Chapitre 1 ( nouvelle version )
Voici la mise à jour de la nouvelle version !
Petits visuels de l'ambiance et personnages ( Jaylen & Engy et les jumeaux Jonas & Joshua ) et plus bas, le chapitre 1 👇
Chapitre 1
🔞
JAYLEN
Assis dans ma Challenger noire, je suis garé dans le parking désert d'un motel miteux. Il est minuit passé. L'enseigne lumineuse, dans la porte à double vitrage de l'établissement, clignote, indiquant qu'il est fermé pour cause de rénovations. C'est plutôt parce que les chambres sont infestées de rats, de vermines et que l'eau fuit par le toit. La piscine sur le côté est vide et lugubre. C'est le genre de motel parfait pour tourner un film d'horreur. Si je suis là, c'est parce que j'attends quelqu'un. D'après les infos que j'ai obtenues, c'est approximativement l'heure où une certaine Madyson Johns finit de faire le trottoir. Comme elle vit dans la rue, elle a réussi à se trouver un refuge en passant par une vitre brisée de ce motel pour se droguer et dormir paisiblement.
Je tire sur ma clope, laissant la fumée s'échapper par ma fenêtre ouverte tout en étant attentif au son des talons que j'entends au loin. D'après Jonas, mon frère, elle a environ dix-huit ans. Il m'a rapporté que Madyson se cache tapie dans l'ombre de la ruelle du Red Holder, un bar, presque tous les soirs dans l'espoir de me croiser. Le Red appartient au réseau auquel je suis lié, et apparemment, elle connaît ma notoriété et cherche désespérément à fréquenter un criminel.
C'est une gamine obsédée et envahissante.
Madyson épie le moindre de mes faits et gestes. Acharnée, elle a fini par trouver mon adresse. Depuis quelques jours, je reçois du courrier où elle me déclare sa flamme et tout ce qu'elle a envie de me faire sexuellement. Dans ses lettres, j'ai également découvert des clichés d'elle, nue, alors qu'elle était assise sur le siège passager de ma caisse. Ce qui veut dire qu'elle est entrée dans ma voiture, à mon insu. Sa fixation serait causée par sa tante qui l'a élevée. Elle est escorte pour le réseau et a expliqué à sa nièce que pour sortir de la rue, elle devait flirter avec un homme puissant, riche et protecteur. Elle lui aurait soufflé mon nom... disant à sa nièce que j'étais libre.
Madyson a tenté d'entrer par effraction dans ma maison et avant qu'elle n'y parvienne, Jonas était présent et l'a fait fuir.
Le fait qu'elle soit obsédée au point d'envahir ma vie privée au risque de découvrir mes secrets macabres qui ne doivent jamais être dévoilés, est un problème que je dois régler. C'est pourquoi je suis là, à l'attendre...
Elle veut mon attention, elle l'a gagnée...
La belle rousse sort de l'ombre. Longeant le trottoir en direction du motel, elle stoppe net lorsqu'elle aperçoit ma Challenger noire au halo rouge. La fille porte un t-shirt blanc et une jupe noire.
Elle reste figée. Je peux sentir son corps se raidir et frissonner, même à cette distance. Elle peine à y croire.
Lentement, Madyson commence à marcher vers ma bagnole.
Je jette ma cigarette, attends patiemment que la fille se rapproche de ma fenêtre ouverte.
Ses longs cheveux roux forment une longue tresse qui tombe sur l'une de ses épaules. Ses formes sont généreuses pour son âge et ses seins voluptueux explosent sous son haut.
Dès qu'elle confirme que c'est moi, une nervosité naît. La nana devient timide, mais entame la conversation :
— Jaylen ? Je... je suis contente de te voir enfin... T'as reçu mes lettres ? Mes... photos ?
Je hoche la tête tout en lui offrant un regard sombre, qui semble l'exciter. Elle s'imagine que je la dévore des yeux, ce qui lui offre une chance de me séduire.
Je lui fais un signe très bref qui l'invite à se glisser sur le siège passager.
Madyson n'attend pas plus longtemps. Elle contourne la voiture, ouvre la portière et pose ses fesses sur le siège chauffant en cuir.
Dans ses yeux brûle une lueur de désir qu'elle rêve d'assouvir. Mais le stress de me voir si près la tétanise.
Une chanson passe à la radio. Même si le volume est bas, j'entends un morceau BB Cooper, Anywhere You Want.
— Euh... commence-t-elle, la voix chevrotante. Jonas t'a parlé de moi ?
— À ce qui paraît... tu m'aimes bien ?
— C'est ça... j'ai... En fait, pour tout te dire, un soir, alors que j'étais au coin d'une rue avec ma tante, je t'ai vu sortir du bar, le Red Holder. J'ai... j'ai eu le coup de foudre. J'ai craqué pour toi. Ma tante m'a dit comment tu t'appelais et qui tu étais. Depuis ce moment, je suis retournée près du bar dans l'espoir de te revoir.
