Chapitre 61
Étalé sur le tapis de jeux des quadruplé tel un mort j'avais tout leurs vêtements déplier qui m'entourent alors qu'eux sont posées dans leurs transat à jouer avec Gigi. Hier après ma nuit d'amour avec Claus il a décidé qu'il était préférable qu'on laisse cette maison afin de pourvoir joindre les deux bouts, et je suis d'accord avec son choix.
Avec nos petits salaires nous ne pouvons pas nous permettre de rester dans une villa qui coûte des millions et s'il réussit à vendre cette maison au plus vite nous pouvons ouvrir une affaire et repartir à zéro en espérant récupérer un jour la Wilson construction. Je sais qu'on peut arriver à nos fins avec de la détermination je l'ai déjà dit à Claus et il le sait très bien. Je refuse de le lâcher alors qu'il a le plus besoin de moi.
Sortant de mes pensées à cause du rire de Gigi je mets les vêtements que je tiens dans les mains dans une valise et ceux qui ne nous servirons pas dans une autre. Je n'ai pas peur de vivre comme une personne normale en me battant pour avoir une miette de pain à table. Si d'autre réussi à vivre ainsi pourquoi pas nous ? Vous direz que notre cas est différent, car on a des quadruplé, mais ce que vous oubliez est que nos enfants ne sont pas un poids, mais plutôt une source d'inspiration qui nous donne la force d'aller de l'avant. Chaque décision que nous prenons est pour assurer qu'il ne manque de rien durant leurs bas âges.
Depuis 8h Claus est aller travailler sans moi il y a trop de choses à faire ici pour que je puisse quitter la maison, je ne pouvais pas laisser Julia et Caled s'occuper du rangement et des enfants à la fois ils ont déjà trop fait pour nous je ne veux pas abuser de leurs gentillesses.
- Alex je t'ai fait un thé.
Julia entre dans la salle de jeux et se pose au sol m'obligeant à tourner la tête dans sa direction pour récupérer la tasse fumante qu'elle agitait avec douceur sous mon nez.
Dans un sourire de tristesse je prends la tasse qu'elle me tendait et boit une gorgée de mon breuvage. Une goutte de ce nectar chaud réussi à apaiser mon esprit qui c'étais enflammer depuis ce matin. Je ferme les yeux pour ressentir chaque délice du thé au citron sur mes papilles gustatives. Je m'évade peu à peu de tout sans jamais quitter la salle. Une voix douce et chaleureuse me fit sortir de ma rêverie en me donnant un sourire au lèvre.
- Tu devrais penser à te reposer ton visage est trop pâle tu risques de tomber malade à ce rythme.
- Je ne peux pas Julia, nous devons quitter cette maison au plus vite...
- Je n'aime pas vous voir si triste, Claus m'a peut-être pardonné pour l'enlèvement de Gigi, mais je n'arrive pas à me faire à l'idée que rien est de ma faute. Si aujourd'hui vous vous trouvez dans une telle situation c'est un peu de ma...
- Eh, ne te met pas dans un état pareil ce n'est pas de ta faute cela aurait pu m'arriver à moi ou à Claus. Le plus important ici est qu'on a pu récupérer notre princesse. Tu m'as été d'une grande aide depuis que je suis dans la Claus zone alors ne te sous-estime pas. Nous avons peut-être perdu des bien matériaux, mais ce que la personne qui a établi les règles a oublié c'est que nous tenons des amies formidables qui nous donnent la force de se battre et je vous en remercie beaucoup.
- La Claus-zone reppette-t-elle en souriant. Tu as réussi à dissoudre cette zone comme du sucre dans un verre d'eau. Il n'est plus pareil qu'avant, depuis que vous êtes ensemble. Tout en lui a changé et aujourd'hui c'est un autre homme qui se bat pour le bien-être de sa famille. Grâce à toi il peut chérie de nouveau le mot famille qui autrefois lui était difficile à prononcer.
Je me mets à rigoler à coeur joie sous le regard attentif de mes enfants. Je ferme les yeux et bois encore une gorgée de mon thé avant de le poser de côté et commencé à trier les vêtements des enfants. Julia prend une des valises qui se trouve près du tiroir, prend place en face de moi et m'aide à son tour.
Je passais tout au peigne fin afin que les enfants aient au moins une quantité raisonnable de vêtements avec une bonne qualité qui peut durer sans se détériorer avec le temps. Je ne me préparais pas seulement pour aujourd'hui, mais aussi pour le futur si cette situation doit durer, je me dois d'être prête.
Les fenêtres ouvertes laissent entré dans la pièce une brise douce qui faisait voler les rideaux violets de la chambre de jeux qui sont aussi éclairées par les rayons de soleil qui pénétrait par la bow-windows.
Un brasier me consommais intérieurement et je le laissais faire, car tout avait changé autour de moi. De plus, rien allait, mais j'avais compris une chose depuis la mort de mes parents et de Pruska... malgré la force de ta douleur tu dois voir en travers et sourire pour quelle baisse sa garde afin qu'elle ne puisse atteindre les battements rythmé de ton coeur.
Je repousse cette voix qui me criait qu'on courait à notre fin. Je ne voulais pas lui donner raison car je sais que Claus et moi on peut y arriver. On a un programme solide, planifié durant cette nuit sous la lumière du croissant de la lune.
Lorsque nous allons travailler les enfants restent chez Julia qui a trouvé un petit appartement il y a un jour. Et Caled qui tient déjà un petit appartement non loin d'elle viendra lui tenir compagnie avec sa fille. Ils m'ont dit ce matin de bonheur qu'on est une équipe et qu'on devrait se serrer les coudes quoiqu'il arrive et cela m'a vraiment touché.
