Sépulcral matin
L'heure au loin s'assombrit
Les nuées sont de gris,
Quand le jour reste nuit.
La mer d'ombre ne luit.
Là-haut sur la falaise.
L'homme que nul n'apaise,
Devant prison de glaise,
Pleure larmes de braise.
Au pied sur les récifs,
S'enroulent les maléfices.
D'un océan rétif,
À plaindre le captif.
L'heure au loin s'éclaircit.
Le pâle astre irradie,
Crânes ensevelis,
Sous vagues cramoisies.
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