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Chapitre 2 : Nouveaux amis

Salut les poulpes ! Aujourd'hui...
Euuuuh...
Manque quelque chose nan ?
SENTORYŪ TATSUMAKI !
Boune lecture.

J'avais suivi l'informateur, qui était, il faut le dire, extrêmement lent - ou bien étais-ce moi qui était aussi suréxitée qu'une furie, jusqu'au coucher du Soleil.
La température avait grandement chuté et nous sommes arrivés devant une gigantesque grotte frigorifiés.
Sans trop poser de question, je l'ai suivi à l'intérieur. Soudain la châleur ambiante me parut un peu trop élevée et je remarquais a peine que des torches étaient accrochées au dessus de nous, brillant de mille feux dans l'obscurité.
Plusieurs fois je failli tomber à la renverse sur un caillou ou un roc pointu. Je précise : je n'étais aucunement tombée.
J'avais raté un de mes pas à la fin du parcourt, lorsqu'aprés avoir regardé où je mettais les pieds pendant un bonne dizaine de minutes, je relevai la tête, je decouvris un spectacle qui me fis chuter maladroitement sur le sol, similairement aux Pédos
(Nan les pédos ne sont pas des pedophiles... mais des petits animaux confondus avec des pompoms de couleur verte ne possédant ni yeux ni pattes, ni bouches. Juste des putains de pompoms verts ! Ils sont réputés pour sauter dans l'air comme si il y avait un quelconque sol (y'en a pas je présise, ils volent vraiment) et quelques fois on les voit retomber à terre d'un coup sec, annonçant qu'ils viennent d'éternuer - d'où viens l'expression pûrement Arbalousienne "t'es aussi bête qu'un Pédo" ou encore "avec une maladresse de pédo")
La vue qui s'offrait à moi quelques instant plus tôt était tout simplement inhumaine, presque grotesque, mais j'etais tellement abasourdie à l'idée que cela puisse être la Rébellion qu'un sentiment d'euphorie s'était eveillé tout au fond de moi, me poussant à ecraser mon visage contre la pierre pour calmer mes ardeurs extrêmes.
Pour tout vous dire, on étaient encore dans la grotte.
Je levais les yeux, et là, construit à même la roche dans le noir celeste s'élevait un gigantesque château gravé dans la pierre, ou on pouvait sans difficultés dicerner des fenêtres gothiques s'élevant sur quatres étages. La façade du château était faiblement illuminée par un trou dans la montage, où l'on pouvait admirer la toison argentée sous un autre angle de vue.
Le plus impressionnant était la taille de la grotte. Jusque là ils n'avaient marché seulement dans des étroits conduis, mais cette embouchure était cent fois plus grande.
On pont au dessus d'un gouffre à glaçer le sang menait sereinement vers la porte principale du château, toute de bois faite, qui dégageait une odeur humide - mieux vallait valait ne pas savoir ce qu'il y avait au fond du gouffre.
Nous le traversons à ma hâte, enfin, JE le traverse à la hâte, car Kyota est lent comme un vieillard derrière moi.
Nous arrivâmes devant la porte et Kyota frappa celle ci avec un ustencile prévu à cet effet.
Sans pouvoir me retenir, le stresse commença à monter en moi tel des fourmis rouges. J'étais immobile, presque pétrifiée, ecoutant les battement irréguliers de mon cœur alors que Kyota toquait une deuxième fois, plus sûr de lui cette fois.
- T'inquites pas, tu va très vite faire connaissance. La lieutenante va t'emmener a ta chambre une fois que tu aura pris tes repaires. Tout va bien se passer.
Ses paroles, aussi futiles étaient-elles, me soulagèrent largement, et lorsque la porte s'ouvrit, je me tenais déjà prette.
La porte était maintenant grande ouverte, menant sur une sorte de salle principale dégageant une châleur vigoureuse. La salle était composée d'une cheminée, de plusieurs fauteuiles en cuir, et d'un canapé, mais ce n'était que dans un petit coin de la piece, le reste, c'était tout simplement tellement familier et doux qu'une description ne suffirait pas.
En effet, à coté de ce petit aménagement étaient réunies des chaises, des tables et même un bar au fond de la piece, flanqué maladroitement en dessous d'escaliers poussiéreux en bois.
Les murs étaient eclairés eux aussi pas des torches flamboyantes, et étaient en pierre grisâtre, couleur chaude pour autant.
Dans un autre coin, la piece s'agrandissait et formait une bibliothèque avec deux bureaux bordeliques, parchemins et plumes trainant de partout dans les rayons.
Bien sûr au millieu de tout ça, il y avait des êtres humains, en chaire et en os.
J'eus le temps d'apercevoir quelques personnes aux airs étranges. Il y avait dans le bar une... une soubrette, ou plutot une ravissante femme blonde trentenaire, déguisée en soubrette.
Sur une des tables était posée une fille d'a peu près mon age, bien que plus mûre, sans doute. À bien la regarder, elle dégageait une aura étrange. Peu être etais-ce son phisique qui me dérangeait ? Elle abordait de longs cheveux aussi emmêlés que des lianes, aux couleurs étranges : en effet, ils étaient d'un blancheur immaculée et seule une mêche verte ressortait dans ce tas de cheveux brossés maladroitement.
Elle affichait un regard plutôt dûr, ses sourcils - blancs, ainsi que ses cils étaient froncés. Ses yeux étaient étragement jaunes, similaires à ceux d'un faucon, et ils semblaient me transpercer de l'intérieur. Elle semblait boir de ... de l'alcool, oui a son age.
Bien sur il y avait bien d'autres personnes, telles qu'un hybride mi lapin mi homme ou encore un homme assis au fond de la piece avec un capuche aux oreilles de chat.
Tous avaient leur regard perçant baqués sur moi.
Oh bien sûr, le puis ridicule dans tous sa ! Ah ah ! C'était la personne qui nous ouvrait la porte ! ( vous sentez l'ironie ? ) oh non, elle était loin d'être ridicule... elle était carrément flippante !
En fait, à bien la regarder c'est un homme.
Le décrire, oh oui, je me ferrai un plaisir....
Pour tout vous dire, son état était proche de celui de mort-vivant-sdf.
Il avait au moins quarante ans, des cheveux noirs de jais négligés, pires que ceux de la fille qui boit. Il abordait des yeux totalement vidés d'émotions, d'une couleur terne qu'est le gris. Une barbe naissante lui donnait l'air d'être mal rasé, et la cerise sur la gâteau : ses cernes de trois centimètres de long.
Malgré ce look tiré des plus audacieux, je remarque qu'il émet lui aussi une sorte d'aura, cette fois elle est carrément forte. Je veux juste pas l'emmerder.
Bref, je me demande ce qu'un SDF fous dans dans la rébellion, mais je compte bien  mett...
- Bonsoir Maître Horo. Dit Koyta en s'incliant gracieusement devant...
Ouais...
Devant le SDF.




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