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Chapitre cinquante.

[Il est grand temps de rallumer les étoiles.
Guillaume Apollinaire]


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Le cœur battant d'émotion au fond de la gorge, le ventre secoué d'excitation et le souffle alourdi d'envies impatientes, la fièvre réchauffe son corps tout entier quand Katsuki se redresse en prenant appui sur ses mains, éloignant son visage du bassin de Deku. 
En fermant la bouche, il avale la salive qui colle à sa langue, mélangée au gout si singulier du liquide séminal. 

Sur sa tempe, la paume d'Izuku l'invite à revenir à sa hauteur, exerçant une légère pression sur le côté de son crâne et, avant de lui obéir, il pince ses lèvres pour les éponger et embrasse l'intérieur de sa cuisse. 
Sentant sa peau frémir au contact de sa bouche, il ferme les yeux en répétant le baiser deux centimètres plus loin, puis une troisième fois, passant en même temps ses doigts sous son genou replié. 

La respiration lente et sifflante d'Izuku, déréglée par les sensations décuplées, murmure à ses tympans des incitations à poursuivre la course de ses lèvres encore un peu plus. 
Alors, sans se presser, prenant tout le temps dont il a besoin pour ne négliger aucun grain de peau, il remonte les courbes de son corps en enchainant les baisers humides. 
Passant près du pli de son aine, au dessus de son nombril puis s'attardant sur chacune de ses côtes, marquant une pause sur les lignes de ses pectoraux pour y faire glisser sa langue, il parcourt toutes ses formes les unes après les autres. 

Pour ne rien perdre, sa main droite accompagne son exploration, remontant progressivement les reliefs de ses abdominaux, puis ceux de son épaule quand sa bouche atteint sa gorge. 
Dans le creux de son cou, il pince un morceau de peau entre ses dents avant de l'embrasser, comme pour couvrir la blessure. 
Puis, alors qu'Izuku referme ses jambes autour de son dos, semblant le supplier de venir enfin à la rencontre de son visage, il termine son voyage sur les pentes de son corps en atterrissant, enfin, sur ses lèvres. 

Pressant ses doigts sur la ligne de sa mâchoire, semblant vouloir l'embrasser plus fort qu'il n'est possible de le faire, il goûte à nouveau à sa langue. 
Leurs souffles se mélangent l'un à l'autre, réveillant davantage de frissons le long de ses bras et de sa colonne vertébrale, et il se perd complètement au creux de cet échange. 
Les yeux fermés, le front brûlant et la poitrine martelée par la tachycardie, il sent les chevilles d'Izuku se resserrer contre son coccyx. 
Dans la folie de l'instant, ses dents heurtent parfois les siennes et quelques échos gutturaux échappent à leurs gorges. 

Au milieu d'eux, un gémissement discret surgit, sans qu'il ne puisse dire s'il vient de lui ou de Deku et, finissant par quitter sa bouche pour respirer, il pose un baiser mouillé à sa joue tout en frottant ses hanches entre les siennes. 
A travers le tissu de son boxer toujours présent, il perçoit malgré tout les sensations dévorantes qui font frémir ses reins, et rouvre ses paupières en plaquant son front contre le sien. 
Plongeant à l'intérieur de son regard pour s'y noyer un moment, il amplifie les mouvements de son bassin en entrouvrant sa bouche, cherchant l'air qui lui fait défaut. 

En appuie sur un seul avant bras, tremblant qui plus est, il s'affaisse progressivement, sans vraiment sans rendre compte, faisant peser tout son poids sur le thorax de Deku, qui lui sourit malgré l'asphyxie, chuchotant néanmoins en essayant de bouger en dessous de lui. 

- Kacchan, tu m'écrases. 

Un rire nerveux et mécanique lui échappe alors qu'il réunit ses forces pour redresser son buste à la force de ses bras, écartant son visage du sien en relevant le menton. 
Les yeux maintenant face au mur, il inspire autant d'air que possible avant d'avaler sa salive en secouant la tête, agitant ses cheveux sur son front. 
Le désir est si fort qu'il va bientôt s'étouffer avec. 

Passant ses doigts le long de son dos, comme une caresse rassurante, Izuku délie ses jambes pour le libérer de l'étreinte de ses chevilles. 
Puis, se réhaussant comme il peut à l'aide de ses coudes, il s'aventure près de sa gorge pour embrasser son cou tendu, avant d'aller murmurer juste en dessous de son oreille. 

- Ca va ? 

Sans bouger son corps, ramenant simplement son regard vers lui, Katsuki sourit entre deux soupires, trahissant un état de quasi béatitude évident. 
Un peu à l'ouest, les pensées en désordre à cause d'un excès d'émotions agitées, il hoche deux fois la tête en s'efforçant de ne pas flancher, se concentrant sur ses propres bras en les suppliant intérieurement de ne pas le lâcher.

- Ouais. 