— Et... elle t'a dit quoi sur moi, ta tante ?
Madyson serre les cuisses, alors que je sais que l'excitation se déverse entre ses jambes.
— Que... ton nom fait trembler tous les membres du réseau criminel. Que... t'es riche, que... t'as pas de copine. C'est tout ce que je sais.
— Je sens que tu aimerais en savoir plus sur moi...
Ses joues rougissent et elle me sourit timidement.
— Oui... je désire être à toi. C'est comme ça que ça fonctionne dans le réseau. On m'a dit qu'un membre peut revendiquer une fille. Je suis prête à... tout.
— Tu joues à un jeu dangereux, Madyson Johns. Si mon frère Jonas ne t'avait pas empêchée d'entrer par effraction chez moi pour fouiller dans mes affaires, tu serais peut-être tombée sur des choses qui t'auraient effrayée. Je suis peut-être un tueur en série qui découpe les gens dans sa cave et met les morceaux dans des sacs poubelle. Et là ensuite, témoin de ma vie privée, tu te serais enfuie, mais je suis doué pour la traque ; je t'aurais retrouvée, enlevée, séquestrée, violée et tuée...
Elle lâche un petit rire niais.
— T'as un humour tordu. Ça me plaît. Mais c'est vrai pour une chose, tu es doué pour la traque. Personne ne sait que je viens ici à par ma tante. Attends, t'as discuté avec ma tante ?
Son sourire grandit.
— Non.
Son sourire s'estompe.
— Comment tu m'as trouvée ?
— C'est mon boulot d'épier mes victimes et de les tuer.
À cet instant, je verrouille les portes. Le système pour qu'elle déverrouille la sienne a été retiré.
Sur le coup, elle observe sa portière avec un léger stress. Puis, elle tourne légèrement la tête vers moi.
— Si tu ne me laisses pas partir, ça veut dire que... tu me veux, Jaylen ?
Mon regard est sinistre.
— T'as pas idée.
Elle croit toujours que je joue un jeu et ça l'excite.
— Alors... Madyson Johns... si tu veux être à moi, fais-moi toutes ces choses dont tu m'as parlé dans tes lettres.
Elle obéit tel un ordre et c'est hâtivement qu'elle faufile ses mains sous sa jupe pour retirer sa culotte. Je recule mon siège, juste assez pour qu'elle grimpe de mon côté et me chevauche. C'est avec empressement qu'elle retire son t-shirt, me dévoilant son soutien-gorge en dentelle noire que je dégrafe dans son dos. Ses énormes seins s'exposent contre mon visage. Madyson s'empresse d'ouvrir ma braguette et de sortir ma queue. Elle frémit dès qu'elle voit mon érection et gémit dès qu'elle la touche. Je lui file un préservatif. Elle déchire l'enveloppe avec ses dents et c'est avec hâte qu'elle déroule la capote contre ma verge. Comme si cette baise allait lui offrir un avenir meilleur, Madyson enfourche ma bite et, sans attendre, elle fait bondir ses fesses avec violence. Une de ses mains serre ma nuque, l'autre caresse son clitoris.
Elle espère vraiment qu'après avoir eu un rapport sexuel avec moi, une relation va naître entre nous.
La fille est tellement mouillée entre les cuisses qu'on dirait qu'elle m'a uriné dessus.
J'observe les expressions de son visage tout en restant stoïque et froid. Ma mâchoire tique. Mon regard s'assombrit.
Elle prend son pied, fière de voir à quel point ma queue bande pour elle.
Mais la vérité est tout autre... Je ne bande pas pour ses formes ou ses va-et-vient qui astiquent ma verge.
Non.
Je bande, car je fantasme à l'idée de la faire saigner. J'obtiens le plaisir ultime et une gratification sexuelle seulement par la vue du sang ou lorsque je tue. C'est pour ça que je l'ai trouvée : pour l'empêcher de rôder autour de moi et de ma vie.
Ma main droite saisit sa gorge et Madyson renverse la tête vers l'arrière en frémissant de tout son être.
Je serre.
Je serre un peu plus.
Je serre dangereusement.
Elle commence à manquer de souffle ; ses mains s'agrippent à mon bras, suppliant brusquement d'y aller plus doucement.
Sa gorge émet des sons d'étranglement divins qui font pulser mon manche qui se tient au chaud dans sa chair humide.
En détresse respiratoire, Madyson opte à présent pour se débattre, voyant que mon geste n'a rien de sexuel, mais tout d'un futur homicide. Ses mains me frappent, mais je ne sens pas la douleur. Son coude cogne le klaxon plusieurs fois. Elle se trémousse, voulant s'échapper. Plus elle remue du bassin alors que je la pénètre toujours, plus son vagin me masturbe.
