¹⁶| 𝙿𝚊𝚛𝚔 𝚂𝚞𝚗𝚐𝚑𝚘𝚘𝚗 ⁶/⁷
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³¹ ¹² ²⁰²²
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¹²⁰⁴ ᵐᵒᵗˢ
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|• 𝓑𝓸𝓷𝓷𝓮 𝓛𝓮𝓬𝓽𝓾𝓻𝓮 •|

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Il y a des moments, où, vraiment il ne comprend pas. Parfois, c'est devant un texte en littérature où l'instituteur lui demande de transcrire sur le papier toutes les idées que cet acheminement de phrase lui évoque. Il prend un long moment à comprendre, à assimiler des idées susceptibles de suivre un bon chemin de raisonnement.

Il y a aussi ces fois là, où, devant deux entrées à la cafétéria, il ne sait pas vers laquelle des deux, son regard s'intéressera. Ça n'irait pas plus vite s'il n'y avait pas de restriction sur le nombre d'assiettes à prendre ?

Quoi que. C'est pareil devant un rayon au supermarché ou face au marchand de glace. Les goûts ne sont pas restreints mais l'argent construit une limite artificielle mais bien présente. 

Était-il si troublé pour penser à des choses aussi stupide ? Et puis, qu'importe le sujet, Sunoo a l'impression de toujours laisser ses pensées tourner autour du même point de départ.

Park Sunghoon.

Cet idiot au faux-reel sourire étincelant s'était permi de graver son visage dans les rétines du plus petit. Ça devrait être désagréable. Désagréable de sentir le bout pointu d'une aiguille dessiner des formes sur son œil, alors pourquoi trouvait il cela plaisant ?

Il vous l'accorde, imager la sorcellerie du blond n'est pas la plus belle des idées mais au moins, de cette manière, vous aviez une représentation juste de la situation.

Il a tout juste le temps d'ouvrir le battant de sa porte, d'y glisser un regard qu'il aperçoit les billes noires de son aîné.

Là aussi, c'était ses rétines qui lui jouait des tours ? 

—Elle n'est pas là.

Son visage s'assombrit, surpris d'être accosté ainsi. Ça ne dure qu'un minuscule instant car la seconde suivante, c'est tout sourire qu'il dit :

—Je sais.

Ce sourire trop grand, Sunoo lui fera bouffer un jour. ( Il s'égare ? )

Il passe d'un pied à l'autre, sa main toujours serrée contre le bord de la porte. S'il avait ne serait-ce qu'un peu de courage, il lui aurait refermé le bois au visage. Où était-ce justement ce courage qu'il lui manquait afin de le laisser entrer dans la maison ?

—Tu veux pas l'attendre rassure moi ? Sauf si tu comptes me faire chier jusqu'à ce soir.

Enfin ça, c'est ce qu'il voulait dire de base, comment au juste sa phrase s'était-elle transformée en “ Tu peux l'attendre ici si tu veux.” Sunghoon avait souri. Comme s'il ne le faisait pas déjà assez.

—J'voulais juste passer du temps avec toi. On a dit qu'on allait devenir amis.

Sa peau se teint d'une couleur indésirable. C'est moche le rouge, non ? Et puis pourquoi avait-il l'air d'un enfant en disant ça ? Le grand Park Sunghoon qui faisait soupirer le rose était parti bien loin.

D'une grimace grognonne, il se décale de l'ouverture.

— Monte dans ma chambre, j'arrive. Tu connais le chemin j'imagine.

Et sans plus de cérémonie, la silhouette de Sunghoon disparaît dans l'escalier.

Soudainement, toute barrière détruite au sol, un large sourire idiot prend possession de son visage. Son cœur, asséné de tout côté par un enthousiasme débordant, est pris d'une soudaine pulsion étrange.

Il fait un dernier détour dans sa cuisine où il éteint la télévision qu'il avait allumée avant l'arrivé du blond puis se dirige rapidement jusqu'à sa chambre.

Il a l'air d'un enfant bruyant qui se presse jusqu'au sapin de Noël.

Hypothétiquement, si Sunghoon était son cadeau, il ne dirait pas non. Peut être même qu'il l'encadrerait histoire d'en faire une jolie décoration.

Mensonge.

Tout le monde sait ce qu'il en ferait, sauf lui, peut être.

Arrivé dans sa chambre, non sans laisser échapper un léger râle en observant la porte de grande ouverte, il se pose contre l'ouverture. Qu'avait il fait pour mériter de supporter la présence de Sunghoon alors qu'il l'avait déjà sans arrêt dans la tête ? Était ce sa sentence pour avoir été un mauvais frère ?