Bien sûr qu'il va bien, c'est simplement les sensations qui font céder ses muscles et, en soupirant une dernière fois pour tenter de réajuster son rythme respiratoire, il ajoute : 

- Tu m'as manqué. 

Il avait presque oublié à quel point la peau d'Izuku pouvait lui faire perdre la notion de son existence et, en retrouvant le contact de son corps, il redécouvre cette impression d'être sur le point de mourir et de ressusciter en même temps. 
Et, c'est vrai, ça lui avait manqué, cet effet qu'il a sur lui. 

En dessous de lui, gardant appuie sur un seul coude, Izuku vient poser sa main entre ses deux pectoraux, avant de la laisser vadrouiller où bon lui semble, allant parfois effleurer ses clavicules, d'autre fois exciter un téton ou un autre entre deux phalanges. 
Et Katsuki, fermant à nouveau les yeux, laisse son crâne retomber vers l'avant en se pinçant les lèvres, dessinant dans son esprit le trajet des doigts de Deku sur son torse. 

Le bas de son ventre vibre, et plusieurs muscles de son dos se contractent aléatoirement, faisant trembler ses hanches de quelques soubresauts chaotiques et incontrôlés. 

Puis, gesticulant en dessous de lui pour ajuster sa posture, Izuku interrompt les caresses de ses doigts, les remplaçant par celles de sa langue, qu'il plaque sur son téton gauche. 
L'humidifiant d'abord en y étalant de la salive, il y attarde ensuite le bout de ses lèvres, effleurant la zone sensible avec sa bouche. 

Les épaules tremblantes, Katsuki ouvre les yeux, abaissant son menton au maximum pour le regarder faire, fixant cette bouche qui s'agite lentement sur le cercle rose, l'aspirant de temps en temps pour mieux y faire rouler l'extrémité de sa langue. 
Le petit jeu excitant fait danser des ondes folles de plaisir dément à travers tout son être, l'empêchant de penser, de réfléchir, de parler. 
Sentant son dos se cambrer et ses bras faiblir, il bouge brusquement pour appuyer une de ses mains contre le mur, espérant y trouver un peu de maintien. 

Sous lui, Izuku semble prendre beaucoup de plaisir à le faire chavirer, s'acharnant toujours plus sur le téton trempé, soufflant parfois sur la pointe durcie avant de revenir à l'assaut. 
Et Katsuki, ravalant les plaintes douces de sa gorge, voit sa respiration lui désobéir complètement, agitant ses côtes de façon totalement désordonnée. 
Enfin, souriant contre sa peau, Izuku aspire une dernière fois la petite zone tendue, faisant résonner un bruit de succion dans la pièce, avant de s'en éloigner de quelques centimètres, levant les yeux vers lui. 

Partageant un regard chargé d'invitations en tous genres, l'échange visuel s'étire sur quelques secondes avant qu'Izuku ne plaque sa main sur son épaule pour lui intimer de se déplacer, l'invitant à descendre de lui pour s'allonger juste à côté. 
Les sens en ébullition et l'esprit étourdi, il se laisse faire par la pression de sa paume, quittant l'espace entre ses cuisses pour s'étendre sur le dos. 
Reposant sa nuque alourdie en calant son crâne dans un oreiller, il tourne son visage vers Deku pour l'admirer encore alors que, dans son boxer, son érection déchainée ne va pas tarder à faire sauter l'élastique. 

Il le sent, le sang pulse si fort sous son pelvis qu'il pourra bientôt faire éclater quelques vaisseaux lymphatiques, et le liquide séminal qui suinte au bout de sa verge trempe le tissu déjà bien martyrisé. 
Et, subissant son propre désir qui cogne en bas de son ventre, il remue imperceptiblement son bassin, attendant avec beaucoup d'impatience que Deku vienne le toucher. 
Parce qu'il a urgemment besoin qu'il vienne le toucher. 
Il va imploser. 

Sans changer de place, demeurant à côté de lui, Izuku se tourne toutefois sur son flanc, plantant son coude dans le matelas et sa tête dans la paume de sa main pour la soutenir. 
Un moment, il s'attarde à simplement le contempler, semblant se réjouir de son état d'agitation, promenant ses yeux sur les courbes excitées -et excitantes- de son corps. 
Puis, de son autre main, il effleure la peau de son abdomen, traçant des formes plus ou moins géométriques sur les reliefs de ses muscles. 

Jouant à le faire patienter, il lambine longuement sur son ventre, suivant du regard ses propres gestes, humectant de temps en temps ses lèvres avec sa langue comme un prédateur affamé surveillant les réactions de son prochain repas. 
Et puis, quand il juge qu'il l'a suffisamment fait attendre, il fait voyager la pulpe de ses doigts aux abords de son nombril, passant juste à côté pour le contourner, avant d'atteindre l'élastique de son boxer, qui ne demande qu'à rendre les armes. 

