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Une fête inoubliable

- Hey ! C'est possible d'avoir un autre verre ? demande Terri en levant son verre vide.

J'évite de lever les yeux en avant de prendre une autre gorgée de ma boisson. Un serveur vient entre temps porter une chope de bière pour moi et Teri avant de repartir rapidement comme si se retrouver en notre présence le répugnait.

Je me demande même ce qui m'a prit d'accepter d'aller boire le même jour où j'ai fait une vraie folle de moi au lycée...
Contrairement à moi, Terri est complètement saoule alors que j'évite de trop boire. Je n'aime pas trop leur boisson alors je ne tiens pas finir dans un état pire que celui de Terri en se moment même si cela ne pourrait pas vraiment être pire que son attitude de tout les jours.

- Tu sais ce qui fait vraiment chier, Loona ? me dit ma copine après avoir bu une gorgée de bière.
- Non. Raconte.
- Les mecs. Les mecs sont vvraiiiment des gros nuls !!!

Je fais un sourire en coin en me disant qu'elle ne doit plus savoir ce qu'elle dit en ce moment.

- Pourquoi tu dis ça ?
- Parce que je paarle d'espérience, dit-elle d'une voix pâteuse.

Je hoche la tête en prenant une autre gorgée de bière.

- Et tu sais de qui je veux parler ?
- Non.
- Mais ne le dis pas, c'est un secret.

Je fronce les sourcils.

- D'accord alors c'est qui le mec ?
- RoooMannnn !

Je deviens suspicieuse d'un coup. D'un côté, je n'ai pas envie d'entendre parler de son ancienne relation, mais de l'autre, je suis fortement intriguée.

- Je croyais que c'était toi qui avait rompu avec lui.
- Juustement ! Jjj'ai rompu avec plui parce qu'il en aimait une autre.

Je recrache ma gorgée sur la table à cause de la surprise avant de la regarder.

- T'en es sûre ?
- Mais ouuuiii ! Roomaaann ! Le beau mec que toutes les filles s'arrachaient pour sortir avec lui.
- Qu'est-ce qui c'est passé ?
- Arrrgg ! Je te l'ai dit, il en aimait une autre.
- Explique toi un peu Terri, dis-je en prenant une gorgée de ma bière. Comment peux-tu dire que Roman aimait une autre fille alors qu'il sortait avec toi ?
- Hein ? Mais comment t'a fait pour deviner que Roman aimait une autre fille quand il sortait avec mouuaa ?

Je me retiens de lever les yeux en l'air.

- Je l'ai devinée Terri, mais j'aimerais que tu me parles de cette époque s'il te plait.
- Pas envie, dit-elle en faisant mine de bouder.

Mais je rêve, c'est une vraie gamine quand elle boit celle-là.

- Aller, fait un effort Terri sinon on rentrera au secteur dans la seconde.
- NON !!!
- Alors parle, dis-je calmement en espérant qu'elle ne se mette pas à crier.
- Rooman avait prit la vaumaise habitude de regarder une autre fille même quand j'tais là. Il y a près d'un an, il n'arrêtait peas de regarder une sainte-ni-touche de loin et quand je l'ai découvert je l'ai LAISSER comme ça ! conclut-elle avant de se mettre à rire.

Je fronce les sourcils en tentant de réfléchir à ce que Teri m'a dite, mais elle me sert brusquement plus de bière dans mon verre au point de déborder.

- Hey, doucement, t'en mets sur toute la table.
- Alors tu sais quoi vaire, dit-elle en me souriant. Tu dois tout boire.

Je pousse un soupir en me rappelant qu'au début, si j'ai accepter d'aller boire c'était pour oublier les mecs et tout nos stupides problèmes alors au tant y aller au fond. Je prend mon verre et je commence à tranquillement le vider. Le breuvage me pique légèrement la gorge et me laisse un goût assez curieux, mais je fais abstraction de tout ça en me concentrant sur l'instant présent.

J'ignore comment on a réussit à marcher jusqu'à l'autocar sans problème, mais nous sommes assises à l'intérieur en continuant de rire après une millième blague qu'on c'est raconter un peu plutôt. Le véhicule se mets en marche jusqu'au secteur et nous continuons de rigoler et à nous comporter comme deux parfaites folles en nous faisant dévisagés drôlement par les gardiens assis à l'intérieur pour nous surveiller.

