Deux mois se sont écoulés depuis que l'on a récupéré l'entreprise. Claus a réussi en un claquement de doigt à restaurer le nom de ses différents buildings aux yeux de tous.

Nous vivons en ce moment dans le calme, aucun danger obscure a frappé à notre porte durant ces deux derniers mois. Mais depuis l'incident Lena ou plutôt Melia il a renforcé la sécurité de la maison.

Une série d'alarme ont été installés partout même dans la chambre des enfants. Toutes les alarmes sont reliées à une seule centrale et cela veut dire que si l'une d'entre elle s'actionne la maison entière sera plongée dans une symphonie de tohu-bohu. Quand je lui demande à quoi rime toutes cette attention il m'a rappelé les paroles de Melia.

Je soupirs un grand coup avant de me souvenir des mots de cette jeune fille. Elle avait dit que l'on l'avait engagé et que si elle ne mène pas à bien sa mission elle mourait Dans leurs bras.

Depuis qu'il m'a prononcé cette phrase je me sens tourmenté et apeuré. Aujourd'hui on est peut-être tranquille chez nous à rire avec nos progénitures, mais on vit dans l'angoisse que ces fameuses " ELLES " se présente à nous.

"Tes ennemis sont plus proches de toi, tu devrais rester sur ta garde dans l'avenir " Deux mois maintenant que je me demande ce que cette phrase signifie sans avoir de réponse.

- À quoi est-ce que tu penses ?

Je sursaute en sentant les bras de Claus encerclé mes hanches. Laissant ma tête tombée contre son torse je reprends mes esprits.

- Oh rien de bien intéressant.

- Si cela n'a aucun n'intérêt comme tu le prétends que fait tu donc plongés dans tes pensées, alors que moi et les enfants t'appellont pour nous rejoindre sur le tapis de jeux.

- Désolé je réfléchis un peu sur tout ce qui nous est arrivé il y a de ça deux mois. Les paroles de cette fille me hante depuis que je me suis souvenu de tous les détailles de cette fameuse soirée.

- Je t'ai pourtant demandé de ne pas t'inquiéter. Vous êtes en sécurité toi et les enfants en plus un ami d'Arthur qui est détective privé se charge de trouver ces fameuses "ELLES" avec le peu de documents que j'ai récupéré dans les effets personnels de notre fameuse Lena.

- Non et non. M'amodest-il en posant son index sur mes lèvres. Je ne veux rien entendre, tu dois jouir de notre petite bulle de bonheur. Car même si nous sommes hantés de cauchemar il suffit qu'un de nos enfants apparaissent tel un ange pour illuminer les profondeurs de nos pensées lugubres. Maintenant tu viens jouer ?!

Soufflant, je capitule et le suis jusqu'au tapis ou les quadruplé sont couchés et Gigi quant à elle fait un salon de thé avec ces peluches. Je suis amoureuse de mes enfants et cela tout le monde le sais.

J'embrasse Claus et le laisse un instant avec mes bébés afin d'aller me rafraîchir.

Une fois dans notre chambre devant le grand miroir j'admire les traits de mon visage. Le temps file je prends de l'âge, j'ai changé d'une manière positive.

Je ne suis plus cette fille qui pleurniche pour tout et rien. Les épreuves de notre relation me poussent à être une nouvelle personne. Grâce aux différents problèmes qui se sont présentés à nous je peux conseiller avec connaissance de cause toutes les personnes qui traversent des moments difficiles dans leurs couples.

Claus est un belle homme intelligent qui suscite de l'admiration de la part des autres filles, mais il réussit à toujours me prouver que je suis là seule qui fait chavirer son coeur.

Mon père me disait si un homme n'est pas capable d'être pour toi une épaule solide sur laquelle tu t'appuis afin d'évoluer ce n'est pas la peine de me le présenter, car pour rien au monde je te jetterais dans une relation malheureuse et sans avenir.

Aujourd'hui en voyant tout ce que j'ai construit de là où il est je suis sûr qu'il est fière de moi parce que j'ai donné le meilleur de moi pour construire mon nid douillet. J'ai suivi l'exemple de mon père qui a toujours su défendre bec et ongles les valeurs d'un vrai coup de foudre.

Je peux avoir peur, mais en voyant Claus je me dis tout peut-être régler il suffit qu'on soit toujours ensemble quoi qu'il arrive.

Prise par ma douleur je sors de notre salle de bain et part chercher dans un de mes tiroirs les photos de Pruska et de mes parents.

Posé sur le lit je souris en voyant leurs visages rayonnant de gaieté. Je sais que papa a fait la connaissance de mon ami la haut et qu'il la pris sous son ail.

Ma vie est faite ainsi j'ai des obstacles à chaque niveau, mais ce n'est pas parce qu'ils sont difficiles que je ne dois pas essayer de les bravés. Ici bas nous sommes des combattants nous nous battons aujourd'hui, mais on sait tous qu'un jour on ira se reposer dans notre tombe. On retrouvera nos amies et parents morts pour une nouvelle expérience.