Chatouillant un peu la peau fine de sa taille, il tourne son regard dans l'autre direction, cherchant les yeux de Katsuki, rivant ses pupilles dans le feu de ses iris, semblant vouloir en capter le moindre éclat nouveau au moment d'effleurer les premières coutures du tissu maltraité. 

Et Katsuki s'efforce de maintenir ses paupières ouvertes quand il perçoit le premier contact de ses doigts sous l'élastique. 
Devinant la main d'Izuku se faufilant en dessous du tissu, il soupire à s'en détacher une côte en la sentant passer sur les reliefs de ses veines gonflées, envoyant une première salve grisante de sensations étourdissantes. 
Autour de sa verge chaude, la paume se referme délibérément lentement et, sans le quitter des yeux, Izuku entame enfin un premier mouvement alangui. 

Sans se dépêcher, il déplace la pression de ses doigts d'un geste régulier, butant un coup contre la base de son pubis, puis remontant à l'extrémité du gland avant de descendre à nouveau. 
Puis, se penchant finalement au dessus de lui pour embrasser sa bouche, il accélère d'un cran, agitant plus rapidement son poignet sous la prison du tissu.

Contre ses lèvres, Katsuki s'autorise à fermer les yeux, savourant à la fois l'effet ravageur de sa main qui le masturbe et celui de sa langue qui vient glisser contre son palais. 
Sa peau qui frémit se couvre de frissons sur toute la surface de son corps, et ses hanches se balancent d'elles mêmes, cherchant plus ou moins consciemment à amplifier les caresses. 
Le feu du bas de son ventre prend de l'ampleur, crachant des flammes entre ses reins et jusque sous son diaphragme, calcinant ses poumons déjà à la limite de la combustion spontanée. 

Il a chaud, très très chaud. 
Il brûle. 

La bouche plaquée à celle d'Izuku, il soupire entre ses lèvres, soufflant un peu d'air malgré lui et, juste quand une secousse menace de faire vibrer ses cordes vocales, la main qui caresse son érection ralentie ses mouvements, sans s'arrêter complètement pour autant. 
Interrompant également le baiser en même temps, rangeant à nouveau sa langue à sa place d'origine, Deku décale légèrement son visage pour venir chuchoter à son oreille. 

- J'ai envie de te faire l'amour. 

Respirant près de son cou, marquant une pause pour avaler sa salive, sa voix se charge de sous-entendus quand il reprend. 

- Vraiment. Entièrement. 

Papillonnant des paupières, à moitié sonné par la trop plein d'émotions diverses, Katsuki entrouvre la bouche sans rien dire pour autant. 
Ses fonctions cérébrales diminuées par le manque d'oxygène entravent sa capacité de réflexion, et il lui faut quelques secondes pour comprendre ce qu'il lui dit. 
Puis, quand le message parvient enfin à ses neurones embrumées, il lève ses yeux vers le plafond en se léchant les lèvres pour en retirer l'excédent de salive. 

- T'as envie d'me prendre ? 

- Carrément. 

Promenant son regard le long d'un défaut de peinture au plafond, sa gorge émet malgré lui une note de voix hésitante, et il plisse les paupières pour tenter de se concentrer une seconde. 
A vrai dire, la pression langoureuse de la main d'Izuku à l'intérieur de son boxer l'empêche de réfléchir proprement, mais il se sent tout à coup passablement troublé par sa demande. 
Indécis, peut-être. 

Et, alors qu'il reste vaguement confus, cherchant une réponse à donner dans les irrégularités de la peinture blanche au dessus de lui, Izuku se redresse davantage, retirant complètement sa main de son sous vêtement, pour finalement s'assoir près de lui. 
Le dévisageant un instant, il incline la tête sur le côté pour l'interroger presque timidement. 

- Est-ce que tu l'as déjà fait ? 

Tournant son visage vers lui, abandonnant son inspection du plafond, il secoue vaguement la tête de droite à gauche avant de s'assoir à son tour, décidant de lui faire parfaitement face. 

- Nan. 

Pourtant, Katsuki se souvient que, pendant la sombre période de leur séparation, Yo lui a proposé, une fois. 
Un soir, pendant qu'ils s'emmerdaient copieusement sur leurs téléphones respectifs, il lui a soumis l'idée comme une requête.  
Et Katsuki a dit non. 

Parce qu'il n'était certainement pas question que Yo lui rentre dedans. 

D'une part parce qu'il n'en avait pas envie, d'autre part parce qu'il ne voulait pas le faire avec lui. 
Mais ce soir, avec Izuku, la perspective est différente et, même s'il se sent soudain monter le trac, deux choses changent par rapport à Yo. 

Il en a envie, et il veut le faire avec lui. 
Il se sent quelque peu nerveux, peut-être un peu fébrile à l'idée de laisser Deku s'inviter à l'intérieur de lui, mais il a envie d'essayer. 
Il se souvient de ce qu'il a ressenti quand il a pénétré Izuku, dans son appartement au cours de leur rendez vous clandestin, et c'était dément. 