Même les gardiens qui s'occupe du contrôle de l'entrée du secteur nous dévisagent pendant qu'ils scannent nos bracelet pour que nous nous enfoncions dans cet endroit sordide que nous appelons notre demeure maintenant. Au bout d'un moment, Teri et moi nous nous séparons et je marche en direction de ma maison avec une démarche légèrement faible à cause de l'alcool que j'ai pris.

Je suis soulagée de ne pas voir mon frère surtout dans mon état de semi saoule en entrant à l'intérieur, mais je suis fortement étonnée de découvrir Roman dans la cuisine. Je l'avais invitée et on m'a pas prévenue ?

- Depuis quand on ta donner une clé ?
- Vous ne prenez jamais l'habitude de barrer votre porte ni vos fenêtres.

Je pouffe de rire avant de marcher vers le salon sans vraiment savoir ce que je viens faire là.

- Tu as bu ?
- Non, je ne vois pas pourquoi tu dis ça, dis-je s'en m'empêcher de rire.

J'entend Roman pousser un soupir dans mon dos.

- Et moi qui avait espérer que tu ne fasses pas comme Terri, faut croire que je me suis tromper sur toi.
- Hein ? dis-je en me retournant vers lui. T'a pas rapport toi, si je veux boire sa me regarde et pas toi.
- Et s'il était arriver quelque chose à l'une de vous ? Dans votre état à toute les deux, vous auriez pu vous faire violer. EST-CE QUE TU TE RENDS COMPTES DE CE QUI AURAIT PU SE PRODUIRE POUR VOUS DEUX ?
- MAIS TU VAS ARRÊTER DE ME CRIER DESSUS, JE SUIS PAS SOURDE ET TU VEUX BIEN ARRÊTER DE TE COMPORTER COMME MON IDIOT DE FRÈRE !? TU DRAMATISES TROP LA SITUATION.
- MOI JE DRAMATISE UN PEU TROP ! ET S'IL VOUS ÉTIEZ ARRIVER QUELQUE CHOSE ? Tu imagines au moins la situation dans laquelle vous nous auriez mis au atrians du programme ou à vos famille. Qu'est-ce que j'aurais été obliger de dire à ton frère ou à Vega pour Terri à ton avis ? Tu n'imagines pas à quel point j'ai eu peur.
- Non, tu as peur de Vega uniquement et non du reste. Moi je te dis que tout allait bien pour nous deux.
- HA VRAIMENT ? ET C'ÉTAIT POUR QUOI CETTE SORTIE DANS LES BARS !
- ON VOULAIT S'AMUSER ET OUBLIER TOUTES LES CONNERIES QUI CONCERNAIENT NOS PETITES VIES SANS IMPORTANCE.
- ET S'IL T'ÉTAIT ARRIVER QUELQUE CHOSE HEIN ? AU CAS OÙ TU NE L'AURAIS PAS ENCORE COMPRIS, TU ES LA SEULE DU PROGRAMME À ÊTRE LA PLUS FAIBLE ET JE COMMENCE À ME DIRE QUE JE DEVRAIS TE SUIVRE PARTOUT MAINTENANT POUR M'ASSURER QUE TU NE JOUSSES PAS LA PARFAITE IDIOTE.
- J'AI PAS BESOIN DE TON AIDE, ROMAN ! CELLE QUE JE VEUX DEVENIR SA ME REGARDE ET UNIQUEMENT MOI !
- MAIS OUI, BIEN SUR, ET TU VAS ME FAIRE CROIRE QUE TOUT VA BIEN MAINTENANT ! me crache-t-il. SA NE TE RESSEMBLE PAS, LOONA!
- QU'EST-CE QUE T'EN SAIS ? TOI QUI PASSAIS TOUT TON TEMPS À ROULER DES PELLES AVEC LES FILLES DE DROITE À GAUCHE SANS JAMAIS TE DONNER LA PEINE DE REMARQUER LES FILLES COMME MOI. SA T'ÉTAIS COMPLÈTEMENT ÉGALE QUE DES GENS COMME MOI SOUFFRAIENT ET LA SEULE RAISON POUR LAQUELLE TU M'AS REMARQUER CETTE ANNÉE C'EST UNIQUEMENT PARCE QUE TU ES DEVENU AMI-AMI AVEC MON FRÈRE !

Un silence s'installe brutalement entre nous où tout ce qu'on entend c'est le sons de nos respiration saccadés à cause de notre colère mutuelle.