Voir que nos amies nous soutiennent est la plus grande joie qu'on a. Sans eux j'aurais peut-être eu du mal à me relever, mais ils sont restés malgré toutes nos difficultés.
Moi et Claus nous ne voulons pas être de trop sur leurs épaules. Cette histoire a été plus rapide et ravageuse qu'une tornade. Je commence à avoir assez de ces personnes qui veulent nous détruire, c'est tellement étrange que souvent tu as l'impression d'être dans un film a suspens. Mais non c'est ma vie cette catastrophe.
Mon regard attiré pas le dessin animé des enfants me vole un rire joyeux qui emplie la pièce. Marsupilami ; ce dessin animé a bercé plusieurs personnes et continu aujourd'hui, car les quadruplé avait les yeux qui commençaient à s'alourdir. Ils se battaient contre le sommeil.
- Papa, cris Gigi en courant vers l'entrer de la pièce.
Vêtu de sa tenu de travail, un pantalon noir et une chemise dont les manches sont repliés sur ses avant -bras, il ouvre les mains pour accueillir son bébé. Les cheveux en bataille l'air épuisé il embrasse sa fille du regard.
- Ma chérie !
Claus prend son bébé et lui baise le front en venant dans notre direction en dandinant un peu. Il pose Gigi et s'appuie sur la petite commode violette qui se trouve sur son passage. La tête baissée il se masse les tempes de l'autre main en toussotant. Prise de panique je me mets sur pied et accours à lui.
- Qu'est-ce qui t'arrive Claus ?
Je pose une main sur son épaule pour le soutenir en lui caressant le visage. Julia qui m'avait rejointe m'aide à l'envoyer sur le tapis où nous étions posés auparavant afin qu'on l'allonge un peu.
Il part dans un chapelet de toussotement qui faisait croitre en nous l'inquiétude. Je décide de prendre son téléphone et appeler les urgences en faisant les cent pas prêts de lui. " Ce n'est pas le moment de me lâcher Claus" Répétant cette phrase dans mon coeur j'essayais de me calmer afin de pourvoir géré la situation.
Une fois les urgences informées je demandais à Julia de rester près de lui pendant que moi je pars préparer une petite valise. En attendant l'ambulance je devais m'organiser.
Si jamais nous devons faire plus d'un jour à l'hôpital il aura besoin de vêtements de rechange car il déteste les blouse d'hôpital. La tête en feu je courais jusqu'à notre chambre en sautant les marches. Quand il s'agit de la vie de mon homme, de mes enfants ou de mes proches ma vision se brouille et laisse place à une personne courageuse qui peut géré des situations. Je l'ai appris dans ma relation avec le temps, j'ai mûri et j'ai compris que je ne devrait pas toujours m'apitoyer sur mon sort.
Lorsque mes pieds touchent le parquet de notre dressing, je déballe la grande valise que j'avais préalablement préparé pour le déménagement en cherchant des pyjamas, chaussette et autres.
Les mains moites et tremblantes je boucle mon sac à dos en entendant les sirènes d'une ambulance faire intrusion sur notre propriété. Je n'avait pas vu les minutes s'écrouler, trop perdu entre les vêtements et l'état de santé de Claus. Je récupère d'autres choses dans la salle de bain avant de descendre rejoindre tout le monde dans le salon.
Étendu sur un brancard d'hôpital avec un masque d'oxygène alors que deux ambulanciers, main sur la civière le portaient dans leur voiture. J'étais paralysé sur place cherchant à comprendre ce qui est en train de se passer sous mes yeux. Aucune larme ne sortait de mes yeux, car j'étais fatigué de les verser à tout moment seul mon corps affaiblis se laissait aller à la tristesse.
Retrouvant l'usage de mes membres en ne voyant plus Claus, je me mets à courir derrière eux afin de monter dans la voiture, mais une plainte derrière moi me stoppe.
Gigi est étaler au sol en pleurnichant, car elle l'a suivie. Je laisse tomber mon sac à dos et cours jusqu'à ma fille en lorgnant d'un œil l'ambulance qui démarre et s'aventure hors de notre villa. C'est à ce moment-là que les larmes qui refusaient de couler décident de se faire sentir sur mon visage.
Je la prends une fois arrivée à sa hauteur et je la serre très fort dans mes bras pour la calmer. À force de la secouer dans tous les sens en me dandinant sur les pieds pour l'apaiser, encore sous le choc et paniquer une carte s'échappe de la salopette de la peluche de Gigi et vole sous l'effet du vent.
Laissant tombé le nounous je cours vers la carte et l'attrape d'une main. À l'arrière il n'y avait rien d'écrit alors je la retourne et en cet instant là mon sang bouillonne, mon cœur battait la chamade et mes pieds se fragilisent. Mille et une question se bouscule dans mon esprit. La face larmoyante je voulais m'asseoir car mes poumons se compressent de douleur.
-Tata !
Lorsqu'elle prononce en pointant la personne qui se trouve sur la photo , mon corps se connecte à la réalité avec douleur.
J'avais besoin de réfléchir, alors j'avance avec difficulté jusqu'aux marches des escaliers et m'y pose en observant la photo qui me vrille l'estomac. C'est fini criais-je en m'éffondrant sous le regard de ma fille ainsi que ceux de Julia et Caled qui essaient de me rassurer...
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J'espère vraiment que ce chapitre Vous plaira 😘😍merciii à vous de me suivre 😍😍
Désolé pour les fautes j'ai relu le texte tellement de fois que je le connais par coeur 😂😂
Dite moi ce que vous pensez réellement de ce chapitres ? 😘😘😘😘
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