Et Izuku, assis sur lui pour donner le rythme, avait l'air de beaucoup aimer ça. 
Alors, il suppose que l'expérience vaut le détour. 

- T'es pas obligé d'être d'accord Kacchan. J'en ai envie, mais je m'en remettrai si tu veux pas. 

Assis au milieu du matelas, il sourit en coin en voyant Izuku s'inquiéter de son silence, avant de tasser ses épaules en inclinant discrètement le menton. 

- Non, c'est bon. Tu peux. 

Gigotant sur le draps, paraissant presque se retenir de jubiler, Izuku s'éclaircit la voix en jetant tout à coup des regards impatients partout autour de lui, semblant chercher quelque chose sur les murs. 
Et Katsuki, sentant l'atmosphère s'alléger dans la pièce, arque un sourcil en le voyant s'agiter. 

- Hum. T'as .. des préservatifs ? Du lubrifiant ? 

Sans répondre, Katsuki bascule le haut de son corps sur le lit, étirant son dos et un de ses bras vers la petite table de chevet pour fouiller à l'aveuglette à l'intérieur du petit tiroir. 
A tâtons, cherchant du bout des doigts au milieu du petit bazar qui traîne avec, il met la main sur la petite boîte de capotes encore à moitié pleine, la jetant sur le lit avant de partir à la recherche d'un flacon de lubrifiant. 
Il sait qu'il en a, il en a déjà acheté, cela dit, il n'a aucune idée de la quantité restante et, en le trouvant après quelques secondes, il sous-pèse la petite bouteille pour en jauger la contenance. 

Rassuré de la deviner encore remplie aux trois quarts, il se fige soudain quand Izuku l'interpelle à nouveau, avec une demande somme toute incongrue. 

- Kacchan, t'as des ciseaux ? 

Pas convaincu de la nécessité d'une telle arme au cours d'un moment pareil, il arque ses deux sourcils en même temps, la mine plutôt perplexe. 
Et, se dandinant un peu sur lui même, se rendant compte qu'il ne comprend pas sa requête, Izuku baisse la tête en passant nerveusement sa main dans sa nuque, détournant le regard. 

- C'est que .. je voudrais te lécher et .. Je suis désolé ! J'suis vraiment pas subtil ! J'aurais dû te demander ça autrement mais ... 

Complètement paniqué à l'idée d'avoir plombé l'instant, Izuku se tasse sur lui-même en échappant un rire absolument nerveux, évitant soigneusement son regard. 

S'il est tout à fait honnête, Katsuki admet qu'il se sent un tantinet gêné en imaginant la bouche de Deku entre ses deux fesses. 
Pas parce que c'est crade, Izuku semblant décidé à se protéger, mais parce qu'il se sent un peu honteux à l'idée qu'il voit son anus d'aussi près. 
Personne ne s'est jamais aventuré dans cette zone de son anatomie, et ça le rend nerveux tout à coup. 

Pourtant, mi curieux mi médusé, il se redresse pour se rassoir sur les draps, avant de faire glisser son corps jusqu'au bout du matelas. 
Déposant le flacon de lubrifiant près d'un oreiller, il descend du lit, un peu pantelant, avant de traverser la petite pièce. 

- J'vais les chercher. 

S'éloignant dans le couloir, il s'arrête après quelques pas pour écarquiller ses yeux et prendre une large inspiration. 
A mi chemin entre la sidération et l'envie de découvrir tout ce que Deku peut lui faire, il baisse son regard vers son érection toujours planquée dans son boxer. 
Elle n'est pas retombée du reste, Izuku n'a pas de soucis à se faire là-dessus, il a bien trop envie de jouir avec lui pour débander maintenant.
Et ce malgré la légère appréhension soudaine qui s'empare de lui à mesure qu'il reprend sa route vers la cuisine. 

Tirant sur un tiroir, faisant teinter quelques couverts en métal dans la manœuvre, il attrape fébrilement la fameuse paire de ciseaux, avant de faire demi tour comme un automate. 
Prenant le chemin inverse jusqu'à revenir à la chambre, il ferme la porte derrière lui avant de presser l'interrupteur contre le mur, éteignant la lumière du plafonnier. 

- Deku, tu peux allumer la lampe de chevet ? 

Il préfère encore un éclairage tamisé plutôt que l'ampoule criarde. 
Dans le noir, il entend Izuku se traîner dans les draps, cherchant à l'aveuglette le petit boitier de la lampe et, quand l'abat-jour s'illumine après quelques secondes, il se déplace à nouveau pour le rejoindre sur le lit. 
Découvrant la mine coupable et mal à l'aise de son amant, il se moque gentiment de sa soudaine timidité en lui tendant ses ciseaux. 

- Tiens. 

Et Izuku, lui lançant un regard à la fois désolé et rieur, se mord la lèvre inférieure en les prenant dans sa main, se tortillant sur le lit avant de se racler la gorge. 
Puis, rectifiant sa posture, redressant son dos pour reprendre contenance, il soupire par le nez en plongeant son regard dans le sien. 