Une larme solitaire roule sur ma joue, en me poussant à fermer les yeux. Je rejette ma tête en arrière et la laisse rencontrer le dossier du lit. J'ai cinq enfants pour qui je ferais absolument tout et selon moi c'est le plus important. Quel que soit le problème ou les difficultés je dois les protéger.

Chaque matin, je cours comme une folle dans leur chambre pour m'assurer qu'ils vont bien. " ELLES " je ne les connais pas vue la haine qu'elles ont contre nous on ne peut se permettre de baisser notre garde. Je ne serais jamais tranquille si elles sont toujours dans la nature. Le jour qu'on me dira qu'elles ont été appréhendées, je serais la femme la plus heureuse, car cela voudrait dire que plus rien n'entravera la tranquillité de mon couple.

Selon Henri Jeanson " Nous n'avons qu'une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté..." et c'est vrai dans mon cas. C'est notre guerre pour le bonheur et le futur de toute une génération. Je ne veux absolument pas que mes enfants grandissent dans la crainte d'être en danger.

Je veux qu'ils vivent pleinement leurs vies sans avoir peur qu'un jour quelqu'un veuille leur faire du mal.

Gigi ne se souviendra peut-être pas de son enlèvement et je dirais tant mieux.

Je ne tiens pas à ce qu'elle garde des séquelles de cette mauvaise expérience.

Lorsqu'on annonce aux infos l'enlèvement d'un enfant tu ne comprends pas la douleur de la famille jusqu'à ce que ça t'arrive. C'est facile d'avoir de la compassion pour autrui, mais difficile à en avoir pour soi-même.

- Alex qu'est-ce tu fais ici toute seule ?

J'ouvre les yeux, essuie le flux de larme qui envahit mon visage et d'un bond je cours me réfugier dans les bras chaleureux de mon homme.

- Qu'est-ce qui te tracasse my lady ? J'ai laissé les enfants avec Julia et Caled on peut parler tranquillement.

La tête nichée dans son cou j'hume son parfum en laissant son côté sauvage enivrer mon être.

Dans ses bras j'oubliais toutes les pensées qui m'ont envahi et profite de cet instant de répit.

Claus attrape ma queue de cheval et me pousse à le regarder. Front contre front, nos respirations s'emmêlent en frappant nos visages.

Dans un soupir il pose ses lèvres contre les miennes avec voracité. Le temps a décidé de s'arrêter là et nous observer jouir de notre bulle d'amour. Le souffle chaud et entrecoupé nous ne nous lâchons pas. Il me soulève de terre et marche à l'aveugle jusqu'à notre lit.

Je peux sentir son membre grossi contre ma partie intime et cela me pousse à bout. Les lèvres toujours emprisonnées par les siennes je me déhanche sous lui pour qu'il sente à quelle point je suis sous son emprise. Rien ne peut me sépare de lui en cet instant, j'ai envie de le sentir en moi et oublié tous les problèmes qui nous tombent dessus à chaque fois que l'on se dit que tout va bien.

Essoufflé il met fin à notre baiser, en me posant des suçons dans le cou. Je laisse des gémissements de bien être m'échappé en lui caressant la chevelure.

Les jambes enroulées autour de lui je me contente de me déhancher et de m'enivrer de ses grognements. Dans une sauvagerie il tire sur les fins bras de ma robe et libère mes seins de mon soutien gorge.

Un rictus de satisfaction prend place sur ses lèvres avant qu'il ne prenne un téton en bouche et le lèche inlassablement. Claus taquinait à sa guise chacune de mes pointes de seins me faisant gémir en rejetant la tête en arrière pour mieux m'offrir à lui.

Il est dans son art. Il aime prendre son temps pour me bousiller les neurones avant de me donner ce que je désire. Prise par un zèle je pose les mains contre son torse et le pousse sur le côté en laissant un sillon de baiser dans son cou.

Je me retrouve au-dessus de lui, alors il retire son tee-shirt pour le lancer dans la chambre tout comme ma robe. Sourire au coin de la bouche je pose mes lèvres contre la pointe de ses tétons pour lui infliger la même torture qu'il m'a administrée. Lorsque je l'effleure de ma main, il laisse un sifflement d'admiration lui échapper en caressant ma chevelure.

- Tu deviens de plus en plus sauvage tu le sais ça ?

- Oh et dit-moi cela ne te ravit pas ? susurré-je en descendant pas à pas vers le bas.

- J'aime bien cette fille audacieuse elle me donne ce que d'autres ne m'ont jamais offert.

Après cette phrase je ne pouvais plus tenir. Je tire sur le bas de son survet pour libérer l'objet de mes envies sous son regard étincelant. J'effleure avec délicatesse l'élastique de son boxeur calvine avant de le baisser, Claus me devance en se mettant sur pied pour se mettre nuesous mes yeux.

