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Chapitre 15

Sam avait subit des abus sexuels de ses parents. Cette phrase revenait en boucle dans sa tête depuis deux jours. Qu'est-ce qu'il allait faire maintenant?  Ce confier à Ed? Et bien oui, puisqu'il était maintenant devant la porte de sa chambre.

"Edward, je peux te parler?"

L'intéresser était pencher sur son ordinateur à tapper un texte. Il lui fit signe d'entrer continuant ses travaux d'école. Dylan alla s'installer sur son lit.

"J'aurai besoin de conseil."

"Juridique?"

"Non."

"Amoureux?"

"Oui."

"Tant mieux, car c'est les deux seule domaine dans lesquels je réussit."

Il finit de peaufiner une phrase, enregistra son travail à deux endroits différent au cas et se tourna vers Dylan.

"Qu'est-ce que le spécialiste du love peu faire pour toi?"

"Ce que je vais te dire, tu dois le garder pour toi. Promet."

"Je le jure votre honneur."

Dylan soupira. Il se frotta les yeux avec ses paumes de mains avant de reporter son attention vers Edward.

"Sam c'est fait violer enfant."

Le sourire moqueur d'Edward disparut aussitôt. Il semblait se demander si c'était une mauvaise farce ou non. Dylan continua donc sur sa lancer.

"Je sais pas quoi faire pour l'aider. J'ai peur de le brusquer, j'ai peur qu'il ne comprenne pas, j'ai peur de détruire sa confiance en moi."

"Ils sont en prison?"

"Qui?"

"Ceux qui l'ont violer!"

"Euh... surement, puisqu'ils ont perdu sa garde."

"Quoi? C'est des ses parents qu'on parle?"

"Edward, on peut se concentrer sur le présent?"

Edward semblait horrifié de la nouvelle.

"Il est où Sam? Il a besoin d'un câlin."

"À la ferme, pourquoi tu pense que je viens te parler."

"Il a vu un psy?"

"Surement."

Edward ferma les yeux, inspira et expira plusieurs fois, avant d'afficher un nouveau sourire et d'ouvrir de nouveau les yeux.

"Le docteur love est là pour vous aider."

"Déconne pas, s'il te plait."

"Dydy, je crois que tu panique pour rien. Depuis le temps, il a du comprendre que c'était un viol et que c'est totalement différent d'une relation intime avec la personne qu'on aime."

"Le problème est que justement, je crois qu'il ne fais pas très bien la différence. L'orphelinat où on a grandit, n'expliquait pas vraiment ce qu'une relation sexuelle était."

"Je ne comprend pas."

"J'avais 11 ans quand j'ai quitter cette endroit et ça m'as prit 1 an m'adapter à la vie en communauté. J'ignorais comment les bébés était fait, je ne comprenais aucune référence sexuelle. J'avais été très surpris de découvrir un téléphone portable!"

"Sérieux?"

"Oui, sérieux. J'ai passer deux heures avec Sam l'autre jour pour lui expliquer le fonctionnement d'instagram. Perte de temps, car après je me suis rappeler qu'il n'avait pas de cellulaire."

Edward semblait absourdi. Il fit une face de réflexion avant de se confier.

"Bon je m'occupe de Sam. T'inquiète tu vas pouvoir coucher avec bientôt. En échange, tu dois faire fermer cette orphelinat de malheur!"

"Tu t'occupe de Sam comment au juste? Car le faire écouter American Pie, c'était pas la meilleures idées."

"J'avais prévu écouter de la porno gay."

"Mais tu es un malade! Comment le traumatiser à vie!"

Edward laissa filtrer un sourire amuser.

"Tu me prend pour un débile?"

"Des fois tu passes pas loin."

Edward rit de bon coeur.

"Bon je fini mon dev et je m'attaque au problème Sammy."

Dylan se releva et se dirigea vers la porte avant de se rendre compte d'un point important. Il n'avait jamais eu de réponse.

"Ed je suis sérieux. Qu'est-ce que tu vas lui dire où faire?"

"Discuter."

"Et tu crois tout pouvoir régler en discutant?"

Edward fit une moue. Il se leva et prit un classeur dans sa bibliothèque. Il était immense.

"Tu sais ce que c'est Dylan?"

"Non."

"Ça c'est tout les lois qui régit les abus sexuels. J'ai du faire tout un travail là-dessus la session passé. J'ai aussi écouter des témoignage à la barre sur quelques cas. Je crois que je saurais gérer et expliquer la situation à ton beau Sammy."

Dylan n'était toujours pas rassurer.

"Même s'il comprend la différence, il ne sera jamais à l'aise avec quelque chose qui la fait souffrir dans le passé."

Edward rangea le classeur dans sa bibliothèque. Il s'assit sur sa chaise en soupirant.