- T'es toujours d'accord quand même ? 

Arquant un sourcil, Katsuki a bien envie de lui répondre que sa question est stupide, puisqu'il vient de lui ramener les ciseaux, mais, pour ne pas alourdir l'atmosphère déjà un peu retombée, il hoche la tête sans faire de remarques. 

- Ouais. 

Rassuré, Izuku reprend soudain son petit air réjoui, gesticulant pour se positionner sur les genoux, avant de se pencher légèrement vers l'avant pour embrasser sa bouche. 

Fermant les yeux en recevant le baiser, Katsuki détend progressivement ses épaules, ouvrant ses lèvres contre les siennes pour lui proposer sa langue. 
Le goût de sa salive vient une nouvelle fois se mélanger à la sienne et, peut-être pour ne pas brusquer l'instant, l'échange calme s'étale sur plusieurs dizaines de secondes. 

Ses sens recommencent progressivement à s'agiter pendant que sa langue se frotte à la sienne, soulevant à nouveau les frissons sur sa peau.
Alors, venant accrocher ses deux mains dans la nuque de Deku, il se rallonge en travers sur le lit, l'emportant avec lui dans sa chute contrôlée. 
Sans s'arrêter de l'embrasser dans le mouvement, il enfonce confortablement son dos dans le matelas avant de relâcher son cou, promenant ses doigts sur ses épaules et ses omoplates. 

Le stress léger qui se mêle à son désir de le sentir contre lui perturbe complètement le rythme des pulsations de son cœur, qui ne sait même plus comment battre. 
L'onde de chaleur réapparait en bas de son ventre alors que son boxer continue de crier à l'aide, et il tire sur les épaules d'Izuku pour l'inviter à se plaquer complètement contre lui. 
Pour sentir son torse sur le sien. 
Il adore ça, Izuku a la peau douce. 

Se laissant guider par ses instructions silencieuses, Izuku s'affaisse davantage, pressant son thorax contre ses côtes avant de s'écarter de sa bouche, embrassant d'abord sa joue, puis la ligne de sa mâchoire. 

La respiration redevenue chaotique, détraquée d'excitation, Katsuki garde ses yeux fermés alors que Deku dépose des baisers sauvages dans le creux de sa gorge, sous sa clavicule, et sur son sternum.
L'impatience et l'envie font frémir l'intérieur de ses cuisses à mesure que Deku s'aventure plus près de son nombril, usant de sa langue pour lécher le bas de ses abdominaux. 

Son souffle devient à nouveau bruyant, sifflant dans sa gorge quand il ondule instinctivement son bassin, suppliant toutes les divinités terrestres qu'Izuku lui offre une fellation. 
Sans regarder ce qu'il fait, les paupières toujours closes, il agrippe ses cheveux sans tirer dessus, l'incitant à ne pas s'arrêter sur sa lancée. 

Et, enfin, Izuku tire sur l'élastique du boxer fatigué d'exister, le faisant glisser le long de ses jambes pour le retirer entièrement, l'abandonnant probablement dans les parages sans états d'âmes. 
Puis, prenant place entre ses genoux, il presse ses paumes sur ses cuisses pour les écarter, et embrasse allègrement le gland bouillonnant, suçant d'abord l'extrémité avant de faire entrer la moitié de la verge dans sa bouche.
Léchant les reliefs, étalant sa salive sur les veines engorgées, il respire par le nez en maintenant les jambes de Katsuki grandes ouvertes. 

Les sensations, trop longtemps attendues, font grésiller sa gorge et trembler ses bras, rependant le plaisir grisant jusque dans son estomac. 
Cambrant son dos, enfouissant davantage son crâne dans le matelas, il ouvre la bouche pour laisser sortir un brin de voix, sentant les parois buccales de Deku stimuler son érection. 

Ca fait du bien .. 

S'oubliant un peu plus à chaque nouveau mouvement d'Izuku, sentant parfois son gland cogner contre le fond de son palais, il se laisse porter par l'implosion de ses sensations hystériques. 
Sans avoir vraiment conscience du temps écoulé, il bloque sa respiration pour avaler sa salive quand Deku recrache sa verge, la laissant retomber contre son ventre. 

Le corps et l'esprit complètement engourdis, il ne s'étonne presque pas de sentir son dos glisser sur les draps alors qu'Izuku le tire jusqu'au bord du lit, alignant son coccyx avec l'extrémité du matelas. 
Les jambes dans le vide, il ouvre vaguement les paupières sans fixer son regard nul part alors que, l'espace de quelques instants, il ne se passe plus rien. 
Percevant tout juste le froissement du plastique d'emballage d'un préservatif, puis le frottement métallique de deux lames de ciseaux, il passe ses dix doigts dans ses cheveux pour renvoyer en arrière quelques mèches collées à son front. 