- On en reparlera quand tu auras désoûler, me dit-il furieux en commençant à partir.
- Ha non, tu vas pas me faire ce fucking coup comme tu le fais à presque tout le monde. Je ne suis pas idiote, ROMAN ! Tu fuis uniquement parce que j'ai raison alors ne vient pas chialer.
- Tu as tout faux, d'accord !! Tu ne sais rien sur moi alors ne vient pas me faire des reproches mademoiselle aussi idiote que son ombre et aussi naïve que deux balles !
- MOI AU MOINS, JE N'AI PAS PEUR DE RECONNAÎTRE MES ERREURS ET D'ACCEPTER LES CONSÉQUENCES QUI VONT AVEC !
- QUOI, TU VEUX PARLER DE TA PITOYABLE RELATION AVEC GRAYSON QUI T'A VALU TOUT CES REGARDS MAUVAIS DE LA PART DE NOTRE PEUPLE ? C'EST BIEN RÉUSSIT, MA CHÈRE !
- MOI AU MOINS, JE SAIS PRENDRE DES RISQUES ALORS QUE TOUT CE QUE TU SAIS FAIRE C'EST TE PLAINDRE ET DE FUIR COMME UN LÂCHE !

Je le regarde avec toute la colère que je peux réussir à envoyer à travers mes yeux alors qu'il se contente de me regarder pratiquement surpris.

- TU NE SAIS RIEN DE L'AMOUR, MON CHER ROMAN VOILÀ POURQUOI T'A JAMAIS ÉTÉ CAPABLE DE RESTER HONNÊTE AVEC TERRI ALORS TES PETITES LEÇONS DE MORALES TU PEUX TE LES METTRE LÀ OÙ JE PENSE.
- Qu'est-ce que tu sais de ma relation avec Terri ? me demande-t-il comme pétrifier sur place.

Je rirais presque de son état si je n'avais pas envie de le frapper.

- J'ai plus rien à te dire, dis-je en haussant les épaules avant de commencer à me retourner pour aller dans ma chambre.
- LOONA ! ARRÊTE DE TE COMPORTER COMME UNE GAMINE ÉCERVELÉE ET RÉPOND A MA QUESTION !
- TU M'EN MERDES, À LA FIN !

Je lui tourne le dos et commence à marcher pour m'éloigner de lui, mais il m'agrippe brusquement par le bras pour me forcer à rester. Je me raidis d'un coup en sentant sa main sur mon bras avant de me rendre compte que je tremble. Non, je ne dois pas lui montrer que je souffre...

Il ne doit pas me voir aussi faible et vulnérable...

L'adrénaline que j'avais accumulée depuis les quelques verres que j'ai prise plutôt et avec l'échange verbale avec Roman me quitte subitement et j'entend vaguement la voix du fils de Nox sans pour autant comprendre ce qu'il me dit jusqu'à ce que je sente des bras m'encercler pour finalement me coller contre son torse. Je reste immobile beaucoup trop surprise sans pour autant le repousser. Roman passe un bras derrière ma tête alors que le seconde frotte doucement mon dos afin de me détendre et, malheureusement pour moi, les larmes que je m'étais forcée à garder secrète finissent pas remonter à la surface et à couler sur mes joues.

Voilà que continue d'avantage mon humiliation alors que je me mets à pleurer comme une pauvre fillette contre le torse du seul garçon que je n'ai jamais pu oublier, malgré la grande quantité de verres que j'ai prise pour essayer. Je sers son tee-shirt avec ma main lorsque je sens une nouvelle vague de pleure remonter à la surface et pas une seule fois Roman ne c'est plains. Il s'est contenté de me garder dans ses bras sans prononcer le moindre sons en me laissant déversé toutes les larmes que j'avais accumulée depuis fort et déjà longtemps.

Après je ne sais combien de temps, lorsque je ne pleure plus du tout et que je me contente de renifler bruyamment parce que je n'ai pas de mouchoir sous la main, c'est à ce moment que je me rends compte de certains détails qui me laisse légèrement perplexe. Par exemple la chaleur que dégage le corps de Roman contre le mien, les battements de son coeur contre mon oreille qui sont assez rapides où encore ses mains qui sont encore dans mon dos pour continuer de me réconforter de quelque chose d'on je ne suis pas sûre de bien comprendre.

