SCP-3434
Une cassette , j'ai trouver une cassette . Une avec un SPC-3434. Plus d'infos après .
Personne interviewée : E-3434-5 (n. ██/03/1932 — d. ██/01/1998)
<Début de l'interview>
Interviewer : Pourquoi restes-tu dans l'obscurité ?
E-3434-5 : C'est là que la douleur s'est arrêtée.
Interviewer : Quel type de douleur ?
E-3434-5 : À la poitrine. Aux bras. À la tête. Partout. Ils étaient tous sur moi, les marteaux et les hymnes. Ça s'est arrêté finalement, et il y avait cette voix – une voix douce – me disant que tout irait bien. Et c'est vrai. Tout est allé mieux lorsque les lumières se sont atténuées au loin et que le s'est arrêté.
Interviewer : Je peux vous assurer que vous êtes entourés d'amis ici. Maintenant, n'ayez pas peur et venez dans la lumière.
E-3434-5 : Je pense que je vais plutôt rester ici, dans l'obscurité.
<Fin de l'interview>
Interviewer : E-3434-12 (n. ██/07/1946 — maintenant)
<Début de l'interview>
Interviewer : S'il vous plaît, arrêtez de vous frotter les yeux comme ça. Ce n'est pas vraiment bon pour vous.
E-3434-12 : Je suis désolé. Parfois j'oublie que la substance n'est plus en moi.
Interviewer : La substance ?
E-3434-12 : Oui. J'ai rêvé de cette fille qui rampait çà et là. Collée à cette de personnes. Je suis allé vers la fille et les nombreuses mains de la foule m'ont traîné vers eux. C'est là que la substance visqueuse est entrée, en commençant par mes yeux. C'était très douloureux sur le moment, mais ça s'est fini rapidement.
Interviewer : Vous sentiez-vous mieux après ça ?
E-3434-12 : Beaucoup mieux. Libéré de tout, y compris de moi-même.
<Fin de l'interview>
Personne interviewée : E-3434-23 (n. ██/03/1962 — d. ██/09/2001)
<Début de l'interview>
Interviewer : Parlez-moi des cauchemars.
E-3434-23 : J'avais disparu. Je faisais quelque chose dans une pièce, et puis tout est devenu noir.
Interviewer : Savez-vous de quel endroit vous avez disparu?
E-3434-23 : Pas vraiment. [pause] Désolé monsieur, je ne suis pas à l'aise avec les personnes âgées.
Interviewer : Je peux promettre que je ne vous veux aucun mal. Mais pourquoi, si cela ne vous dérange pas ?
E-3434-23 : m'a fait disparaître. Il n'aimerait pas que je sois là.
Interviewer : Comment le vieil homme le saurait-il ?
E-3434-23 : Il est partout. Il peut tout faire, comme me faire disparaître encore une fois.
<Fin de l'interview>
Personne interviewée : E-3434-41 (n. ██/05/1986 — maintenant)
<Début de l'interview>
Interviewer : Parlez-moi de ce dont vous vous souvenez, s'il vous plaît.
E-3434-36 : Des lumières rouges clignotantes. Tout le monde était en train de crier. En train de mourir. Les enfers se sont échappés, disaient-ils. Je devais appuyer sur un bouton.
Interviewer : Pourquoi donc ?
E-3434-36 : . Il n'y avait pas d'autre choix.
Interviewer : Et ensuite ?
E-3434-36 : Tout s'est mis à brûler. Cela ne valait pas la peine de souffrir autant, franchement.
<Fin de l'interview>
Personne interviewée : E-3434-48 (n. ██/10/1998 — maintenant)
<Début de l'interview>
Interviewer : Pourquoi couvrez-vous toujours vos yeux ?
E-3434-48 : Afin qu'il fasse toujours noir.
Interviewer : Pourquoi ?
E-3434-48 : C'est là que la douleur s'est arrêtée.
Interviewer : Quel type de douleur ?
E-3434-48 : À la poitrine. Aux bras. À la tête. Partout. Ils étaient tous sur moi, les marteaux et les hymnes. Ça s'est arrêté finalement, et il y avait cette voix – une voix douce – me disant que tout irait bien. Et c'est vrai. Tout est allé mieux lorsque les lumières se sont atténuées au loin et que le s'est arrêté.
Interviewer : ...Je vois. Comment vous sentez-vous par rapport à vos dispositions actuelles ?
E-3434-48 : Je pense que je vais plutôt rester ici, dans l'obscurité.
<Fin de l'interview>
Les SPC-3434 sont des enfants ( d'après moi )Ce sont diverses grossesse anormales. Où le fœtus affecté effectue plusieurs tentative pour empêcher sa naissance.
Se contorsionner pour résister à la contraction des contorsionner .Se débattre lorsqu'il est tenu après son retrait de l'utérus.Se repositionner dans l'utérus pour éviter le contact avec l'équipement chirurgical tel que les flacons obstétriques ou les forceps.Empêcher le cordon ombilical d'être coupé par l'équipement chirurgical.Agripper la paroi utérine.
Les mères porteuses meurent souvent à la naissance rare celle qui survivre.
Le Docteur .
Harvey.
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