Le moment de flottement ne s'éternise pas au delà d'une dizaine de secondes avant qu'il ne sente le contact des mains de Deku revenir sur ses cuisses, le devinant agenouillé sur le sol. 
Glissant le long de sa peau frissonnante, ses paumes s'aventurent jusque sous ses genoux pour relever ses jambes, les repliant autant que sa souplesse le lui permet. 
L'espace d'un instant, un vague sentiment de gêne refait surface dans sa poitrine mais, avant que le malaise n'ait vraiment le temps de s'installer, Izuku embrasse doucement un morceau de peau aux abords de sa fesse droite. 

- Tiens tes jambes. 

Sans broncher, il accroche ses propres mains dans le creux de ses genoux écartés pour ne pas les laisser retomber, et referme ses yeux quand les doigts d'Izuku se déplacent lentement pour venir caresser sa verge et, de temps à autres, masser ses testicules, juste en dessous. 
Puis, alors qu'un frisson vagabonde le long de ses côtes, il plisse un peu le front en sentant un contact frais et inconnu couvrir l'espace vierge qui sépare ses fesses. 

Et puis, en même temps qu'Izuku continue de le masturber, une sensation tout à fait inédite vient lui remuer le ventre. 
A travers le latex du préservatif découpé, il reconnait la texture souple de sa langue, qui s'aplatit complètement contre son anus, léchant l'orifice entier avant de tracer de cercles autour. 
Parfois aussi, il ressent le contact plus ferme de ses lèvres, quand il pose quelques baisers sur la zone. 

Se concentrant à analyser les caresses buccales, il promène un moment ses yeux sur le plafond avant de commencer à vibrer d'un nouveau plaisir. 
Ses paupières tressautent, agitant ses cils sur sa vue brouillée pendant que, les mains toujours accrochées à ses propres genoux, sa respiration lui échappe. 
Encore. 

Son diaphragme se contracte et se détend à intervalles totalement irréguliers, empêchant ses poumons de capter correctement l'oxygène, et il soupire plus bruyamment qu'il ne le voudrait quand la langue de Deku dessine des zigzags à travers le latex, tout en continuant de masser sa verge tendue. 
Terrassé par les deux sensations combinées, il doit admettre qu'il ne contrôle plus grand chose. 

Et, alors que sa voix s'exprime sans son accord, il reprend vaguement son souffle quand la bouche de Deku s'éloigne, retirant en même temps le carré de latex qui la protégeait. 
Relâchant aussi son érection, il se redresse sur ses jambes.
Réapparaissant plus clairement dans son champs de vision, il se penche au dessus de lui, plaquant son torse sur le sien pour venir l'embrasser. 

Libérant ses genoux de la prise de ses propres mains, Katsuki noue ses chevilles au bas de son dos, détendant les muscles malgré tout tiraillés de ses cuisses. 
Le baiser, qui a légèrement gout de latex, ne s'attarde pas outre mesure, alors qu'Izuku y met déjà fin pour lui sourire en fixant ses yeux dans les siens. 

- Ca va ? 

- Ouais. 

Les traits de Deku s'illuminent d'un sourire encore plus large, révélant toutes ses dents et, sans se décoller de lui, il étire simplement un de ses bras pour atteindre le flacon de lubrifiant un peu plus loin. 
Claquant  ensuite un dernier baiser à ses lèvres, il redresse partiellement son dos, obligeant Katsuki à desserrer un peu le nœud de ses jambes autour de lui. 
Puis, soulevant le bouchon en plastique avec son pouce, il verse copieusement le liquide sur les phalanges de sa main droite, étalant grossièrement l'ensemble. 

Prenant appuie sur son bras gauche, il fraie un chemin à sa main dégoulinante, semant un peu de lubrifiant sur son ventre le long de son trajet, jusqu'à atteindre à nouveau l'orifice déjà bien excité.
Sans la barrière du latex, et ainsi recouvert du liquide légèrement gluant, le contact léger fait entièrement frissonner Katsuki, alors qu'il promène d'abord la pulpe de ses doigts sur les contours avant d'amorcer une première intrusion.  

Sentant son index passer la barrière de son sphincter, Katsuki contracte instinctivement ses muscles, resserrant, sans vraiment le vouloir, l'ouverture autour du doigt aventurier. 
Patiemment, Izuku s'interrompt dans son geste, gardant son regard bien ancré dans le sien en lui intimant de respirer tranquillement. 

Son doigt ne lui fait pas mal, mais une légère sensation d'inconfort lui fait froncer les sourcils, alors qu'il s'efforce de détendre les muscles qui tiennent en captivité la main de Deku. 
Inspirant aussi calmement que sa poitrine brûlante le lui permet, il lui faut faire un réel effort de concentration pour se décrisper. 
S'habituant progressivement à ce début de présence à l'intérieur de lui, il incline vaguement le menton après une petite minute pour donner le feu vert à son amoureux, qui s'enfonce alors davantage. 