"Je vais te faire une confidence. J'ai jamais coucher avec mon ex. J'étais un puceau apeuré de me ridiculiser la première fois. Résultat des course, elle est aller voir ailleurs. Pourtant au début, elle était d'accord de prendre notre temps. Faut croire qu'elle a changer d'idée en chemin. En tout cas, ça m'a prit du temps avoir ma première fois, car j'avais vraiment peur de tout ce que ça l'impliquait et de comment si prendre. Alors, je crois que je peux comprendre Sam d'être effrayé de passer ce cap avec toi. Fais moi confiance. Occupe toi de cette orphelinat et je m'occupe de lui."

Dylan finit par capituler. De toute façon, il m'avait aucune idée quoi faire ou dire pour mettre Sam à l'aise. D'ailleurs, en quittant la chambre d'Edward, la porte d'entré s'ouvrit sur lui.

"Sam!"

"Salut Dy."

Dylan voulut l'enlaçer, mais se retient au dernier moment.

"Eurk. Tu sens le fumier."

"Je sais. Je vais prendre une douche."

Et Sam disparut dans la salle de bain. Bon, il avait encore du temps de libre. Edward allait surement mettre son mystérieux plan à exécution, valait mieux les laisser tranquille. Il prit ses clés d'auto et alla à l'orphelinat. Encore une fois, il avait oublier de prendre rendez-vous, mais monsieur René accepta tout de même de le voir.

"Dylan et puis. As-tu retrouver Sam?"

"Oui, il vit avec moi maintenant et on sort ensemble."

"Excellente nouvelle. Qu'est-ce que je peux faire pour toi?"

"Vous ne me faites pas la moral sur mon homosexualité?"

"Pourquoi devrais-je?"

"Et bien, j'ai souvenir d'avoir été enfermé dans ma chambre pour l'avoir embrasser sur la bouche."

Monsieur René soupira.

"Je veux que tu sache une chose. Je n'avais pas été mis au courant de cela avant que tu m'en parle durant ton adoption. J'ai libérer immédiatement le petit Sam en pleurs de sa chambre et convoquer madame Rose. C'était le troisième blâme qu'elle avait à son dossier. Je me suis fait un plaisir de la reconduire à la porte."

"Bon débarras."

"Dylan, ce n'est pas parce que cette vieille femme avait des idées arrêter que ça te permet de parler ainsi. Voulais-tu seulement m'apprendre la nouvelle de ton couple?"

Pendant un instant, Dylan allait répondre que oui, mais il se souvient ensuite de la raison principale de sa venu.

"Non, en fait, avec tout le respect que je vous dois, les choses doivent changer ici. Les enfants sont coupé du monde extérieur à un point tel que quand il rejoigne la vie, ils sont inapte socialement!"

Voyant que monsieur René ne répondait rien, il continua.

"Moi et Sam sont les meilleures exemples. Vous contrôlez tout ce qu'on regarde, tout ce qu'on lit. Nous ne savons rien des réseau sociaux, mode de communication, politique, enjeux planétaire et surtout sur la sexualité. Par chance que mes parents ont été patient et ouvert d'esprit à m'expliquer, mais Sam est encore en apprentissage."

Dylan avait dit ce qu'il avait à dire. Il ne manquait plus que d'attendre le véridique du directeur. Celui ci prit un temps avant de répondre doucement.

"Je comprend tes préoccupations, mais cette orphelinat n'est pas baser sur les enfants à long terme. Ce que nous faisons ici est de prendre les enfants à problème et les rendres apte à retourner en famille d'accueil. Ton cas et celui de Sam sont très rare. Jamais nous ne gardons un enfant plus de trois ans habituellement. Si nous voulons que ces enfants deviennent docile, nous devons contrôler les informations qui se rend à leur cerveau. Le reste, il sont supposé l'apprendre dans leur famille d'accueil, une fois que leur séjour chez nous est terminé. Je dois avouer que notre système à des lacunes pour les enfants permanant comme toi et Sam. J'y aviserai. Promis. Désirez-vous me parler d'autre chose?"

"Non, je crois que c'est tout. Sam a-t-il vu une psychologue pour ce qu'il a vécu?"

"Au début oui, mais ça ne servait à rien, il ne parlais pas et étais dans sa bulle. Quand il a changer de comportement à ton contact et que tu es parti, nous avons réessayer. Il la vu un temps, et puis le gouvernement à couper cette subvention."

"Vous croyez que ça l'a aider?"

"Je crois que rien ne l'a aider mieux que toi. Tu lui as appris la confiance et l'amour. Même après ton départ, il n'agissait que pour toi."

"Merci monsieur."

Dylan retourna tranquillement chez lui. En chemin, il décidait d'arrêter au café où il avait retrouver Sam après 10 ans. Il s'assit à une table et se perdit dans ses pensées. Ruminant sans cesse ça pensé sur Sam, il ne vit pas le garçon au cheveux bleu approcher.