Et puis merde, Sunoo, il est persuadé d'être un frère exceptionnel.

Lentement, il rentre dans sa chambre non sans être surpris par la présence du blond tout proche de son piano. D'un sourire rayonnant, il fait résonner aléatoirement quelques touches opalines. Bon dieu, pourquoi avait il l'air aussi féerique ainsi ? Enfin bon, Sunoo le trouvait aussi drôlement stupide.

N'était ce pas destiné aux enfants, l'envie irrépressible de toucher à tout ce qu'ils voyent ?

—Park Sunghoon, dégage tes sales pattes de là.

Il l'avait dit pour rire. Enfin, c'est ce que Sunghoon croit lorsqu'il s'était mis à sourire avec enthousiasme.

Sunoo avait alors rougi, comme s'il ne pouvait rien faire d'autre. Dernièrement, il rougissait et souriait beaucoup trop, c'était bizarre. C'était pas désagréable mais c'était franchement bizarre.

Le blond lui présente finalement une nouvelle fois son dos, ses billes noirs braquées sur les touches du piano. Semble-t-il, prêt à jouer la mélodie du siècle.

Foutaise. Il n'a simplement pas résister à laisser son doigts glisser du bout d'une extrémité à l'autre. Le son avait été aiguë et mécaniquement, Sunoo lui avait saisi les épaules, cherchant à l'éloigner de cet instrument qui pourrait faire des malheurs à ses oreilles.

Sunghoon souriait en se sentant poussé par derrière, tiré par la force minime du rose qui le poussait à se lever.

C'est finalement Sunoo qui s'est assis sur son lit incitant l'autre à prendre sa chaise de bureau. ( Il n'est pas fou, jamais il ne laissera Sunghoon poser son fessier sur ses somptueux coussins ) 

—Je savais que t'avais un piano mais j't'ai jamais entendu en jouer.

—J'en joue souvent pourtant. On me dit que j'en joue bien mais c'est parceque j'suis le seul pianiste qu'ils connaissent.

Avant même qu'il n'est le temps de réfléchir à une réponse, Sunghoon répond en fixant étrangement le plus petit :

—J'suis sûr que non.

Arg... Pourquoi c'était si étrange d'entendre des compliments sortir des lèvres du blond. N'importe qui d'autre lui dirait de tel mot qu'il ne réagirai même pas. Un merci éjecté et il passait à autre chose. Alors pourquoi ici, face à cette voix franche, Sunoo se sentait-il écrasé ?

Trop gêné pour répondre quoi que ce soit, il bafouille un "bref" tout juste audible en se dirigeant vers une commode face à son lit où il brandit deux manettes d'Xbox.

Sunghoon souriait déjà alors qu'il contaminait le rose de son expression d'idiot heureux. ( S'ils étaient heureux, c'était grâce au fait qu'ils allaient jouer à un jeu, c'était aucunement dû à la présence de l'autre. Voyons, il ne faut pas rêver non plus )

Sunghoon est le premier à s'étaler sur le sol, contre les pieds du lit du rose et sur un tapis drôlement doux et mignon. Ça devait être un pingouin, la forme d'un pingouin du moins, pas un pingouin écrasé ce serait tout moche sinon.

Sunoo s'était baissé vers la télé, le bouton actionné et le cd inséré qu'il rejoignait déjà le blond non sans s'appuyer sur son genoux pour s'installer au sol.
C'est quand l'image du jeu PicoPark s'était affiché qu'il avait dit ironiquement :

—J'espere que le grand Park Sunghoon est coopératif.

Sunghoon sourit, joueur.

—J'ai toutes les compétences requises.

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JOYEUX NOËL !
( En retard mais chut... )

Bon. Une longue absence et me voilà !
( Le pire c'est que j'avais même pas la flemme d'écrire, j'y ai juste pas pensé une seule seconde. Ça fait dix siècles que le chapitre était commencé et j'l'ai pas touché pdt mille ans )

lol cé rigolo

Euh... Bref ?

Le chapitre vous a plu ?
J'avais oublié que c'était aussi plaisant d'écrire cette histoire car elle est toute légère. Pas besoin de réfléchir bcp XD
Le chapitre doit pas être fou mais c'est une reprise on va dire ! :D

[Passez de bonne fête !]

Petite anecdote franchement pas intéressante :
Ma maman m'a acheté des poupées genre comme des poupées Barbie de TOUS les membres de BTS. Ça m'fait trop rire j'sais pas pourquoi. Hoseok mon bb est juste magnifique ( on reconnaît pas trop Jin et JK snif par contre Namjoom on le reconnaît bcp trop avec son sourire c'est trop beau Bahaha)

Bref...

Koeur Koeur ! <333