Dylan écoutait une émission sur Netflix assit sur le divan, Sam prenait ça douche, étant donné qu'il revenait de la ferme et Edward fumait un joint pour calmer son stress de la rentrer dans deux jours. Il s'était écoulé une semaine depuis que Martin avait rompu avec Dylan et autant de temps que les deux garçons ne c'était pas vu ni parler. Dylan s'ennuyait de lui, en partie pour les raisons évidente, mais aussi pour d'autre. En fait c'était les activités avec ses amis qui lui manquait, mais comme Martin trainait avec la bande, il ne se sentait pas à l'aise dit retourner. Surtout que Josianne vient le voir durant la semaine pour lui avouer que le groupe entier était remonter contre lui d'avoir ainsi tromper le garçon au cheveux bleu. Joie. C'était injuste, il n'avait rien fait avec Sam! Encore aujourd'hui, s'il se faisait des baisers chaste, ils n'avaient jamais été plus loin. Pas que Dylan aurait dit non, Sam avait un corps parfait selon lui, mais le plus jeune ne semblait pas faire de mouvement dans cette direction, donc il se retenait pour ne pas le brusquer. Perdu dans ses pensés, il n'écoutait pas du tout ce qui se passait à l'écran et ne remarqua pas immédiatement Sam qui arriva à ses côtés vêtu d'un jogging et un sweet-shirt trop grand. 

''Martin...''

"Dy, ça va?"

Le rouquin fit le saut avant de se tourner vers Sam. Si Edward lui avait donner des vêtements plus approprié, Sam ne l'ai mettait que quand il savait qu'il allait sortir. Sinon, il continuait de s'habiller en grand. Son magnifique corps n'était pas mis en valeur.

"Je pensais à des trucs."

D'ailleurs, il pensait à se moment là, que Sam aurait du sortir de la douche avec une simple serviette autour de la taille au lieu d'être complètement habillé. Il rêvait en couleur, car Sam était plutôt pudique comme garçon. Martin, lui exhibait son corps quand il était dans l'appartement avec Dylan. 

"Je peux m'asseoir?"

Dylan observa un moment Sam et hocha la tête. Pourquoi il lui demandait la permission de s'asseoir sur le divan? La réponse ne tarda pas à venir, car Sam vient se placer devant Dylan et s'assit sur ses genoux, calant son dos sur son torse. Dylan hésita entre pouffer de rire ou crier de douleur, car Sam n'avait plus le poid d'un enfant de 8 ans. D'ailleurs, il était maintenant plus grand que lui et lui bouchait la vue.

"Sam, je crois que ça ne le fera pas. Tu m'écrase."

Sam se releva, sans oublié d'administrer une nouvelle dose de douleur à Dylan qui grimaça.

"Désolé."

"Pourquoi tu veux t'asseoir sur moi?"

Sam parut surpris de la question.

"Car je m'asseois toujours sur Dy pour regarder la télé."

Ah ouais, tant que ça. Il n'avait donc pas regarder la télévision depuis son départ de l'orphelinat où l'avait-il regarder debout comme un piquet?

"Et si on échangeait les rôles?"

Sam haussa les épaules. Dylan se leva pour laisser ça place à Sam et viens s'installer sur lui. Immédiatemment, Sam passa ses mains autour de son torse comme Dylan avait prit l'habitude de le faire avec lui. Il sourit bêtement. Il était dans les bras de Sam. C'est bras qui ont soulever tellement de bail de foin qu'il avait finit par se muscler légèrement.

"Ça va vous deux? Je dérange pas?"

Le duo se tournaient vers Edward qui venait de rentrer à l'intérieur.

"Alors officiellement vous êtes quoi? Juste pour être sûr, car je vous suit pas. De très bons amis? Un couple? Ou une chaise et un profiteur?"

Edward se marrait tout seule à la farce qu'il venait de faire. Dylan l'observait découragé. Ce type, il lui manquait vraiment une case. Le problème c'est que Dylan ne savait pas quoi répondre. S'il disait des amis, ça blesserait surement Sam, car après tout, il lui avait dit l'aimer. S'il disait un couple, il donnait la victoire à Martin et acceptait qu'il l'ai remplacer du jour au lendemain. Edward du remarquer son malaise, car il lui fit un clin d'oeil avant de changer de sujet de conversation.

"Bon, et si on jouait à un jeu? Beerpong!"

"Il est deux heures de l'après-midi."

"Bon ça va! Je cherchais juste une activité à faire, tu as rester toute tes journées enfermé ici depuis une semaine."

"Ah oui, a qui la faute. Mes amis ont choisit leur camps."