"Salut Dylan."

Le rouquin fit le saut avant de se tourner vers Martin. Tiens il ne l'avait pas vu depuis leur rupture. La vision de son ex petit copain fit rembrunir Dylan qui sentit son cœur se serrer. Il savait très bien que Martin avait parler dans son dos à leurs amis, prétendant qu'il l'avait tromper avec Sam.

"Salut Martin."

"Comment vas-tu?"

"Bien et toi?"

"À merveille. Moi et Simon sommes ensemble, tu savais?"

Mais à quoi il jouait? Pourquoi il lui parlait? Il voulait encore plus lui enfoncer le couteau dans la plaie?

"Oui, Jo me l'avait dit."

"Ah oui, Josianne. Vous êtes toujours en bon terme? Vous vous voyez souvent?"

"Je peux savoir ce que tu me veux?"

Martin lança un sourire factice à Dylan.

"Mais rien. Prendre de tes nouvelles, car tu ne me répond plus visiblement quand je t'appelle."

"Fou le camp si c'est pour faire ton baveux. J'ai d'autres chats à fouetté."

"Oh, dis moi pas que ce n'est déjà plus le parfait amour avec Pipiaulit."

Cette fois, Dylan avait vraiment envie de lui sauter dessus. Il le cherchait et il le trouvait.

"Non, tout est beau avec SAM!"

"Alors pourquoi cette moue triste?"

"D'accord, tu veux savoir la vérité? Je vais te la dire! Je viens d'apprendre que si Sam déteste autant le contact physique avec les autres c'est uniquement car ses parents se sont servie de lui comme d'une poupée gonflable. Je suis pas psy et j'ai aucune idée comment lui venir en aide ce qui est extrêmement frustrant pour un futur travailleur social comme moi."

Cette fois il avait frapper fort, car Martin avait la bouche légèrement entrouvert de surprise.

"Tu veux dire, qu'il ne veut pas que tu le touche?"

"Moi, n'importe qui, il es traumatiser, ta pas compris? Non, bien sûr que non, vu que ta jamais voulu écouter mon point de vu! Et non, j'ai jamais coucher avec. Surprise! Ça l'aurait été le fun que tu m'écoute il y a un mois, au lieu de me traiter de tout les noms à nos potes dans mon dos. Mais bon, de toute façon, plus personne ne veut me parler, alors ils peuvent bien penser ce qu'il veulent."

Martin ne savait visiblement pas quoi dire. Plus aucun sourire ornait son visage et semblait même apeuré de Dylan.

"T'inquiète, je me débrouille pas pire sinon. J'ai Edward avec qui je m'entend mieux de jour en jour. Je sais que je me plaignait de lui les premiers temps que j'ai aménager avec, mais au final, je ne le connaissait juste pas. Il est ouvert d'esprit et fait son possible pour aider Sam comme moi. D'ailleurs, il a beau avoir ses défauts, il ne m'a jamais juger pour quoi que se soit, lui. Et puis Josianne vient faire un tour parfois. Grâce à elle, Sam va bientôt décrocher son diplôme d'étude secondaire. Cool non?"

Martin baissa le regard rouge de honte et ainsi cacher les larmes qui naissait au coin de ses yeux. Dylan ne vit rien et continua sur sa lancer.

"Il a recommencer à sourire et rire aussi. Une bonne chose. C'était mon principale but en le recueillant à la maison. J'aurais voulut lui faire comprendre ce qu'un couple sain était, mais Edward est loin d'être une référence, Jo est célibataire et moi je suis un enfant de chienne qui aurait supposément tromper son chum, alors bon... on lui a présenter American Pie!"

Sur ce Dylan se leva fâché et quitta le restaurant en s'assurant de bousculer Martin sur son passage. Celui ci n'osait toujours rien dire. Dylan ne s'inquiétait pas des limites de vitesse et arrivait à l'appartement en pleurant. Il avait enfin pu faire valoir son point à Martin et il se sentait vider. Le pire c'était qu'il n'avait rien trouver de satisfaisant dans cette conversation. Une part de lui aimait toujours le soi-disant rebelle et cette dispute le faisait souffrir. Sam et Edward était assis dans le salon à discuter et Dylan viens se précipiter dans les bras de Sam. Celui ci passa se bras autour de lui et viens lui flatter les cheveux.

"Tout va bien Dy. Je suis là. Je vais prendre soin de toi."

Alors Dylan laissa libre court à ses sanglots. Martin lui avait fait si mal. Comment une personne qu'on avait jadis aimer pouvait nous traiter comme un déchet du jour au lendemain. Il lui avait tout pris. Ses amis, son envie de sortir, sa confiance en lui inébranlable. Maintenant tout ce qu'il avait était Sam et il ferait tout pour le garder.

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