Mon plaisir se décuple en la voyant se battre pour sa vie. Sachant qu'elle va bientôt perdre connaissance, elle redonne plusieurs coups de coude contre le klaxon, espérant attirer l'attention de quelqu'un.
Dans le creux de ma portière se trouve un couteau que j'ai placé là.
— Toujours se méfier d'un Jann et ne jamais tomber sous son charme... Madyson Johns. Tout le monde sait ça. Faut croire que ta tante a omis ce détail...
J'arrête de l'étrangler. Un filet de bave coule sur son menton. Ses yeux sont injectés de sang et sa tête vacille. Je plante la lame sous le menton de la demoiselle, ce qui embroche ses mâchoires ensemble. Un sang opaque commence à se déverser dans sa bouche. Un magnifique liquide carmin coulant de ses lèvres que j'embrasse avec délicatesse.
Les yeux de Madyson me contemplent avec stupeur et frayeur.
Au moment de retirer très lentement la lame enfoncée dans son menton et sa bouche, un flot de sang plus important afflue, et cette fois s'épanche sur moi. C'est seulement à la vue de toute cette hémoglobine que l'orgasme embrase mon sexe et que je décharge dans le préservatif. Ma queue pulse au rythme de mon éjaculation. J'exhale un soupir de jouissance alors que Madyson lutte pour sa vie. Voulant plus de sang, je lacère monstrueusement sa carotide.
Sa gorge me crache du sang au visage, un fluide divin et chaud duquel je me délecte.
Au moment de rendre l'âme, son corps devient flasque, lourd et tombe sur moi.
J'ai littéralement pris une douche de sang. Il y en a partout sur mon visage, sur moi, dans la voiture. Même dans ma fenêtre, sa main en a étendu partout.
J'ouvre ma portière et fais tomber Madyson contre l'asphalte du parking. Sortant du véhicule à mon tour, j'inspecte un peu les lieux. C'est toujours aussi désert. Je retire mon t-shirt noir pour essuyer mon visage, mes avant-bras et mes mains, sans parvenir à tout enlever. En passant une main dans mes cheveux noir ébène, je sens qu'ils sont souillés. Je finis par retirer le préservatif sur ma queue encore bandée. Je range ensuite mon érection, ce qui laisse une énorme bosse tendue qui bute contre ma ceinture.
Je fourre ma capote remplie de sperme dans ma poche pour ne laisser aucun ADN, puis j'ouvre mon coffre et jette mon vêtement dedans. C'est le torse nu, les muscles saillants et les bras toujours tachés de sang que j'attrape les poignets de Madyson pour ensuite la soulever et la balancer dans le coffre.
J'y avais déjà posé une bâche noire, prête à accueillir et envelopper cette gamine obsédée.
Je coupe du scotch avec mes dents. J'enroule le ruban pour sangler le cadavre de façon à ce qu'il reste bien emmailloté et caché dans le plastique.
Dès que c'est fait, je reprends la route.
+ + +
En arrivant chez moi, dans cette banlieue barbante, je gare ma Challenger dans l'allée. Les maisons ici sont les unes à côté des autres, ça ressemble à un quartier pour familles friquées.
La vieille dame à qui appartenait la maison où je vis a été enterrée dans la cour arrière.
Depuis qu'on s'est installés, les voisins ne nous prêtent même pas attention. Le jour, mon père, mes frères et moi, on n'est presque jamais là. Avec notre mode de vie qui prône les activités nocturnes, on ne croise personne dans ce quartier paisible où aucun résident ne pourrait imaginer ce qui s'y cache...
Je sors Madyson de mon coffre et, après avoir vérifié qu'il n'y a aucun voisin réveillé, je trimbale le corps jusqu'à l'intérieur de la maison. Je l'installe confortablement à la cave : m'enfin, je donne plutôt un coup de pied contre ma victime pour qu'elle déboule jusqu'en bas. Je m'en occuperai plus tard. Je saute rapidement sous la douche pour nettoyer tout le sang et dès que je termine, je m'assois sur la première marche de mon porche dehors, en boxer, pour fumer une clope.
C'est à ce moment que mes yeux repèrent de la lumière en face, provenant de la fenêtre de la chambre de ma voisine.
Engy Sinclair.
Une jeune femme à la beauté dangereusement envoûtante.
Toutes les nuits, elle se réveille et va à la fenêtre. Parfois, c'est le son du moteur de ma caisse qui la dérange ; d'autres fois, j'ai juste l'impression qu'elle soupçonne les activités nocturnes de son nouveau voisin mystérieux. Souvent, au crépuscule, je sors et m'installe ici, attendant de la voir à la fenêtre.
Je parie qu'elle aime ce qu'elle voit. Un voisin canon et bien foutu.
Je coince ma clope à la commissure de mes lèvres et lui fais un signe de la main pour la saluer d'un air enjôleur. Immédiatement, elle ferme ses rideaux. Peut-être que je lui fais peur.
J'esquisse un sourire malicieux...
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