sublime, au regard hypnotique. Hier encore, je me demandais qui elle était. Mais j'ai dû partir, une urgence m'attendait.

Je la fixe à nouveau, en me posant un peu plus loin, adossé contre un mur.

J'ai ce besoin de la voir dans mon champ de vision. Elle me trouble à vrai dire. J'espère qu'elle sera disposée à parler avec moi.

Dès que je l'observe, elle tourne sa tête ailleurs. Je la trouve mignonne.

Serait-elle gênée ? Où m'a t'elle reconnu ? Impossible, j'avais mon casque !

Je ne sais pas encore si je t'intéresse, mais moi, je veux te connaître.

💫💫💫💫

02/06 / 2024 En cours de réécriture / correction.
Mille merci pour vos aides, toujours autant précieuses ! ♥️

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