"Clairement à toi la faute. Tu ne peux pas nier que tu avais des idées derrière la tête en amenant notre Sammy vivre ici."

Dylan se sentit rougir. Une chance qu'il était assis dos à Sam, car il ne voulait pas savoir le visage que celui ci avait en ce moment.

"Tu es du bord de qui, on peut savoir?"

"Le tien mon coloc préférer."

"On dirais pas. Si tu t'avise de me donner des conseils en amour, oublie. Ta jamais tenu une relation plus de deux semaines."

Cette fois, Edward semblait blessé par les paroles du petit garçon.

"Tu saura que j'ai déjà garder une copine pendant presque 1 an et demi."

"Génial, tu veux une médaille? Pourquoi vous êtes plus ensemble, tu tes rendus comptes qu'être en couple c'était trop pour toi?"

"Elle m'a laisser pour un autre mec avec qui j'ai appris qu'elle me trompait depuis un an."

Maintenant Dylan ne pouvait pas se sentir plus mal. Il détourna le regard en se mordant les lèvres. Mais qu'est-ce qui lui prend! Petit démon refais surface?

"Ça va tu es pardonner, pas besoin de t'excuser."

"Désolé."

"Oui bon, parlons d'autres choses tu veux? Vous voulez faire quoi?"

Dylan haussa les épaules et sentie Sam venir déposer son menton sur celui de gauche. Edward paraissait découragé.

"Bon, si vous voulez pas aller profiter de la journée, ça vous concerne, mais moi je vais me promener."

C'était ainsi que la fin des vacances se passèrent. Edward et Dylan retournèrent à l'université, pendant que Sam continuait son travail à la ferme. Un soir, Dylan arriva à l'appartement pour trouver Josianne en grande discussion avec Sam.

"Oh! Dylan. Demande lui Sam, je suis sûr que ça lui fera plaisir."

Sam rougit et bredouilla quelques choses que Dylan fut incapable d'entendre.

"Quoi?"

Josianne vient a la rescousse.

"En fait, j'ai demander pourquoi il n'allait pas étudier en art, vu ces talents en dessin et il semblerait qu'il n'ai jamais obtenu son diplôme du secondaire. Il lui manque entre autre le français. Je lui est proposer de le finir, mais il a peur de ne pas réussir, alors..."

"Tu veux m'aider Dy?"

"Oh! Oui, pourquoi pas. Tu vas t'inscrire au adulte?"

"Je déjà commencer à remplir sa demande!"

Josianne lui montra l'ordinateur portable à côté d'eux.

"Bien. Clairement que je vais t'aider Sam. Jo tu es arriver quand?"

"Il y a une heure ou deux. Je me suis tromper dans ta nouvelle horaire, je croyais que tu finissait plus tôt."

"OK. Tu voulais parler de quoi?"

Elle lança un regard discret à Sam avant de le reporter vers Dylan.

"Martin."

La bonne humeur du rouquin disparut immédiatemment.

"Génial. Qu'est-ce qu'il a encore dit dans mon dos?"

"Dylan!"

Dylan lança ses choses dans sa chambre avant de les rejoindres dans le salon.

"Fait pas comme s'il ne parlait pas dans mon dos. J'ai croiser Simon à l'Uni et le regard meurtrier qu'il m'a envoyer ne laissait pas place à l'imagination. Je suis l'enfourrer et lui la pauvre victime."

Insconciemment, il vient s'èvacher sur Sam par habitude. Josianne eut une drôle de réaction, mais ne dit rien voyant Sam enlaçer Dylan par derrière.

"Oui, bon, en même temps..."

"En même temps rien du tout! Arrêter avec ça! Je ne l'ai pas tromper! Sam peut témoigner."

"Calme toi je te crois."

Un silence malsain envahi la pièce. Seule Sam ne semblait pas déranger par la mini tension entre les deux amis.

"De toute façon, ce que je voulais te dire, c'est que j'avais pas totalement tord à propos de Simon."

"Quoi?"

"Ça risque de te faire un choc, mais... Martin et lui on coucher ensemble."

Impossible était le seule mot qui traversait l'esprit de Dylan. Josianne du le comprendre, car elle s'expliqua.

"Il semblerait qu'il soit bi."

"Il est avec Anne."

"Non, Dylan. Ça durer trois semaines avec Anne. Il semblerait que Martin se soit pointer chez lui un soir et... tu vois."

Dylan sentie un malaise en lui. Martin avait coucher avec Simon? Il avait l'impression qu'on l'avait tromper. D'étrange sensation qui lui parcourait le corps. C'était réellement désagréable.

"Mais... ils sortent pas ensemble. Si? C'était juste un one night?"

Josianne n'avait pas un visage très rassurant.