Lorsque je renifle une nouvelle fois, Roman s'écarte de moi avant de se diriger vers la table basse du salon et de revenir avec la boite de mouchoir. Il tend la boite en me faisant un petit sourire en penchant la tête tandis que je prend des mouchoirs pour m'essuyer les yeux et me moucher.

- Je crois que mon humiliation est suffisante comme ça alors je crois que tu peux t'en aller maintenant, dis-je avant de me reprendre des mouchoirs.

Au lieu de faire ce que je dis, je constate que Roman reste planter devant moi.

- Quoi ?
- Je crois me souvenir que tu m'avais demander ce que je savais de l'amour. Sa t'intéresse toujours ?

Je fronce les sourcils, mais lorsque je me rend compte que je dois avoir le nez et les yeux rougis je me contente de hausser les épaules.

- Qu'est-ce que tu sais de l'amour ?
- Ce que j'en sais ? Beaucoup de chose. Par exemple, lorsque je la vois vulnérable contre quelqu'un de plus fort qu'elle, je ne peux pas m'empêcher de vouloir cogner tout les abrutis pour la protéger. Lorsque je la vois avec un magnifique sourire aux lèvres, je ne peux pas empêcher à mon coeur de s'emballer comme un idiot ou d'avoir le souffle couper à la voir toujours aussi belle. Lorsque je la vois s'inquiéter pour sa famille ou ses amis, je ne peux pas m'empêcher de ressentir le besoin de la serrer dans mes bras pour lui faire comprendre qu'elle n'a rien à craindre et que tout ira bien après. Lorsqu'elle prend son temps pour aller boire que ce soit à cause qu'elle est triste ou à cause d'un abruti, je ne peux pas m'empêcher de m'énerver, mais de vouloir également la serrer dans mes bras pour effacer sa douleur. Lorsque je la vois avec des larmes aux yeux, je voudrais pouvoir empêcher à mon coeur de se briser en morceaux alors que je voudrais embrasser chacune de ses larmes pour l'empêcher de pleurer. Je ne peux pas m'empêcher de vouloir la protéger parce qu'elle compte énormément et moi, pauvre fou que je suis, je ne me rend compte que maintenant qu'elle existe alors qu'elle était devant mes yeux depuis toujours.

Je fronce les sourcils en le regardant curieusement. Si c'est ça, pour lui, savoir aimer alors qu'est-ce que j'en savais moi alors ?

Je n'ai pas le temps de me poser d'autres questions que je vois Roman s'approcher de moi. Je fronce légèrement les sourcils en le regardant et lorsque je sens ses mains sur mon visage, je sens mon coeur augmenter encore plus la cadence. Il caresse doucement les paumettes de mes joues avec ses pouces en continuant d'approcher son visage du mien. Il s'arrête à quelques centimètres de mon visage et alors que nos respiration se mêlent entre elles, je ressens un curieux sentiment dans mon estomac.

- Je...

Qu'est-ce que je pourrais bien dire ? Je ne comprend même pas ce qui se passe ou ce qui va se passer.

Roman continue d'avancer son visage et lorsque je crois sentir le frôlement de ses lèvres sur les miennes, la curieuse impression dans mon estomac remonte précipitament vers la surface. Je place une main sur ma bouche avant de courir vers la salle de bain pour vomir toute ma soirée dans la cuvette des toilettes. Je sens Roman qui attrape bientôt mes cheveux afin qu'ils n'entrent pas en contact avec cette substance dégueulasse et, lorsque j'ai terminer de me vider le contenu de mon estimac, je floche la toilette avant de m'asseoir par terre en penchant la tête vers l'avant.

Ça ne pourrait pas être pire...

Je souffle lentement avant de me forcer à me lever pour me brosser les dents et une fois que c'est chose faite, je pars imédiatement dans ma chambre pour me changer. Lorsque j'essaie de retirer mon gilet et que je n'y parviens pas, je sursaute presque en sentant deux mains me venir en aide.

Une fois mon tee-shirt au sol, je me retourne pour voir Roman à mes côtés qui me regarde un moment dans les yeux avant qu'il ne retire sa veste et qu'il la passe sur mes épaules. Une fois qu'il l'a zippé par-dessus ma poitrine, afin de cacher mes seins et mon soutien-gorge, je marche vers mon lit avant de m'installer déjà prête à m'endormir. Je sens vaguement quelqu'un m'abriller avec ma couverture avant de sentir des lèvres sur mon front avant de me faire emporter par les bras du marchand de sable.

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