Sans forcer le passage, laissant le temps à ses parois internes de s'accommoder, Izuku introduit graduellement ses phalanges jusqu'à buter sur la base de sa main. 
Puis, une fois les présentations faites, il s'autorise plusieurs aller retour délicats, déplaçant lentement son index.  

Pour être honnête, Katsuki ne peut pas tout de suite dire que ça lui fait du bien. 
A vrai dire, c'est même un peu désagréable sur le moment. 
Il ressent les mouvement à l'intérieur de lui, mais le plaisir ne s'active pas tout de suite, le laissant perplexe pendant une ou deux minutes. 
Mais, au fil des caresses sur les parois internes de sa muqueuse, un premier frémissement apparait. 
D'abord discret, puis un peu plus franc à mesure qu'il s'acclimate à cette nouvelle expérience. 

Gardant son attention rivée sur les traits concentrés de Deku, il plisse les paupières quand un deuxième doigt glisse à l'intérieur de lui. 
Un nouveau frisson agréable le parcourt, rependant une onde enivrante le long de son dos, et il expire lentement tout l'air de ses poumons par la bouche. 

Plongés dans son rectum, les intrus bienvenus bouge prudemment, se courbant légèrement pour faire pression sur des zones plus sensibles encore. 
Et Katsuki, recevant une décharge à travers l'échine bloque sa respiration en ouvrant la bouche, se retenant de trembler alors qu'Izuku lui sourit avec une pointe d'impertinence, semblant savoir parfaitement ce qu'il fait. 

- T'aimes ? 

Récupérant son souffle étouffé, il avale sa salive en battant des paupières. 

- Ouais. 

Bougeant davantage dans l'étreinte de l'orifice, la pulpe de ses doigts se frotte à quelques terminaisons nerveuses réceptives, secouant un peu plus son corps. 

- T'es pas obligé hein, y'a des gens qu'aiment pas ça. 

Il aurait dû se douter qu'il y avait un piège là dessous mais, privé de sa capacité de réflexion et d'analyse, il répond sans calculer ses propres mots. 

- Non, c'est bon. J'aime ça. 

Et puis, réalisant après coup, il roule des yeux alors que Deku, absolument fier d'avoir réussi à lui faire dire ce qu'il voulait entendre, rit doucement entre ses lèvres en ajoutant un troisième doigt aux deux premiers déjà présents. 

Katsuki admet sa défaite sur ce coup-là. 

Enfin, une fois toutes les phalanges insérées et l'orifice suffisamment décontracté, Izuku accélère les mouvements, butant plus fortement la base de sa main à chaque nouvel élan. 

Appréciant de plus en plus les plaisirs inédits de la pénétration, Katsuki ferme ses yeux, mettant fin au contact visuel avec Izuku, alors que des vagues de sensations brûlantes agitent son rythme cardiaque. 
Le cœur battant dans les tempes, et se sentant toujours plus excité que la seconde précédente, il s'autorise quelques gémissements sauvages entre deux inspirations incertaines. 

Et puis, brusquement, le jeu s'arrête, figeant les trois doigts entre les parois, avant qu'Izuku ne les retire lentement et complètement. 
A nouveau, profitant de cette entracte, il se penche au-dessus de lui pour l'embrasser, invitant sa langue à toucher la sienne pour quelques caresses mouillées avant de s'éloigner à nouveau. 

- Kacchan ? 

- Mh ? 

Tendant une nouvelle fois son bras pour, ce coup-ci, atteindre la boite de préservatifs, Izuku sourit en coin en fouillant à l'intérieur. 

- Je t'aime. T'es beau quand tu gémis. 

Roulant des yeux, il claque sa langue à son palais, se sentant peut-être un peu rougir malgré lui. 

- T'es con. 

Ravi de l'effet qu'il a sur lui, Izuku n'en finit plus de sourire pendant qu'il déchire l'emballage pour en sortir la protection roulée sur elle-même. 
Puis, après l'avoir correctement mise en place sur sa propre érection et badigeonnée d'une couche supplémentaire de lubrifiant, il s'éclaircit la voix en caressant distraitement le torse de Katsuki. 

- Recule toi. 

Détachant ses chevilles de son dos, Katsuki fait glisser son dos sur le matelas, trainant son corps pour replacer ses jambes sur les draps et s'allonger entièrement. 

Réunissant les deux oreillers, Izuku l'invite à relever son bassin pour les tasser en dessous, réhaussant ses hanches de plusieurs dizaines de centimètres. 
Se postant entre ses jambes ouvertes, s'installant à genoux, il glisse ses mains sous ses cuisses pour les soulever, ouvrant plus largement la voix vers sa cible. 

Laissant d'abord le temps à Katsuki de bouger un peu son dos pour ajuster sa posture, il lâche ensuite temporairement sa jambe droite pour guider sa propre verge vers l'entrée, amorçant un premier mouvement de ses reins pour pénétrer à l'intérieur.
Progressivement, pour ne pas précipiter les choses et risquer de lui faire mal, il s'immisce lentement, tout en surveillant ses réactions à travers les mimiques de son visage. 