"Officiellement non, mais ils sont très proches depuis."

Maintenant Dylan avait envie de pleurer. Il avait envie de hurler. Briser. Vomir. Détruire. Il avait envie de faire beaucoup trop de chose. Il n'était plus ensemble depuis quelques semaines et il l'avait déjà remplacer! Bon ok, lui aussi, mais il n'avait pas été plus loin avec Sam, qu'un baiser chaste! C'est 4 ans de vie ensemble ne signifiait donc rien?

"Ça te fait mal?"

Comme s'il allait avouer!

"Non. Ça me fait chier. Il est pas mieux que moi, mais c'est moi qu'on pointe du doigt, car j'ai voulu aider Sam."

Celui ci réagit à son nom en serrant Dylan plus fort dans ses bras. Le rouquin manqua de s'étouffer et rit quand Sam desserra sa prise.

"Dylan, tu dois comprendre que lui aussi est en colère à cause de..."

"À cause de rien! Qu'est-ce que vous comprenez pas. Il ne sait rien passé entre moi et Sam!"

Josianne se tourna vers Sam en attente d'une approbation. Comprenant que l'attention était sur lui, il se mit à jouer nerveusement avec son collier.

"C'était quoi la question? J'écoutais pas."

"Sam, avant que je t'apprenne que moi et Martin on n'était plus ensemble, qu'est-ce qu'on faisait juste tout les deux?"

"On dormait dans le même lit."

"Parfait, est-ce qu'on c'était embrasser? Depuis l'orphelinat je veux dire."

"Non."

"Bam! Tu vois. Je ne l'ai jamais tromper."

"Vous dormiez quand même ensemble."

"J'allais pas le faire dormir avec Ed!"

Josianne soupira et se massa le front. Un début de migraine l'affligeait.

"Bien. Que veux tu que je fasse de cette information?"

"Que tu le signale à Martin!"

"Sincèrement, je commence à envisager de ne plus parler à ni l'un ni l'autre."

Edward entra dans l'appartement surexcité.

"Sammy vient! Je veux te montrer un truc."

Puis il quitta de nouveau le bloc. Sam se départie doucement de Dylan et alla rejoindre Edward dehors.

"Qu'est-ce qu'il a ton coloc?"

"Aucune idée, mais Sam le trouve marrant."

"Il fait encore pipi au lit?"

"Euh... non. Il ne la plus fait depuis qu'il a aménager ici. Au début il faisait quelque cauchemars, mais depuis que je dors coller à lui, il en fait plus."

Josianne lui offrit un sourire et Sam reviens dans l'appartement avec Edward.

"On le garde!"

Dylan fronça les sourcils à la phrase d'Edward.

"On garde quoi?"

Sam vient le rejoindre pour lui montrer dans ces mains, un bébé chat de quelques semaines. Sam avait l'air aux anges avec cette petite créature au creux de ses paumes et lançait un regard suppliant à Dylan. Attend, il était sûr que c'était un coup monté d'Edward pour être sûr que Dylan ne disent pas non. Et il réussissait très bien, car il n'avait aucune envie de gâcher le bonheur de Sam.

"OK."

Edward et Sam était les plus heureux du monde et Josianne s'insurgea.

"Dylan tu es allergique aux chats!"

Effectivement, il avait déjà les yeux qui commençait à piquer, mais que pouvait-il faire. Edward avait utiliser la meilleure arme contre lui, Sam.

"Dy est allergique aux chats?"

"Oui, mais ses pas grave, Sam. Je prendrais du Benadryl."

"Si c'est grave. Je ne veux pas que tu soit malade. Je dois te protéger comme tu m'as protéger."

Il déposa le bébé chat dans les mains d'une Josianne absourdi.

"Prend soin de lui."

"Euh, Sam j'ai jamais dit que je le voulais."

Il lui offrit son regard de pitié enfantin qui avait si bien fonctionner sur Dylan. Visiblement, ça fonctionnait sur Josianne aussi. Dylan fini d'enfoncer le couteau en éternuant.

"Bon, Ok. Je vais le prendre. Je l'amène chez nous avant que Dylan ne soit plus capable de respirer."

Elle reprit ses choses et quitta l'appartement, amenant la boule de poil le plus loin de Dylan. Sam souriait, Dylan reniflait et Edward semblait furieux.

"Comment tu m'as trahi mec! Tu devais lui faire pitié pour qu'on garde le chat MALGRER c'est allergie."

Sam vient enlaçer Dylan qui avait commencer à se moucher.

"Je suis là Dy. Je suis là."

Dylan se mit à rire, s'essuyant le nez. Sa crise d'allergie partait aussi vite qu'elle était arriver. Les chats était ses pires ennemis.