Lorsqu'il essaie de revenir au lit je l'en empêche en prenant place sur les bordures. Le visage à la hauteur de son sexe je lui lance un regard coquin avant de le prendre en main. J'allais au rythme de ses grognements qui m'encouragent à donner le meilleur de moi. Je m'applique pour lui rendre la monnaie de sa pièce.

Doucement j'allais et venais sur son membre faisant quelque gorge profonde alors qu'il passe une main dans ma chevelure pour me donner sa cadence. Désobéissante je résiste à ses consignes en évitant d'effectuer les mouvements qu'il m'incite à faire. Dans un cri bestial il se déverse en moi, je me tiens à ses cuisses pour ne pas perdre le peu de force qu'il me reste.

Une fois libéré je lui lance un regard envieux en me mordant la lèvre inférieurs. J'ai réveillé en lui son esprit sauvage et je l'ai su dès l'instant où il c'est jeté sur moi en me bouffant les lèvres. Je me dandine sous lui afin d'avoir plus qu'un baiser. Je veux le sentir au sein de ma moiteur. Je veux qu'il possède tous mes sens en me portant au septième ciel avec lui.

Il prend mes mains et les bloques au-dessus de ma tête en continuant de me bécoter. J'ai les sens en allaites nous sommes tous les deux coincés dans notre bulle sans jamais regarder la réalité en face. D'un geste provoquant il frôle mon jardin de son membre ce mouvement me pousse à laisser une plainte qui s'étouffe dans notre baisers.

Alors qu'il se prépare à me pénétrer le téléphone fixe se met à sonner dans la chambre. Je ne voulais pas gâcher notre moment donc on faisait semblant de ne pas entendre la sonnerie jusqu'à ce qu'un message fasse écho dans notre chambre.

Les yeux grandement ouvert, je viens d'avoir une douche froide, après les quelques paroles de Caled. Claus se retire de mon corps et met ses vêtements en vitesse avant de me jeter ma petite robe pour que je fasse de même. Mais le problème est que je n'arrive pas à bouger du lit. Je me demande comment était-ce possible qu'elle soit en vie ? Pourquoi Caled à dit ses mots ? Ce n'est pas possible elle est morte je l'ai enterrée il y a de cela deux ans...

- Alex ma chérie met ta robe et descendons voir ce qui se passe !

- Non ! Non ! Ce n'est pas possible Claus j'ai enterrée cette femme il y a très longtemps. Cette inconnue qui est...

- On descend Alex, nous devons voir de quoi il s'agit !

Pétrifié je refuse de bouger. Dans un soupir il se permet de me vêtir en me mettant sur pied, malgré les nombreux coup que je lui ai infligée en refusant de descendre.

Les mains posées sur mes épaules il m'oblige à le regarder alors que j'ai perdue le file de la réalité. Peut-être que je rêve ou c'est un cauchemar et que je me réveillerais à tout moment.

Je pince mon avant bras dans la précipitation pour me sortir de cette situation, mais rien affaires je suis encore paralysé devant le regard choqué de Claus.

- On y va et si jamais ce n'est pas elle je comprendrais. Tu dois avoir la conscience tranquille Alex, on va juste vérifier si ce n'est pas une blague de mauvais goût d'accord.

Prise de panique je pousse Claus et cours jusqu'à notre entré pour voir de mes propres yeux la personne qui s'y trouve. Mon homme m'appelle en me courant après, mais je ne veux rien écouter tout ce que je veux c'est de savoir à tout pris qui est cette femme qui perturbe ma tranquillité.

Quand la pointe de mes pieds touche la dernière marche des escaliers je tombe nez à nez avec une femme agenouillée tête baissée alors que Caled et deux autres hommes l'ont dans leur ligne de mire.

Sentant une bouffée de chaleur m'étreindre les poumons je l'observe et remarque des gouttes de sang tâcher notre parquet. Elle est vêtu d'un tailleur jupe et d'une chemise crasseuse. Les manches de celle-ci sont trouées de part et d'autre, lui donnant un aire de sauvageonne. Ces cheveux emmêlé sont ornés de feuille sèche comme si elle avait passé son temps à courir entre les branches de la forêt.

- Regarde moi s'il te plait, lâchais-je dans un souffle.

Dans un effort surhumains, elle lève peu à peu son visage. La lumière tamisée du jour nous laisse entrevoir une personne fébrile aux traits cadavéreux. Son front est peint d'une toile sanguinolent dont la blessure a laissé du sang couler et sécher sur le long de sa face.

- C'est bien moi Alexandra, je ne suis pas...

Sans terminer sa phrase elle s'écroule cognant sa tête contre le sol. Je laisse mon corps dépourvu de force fléchit genoux devant elle alors que Claus ordonne à nos hommes de faire venir une ambulance.

Les yeux paralysé sur cette femme que j'ai ensablé, pleurer et promis de venger, je tire sur mes chevaux en me répétant que cela est impossible. Elle ne peut pas être en vie...

THE END

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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍

Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂

Dite moi ce que vous pensez réellement de cette fin ? 😘😘😘😘

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