S'accrochant aux draps, crispant ses doigts dans le tissu pour se rassurer lui-même, Katsuki bloque sa respiration en serrant les dents, sentant la présence bien plus imposante que celle de ses doigts le remplir petit à petit. 
Puis, quand le bassin de Deku bute contre lui, il s'autorise à souffler lentement, prenant alors le temps de jauger les sensations. 
La pression exercée par l'intérieur semble peser sur ses reins et, comme tout à l'heure, il lui faut un moment d'adaptation avant d'apprécier. 

Mais, comme tout à l'heure également, les frissons ressurgissent après une petite minute, alors qu'Izuku, toujours comme tout à l'heure, attend son accord pour commencer à se mouvoir. 
Puis, balançant doucement ses hanches sans faire de mouvements trop amples, Deku laisse s'échapper un soupire bruyant, trouvant visiblement l'intérieur de son amant tout à fait à son goût. 

Et, quand la pénétration devient véritablement agréable pour Katsuki, il plisse le front et ouvre la bouche, déformant les lignes de son visage en faisant siffler l'air dans sa gorge à chaque nouvelle impulsion. 
Sentant que les sensations le submergent, explosant dans son ventre comme autant de décharges électriques, il tend le bras pour masturber sa propre érection en même temps. 

Encerclé par le plaisir qu'Izuku lui donne et celui qu'il se procure lui-même, sa notion de l'espace se dissipe, l'enveloppant dans un brouillard invisible, et sa tête commence doucement à tourner. 
Inconscient du temps qui s'écoule, il grogne dans sa propre bouche à chaque fois que Deku bute pile au bon endroit, secouant ses côtes et ses épaules de tremblements incontrôlés. 
Perdu quelque part dans un état d'euphorie qu'il n'essaie plus de dissimuler, il continue de se toucher sans délicatesse jusqu'à se sentir jouir sur son ventre. 

Le corps toujours agité par les heurts du bassin d'Izuku contre son fessier, il se laisse dévorer par les déflagrations d'extase qui convulsent ses muscles. 
Perdant complètement le fil de sa propre existence, il n'entend plus ni son cœur ni ses propres pensées quand une charge violente d'émotions et de sensations en fusions lui agrippe les entrailles. 

Soudain, les deux-cent six os de son corps vibrent en même temps.
A travers le bourdonnement de ses tympans, il perçoit le gémissement long de Deku, qui s'affaisse au-dessus de lui en plantant ses ongles dans ses cuisses alors qu'il vient, semble t-il, d'éjaculer dans le préservatif. 

Un vertige à travers le crâne, sentant les murs lui tourner autour, Katsuki inspire plus d'air que ses poumons ne peuvent en recevoir, soulevant sa poitrine au-delà de l'élasticité de ses muscles.

Juste avant d'entrer dans un état de semi narcose, vaincu par le flux soudain d'endorphine à travers ses veines. 

___________________________

 Coucou !! 

Ce chapitre m'a littéralement lessivé. 

Mais c'était cool de l'écrire 😁

Pour la petite histoire ( c'est l'heure de raconter ma vie ), mon chéri n'est pas là en ce moment. 
Il a encore des rendez vous à la clinique du côté de chez ses parents donc il est là bas pour environ une semaine. 
Je suis toute seule à la maison du coup. 

Ma maison est mitoyenne sur un mur, et il s'avère que mon voisin d'à côté est un peu dérangé comme type, des fois je l'entends gueuler tout seul chez lui. 
Et des fois, la nuit, il déplace ses meubles. 
Pendant des heures. 

Comme cette nuit justement. En général ça me dérange pas plus que ça, mais comme je suis toute seule en ce moment, le moindre bruit à tendance à me faire psychoter. 
Du coup j'ai pas réussi à dormir cette nuit, et j'ai écris jusqu'à 7h du matin 😱

Ce chapitre est super long, pourtant quand je l'ai commencé, j'avais peur de pas réussir à faire les 3500 mots minimum que je m'impose. 
Finalement on est à un peu plus 5800 mots, faut croire que je suis aussi douée pour estimer la longueur de mes chapitres que pour en calculer le nombre 😅

En général, j'aime pas trop faire des chapitres beaucoup plus long ou beaucoup plus court, pour garder quelque chose de régulier, mais je n'avais pas non plus assez pour le couper en deux et je ne voulais pas terminer le lemon en milieu de chapitre puis embrayer sur autre chose. 
Donc exceptionnellement, ce chapitre est très long. 

En tout cas, j'espère qu'il vous a plu, c'est le plus important. 🥰

Je vous fais plein de bisous d'amour 😘

Prenez soin de vous ❤




( Je pense que je prendrai le temps de vous reparler un peu de QASM à la sortie du prochain chapitre ) 






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